避雷針 - La légende des Hiraishin renaît [Pv Fantomass]

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O Let's Do It †

♫ Salamalekum, bonjour à tous, buenos dias, j'sais pas pour vous mais moi j'ai bien envie d'une grosse biatch ! ♫
J'tannonce la couleur ma poule, j'écoute 'pigeon' et voilà je m'emporte. Putain. J'étais bien, là. Avec mon calumet de la paix, et mon autre fidèle compagnon, mon rhum. Takara ? Elle était je ne sais où, je la verrais ce soir de toute façon, mais pour l'instant le moment n'était pas propice pour évoquer ce sujet. Pas vraiment non, je vais plutôt te raconter une histoire mon enfant. Allez viens, viens t'asseoir pour m'écouter. Est-ce que tu sais ce qu'est un paratonnerre ? Sûrement, quoique y'a sûrement des incultes par ici donc je vais le rappeler. C'est tout simplement un dispositif destiné à protéger les bâtiments de la foudre. Deux notions sont essentielles dans cette définition que je viens de te rappeler : la protection, et bien entendu la foudre. Ici, il est question de protéger le pays de la foudre, de protéger ce joyau, ce diamant, oui tu m'as bien compris, de protéger Kumogakure no Sato. On en vient alors directement à la légende des quatre paratonnerres de Kumo, comparables aux Sannins de Konoha, aux Épéistes de Kiri, et aux Gardiens de Suna. Ces quatre là s'appelaient les Hiraishins de Kumo.

Bref. Je ne vais pas non plus ta raconter en détail l'histoire de ces quatre shinobis hors du commun. Pas le temps, pas l'envie non plus. Tout ce que t'as à retenir, c'est qu'ils sont tous morts, depuis bien longtemps, mais que certains shinobis appartenant à la nouvelle génération étaient sur le point de les remplacer. J'avais d'ailleurs sous les yeux le dossier d'un homme prometteur, dont l'ascension rapide jusqu'au grade d'Anbu était à souligner. C'est pourquoi j'avais décidé de le convoquer, pour savoir s'il était capable de devenir un Hiraishin. Pour ça, j'avais choisi un endroit isolé, la prison. Plus exactement le quartier ouest. Celui-ci était vide, personne ne s'y rendait. Hormis pour des interrogatoires secret, ne se déroulant jamais dans la douceur et la bonne humeur. Je me trouvais devant une ancienne cour sablée, de la taille d'un terrain de football, et délimitée par de très hauts grillages - une ancienne cour utilisée pour les prisonniers, maintenant inutilisée - avec en son centre deux chaises et une table en bois branlante et n'inspirant pas confiance. Je me rendais jusqu'à cette table pour m'asseoir, et, étendant mes jambes sur le bois craquant du meuble, j'allumais une garrot en attendant ce jeune homme. Puis, je sortis deux bouteilles de Rhum, et les posais sur la table accompagnées de deux verres. Tout étais prêt.

Invité

† Convocation du Raikage : †

Le Raikage demande la présence d’Hakusu Shiyo dans les quartiers Ouest de la prison.

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Quartier Ouest ? Voilà qui est étrange, Shiyo connaissait la prison comme sa poche pour de nombreuse raison, il avait mené nombre de prisonnier en ce lieu, mais le quartier Ouest lui était réputé pour le nombre incroyable d’interrogatoire aussi tordu les uns que les autres. Pourquoi diable voulait-il que Shiyo le retrouve en ce lieu ? Voulait-il lui parler ou l’interroger ? Shiyo se posait bon nombre de question, enfin bon pourquoi se prendre la tête pour si peu, Shiyo était un expert en combat, certes il n’avait pas la puissance nécessaire pour combattre le Raikage, du moins pour résister longtemps, mais il était capable de lui tenir tête quelque temps, du moins c’est ce qu’il pensait. Mais pourquoi penser à de pareil chose, Shiyo n’avait jamais failli à sa tâche, il avait toujours fait comme les règles l’indiquaient. Il avait certes gravis les échelons très rapidement, mais bon cela n’était pas hors du commun. Il n’était pas le seul à avoir gravi les échelons aussi rapidement.

