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 Suhara Tate

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Nazu

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Nazu

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MessageSujet: Suhara Tate   Suhara Tate Icon_minitime1Mer 18 Mai - 13:10

Certains ne pensent a Kiri que pour ses bars, d'autre pour ses bordels. Mais moi je n'y pense souvent que dans un but unique : Acquérir une puissance secondaire. J'avais entendu en mon pays, une vieille légende qui parlais de sept ninjas. Sept ninjas possédant sept épées. Chacune d'entre elle avait un pouvoir, considérant chacun une particularité.


C'était un jour d'automne, oui je me souvient très bien. Un jour ou les feuilles jaunis, caressait mon visage tout en tombant au sol. Un jour peut être ou je ne trouvais pas certaines choses aussi belles qu'a l'habitude. C'est alors a trop me questionner, qui m'a fait souvenir de cette histoire : Ma mère était aussi grande, je me souviens, que le meuble devant lequel elle était assis. Elle était la sur le tapis, un livre a la main. Elle face a moi, face a mon regard, ma curiosité. Son sourire, qui faisait luire son visage. Elle était éclairé par les léger rayons qui traversait nos volet abordé aux fenêtres. Elle avait commencé a conté cette belle histoire, ses lèvres bougeaient lentement pour que je puisse la comprendre. Elle me portait une attention bien plus grande qu'un simple amour, et déjà je m'empressais d'aller me blottir dans ses bras. Elle me serrait fortement, au dehors il faisait froid. Et quelques instant elle avait abandonnait ses mot pour me réconforter. Je m'endormis quelques minutes passées, avec la promesse de reprendre cette histoire le lendemain venu.

La nuit était passée, et la neige venait de tombée. La température n'était pas encore si froide, ni chaude. Elle était en son milieu, ou le vent alors léger nous laissait une caresse. Il était a peine l'automne et déjà plus que des feuilles chuter sur les chemins. Les prairies n'était plus vertes, le soleil n'était plus jaune, le ciel n'était plus bleu, même la nuit n'était plus noir. Un épais tissus avait épris ses choses, il n'en restait que du blanc. Du blanc accroché aux arbres et aux fenêtres. Du blanc recouvrant nos habits a ne plus voir ni orteils ni mains. Cette neige qui écartaient nos amis, a chacun son chemin, a chacun son destin et dieu aura le sien. Ah cette neige qui isolait le ciel, les astres et les étoiles, les amis et les proches. Cette neige souvent critiquer qui pourtant était si belle.

Mais aujourd'hui elle n'a plus rien a moi. je en suis plus celui qui s'amusait a planter des carottes dans une mottes de neige. Non je ne suis plus l'enfant qui jouait en croyant que le bonheur était blanc. Et pour moi il n'y de plus fort et plus vrais que les rêves, car je sais aujourd'hui qu'on ne rêves pas en blanc. J'errais dans les allées, l'histoire de ma mère : Je l'avait délaissé pour m'amuser dans cette neige a prendre dans mes mains les flocons entassés. Et regardait le ciel d'un œil encore petit, le contempler, l'adoré. Et attendre sous lui un ami, un ami de mon age auquel je pourrais confier mes secrets. Mais a trop devoir attendre, l'envie elle ne suit plus. C'est alors que je partis une nouvelle fois a errer dans ses allées.

Alors que j'avançais, tête baissée, sans ne plus croire a mes envies, ne plus croire au bonheur. Et que je n'apercevait rien d'autre que le chemin qui me mènerait bien ou il voudrait me rendre. Je me tournais vivement intrigué de ses si jeune mollets qui m'avaient alertés. C'était une jeune fille, de mon age. Oui je me souviens elle avait a peu près ma taille, si ce n'est un peu plus grande. Elle était la a attendre elle aussi prêt de la porte entre baillé ou elle semblait se blottir. Elle avait la beauté d'une jeune fille et le regard corrompue d'une vielle femme ; cinquante ans mêlées a quinze années : Un de ces êtres qui sont tout ensemble faible et qui font frémir ce qu'ils ne font pas pleurer


Je m'avançais a une égale mesure d'elle et moi, pour la voir de plus près et aussi ne pas la gêner. Elle semblait triste quelques larmes coulait au long de ses paupières, sa main était rougis par le froid. Elle n'avait d'habit qu'une ficelle pour ceinture, ainsi qu'une jupe et un léger t-shirt. Elle ne voulait pas me voir, peut être avait- elle peur du jugement que je pouvais lui porter. Et je lui demanda :

Dis qui est tu ?

