Entraînement numéro uno

Raiton, Raikyuu Entraînement numéro uno Txt60011

Jour 1 Entraînement numéro uno Txt60011

Mon cœur battait si fort que je le sentais se fracasser contre ma cage thoracique, mes jambes étaient engourdirent et il m’était difficile de respirer. Ma course folle n’aboutissait à rien dans ce chemin si sombre entouré d’arbre qui pleuraient leurs feuilles. Une forêt sans issue. Mais qu’est-ce que je fuyais autant. Je ne pouvais m’arrêter même si je n’en pouvais plus, la peur serrait mon cœur et mon âme voulait s’échapper. Je fus obliger d’arrêter ma course sur le bord de ce précipice, ce gouffre de noirceur semblait vouloir m’avaler. Lorsque je lui fis dos, je me sentis aussitôt emporter vers l’arrière et tomber dans le vide. Mon extinction de voix m’empêchait de crier et... Je me réveillais. Ma sueur coulait sur mes tempe, sur ma poitrine, ma peau était collante et ma respiration rapide. J’avais mal à la tête, mal aux jambes et à mes poumons qui venait à nouveau revivre un traumatisme.

J’allais prendre ma douche pour bien me réveiller, une douche d’eau glacial pour mes muscles et ma tête. L’eau froide glissait violement sur ma peau comme des lames qui pénètrent dans ma peau. En sortant, je pris une serviette pour l’enrouler autour de ma poitrine. Je me dirigeais vers la cuisine de mon appartement pour prendre une tranche de pain où je mis de la confiture maison avant de sortir sur le balcon de mon appartement. Je pouvais apprécier le spectacle que m’offrait cette vue sur le village endormit. Il n’était que cinq heure du matin, quelques hommes travailleurs marchaient dans la rue pour aller travailler. Pour eux s’annonçait une journée bien exigeante, mais pour moi... Nous étions un samedi matin et je n’avais rien de prévue alors il me fallait trouver quelque chose à faire pour animer cette journée qui s’annonçait longue et ennuyeuse. C’est alors que je retournais à l’intérieur pour aller m’habiller avant de faire un peu de ménage pour bien partir la journée. Il était six heure du matin et je fus enfin prête pour faire quelque chose aujourd’hui.

Je sortis de mon appartement pour aller marcher dans la rue. Les habitants commençaient à ouvrir leurs boutiques, l’odeur du pain frais flottait dans les rues menant à la boulangerie et en passant près de la maison d’une femme avec ses enfants, nous pouvions entendre la mère chanter en préparant une tarte aux pommes faire maison. Comme à son habitude, le ciel était parsemé de nuages blancs qui cachaient le soleil à mainte reprises. Je m’enfonçais de plus en plus dans le village lorsque je vis la salle d’entraînement. Je regardait la porte et dans la fenêtre. La salle était vide c’est alors que j’hésitais un instant. Et puis pourquoi pas, je me sentais en forme, je ne ressentais pas la fatigue comme à tous les matins où je suis à l’académie.

J’entra donc dans la salle vide, mes pas faisaient de l’éco dans l’entrer, je me dirigeais vers l’extérieur pour m’entraîner dehors. Le sable était envahi de plusieurs cailloux, des gros des plus petits et de toutes les formes. Quelques petit espaces gazonnant recouvrait quelques coins du terrain. C’est alors que j’allais consulter les parchemin de techniques pour aller choisir la mienne. Dans la section raiton, je choisis la première qui était le «Raiton, Raikyuu». Je me positionna au centre du terrain et leva les main vers le ciel en essayant de concentrer mon chakra raiton dans dans ses bras. Lorsque je sentis en de la pression dans mes bras et mes mains, je cria :

- Raiton, Raikyuu !

