Ce fut il y a des années que, d'après la légende. Les deux pays qu'était Oto et Ame, en leur nom de Killer Bee et Hanzo entrèrent en guerre. Le fière et jeune ninja Nazuki après avoir passé toutes ces fidèles années a la prison de Konoha, fut engagé dans l'armée de Oto. Les début de cette guerre ne tardèrent a avoir leur signification. On discuter dèja de centaines de cadavre qui pourrissait a même le sol, sur le territoire bouleversé d'Ame. Les deux camps furent égal dans les premiers instant, le même nombre macabre de ninjas fidèle, et de pauvre citoyen trop fière de leur pays qui avaient décider, malgré tout ceci de rester a leur pays. Oto pris l'avantage aidé par les autre puissance qui plus que tout désirer le pouvoir. Ame fut rasé de la carte, mais de petit groupe de survivants s'organisèrent.

Le Kage de ce village pris part a cette résistance, et il regagnèrent peu a peu,chacune de leur contrées occupé par ce qu'avant on pouvait indigner d'envahisseur. Ce fut la première fois que dans un monde ou la paix perduré, qu'un homme prononça le mot de liberté. Mais Killer Bee surnommait le Tyran ne trouva pas ses instant a ses raisons et décida en son doigt hasardeux et cruel de relancer l'offensif afin de rendre sa volonté aussi ferme a Oto qu'en de petit territoire comme Ame. Ce fut en même temps le premier combat du jeune Nazuki. Hors rien ne se passa comme ils l'avaient espérait. Sur le chemin de l'aller ils furent embusquer et pour la plupart décimer. Il furent rapatrié au village, les dernières informations annoncé déjà une contre-offensive de Ame. Mais hélas rien ne fut près et le village de Ame pénétra dans Oto, qui fut sur 4 parties détruit aux trois quarts. La guerre avait abattue ses cartes, et la Grande Dame qu'était Ame avait battu le simple et trop fière Valet qu'était le village de Oto, un valet qui avait cru voir en son être bien trop de talent. Et il fut alors surpris.


C'était une nuit ou le jour s'entrevoyait par les reflet d'une lune pleine et blanche. Ses traits de lumières serpentait sur le petit étang au coté de Nazuki, car l'eau avait cette magie autrefois, dans la nuit la plus totale, de tiré de de son propre revers l'état le plus insoumis et sain qu'est la lumière. Nazuki ôta son armure cabossé, afin que les lacets métalliques qui en faisaient la teneur ne doivent dévier en rien l'espérance de ce qui était de la situation : une débâcle jusqu’alors inconnue.Non pas que sa patrie n’avait jamais appréhendé l’échec ; il n’en était rien. Les débuts avaient même était difficiles, et ils avaient plus qu’à leur tour mis en terres quelques uns de leurs frères et sœurs d’arme du moment. Aux premières victoires avait succédé de cuisantes défaites, ainsi qu’un ensemble de situations d’après guerre qui ne correspondaient à aucune de ces qualifications souvent un peu surfaites… Mais rien d’équivalent à ce que cette nuit leur avait imposé.

Certes, la guerre contre le village de Ame avait bel et bien était perdue… Mais l'armée de Oto, bien entraînée et toujours enthousiaste n’en avait que peu senti les conséquences. Aussi, leur première guerre avait glissé sur eux sans douleurs, comme un jeu, un peu vain, autant que stimulant. Toujours au coté des nombreuses troupes, Nazuki contemplait les hommes et femmes endurcis par leurs vies de combats et de fureur, de marches forcées, de traques interminables, et de fuite en avant vers un destin brisé. Point de douceurs pour cette meute sauvage, pas de coussin de plumes ni de divan de soi : juste le sol sec ou froid des contrées que l’on traverse en toute hâte, et leurs seuls bras en guise d'oreillers. Point de robes fleuries pour ses dames intrépides, mais l’airain et le fer cerclé d’acier sur les muscles tendus et les corps endurcis. Peu enclin à la plainte, qui du reste n’était pas tolérée, force était de constater que leur moral se trouvait être dans le même état que leurs forces : provisoirement brisée. Une ninja, la tête entre ses mains en sang, ne cessait de regarder son chef, en répétant compulsivement, « que s’est il donc passé », alors que Nazuki dissimulait son désarrois dans la fureur, comme tant d’autre de ses frères d’armes, préférant la colère au mutisme, le hurlement à la tristesse, et au doute.

- Rien de plus que d’habitude : un combat. Si ce n’est que cette fois, l’adversaire se trouvait être d’un tout autre niveau…

Il laissa choir son armure a terre, et s’en laissa quelques instants sa petite troupe à ses douleurs, pour contempler l’horizon de ce terrain, laissant aller sa conscience vers un nom qui resterait pour longtemps teinté de rage, de stupeur, et finalement, de respect : Hanzo Hattori. Forger par chacune de ses larmes et de ses peines que le temps avait fini par consumer, il partit durant trois années a la recherche de cette homme : Au travers de chemin, de haies et de village dont l'humanité n'était pas un mot aimé. Il devint un vrai tueur entouré par cette faim de vengeance, il vit en tout le monde la raison du Lézard. Et personne ne pouvait entraver son chemin ... Puis un jour au plus hasard des temps, il croisa cette Homme. Un combat s'engendra dont il ne sorti pas vainqueur et il fut donc obligé de s'en tirer avec comme prime de consolation ; une défaite de plus a porter. Or, si la violence ne résolue rien de cela, ce fut étrangement le temps qui songea a s'occuper de ce vieux lézard et il fut ronger par ce qu'il avait fondé : Une monarchie. Il fut dévorer par son propre gouvernement, et l'on ne connu dans cette étrange moment que celui qui avait vaincu cette Hanzo ; Il descendait tout droit du Rikudo-Senin et prétendait par sa raison qu'il amènerait la paix dans ce monde. Il répondait au nom de Pain Rikudo.

Tandis que Nazuki se remettait fièrement de ces blessure, il apprit cette nouvelle dans le journal du Pays de l'herbe : Endroit ou il avait préférer vacancier jusque un nouveau moment. Il découvrit de même son épée légendaire dans la cave de son arrière pays. C'est avec cette arme fabuleuse qu'il concurrencerait l'homme :Pain rikudo ; Au titre de messi.

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Effet : Absorbe le chakra des bijuu qui peut être réutiliser en un laser puissant

Accepté