Rencontre banale [PV. Shinkai]

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Le Sandaime Hokage tournait autour du village, cherchant l'inspiration. L'inspiration pour quoi? Trouver de toutes nouvelles méthodes de torture pour les gens de son village qui ne voudraient pas écouter ses sages mots qu'étaient les siens. Après tout, qu'y avait-il de mal à vouloir torturer son peuple? Après tout, c'était quelque chose comme les autres, une façon amusante de passer son temps, une chose que personne ne peut négliger. Tout le monde à déjà fait mal à quelqu'un par pure plaisir, sinon, comment étaient-ils devenue des ninjas? On doit aimer le métier de Ninja pour devenir un Ninja, et aimer faire ce métier, donc on aime faire mal si on en suis la logique. Après tout, il n'y a rien de mal à faire saigner un peu quelques petits passant, ou même un condamné à mort...Qui s'en préoccupe réellement, du moment qu'ils sont mort, rien n'importes. Le sourire vaillant sur son visage, Omei avançait péniblement, cherchant de nouvelles façons de torturer les gens. Encore une fois, son esprit était à court d'idée...

« Je hais avoir à chercher des choses comme ça...Je suis supposé avoir des sous-fifres pour faire ce travail... »

Omei arrêta brusquement, sentant l'odeur de quelqu'un d'étrange dans les environs. Cette odeur lui rappelait quelqu'un dans un sens, mais il ne savait même pas pourquoi il y pensait. Se ferait-il seulement attaquer? Si oui, ce pourrait être intéressant. Approche, petit... Il pouvait sentir l'odeur d'un homme, et son nez ne lui mentais pas. C'était un garçon, un tout petit garçon. L'odeur fine de la jeunesse, la chair tendre. Il ne voulait pas gaspiller son Byakugan, ça lui gâcherait la surprise. Il attendit simplement que celui-ci se rapproches.

« Montre toi, petit. »

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Le temps était a son beau fixe, cette journée était magnifique le soleil était présent illuminant chaque parcelle de terrain du village de Konoha, un jour qui était signe de beauté. Chose que Shinkai détestai, il était la beauté, la beauté accompagnant l’horrible fin de toute être. Il était en revanche le premier à apprécier le soleil, celui-ci était comme une bouffé d’oxygène pour eux lui permettant de d’agir comme bon lui semblait, son clan n’était pas admiratif de la nuit. Un clan ? Oui mais c’est une autre histoire.
Tandis que le jeune Shinkai vaquait à ses occupations il entendit la grosse voie du bonhomme qu’il coïnciderait comme un père, ou un grand frère très autoritaire, quand le mot « petit » fut prononcé, une veine frontale se mit a gonfler signe de l’énervement du petit homme, celui-ci se retourna et dit d’un ton saoulé:

« Petit, quand es que tu retiendras que j’aime pas ca, t’es lourd a la fin. »

Il se retourna et le fixa avec un petit air de mépris, mais Omei savait pertinemment qu’il n’en était rien, Shinkai donnerai sa vie pour aider Omei, celui-ci ne l’ayant jamais laissé dans quelque ennui que ce soit. Shinkai avait une façon bien a lui de montrer son attachement envers Omei, si avec celui-ci il était grossier voir même des fois méchant, au fond il l’admirait, il l’avait vu passer du stade de simple chef de clan a celui de chef de village, il était le petit qui était toujours dans l’ombre. Celui qu’on appelait « l’chou du boss » Ce surnom l’horrifiait d’où son comportement vil et mesquin envers Omei. Mais au fond il l’aimai ce surnom. Il reprit un ton moqueur et dit en ricanant:

« alors l’vieu, tu compte d’enraciner ici ou tu compte m’payer à manger, j’ai les crocs moi hein »

Il le regardait avec insistance sachant qu’il allait lui offrir de quoi manger après une baffe ou une phrase déplaisante, Shinkai avait l’habitude, et cette relation particulière lui allait très bien. Il n’étais pas garçon à être gentil avec tout le monde deux exceptions faite, Omei et Miyuka. Ceci étant il attendit que l’patron du village daigne enfin répondre à son pseudo fils.