Je baissais rapidement mes mains pour les regarder. L’électricité se promena quelques secondes entre mes doigts avant de disparaître. J’avais mal, c’était comme ci je m’étais brûlé les main. Je les secoua avant de serrer les points. Je ne l’avas pas réussis du premier coup, mais au moins j’y étais, il me fallait seulement bien concentrer mon chakra à la bonne place. Étant donné que je n’avais jamais vraiment utilisé mon chakra ainsi, il était normal que j’ai de la difficulté à exécuter une tel technique. Alors après avoir reposer mes doigts, je leva de nouveau mes mains vers le ciel en me concentrant pour bien doser mon chakra là où il faut afin de bien réussir cette technique. Lorsque je le sentis, je cria de nouveau le nom de la techniques. Échec. Je baissais de nouveau mes mains. Toujours cette impression de m’être brûlé et sans résultat de réussite. Je pris donc une bonne respiration avant de les relever sans attendre trop longtemps :

- Raiton, Raikyuu !

Je sentais soudainement entre mes mains une pression qui forçait contre mes mains comme s’il voulait les éloigner. Je tentais de contenir l’énergie mais je lâcha aussitôt. Mes mains étaient engourdies et picotaient. Je n’étais même pas capable de fermer les poings tellement les picotements étaient fort. Lorsque j’essayais, c’était comme si des aiguilles entraient dans mes mains. Alors j’entra à l’intérieur boire de l’eau avant de retourner dehors. Lorsque mes mains furent dans un meilleur état, je me dirigea vers le bouquin pour relire les instruction si je n’oubliais rien. Non, rien du tout, il me fallait uniquement continuer de m’entraîner et il me faudrait probablement bien de la patience pour cela. Je regarda alors le ciel en levant les bras concentrant bien fort mon chakra avant de crier :

- Raiton, Raikyuu !

Cette fois-ci, je pouvais voir une boule commencer à prendre forme entre mes mains, j’acquière un sourire à mes lèvres lorsque la boule disparut ne laissant qu’une étincelle derrière elle. Avec frustration, je recommença une fois, deux fois, une dizaine de fois plus tard, mes mains étaient noirs et engourdies. J’avais même des crampes dans mes paumes. Je me suis donc assise dans le sable pour reprendre mon souffle et laisser le temps à mes mains de reprendre. Après quelques minutes, je regardais l’horloge qui se trouvait au dessus de la porte. Il était midi et demi, mon ventre se mit à gargouiller, il était l’heure de manger. Je partie au restaurant le plus près pour laver mes mains, prendre rapidement un bol de soupe et un de nouille avant de retourner à mon entraînement.

Une fois de retour, je me mis de nouveau au travaille, je voulais y mettre une terme afin d’être soulagé. Je me pris un fouet d’échec après une vingtaines d’essaie. En moi une frustration d’éveilla, la douleur était là mais comme je la ressentais depuis un bon moment, c’était comme si elle n’était plus là. Je continuais donc une dizaine de fois avant de faire une boule qui se mit à grossir. L’espoir était là, je savais enfin que j’aboutissais à quelque chose durant ce long entraînement. La boule se stabilisa à une grosseur puis éclata en me propulsant trois mètre plus loin, en tombant je roula au sol pour y rester. Là, j’étais exténué. Mon long soupire exprima mon impatience. Je me leva après quelques minutes de frustration pour retourner chez moi afin de vaquer à mes occupations... Il était l’heure pour moi de prendre ma douche et d’aller dormir.

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Jour 2 Entraînement numéro uno Txt60011

Un long tunnel blanc, une lueur attirante, oui c’est cela, de la lumière, une lumière blanche me tirait vers elle. Je pouvais entendre la mer, les oiseaux. Mais qu’était-ce donc ? Je me sentais légère comme l’air, libre et... Et aveugler par le soleil. J’ouvris les yeux et je pouvais remarqué que j’avais oublier de fermer les rideau avant de m’endormir hier soir. J’étais si fatigué que je n’y avais même pas pensé. Je me leva de mon lit pour regarder par ma fenêtre, il était peut-être huit heure et ce semblait être une très belle journée pour terminer mon entraînement. Il me fallait conclure avec cette technique une fois pour toute. Alors à une vitesse folle, j’alla m’habiller, prendre mon petit déjeuner avant d’aller aux pas de courses vers la salle d’entrainement pour retourner à mon aise là où j’étais hier. Alors, avec le sourire aux lèvres, je levais les bras au ciel criant le nom de cette technique raiton. Une fois de plus, ce fût un échec. Alors je recommença encore et encore jusqu’a ce que je créer une boule satisfaisant. Lorsque je commençais à prendre mon élan pour la balancer, elle explosa au dessus de ma tête m’envoyant manger le sable trois mètres plus loin.

