Une rumeur courrait dans les rues de Suna. D’après les dires, un petit groupe de ninja complotait contre le Kazekage, dans le but de l’éliminer. Les raisons d’un tel acte était inconnus et on me chargea de découvrir l’origine de cette rumeur, de vérifier sa véracité et d’un éliminer les principaux investigateurs si elle se révélait exactes. Je convoquai donc mon équipe, deux jeunes hommes dont l’intégrité n’étais pas à douter, pour leurs expliquer la mission :

« Senton, Tarimachi, nous avons un mission de la plus haute importance. J’imagine que vous connaissait la rumeur qui circule en ville ? Nous devons vérifier si elle est vraie. Pour cela nous devons soit trouver un membre de ce complot soit le lieu où il se rassemble. Si vous trouvez l’un de ses individus, amenez-le-moi Je me chargerais de le faire parler. »

Mes deux hommes avait acquiesçait avant de partir immédiatement en ville à la recherche d’information. Pour ma part je partis me renseigner auprès des gardes de la ville, tous avait entendu cette rumeur mais personne ne connaissait l’un des soit disant comploteur. Je retournai donc au lieu de rendez-vous de mon équipe, une salle dans les profondeurs de la prison de Suna. En rentrant dans la salle je m’attendais à ne trouver personne, ou bien mes deux coéquipier mais surement pas un homme attaché à une chaise avec un kunai sous la gorge.
Senton s’avança pour m’expliquer :

« Ibiki, d’après ce qu’on a trouvé cette homme serai impliqué dans le complot. Ce sont ses voisins qui nous ont prévenues d’aller et venue étrange depuis une semaine, devant la maison de cet individu. On lui a demandé de tout nous dire mais il a refusé la méthode douce, il est tout à toi. »

Je ne pouvais détourner mon regard de l’individu, cet homme était un traire au village rien qu’en souhaitant la mort du Kazekage, mais le fait de préparer un complot était pire encore. Je pu lire la détresse dans son regard quand il comprit que je m’occuperais de la méthode forte. Je fermai doucement la porte, lui laissant comprendre que ses cris ne seront jamais entendus. J’enlevai son bâillon de façon à ce qu’il puisse répondre à mes questions :

« Ecoute moi bien sale traitre, je n’aurais que deux questions à te poser : Qui sont tes complices et ou je peux les trouver ? »

J’eu droit pour seule réponse un crachat. Bien j’allais donc devoir utiliser des moyens peu conventionnels. Je regardai donc Tarimachi, qui comprit ce dont j‘attendais de lui. En tant que qu’utilisateur du Katon il se charge de faire chauffer une tige de métal, lorsque que celle-ci fut rouge il me la tendit. Je regardai l’homme qui tentait de se débattre. Je lui reposai mes questions. Toujours aucune réponse. Je posai donc la tige sur sa joue, le brulant intensément. Son hurlement était long, cependant je ne pouvais me permettre des états d’âme pour cet homme. Je trouvais sa façon de remuer pour tenter de briser ses liens énervante. J’utilisai donc un jutsu que j’avais adapté à la situation.

« Fuuton : Juuha Shou ! »

Cette technique me permit donc de crée un lien en air tranchant que j’enroulai autour de l’homme. Il me regarda placer ses nouveaux liens sans comprendre vraiment. Je me chargeai donc de lui expliquer.

« Voici ta nouvelle prison, au moindre mouvement l’air entailleras ton corps jusqu’à le trancher net. Cependant si tu me donnes les informations que je recherche je l’enlèverais. »

Il continua de garder le silence, et comme s’il voulait me tester il recommença à bouger. Bien mal lui en prit, sa main droite se retrouva au sol. Tarimachi se chargea de cautériser la plaie, il serait trop bête qu’il meure avant de nous avoir donné ses compagnons. La séance de torture continua pendant environ une heure avant qu’il ne se mette à parler. Ces aveux arrivèrent avec la perte de son bras droit ainsi que la moitié de sa jambe gauche.

« Arrêtez s’il vous plait. Je vais tout vous dire. Nous sommes quatre. Notre plan avait pour but de faire sauter le bureau du Kazekage. Nous devions placer des parchemins explosifs ce soir, et j’imagine qu’il est trop tard pour que vous puissiez y faire quelque chose. »

Il avait fini sa phrase dans un grand éclat de rire, comme si il avait gagné. Surpris et à la fois terrifié par ses révélations je regardai Senton et Tarimachi qui parties immédiatement. Je regardai l’homme une dernière fois avant de le trancher en deux. Nous devions arrêter ses complices au plus vite. Je me dirigeais donc au plus vite vers le palais du Kazekage. Je rattrapai mes camarades rapidement, en approchant du palais, on aperçut trois homme s’enfuirent. Je croisai le regard de mes camarades et chacun comprit la nécessité d’en finir vite avec ses hommes. Je sautai donc sur le premier homme, lui lançant 3 shurikens. Il les dévia avec facilité. Je ne pouvais me permettre de perdre du temps je décidai donc d’en finir au plus vite, je décidai donc d’utiliser des techniques plus puissantes.

« Fuuton : Reppushou »

L’onde frappa de plein l’homme le laissant à terre, je ne perdis pas de temps et lui trancha la gorge immédiatement. Je ne pris même pas la peine de regarder la situation autour de moi, pour me diriger vers le bureau du Kazekage. Une fois dedans je me mis à la recherche des parchemins explosifs. J’en dénichai quatre au total, chacun était caché subtilement de façon à créer de gros dégâts. Je ressortis du bureau persuadé d’avoir retiré tous les parchemins, au moment de sortir du bureau je fus rejoint par Senton. Celui-ci rentra dans le bureau et arracha un dernier parchemin caché à la fenêtre. Nous avions été vite rejoints par Tarimachi. Tous avaient tué leurs ennemis. Nous avions réussi, le complot avait été empêché. Nous avons donc fait notre rapport au Kazekage le lendemain, lui expliquant que tous les conspirateurs avait été tué. Nous avions fait notre devoir pour le village en le protégeant de ses ennemies.