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Omei venait de découvrir son fils adoptif. Il y avait longtemps qu'Omei avait adopter un jeune homme prometteur qui semblait en position de l'aider beaucoup dans sa quête de domination du monde. C'était un gamin, après tout, mais un gamin qui était en position d'aider grandement le Sandaime Hokage. Un Gennin prometteur dans un sens. Omei le fixa tranquillement, attendant que celui-ci ne parles. Après tout, c'était un gamin, il ne parlerait pas comme un homme, mais il risquait d'être arrogant comme à l'habitude. Le Sandaime devrait changer ça assez rapidement dans le comportement du jeune homme.

« Petit, quand es que tu retiendras que j’aime pas ca, t’es lourd a la fin. »

Omei le fixa d'un air perplexe. Qu'il le veuille ou non, il l'appellerait petit. C'était son style tout simplement, et on ne changes pas le style d'un Kage. S'il arrives à se rendre aussi haut dans les grades des Kage, alors il vaut mieux rester tel qu'il était, ou sinon il ne serait jamais un bon Hokage. Il fixa le jeune, attendant que celui-ci parles. Il ne parlerait pas après une telle arrogance, même qu'il se retenait pour ne pas le baffer sur place. Fils ou non, il faut savoir diriger ses hommes d'une main ferme.

« alors l’vieu, tu compte d’enraciner ici ou tu compte m’payer à manger, j’ai les crocs moi hein »

« Le vieux...Tu es insolent, petit. Ne sais-tu pas qu'en faisant des missions tu pourrais te nourrir toi même au lieu de compter sur mes économies? »

Le vieux...Il n'avait que 22 ans, Omei, c'était assez étrange. Orochimaru était un vieillard comparé à lui, et pourtant, c'était lui qu'on appelait le vieux. Omei resta sur place et croisa les bras, regardant son fils, attendant une réponse. Pourquoi avait-il seulement adopter quelqu'un d'arrogant. La personne qu'il était avait toutes les raisons possibles pour lui trancher la tête et bouffer ses tripes, mais pourtant, un petit quelque chose l'en empêchait dans son corps. Était-il devenu mou? Eh. Mou ou non, sa rage de tuer restait la même, peu importe le nombre de jeune arrogants qu'il rencontrerait. Si le petit allait trop loin, il recevrait une droite et comprendrait qu'on ne rigole pas avec ses aînés.

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Blablabla, il était toujours aussi chiant celui la, toujours entrain de me reprocher de lui demander quelque chose, non mais, c’est lui qui m’avait adopté. Erf après tout pourquoi pas l’écouter pour une fois, il fit quelque chose qu’il n’avait pas l’habitude de faire, chose qu’Omei allait écrire dans le calendrier a coup sure, d’un ton agacé, il répondit au paternel:

« Bon allez viens j’te paye un verre »

Il le fixa attendant un réponse, il fixa plus encore la coupe de cheveux du Kage, rigolant intérieurement, il se demandait quand Omei se déciderai a changer de coupe. Mais malgré sa beauté, Shinkai ne pouvait se permettre de dire quoi que ce soit, Omei était le stéréotype du mec macho, quand a Shinkai lui était le stéréotype du mec androgyne. Mais sa réflexion fut coupé net quand un membre du village fit une remarque, celle-ci résonna dans la tête de Shinkai comme une bombe, il avait Horreur de ca.

-« Tien voila le petit chouchou du boss »

Chouchou ? Boss ? Deux mot qui ne plaisaient pas a Shinkai, il se tourna vers la personne responsable de cette phrase et la regarda, celle-ci fut terrifié, Shinkai avait un regard malsain, on aurait dit un démon près a bondir. Et ce n’était pas peu dire, Shinkai se déplaça si vite qu’on aurait dit qu’il se téléportait, il atterri sur l’homme et le frappa encore et encore, durant la correction il prononçait des phrases:

« Le chouchou ? Mais tu vas voir c’est qui le chouchou espèce de bouffon. »

Et oui, Shinkai avait vraiment horreur de ce mot mais ce n’était pas le seul, il reprit:

« Et comment tu parle du Kage toi ? T’as cru c’était ton pote ou quoi espèce de connard »

Et oui malgré c’est aire de petit démon qui répondait a Omei tout le temps, il était celui qui veillait au grain tout le temps. A chaque mauvaise utilisation du nom d’Omei, Shinkai était le premier a remettre les pendules a l’heure. Mais passons, Shinkai continuai a taper sans s’arrêter, laissant le sang de sa victime lui sauté sur le visage. Rien ne semblait l’arrêter. Il était comme possédé par un démon.