Je me releva rapidement sans prendre en considération les égratignures que j’eus suite à ma chute. Je recommença de nouveau avec pression. Il me fallait réussir, mais une fois de plus la technique m’envoya valser plus loin. Je me releva de nouveau avec mes membres endolories. Je secoua la tête pour reprendre mes pensés. “Cette fois-ci si je ne l’avais pas, je me mettrais une gifle.” C’est ce que je me suis promis. Alors je recommença de nouveau, ce fut un échec encore hélas. Donc je me gifla la joue avec la force de ma frustration. Je n’avais jamais eu aussi mal dans toute ma vie. C’est alors que je me relevais pour tendre de nouveau les mains vers le ciel, puis après cet autre échec, je me balançais une claque avant de recommencer une dizaine de fois. Là, j’en avais assez de continuer de m’entraîner et de ne pas y arriver. Je me coucha sur le ventre et mit ma tête dans mes mains pour regarder devant moi en soupirant. Mes joues étaient rouges et me picotaient, je n’aurais pas due me mettre autant de gifles, mes joues en étaient douloureuses. Je me releva alors soupirante levant mes mains vers le ciel en disant avec une voix désespéré :

- Raiton, Raikyuu !

La boule d’électricité augmentait de puissance, le bruit de l’énergie raiton était très fort, c’est alors pourquoi je me dis que j’allais enfin réussir. Alors avec tout ce qui me restait d’énergie, j’envoya devant moi la boule qui explosa au sol faisant un gros trou. Le du cacher mon visage avec mes bras pour ne pas recevoir de sable et de cailloux à la figure. J’avais réussie... Je fus abasourdie, il était temps que j’en finisse avec cette technique. Je me mis à sautiller sur place tellement j’en étais fière alors simplement pour le plaisir, je leva de nouveau mes mains vers le ciel en criant le nom de la technique, j’envoya la boule d’électricité vers l’arbre qui se trouvait loin de moi. La boule avait brûlé l’écorce de l’arbre et brisé des branches. Une seconde fois j’avais réussis. Je regardais mes mains avec un sourire, j’en avais enfin terminé avec elle. Alors je leva les yeux vers l’arbres puis tourna les talons pour sortir, mais je fus intercepté par un homme. Devant moi, le torse d’un homme, je leva les yeux vers son visage. Le Mizukage. Je me reculais rapidement en m’inclinant devant lui puis je dis en me relevant :

- Ho pardonnez moi honorable maître Mizukage.

Technique apprise :

Spoiler:

Un léger frisson parcourra le corps du jeune Mizukage, toutefois il ne prit pas peine d'ouvrir les yeux, toujours couché au pied d'un arbre à l'extérieur du village à méditer. Sa tête apposée au tronc de celui ci, il émit un long et bruyant bâillement. Une belle journée sur le village de Kiri. Il fallait profiter au maximum de ces moments d’accalmie, le monde shinobi était toujours d'une très grande instabilité... Une seule personne pouvait faire basculer ce monde et le replonger dans une guerre. Ouvrant les yeux, il contempla le ciel durant quelques minutes bêtement, sans réfléchir, juste prenant soin de se réveiller pleinement, ayant passé un certain temps ici, il se devait de bouger, après tout ses responsabilités de Kage était de s'occuper de son village. S'étirant rapidement, il se releva et fixa les grandes portes du village, il allait rentrer et réfléchir à ce qu'il allait faire aujourd'hui. Les missions n'étaient pas trop abondantes en se moment, donc il avait la chance de pouvoir s'entrainer jusqu'à la fin de la journée., il devait être prêt en cas de guerre, oui toujours envisager le pire pour pouvoir vivre mieux... La guerre n'est pas un ensemble de combattants se jetant en mêlées furieuses les uns les autres comme des brutes violentes ! C'est un savoir et ensemble de techniques dont la tradition est ancestrale. La rigueur de la voie martiale est une vraie discipline ! Lorsqu'il s'agit de se défendre contre un adversaire et de le vaincre, lorsqu'il faut sauver sa propre vie, le hasard n'a pas sa place. Oui, la chance, il ne fallait pas compter dessus, seul un fou oserait miser sa vie sur la chance, il fallait que chacun des mouvements soit parfait, toujours avoir un coup d'avance sur son adversaire afin de réussir à prendre un avantage, avoir toujours le coup d'avance, tel devait être un ninja, vif et précis, éliminer son adversaire d'un simple battement de cil.