Alors qu’il se posait nombre de question, il décida de se mettre en route en direction de la prison, en chemin il fit le vide dans son esprit, retira toute pensés troublante. Shiyo arriva alors aux porte de la prison, cette prison était terrifiant du moins pour les gens normaux, comment un ninja comme lui, un ANBU qui plus est. Voilà le moment était venu, il mit le premier pied dans la prison, on entendait le vent hurler, étais le vent qui hurlait ? Ou seulement qui apportait les hurlements des prisonniers aux oreilles du jeune shinobi. Shiyo n’y prêta pas attention plus que ça. Son attention était attirée vers l’obscurité qui régnait en ce lieu. Le Kage étant réputé pour sa puissance et sa rapidité, comment réussir à éviter une telle personne ? Il était impossible pour Shiyo que le Kage souhaite sa mort alors pourquoi voulait-il le voir ? C’était la première fois qu’il allait le rencontrer en personne habituellement c’était des larbins sans importance qui lui donnait les instructions à suivre.

Shiyo était heureux, intrigué, et même excité à l’idée de rencontrer l’homme qui était à la tête du village que Shiyo avait juré de protéger. Une affaire de famille voilà ce qu’était la loyauté de Shiyo son père était l’un des gardes personnels du Kage précédent peut-être que le faite qu’il soit mort des mains de son fils l’avait projeté dans les petits papiers du Raikage actuel, ou peut-être l’inverse, Shiyo allait peut-être devenir la victime de son ancien meurtre. Il était le plus réputé des assassins de Kumo, Il était le shinobi le plus bizarre de Kumo, il était aussi le shinobi le moins agréable du village, alors pourquoi une personne comme le Kage souhait-il rencontrer un tel ninja, une réputation basé sur des faits mais déformé avec le temps jouait peut-être en sa faveur ne sait-on jamais. Shiyo commença a avancer dans cette terrifiante prison. Il marchait d’un pas sure et serein, à le voir on ne pouvait croire que cet homme était un fantôme, il marchait lentement mais avec allure, laissant ses vêtements et ses cheveux flotter porté par un vent froid et sec.

Voilà, il était devant lui, le Kage était face à Shiyo un peu plus loin assit sur une chaise. De cette distance, on ne pouvait distinguer les détails, c’est donc pour cette raison que Shiyo commençait à accélérer le pas, laissant sa silhouette se transformer en un corps distinctif. Shiyo avait repris un air sérieux, on ne distinguait pas ses inquiétudes pourquoi ? Sans doute parce que la présence du Kage avait fait renaitre le sérieux légendaire de l’ANBU. Il arriva à proximité, il constata que la chaise sur laquelle était installé Aa était en piteux état, d’autant plus que notre Kage, possédait deux bouteilles. Shiyo qui en temps normal ne buvait pas devina qu’il allait certainement devoir si mettre en présence du Kage. Il posa alors genou à terre pour montrer son respect au chef en présence, puis toujours genou à terre il retira son masque d’ANBU il le plaça sous sa mains et replaça ses cheveux pour dévoiler son visage du moins son regard, le reste étant caché par de multiple bandeaux, puis il plaça quelque mot :

« Shiyo Hakusu ici sur votre demande, que puis-je pour vous Kage Dono »

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Peace †

Enfin il arrivait. Une dégaine bizarre, j'irais pas jusqu'à dire qu'il ressemblait à un clochard, non, peut être plus à un fantôme. Sympa le style pélo, lances toi dans la mode tu vas percer, comme un Sumo sur un trampoline. Arrivé devant moi, il s'agenouilla en guise de respect. Toujours appréciable de se sentir respecté, mais ce n'était pas ma politique. Même s'il est évident qu'il existe une hiérarchie dont le sommet doit être respecté - et ce sommet se trouve en ma personne -, jamais je n'accepterais qu'un de mes Shinobis s'agenouille face à autrui, moi-même y compris. S'agenouiller ... Un fait remarquable pour exprimer toute l'estime que l'on porte à quelqu'un, prenant aussi un aspect bien plus péjoratif, celui de la soumission. Ceux qui se soumissent, sont faibles, tous. Inéluctablement, s'agenouiller traduit la faiblesse, peut importe l'intention si bonne soit-elle. Et il n'y a pas de place pour les faibles dans ce monde, encore moins à Kumo. Lorsqu'il posa son masque à terre, dévoilant son visage couvert de bandelettes blanches aux trois-quarts, je lâchais un ferme et sec 'Debout.' sans lui exprimer de suite mon point de vue à ce sujet. Peut être avait-il déjà compris.. Un homme ayant gravit les échelons aussi vite est forcément intelligent. D'un ton neutre et serein, j'ajoutais :

[Aa] - Respectes-moi, mais par ta loyauté, ta fidélité, et ton courage. Aucunement par ce geste faible et soumis. Il n'y a pas de place pour les faibles, tu devrais savoir ça, shinobi de Kumo.