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Omei regarda son fils battre un passant pour aucune raison apparente. Pour lui, ça n'avait juste totalement aucun sens, mais après tout, il était pire dans tout son état d'âme. Il regarda le petit crier après l'homme et le frapper, faisant gicler le sang. Omei agrippa le jeune par la gorge et le leva dans les airs à sa hauteur, de façon à ce qu'il ne touche plus le sol. Il le fixa de son oeil blanc et de son oeil jaune, d'une façon à regarder à travers son âme avec toute sa puissance.

« J'ai besoin de ces hommes, qu'ils soient arrogant ou non. Tu es arrogant aussi, t'ai-je déjà sauter dessus et tenter de te tuer pour autant? »

Omei relâcha son fils un peu plus loin du corps de l'homme, pour ensuite le prendre sur son épaule et l'emmener vers le village. Il fit signe à son fils de le suivre, car il devait absolument aller le faire se guérir. Il le donna simplement aux gardes de la porte et emmena son fils avec lui pour aller s'acheter des ramens. Il paierait pour la nourriture. Il s'assit simplement, et déposa son chapeau sur la table, se préparant à s'attaquer au bol de nouille qu'il venait de se faire servir. Il mit ses mains ensemble et d'un sourire satisfaisant, s'exclama.

« Itadakimasu! »

Omei se mit à déguster la spécialité de la maison, regardant son fils à côté, un bol de nouille devant lui. Celui-ci n'avait pas dit un seul mot depuis qu'il avait emmener l'homme inconscient aux gardes. À quoi pensait-il? Après tout, Omei n'avait rien de mieux à dire. Il n'était pas fait pour être un père, mais il était fait pour être une machine de guerre. Ce n'était pas la meilleure chose possible.

« Tu sais petit, les gens sont tous des imbéciles. Ils trouvent toute sorte de façon de faire littéralement chier. Mais il ne faut pas battre les membre de ton village, parce qu'ils te seront toujours utile dans tes plans. Utilises les, mais ne les tues pas. »

Omei venait de finir son bol de ramen qu'il en commanda un autre. Il avait faim, et enfin pouvait prendre un peu de temps pour lui-même. Il regarda son fils et attendit que celui-ci parles. C'était un bon moment pour parler, pour une fois qu'il n'était pas trop occupé à remplir des papiers ou à donner des missions. Ce serait plutôt amusant, une vrai discussion père fils.

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Shinkai était surprit, de voir la réaction d’Omei, celui-ci avait été pour une fois réellement un père, et pas juste un homme prenant soin d’un autre, il l’avait empêché de faire une erreur, lui qui n’avait jusqu’à présent jamais cherché véritablement à le surveiller, il était encore sous le choque, il suivit Omei jusqu’aux portes, pour y déposé le corps inconscient victime de son excès de rage. Shinkai ne savait que dire, il était simplement en pleine réflexion, et même quand Omei lui offrit des nouilles, il restât là sans un mot sans réaction quel quelle soit. Omei fini son premier bol de nouille, puis en prit un autre et parla a son « fils » celui-ci mit un certain temps a répondre. Il n’avait pas comprit pourquoi une personne s’occupait de lui, le manque de considération qu’Omei avait pour lui depuis qu’il l’avait recueilli l’avait conforté dans ses pensés il n’était personne, rien de plus qu’un petit garçon seul et sans famille. Il n’avait pas de repère a proprement parler, il avait Miyuka, sa sensei avec qui il se conduisait comme un fils aimant et Omei avec qui il se conduisait comme un fils Rebel sans amour aucun. Mais les paroles d’Omei étaient bizarre, Shinkai ne savait quoi en penser, mais il garda cette pensée pour lui mais vida son sac pour tout le reste:

« Avant toi, j’avais personne, j’étais personne, je ne manquais a personne. J’ai toujours été considéré comme un moins que rien par les gens du village. Puis t’es arrivé, tu m’as offert un toit de quoi manger, et aussi une présence, mais je ne sais toujours pas qui je suis, qui étaient mes parents. Je n’es que toi, les autres ne m’intéresse pas ils me répugne ils ne savent rien, ou savent mais font mine d’ignorer. »