Tout d'abord elle ne répondit pas, je voyait ses lèvres brusquait par le froid et la neige, qui tremblaient. Ses yeux brillaient non pas car elle rêvaient mais aussi par l'hiver. Alors j'insistais, je voulu qu'elle détache ne serait-ce qu'un mot .

Et pourquoi ne parles tu pas ?

Peu-être ai-je du penser qu'elle avait froid ? Surement, je pris alors ma veste et la mis sur elle pour pouvoir la réchauffer. Elle ne fis pas un geste a l'écart, pas un geste déplacé ou de report. Elle se laissa faire comme-ci je ne la dérangeais pas, même qu'elle bougea une première main, pour resserrer ma veste a son cou. Mais sa misère m'attrister, et pourtant je n'était pas si grand pour me soucier de tels choses. Je pris alors l'une de ses mains, celle rester a l'abandon qui ne cessait de trembler. Je l'a pris comme un fils aurait pu faire a une mère, comme un ami aurait pu faire a un autre. Je l'a mis contre mon cœur en attendant qu'elle se réchauffe.


Moi je voyait son regard qui semblait fixer le ciel, elle ne posait pas un seul œil sur moi. J'aurai pu jouer avec son corps sans qu'elle n'en disent rien.Et je l'a regardais, encore et encore Je l'a regardais car elle me semblait belle, aussi belle que les étoiles. Elle était le voleur ayant dérober mon cœur, un cœur qu'elle tenait en sa main. Déstabiliser par son manque de paroles et de gestes, je l'a pris sur mon frêle dos sans réfléchir, et elle n'y fit toujours rien. J'avançais pas a pas, par de petite enjambée décidée. Et ce soir elle serait auprès de moi pour écouter cette belle histoire, devant la cheminée réchauffer par son feu, alors peut être elle me regarderais.

Après cette soirée, trois ans s'écoulèrent. Trois longues années a ne plus rien attendre, oui j'étaie comblais de bonheur. Elle restait avec nous toutes les journées, elle mangeait, dormait et même chantait quelques-fois auprès de nous, elle était devenu comme un ami ou une sœur. Et n'était plus cette fille muette comme aux premiers abords, ni même le pantin avec lequel je m'amuser. Elle était devenu bien plus grande, avec un caractère dont je me souviendrais longtemps. Son regard lui n'avait plus rien d'attendrissant, non pas a dire que je ne l'aimais plus. Mais il ne semblait plus être celui que j'avais connu, celui qui me donner tant de peine, et qui me juger sans même me regardais. C'est cette indifférence que je ne retrouvais plus, et que je regrettais. Certes je ne pouvait pas dire que j'aurais mieux opter de la laisser mourir de faim et de froid dans cette rue si sombre, mais j'aurais préférer qu'elle reste se pantin, comme je l'avais aimais.

Puis un jour, dès lors que mon père s'était enfuit pour sa chasse en prenant le soin de bien nous recouvrir, nous nous levions tout deux comme chaque matin, le regard fatigué d'une nuit hivernale. Ses yeux encore fermées, et ses cheveux en bataille eux me faisait sourire. Nous nous fixions quelques instant, a nous contempler, les jambes encore couvertes par ce draps si épais. Puis on se lever, en s'asseyant sur une chaise devant la table ou était apposé le petit déjeuner. Je n'ai jamais eu le temps de remercier ma mère pour ces jolis repas. Une mère dont je ne parlais pas souvent et qui rester discrète, en étant pourtant si connu a mon cœur.

Ce matin s'annonçait clair, bien que la neige recouvrait encore de son tissus le ciel, on pouvait apercevoir un léger rayons de soleil qui passait. Bientôt il allait revenir, et j'espérais qu'il laisse toute de même cette neige qui souvent me ravissait. La vapeur était posé sur les fenêtres, et il nous suffisait de le balayer d'un geste de la main pour connaitre le merveilleux spectacle qu'était de voir tombé la neige. Car oui il suffisait de se mettre au dessous et de ne regarder ni les arbres, ni les autre chose du coin de notre œil curieux, pour se sentir monter au ciel.