Dans ce village, tout le monde connaissait la clan Yotsuki. Tout le monde connaissait mon père. Tout le monde me connaissait. Et tout le monde connaissait nos principes de vie, notre caractère, et notre dégoût à l'encontre de la faiblesse et ses dérivés. Ça lui apprendra à ce jeune ninja. Il ne réitérerait plus cet acte, et sans même s'en rendre compte, il deviendrait plus fort et plus sage. J'imagine bien la musique douce, mélodieuse et triste se jouer pendant que je donne cette petite leçon de vie. J'en ai presque la larme à l'oeil.

[Aa] - Maintenant assieds-toi, Shiyo. J'ai sortis deux merveilleuses bouteilles de rhum, une chacun donc. - lui tend un objet - Voilà ton verre. Bien, je ne t'ai pas amené ici pour rien... Au contraire. Parles moi de toi, je veux tout savoir.

Lui dis-je. Puis je m'affalait un peu plus sur ma vieille chaise craquante, plaçant mes mains derrière ma nuque d'une façon détendue, et levant légèrement la tête au ciel. Ma décontraction devait être déconcerte pour ce jeune homme. Il y a peu, j'avais l'air grave et le réprimandait sur ce geste qu'il avait fait, et maintenant je buvais, détendu, en lui ayant simplement demandé de parler de lui, sans précisions particulière ni rien. C'était en quelque sorte un test, je voulais voir comment il régirait. Serait-il déconcerté et maladroit, ou au contraire prendrait-il confiance et s'ouvrirait totalement pour parler à son kage, en guise de respect absolu, non forcé mais amical.

Invité

Sec, ferme voilà comment se devait d’être un chef, et encore plus pour le chef d’un village, le Raikage était tout comme son père était réputé pour sa fermeté en combat et sa grande capacité à diriger le pays de la foudre. Shiyo connaissait bien la famille du Kage pour avoir été le fils de l’un des gardes personnels de son père, comment un homme comme Shiyo pouvait-il suivre le chemin de son père ? Cela était une énigme en soit, mais le faite d’être puissant était nécessaire pour protéger les autres membres d’une communauté aussi grande que varié. Voilà les raisons pour lesquelles Shiyo avait décidé de suivre les traces de son défunt père. Aa n’était pas sans savoir le sort de l’ancien garde de son paternel, mais il ne savait pas grand-chose de Shiyo appart une monté en puissance fulgurante, Shiyo était l’un des shinobi les plus discret du village si ce n’est le shinobi le plus discret. Shiyo remarqua que son genou au sol face à Aa n’était pas apprécié du moins pas comme il aurait dû.
La réaction d’Aa était étonnante du moins pour la plupart des gens, en effet les villageois de Kumo savaient tous qu’il n’aimait pas ce genre de chose. Shiyo l’avait oublié étais le traque de sa première rencontre avec lui ? Ou juste une grosse erreur de sa part ? Il avait mal géré mais il se rattrapera quand Aa demanda à son interlocuteur de s’assoir, celui-ci s’exécuta et saisit-la bouteille tendu par son Kage. Il se servi alors un verre de rhum puis en servit un à Aa, puis avec respect il laissa d’une voie respectueuse « Santé ». Sur ce mot Aa lui commença une phrase où il me demanda de m’ouvrir face à lui. Ceci étant pour Shiyo plus dure encore que s’entrainer ou se prendre la plus grande raclée de toute sa vie. Mais voilà le kage l’avait demandé avec sympathie et Shiyo bien que mal à l’aise décida de s’exécuter avec sincérité et bien sûr il n’hésita pas à commencer par son père.

« Je suis Shiyo Hakusu, Fils de Tiruma Hakusu, l’un des gardes personnels de votre père. Il était abject et cupide, alcoolique et violent envers ma mère et moi. D’où la présence de mes nombreux bandages. Ma mère est décédée suite aux coups de ce bon à rien mort de ma main. »

Shiyo se rendit compte qu’il ne parlait pas de lui mais de sa famille qui ceci étant n’était pas la demande de son Kage, il décida donc de se reprendre en mains, et vida son verre cul sec, puis fixant Aa, il commença à se resservir un verre qu’il porta aux lèvres, mais avant de se mettre à boire il pensa à une chose qu’il n’avait dit à personne, qu’il n’avait normalement pas le droit de le dire mais il décida de tout de même le confier quitte à mourir cette nouvelle serait un électrochoc pour Aa, l’un des clans recherché vivait dans son village, voilà Shiyo commença à parler.