Sur ces quelques paroles, Shinkai venait de verser ses premières larmes et Omei le savait, depuis les 5 années ou ils cohabitaient, jamais Shinkai n’avait pleuré. Mais ses larmes n’étaient pas seulement dut a son petit discourt. Shinkai se demandait si Omei ne se servait pas simplement de lui comme d’un sou fifre, il ignorait les motivations de son « père » pourquoi l’avait-il secouru ? Aucune idée. En revanche, il savait qu’il ne lui était pas inutile, Shinkai était toujours volontaire pour des missions ou Omei refusait d’aller. Shinkai regarda Omei et dit:

« J’veux devenir assez fort pour tuer les obstacles qui se dressent devant toi, j’veux être assez fort pour tuer les bon a rien qui ne te respecte pas et qui r’connaisse pas ta vrai valeur. »

Il regarda alors son bol de nouille et commença a les manger une par une il n’avait pas la tête a manger après ces quelques évènements. Omei avait été pour la première fois un père, chose que Shinkai n’avait pas l’habitude d’avoir même s’il le considérait déjà comme tel.

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Omei regarda le petit qui semblait réfléchir grandement. C'était plutôt étrange pour quelqu'un qui vivait près d'Omei de réfléchir. Réfléchir...Un mot stupide que les gens utilisent pour dire qu'ils perdent leur temps au lieu de se battre. C'était vraiment quelque chose d'inconcevable pour quelqu'un comme le Sandaime Hokage.

« Avant toi, j’avais personne, j’étais personne, je ne manquais a personne. J’ai toujours été considéré comme un moins que rien par les gens du village. Puis t’es arrivé, tu m’as offert un toit de quoi manger, et aussi une présence, mais je ne sais toujours pas qui je suis, qui étaient mes parents. Je n’es que toi, les autres ne m’intéresse pas ils me répugne ils ne savent rien, ou savent mais font mine d’ignorer. »

« Woah petit, tu deviens nostalgique. Oui je sais ,les gens sont des imbéciles de toutes sortes, mais dans un sens, c'est ces imbéciles de toutes sortes qui paient ton loyer! »

Omei éclata de rire, et se rendit compte que le cuisinier riait aussi. Dans un sens, c'était tout à fait vrai, et c'était tout de même amusant à voir. La plupart des gens étaient des imbéciles, et les autres étaient des penseurs. Les imbéciles sont ceux qui agissent comme des fourmis et qui croient que tout va s'arranger s'ils font confiance aux penseurs. Ce qui est totalement faux. Malheureusement, on ne choisit pas son destin, ce sont les penseurs qui le choisissent.

« J’veux devenir assez fort pour tuer les obstacles qui se dressent devant toi, j’veux être assez fort pour tuer les bon a rien qui ne te respecte pas et qui r’connaisse pas ta vrai valeur. »

« Tu sais petit...Tuer ce n'est pas tout. Tu devrais commencer par te trouver une femme, former une famille, être heureux, toutes ces conneries que je n'ai pas eu le droit pour l'instant. Je t'ai toi, sinon le reste, je n'ai qu'un village de gens qui me demande de faire des choses pour eux. Si tu veux devenir plus puissant, entraîne toi, et lorsque tu seras plus fort, vient me battre, et assures toi que je ne sois plus capable de bouger avant d'arrêter. Je dois retourner au village, j'ai passer un bon moment, mais il me reste plusieurs choses à faire. Part t'entraîner, et c'est comme ça que tu deviendras fort. »

Omei paya le cuisinier pour les ramens et remit son chapeau sur sa tête, se dirigeant vers le bureau du Hokage. Malheureusement, il n'avait pas le droit de passer plus de temps avec le gamin, ou sinon il serait forcer de travailler toute la nuit, ce qui retarderait tout le village par sa faute. Un Hokage se doit d'être là pour tout son village. Omei devenait mou, mais il s'arrangerait pour être en position de redevenir plus ferme et cruel que jamais...Bientôt, Konoha vivrait un tout nouveau règne...

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