Mais aujourd'hui tout est plus difficile, je ne porte plus aucune attention a a buée sur les fenêtres, je n'aime plus voir la neige tombé sur mes épaules. Aujourd'hui elle est froide et me gène plutôt que de me ravir. Car je suis devenu grand, intelligent et soucieux. Et Quand je repense a cette journée je me dis qu'il aurait mieux fallu que jamais je ne naisse. Qu'il aura peut être mieux fallu ne pas savoir ou être ignorant. Certes peut être que sans cœur, sans âme et sans cerveau nous ne serions que des machines, mais au moins nous aurions été certainement plus heureux.

Puis le début du soirée arriva dans ce village souvent trop calme, mon père n'était pas encore la. Et déjà bien qu'au dehors j'inhalais la délicieuse odeur du souper. Je n'attendais plus que ca, et le temps de ce moment nous nous étions dehors. Elle jouait a peindre le décor de notre chalet. Tandis que moi je me prélassait a ses cotés, a toujours croire en ses talents d'artiste, ah ce n'était que des bon moments a passer auprès d'elle. Quelque-fois elle posait sa tête sur mon épaule pour contemplait son œuvre, s'arrêter un moment puis reprendre au fil de son inspiration. C'était une grande artiste que j'admirais, que j'admirais sans qu'elle ne le sache. Mais j'aurais du savoir lui dire, si j'aurais pu connaitre ce qui nous attendaient ....

Des pas effrayant, un grognement si grand et bruyant. J'étais dans les bras de ma mère, et le monstre était au dessus de nous, je pouvais sentir son haleine. Elle était aussi chaude qu'un volcan embrasée, et il nous regardait d'un œil, puis en tournant la tête nous regardait de l'autre. J'ai voulu même m'enfuir, mais ni mes bras ni mes jambes ne répondait. La fille était la, cette fois loin de nous deux. Ma mère avait agis en son devoir et protéger son fils semblait en être le sien, finalement pour ma mère elle n'était pas être totalement ma sœur. Elle n'avait donc pas le droit a la même considération, mais quel mère aurait donc la force de donner son fils en sacrifice ? Aucune ! C'est donc pour cela que je l'ai comprise.

Et je continuer pourtant a lui criais en pensée. Je lui criais : "Sauve la ! Sauve la elle !" J'espérais un moment qu'elle m'entendrais. Mais rien, et Je n'ai jamais su ce qui m'avait empêcher de cirer haut et fort, d'ouvrir ma bouche, et de dire a cette fille pour une dernière fois : "Je t'aime". Mais même dans cette situation je n'avait semblait t-il pas le courage, et je m'endormis comme ci de rien étais dans les bras de ma mère, comme le jour ou son histoire m'avait fait connaitre cette fille.

Je me levais quelques heures plus tard, dans la même maison ou nous étions rendu a notre sort. Et personne a mes cotés, pas un seul mort ni même un corps immolés, rougeoyait par le sang. Seul face a ce que je ne croyais pas, ou que je n'avaient penser possible. Un monde ou les prières ont si souvent rendu leur âmes. Finalement la mort m'avait atteinte ? Fatalement je n'avais rien pu faire, le paradis était-cela ! Un monde ou nous avions connu un certain bonheur, un monde même ou nous l'avions envier. Ce bonheur si subtile, si beau si .... Mais si mauvais quand on essayer de le trouver.

Alors, dans un hasard des plus grands je trouvais au sol l'une des seuls entités qui me rattacher a la vie. Qui m'avouer peut être que je n'étais pas mort. Un objet ! Un simple objet, ce simple livre ! Pourquoi un livre ? Sans savoir je me mis a le lire précautionneusement ; Mais n'aimant pas lire je m'attardais surtout a la fin de ce récit. Et c'est bien ici que par un pur hasard je trouvais ce qu'il maquaient ; Un indice, un plan. Voici ce qui était écrit :

Au plus bas des foret, gis en étant venu,
Celui au cinq sens, au passé inconnu,
Qu'importe si vie l'hiver, vous devrait traverser,
Les vierges et les années, qu'importe les êtres aimées,
Vous devrait parcourir, au travers des cités, des citées !
Des vers et du vert, laisser au ciel vos pieds,
Une grotte convenue, cachée et inconnu
A l'envers du ciel, la montagne n'est plus,
Tous ensemble le du, courait a l'étranger,
Ou le -u et le -er, sauront vous conseillés !