« Je suis le dernier descendant direct du premier chef du clan Kukazashi j’en suis donc le chef légitime, ma mère ayant été tué on m’a donné le nom de mon père pour ma sécurité. Je sais que cette nouvelle est pour vous un choc, mais il est de mon devoir de vous en informer quitte à mourir pour cela, pour finir je tiens aussi à vous dire que je suis quelqu’un de solitaire n’aimant pas particulièrement la compagnie mais je m’y accoutume. Et pour finir je ne vois qu’une chose à dire, vous voir est pour moi un immense honneur. »

Shiyo avait été honnête et pour la première fois de toute sa vie il avait clamé haut et fort ses origines étant membre d’un des clans classé comme dangereux pour le monde, il s’attendait à une réaction agressive de la part du Kage soit pour ne pas avoir signalé se fait plus tôt soit pour l’avoir fait tout simplement. Shiyo était quelqu’un de renfermé et cela Aa le savait, il l’avait suivi depuis longtemps et connaissait tout de sa vie sauf ce point et bien entendu ses rapports avec Eleanor qui aux yeux du village étaient particulier. Aa savait même certaine chose sur Shiyo que lui-même ignorait comme un frère et une sœur au sein du village. Pour finir, Shiyo prit son verre et le fini une fois encore cul sec. Il avait été franc honnête et plus que sincère chose qu’il n’avait pas l’habitude de faire mais étrangement il ne se sentit pas forcé ni même dans l’obligation de le faire cela avait était fait avec un naturel que Shiyo lui-même ne se connaissait pas. Etrangement cette sensation lui était agréable.

Invité

Bsahtek †

Le jeune Anbu commença par parler de sa famille. J'avais eu vent de l'histoire de son père, un excellent Shinobi selon mon propre père. Un de ses gardes personnels. Cependant, il avait peu à peu sombré dans l'alcool, se transformant alors en un déchet, une épave. Il avait été tué par son fils, quelle triste fin. Mais il ne méritait que cela, et si ce Shiyo n'avait pas été capable d'achever son existence, mon père s'en serait chargé tôt ou tard. Il ne pouvait pas supporter qu'un homme batte sa femme, et son fils. Et à partir du moment ou celle-ci décéda sous ses coups, seule la mort était envisageable pour ce Tiruma Hakusu. Une histoire familiale tragique, néanmoins. Mais d'après son timbre de voix, ce jeune homme ne regrettait rien, ne culpabilisait pas. Le contraire aurait-été un grand danger pour sa santé psychique, et en tant que Shinobi de Kumo, cela n'aurait pas été acceptable. Il continua ensuite en dévoilant une information particulièrement surprenante. Le clan Kukazashi, intriguant, d'après les rumeurs, ils avaient été éradiqués dans leur temple même. Dire que ce jeune homme était le chef légitime du clan.. Ce clan ayant payé pour sa puissance. Leurs représentants avaient été tués car ils étaient jugés dangereux. Enfin, il avait terminé son discours en m'indiquant préférer la solitude, et être honorer de me rencontrer. Après cela, j'enlevais mes mains de derrière ma nuque pour aller attraper le verre de rhum qu'il m'avait servit, puis le bu, d'un trait.

[Aa] - La solitude.. S'enfermer à tout jamais pour en arriver à une folie imperceptible, mais tout autant infâme et vengeresse. Elle punie son hôte de lui avoir interdit de vivre. Ne t'y abandonnes jamais mon garçon, la vie est faite pour être vécue, mais pas seul.

Sur ces sages paroles, je laisser couler un peu de rhum dans mon verre, lentement. Puis je portais l'alcool à mes lèvres pour le boire lentement, posant par la suite mon verre sur la table délicatement. En y repensant, il avait évoqué son hypothétique mort faute d'avoir dévoiler son appartenance à un clan présumé éteint. Pensait-il que je lui réservais la mort pour posséder la puissance de ce clan, ce qui avait auparavant valu la sentence irrévocable de la mort à ses frères ? Absurdité. Leur massacre avait eu lieu dans des circonstances bien différentes, et aujourd'hui, il n'était pas question de craindre leur force. Non, puisque d'une part, ils ne devaient pas en rester énormément sur notre terre, et tout simplement, pourquoi craindre la force ?