Le goût du meurtre ? Uh, pas vraiment, mais la mort prenait une place très importante dans ce monde, laisser vivre une personne et elle vous poignardera dans le dos, une seule seconde de pitié peut causer votre perte. Ainsi, les ninjas étaient élevé pour ne pas avoir de sentiments lors de leur combats. Triste sort ? Il fallait s'y faire, et le Mizukage s'y était fait, tant de meurtres avait-il vue ? Énormément depuis la grande guerre ninja ou il avait participé, c'est à cette occasion qu'il avait obtenue ce grade magnifique de Kage. Il représentait maintenant son pays. Cette guerre sanglante, les cadavres par centaines au sol, et cette rage qu'il avait ressentie. Quel beau sentiment de puissance quand la vie d'une personne glisse entre nos doigts et qu'on la tranche comme un couteau chaud dans le beurre. Il avait combattue sans relâche, emporté par la folie meurtrière. Cette folie qu'il apprécie mais qu'il garde depuis longtemps cachée dans un coin de sa tête, après tout, un jour, il en aurait surement besoin.

Puis il réalisa qu'il n'avait toujours pas bougé, toujours à fixer les portes du village. Rapidement, il passa sa main à sa ceinture caressant le fourreau de son épée. La sortant son un bruit, la lame vers l'avant, il pourfendit un ennemis invisible en tournoyant sur lui même. Le sabre, étant chef des sabreurs du village, il se devait de montrer l'exemple. Une tenue de l'arme parfaite, jamais un coup hasardeux, toujours précis et mettant en difficulté son adversaire. Lame contre lame, frappant avec la pointe ou la lame selon la situation la plus adaptée. Rangeant l'arme il regagna le village sans un mot. Passant rapidement dans le village, il se retrouva proche de l'académie et il vit une femme entrain de s'entrainer, du moins il l'entendit en premier lieu. Une technique qu'il connaissait vu que le Raiton était son affinité. Caché dans un recoin il observa la scène. La femme présente au milieu du terrain d'entrainement était ravissante, la vingtaine pensa t-il rapidement. Celle ci s'entrainait donc durement aux jutsu Raiton... Intéressant. Ainsi, il passa un grand moment à l'observer, de par son physique, et de par sa manière de s'entrainer. Puis celle ci sembla abandonner en fin de journée pour rentrer chez elle. Elle se rendrait surement ici le lendemain pour continuer son apprentissage... et il serait là.

La nuit passa rapidement sur le village de Kiri et une nouvelle journée commença. Ayant remplit la paperasse quotidiene dans son role de Kage. Il prit route vers le terrain d'entrainement pour continuer d'observer la jeune femme. Se posant dans un coin, il continua de la fixer. Cela la fatiguerait surement beaucoup comme entrainement, après tout... Le raiton n'était pas une affinité simple à maitriser, l’électricité faisait mal, et le chakra dépensait depuis la veille devait la vider de son énergie. Toutefois, elle ne semblait pas renoncer et après de nouveaux essais, elle parvint à maitriser la technique. Puis celle ci sembla vouloir rentrer chez elle mais le Kage se mit en travers de sa route, celle ci le dévisageant lui lança assez rapidement:

- Ho pardonnez moi honorable maître Mizukage.

Il ne connaissait que peu de choses d'elles mais assez pour espérer avoir confiance en cette ninja. Kaela Aichi avait-il lu en examinant son dossier. Rapidement il s'inclina brièvement en souriant et répondit:

- Je t'ai observé t'entrainer, et je peux te proposer mes services pour apprendre d'autres techniques raiton, après tout je suis également de cette affinité. Si cela t’intéresses, nous pourrons alors commencer dès maintenant. Mon but en tant que Mizukage est de rendre les ninjas du village plus fort, je vais tâcher de jauger ton niveau si tu me le permet.