Je ne comprenais pas ce qu'il voulait me dire, mais je m'y attachais. Car désormais je n'avais plus rien a perdre, alors pourquoi ne pas essayer ? Je me concentrais, puis comprit quelques vers mais certains encore n'était pas résolu.Les deux premiers voulait certainement dire qu'un homme inconnu, disons un vagabond, s'était réfugier au plus bas d'une foret ... Mais que ce trouvait être plus bas qu'une foret ? Il y avait toute sorte d'élément, peut être une colline, un champ ou autre chose ... Ou une rivière qui y conduisait même si l'hiver vivait ... Oui c'était ca ! Ce n'était en tous cas ce que je pensait le mieux.

Je partis donc dans la foret la plus proche, et je suivis le ruisseau qui se trouvait en son milieu. Je le suivi jusqu'au bas de celle-ci, en dévalant, en courant. Et je tombais même quelques-fois faute au verglas. Mais indemne je continuais ma descente. J'étais intriguais de savoir si ce mystère exister vraiment. Puis une fois toute en bas, je du m'arrêter au bord d'une falaise. Un blanc nuage avait recouvert son gouffre et c'était le tout bas de la foret. Je regardais tout de même a gauche et a droite, a essayer de dénicher toute sorte d'indice, de sorties qui pourrait m'éclairer, mais rien. Je du me résigner a attendre que l'épais brouillard blanc s'éteigne au dessous de mes pieds .... Gardait les pieds au ciel ! Tel disais le sixième vers. Et j'apercevais l'indice du septième : A traversait les citées ! C'était donc a Kiri par delà les années, les foret vierges et les falaises qu'une vielle légende avait posé son trait. La ou l'homme a l'envers des montagnes gardent ses pieds sur terre, ou tant de chose au cinq sens vivent encore. Le village cachée de Kiri était la prochaine étape !

Je restais des années a enquêter, jusqu'au jour d'aujourd'hui ou au début de l'automne une feuille déjà jaunis retomba a mes pieds en m'effrolant légèrement le visage. C'était un jour ou presque j'avais abandonner la recherche de ce trésor. Mais ce toucher vint me rappeler une chose : Le bonheur. Il vint me rappeler cette journée et les autres, il vint me rappeler ma famille ... Ou le -u et le-er sauront vous conseiller. Le mot Bonheur n'est il pas fait de ses trois dernières lettres ? Alors jusqu'au jours je m'avais donc tromper, l'inconnu était connu, la terre était le ciel, Le contraire était le vrai ... Le neuvième le disaient, et je m'avait trompé.

J'avais couru a l'étranger pour connaitre cette arme qui permettrait de me venger. La ou le bonheur méprenait, la ou la clé se trouvait j'étais partis sans rien comprendre. En ne sachant pas que le -er de mère et de père, était mes conseillés. Et que le -u d'amour était peut être inconnu. Mais ces deux mots liés écrivaient le bonheur ! Je repartit en direction de mon village, et m'arrêta devant notre maison en ruine. Je couru au sous-sol, et la je vis ce que j'attendait. Je m'approchais nerveusement, durant toute ces années je l'avait cherchait autre part que devant moi, et elle était la, comme si presque elle m'avait était donné. Et Pour moi cette objet avait une âme, un visage que je ne reconnaissait pas, mais qui semblait me parlais. Un visage que je voulait connaitre, un visage qui me rappelait cette fille, et que j'aimais ...


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Nom : Suhara Tate
Effet : Puise le chakra des bijuu a leur contact ( affaibli donc la cible) et le chakra puiser peut-être reformer et utiliser comme un laser puissant.
Cible : Tout bijuu sauf Kyuubi (oui il faut bien une contrainte x) )
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Suhara Tate

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