[Aa] - Le clan Kukazashi peuple toujours les terres du monde Shinobi ? Surprenant. Mais ne crains pas de devoir mourir à cause de tes origines. Je suis ravi de te compter parmi mes Shinobis, tu sais, j'ai entendu parler de la force de ton clan petit.

Je laissais un blanc, volontairement, histoire de boire un autre verre de rhum avant de parler à nouveau. Je fis craquer mes doigts, pour détendre mes articulations, puis passais la main dans mes cheveux. Les choses sérieuses allaient commencer. Puis d'un coup je me levais, puis reculais un peu, traînant ma chaise avec moi avant de la jeter au loin, sur le côté. Je l'invitais à faire de même d'un geste de main, avant de m'exprimer.

[Aa] - Tu n'es pas ici pour rien. La légende des Hiraishin de Kumo doit t'évoquer quelque chose, non ? Je t'ai suivi, de loin, pendant ton ascension jusqu'au grade d'Anbu. - lançais-je en allumant une clope - Et j'ai été agréablement surpris. T'as du potentiel petit. Il serait dommage que tu ne deviennes pas encore plus fort, pour protéger notre village. Ta présence en ce moment-même est un test. Qui changera ton avenir. Tu m'as compris je pense. Mais à part des informations matérielles, je ne sais rien de tes aptitudes. Tu vas devoir m'impressionner. On va commencer par du corps à corps, armes incluses. Ne te retiens pas, c'est ma spécialité après tout. - lui dis-je avec un petit rictus amusé -.

Je ne bougeais pas, fumant ma cigarette en attendant qu'il réagisse. Pour l'instant, je n'aurai pas besoin de mon armure de foudre, après tout, ce n'était que du simple corps à corps frontal, et il ne rivalisait pas avec moi. Le but n'était pas de me battre pour obtenir le titre, mais de se battre pour me prouver qu'il était digne de le posséder. Nuance.

Invité

Du taijutsu hein, la seule et unique discipline ou Shiyo n’excellait pas ceci étant, le Raikage lui était réputé pour avoir un niveaux sans équivalent autant dire qu’un combat au corps à corps était perdu d’avance et si le chef du village de Kumo avait lu attentivement les fiches parlants de Shiyo il devait certainement être informé de cela malgré le fait qu’il dise le contraire. Comment un homme de sa stature pouvait ignorer les capacités de l’éclipse de Kumo ? Cela était impossible, Mais soit s’il avait décidé de lancer un combat au Taijutsu celui-ci serait lancé, et appart tenter de survivre aux assauts du kage, Shiyo ne pourrait rien faire peut être lui donner un coup. Celui serait sans doute l’unique mais lorsqu’un homme de sa stature ordonne personne ne peut refuser et cela pour le plus grand regret de notre jeune Anbu. Quand le moment fut venu, Shiyo décida de bouger, son mouvement fut rapide et précis, il venait de bondir et de rebondir aux pieds du kage pour lui porter un coup dans l’abdomen malgré le fait que le chef de Kumo soit une montagne de muscle il n’en était pas pour autant invincible du moins si l’adversaire avait un niveau de Taijutsu suffisamment puissant pour rivaliser. Ce qui n’était pas le cas pour le jeune Shiyo. Il décida donc de réagir et de porter une multitude de coup tout en faisant tout son possible pour ne pas rester là sans bouger et rester à la merci du premier coup passant. Shiyo tout en gardant ca mobilité se mit donc à prononcer quelque mot ayant pour destinataire le chef qu’il avait juré de protéger :

« Étant sous vos ordres j’admets ne pas pouvoir refuser le combat, mais étant un homme je n’aime pas avoir à combattre l’homme que j’ai juré de protéger. Mais sachez une chose, j’admets que niveau Taijutsu je ne suis pas doué. »

Ce petit moment de dialogue terminé Shiyo décida de porter d’autre coup à son supérieur, ceci n’étant pas son domaine de prédilection, il frappait de toute ses forces sans penser que ses coups étaient en mesure de faire mal à Aa, lui étant d’une part une masse de muscle mouvante et d’autre part un expert incontesté dans ce domaine. Shiyo n’était donc pas fier de cette prestation mais ayant reçu l’ordre de n’utiliser que le corps à corps il savait que si cela durait il ne tiendrait pas fort longtemps

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