Puis sans un mot, n'attendant pas la réponse de la jeune et belle kunoichi il se plaça au centre de la zone d'entrainement et se mit à réfléchir sur la technique à faire apprendre. Non, il ne pouvait être sur qu'elle accepte son offre mais au pire, il en profiterait pour s'entrainer. Au milieu du terrain, il se mit à réfléchir sur le nombre de techniques qu'il pouvait faire apprendre à Kaela. Puis il lança doucement:

- Raigeki no Yoroi

un bouclier de foudre l'entoura, cette technique était basique mais réduisait les attaques simple et pressentait une protection qui pouvait parfois sauver la vie de l'utilisateur dans des moments critiques. Se retournant vers Kaeda il lança:

- Cette technique aura pour but de créer un bouclier électrique qui t'entourera et te protégera des attaques basiques. Il te faut une bonne maitrise de ton chakra, propager celui ci de façon à créer un bouclier résistant, sans non plus dépenser tout ton chakra.

Puis, il se tue. Attendant de voir si le talent de la jeune femme était aussi important que sa beauté. Normalement, elle ne devait pas avoir trop de mal.

Une mission pour Kaela Entraînement numéro uno Txt60011

Mission de rang C Entraînement numéro uno Txt60011

J’étais toujours inclinant devant le Mizukage, j’en avais les joue rouges comment avais-je pue entrer en collision avec lui, n’avais-je dont aucun sens de politesse et de la distance. C’est alors que je le vis se pencher lui aussi en me disant qu’il m’avait observé. Aussitôt, je me leva en même temps que lui. Il m’avait observé m’entraîner ? Ho non, il devait me trouver horrible, avec le nombre de fois que j’avais échoué la technique. C’est alors que je continuais d’écouter ce qu’il disait, il se portait volontaire pour me montrer une technique raiton puisqu’il avait lui aussi cette affinité et il voulait commencer dès maintenant étant donné que son devoir était de montrer à ses ninjas à être les meilleurs. Comment pouvais-je refuser cette proposition ? En plus d’être joli garçon, il était le Mizukage. Non,m je ne pouvais lui dire non. C’est alors qu’il se déplaça vers le centre du terrain d’entrainement en me regardant. J’analysait sa démarche masculine et lourde, probablement due à ses muscles. L’homme au cheveux noirs me proposa une technique : “Raigeki no Yoroi”. J’avais vue cette technique dans le livre Raiton, il était question d’une technique genin mais elle ne me venait pas en tête pour le moment. C’est alors qu’il m’expliqua la technique en question, le “Raigeki no Yoroi” était un bouclier raiton que qui entoure l’utilisateur d’électricité servant à le protéger des attaques basiques. Il me fallait une bonne maîtrise de mon chakra pour exécuter ce genre de technique. C’est ainsi que je me suis dis que je ne devais pas être si mauvaise s’il voulait m’apprendre cette technique.

Je jugeais que cette technique allait m’être d’une grande aide, elle allait m’être utile pour l’examen chuunin. Après tout, mon but avant de passer l’examen, était de maîtriser toutes les techniques genin de mon affinité étant le raiton et en taijutsu. C’est ainsi que je me dirigea vers lui. Un déhanchement féminin et très léger, une démarche féline et envoutante qui allait peut-être intéresser mon Mizukage. À peut-être rester avec moi plus longtemps. J’étais consciente que j’avais utilisé beaucoup de mon chakra lors de mon entrainement pour la boule d’électricité, mais je devais en avoir suffisamment pour commencer à maîtriser cette fameuse technique. La seule crainte que j’avais était d’avoir mal en exécutant celle-ci. Mais comme mon père m’a toujours dis : “La douleur est notre meilleur ami, car grâce à elle, nous sommes en colère et nous devenons plus fort. Mais ce qui est encore mieux dans la douleur, c’est que grâce à elle, nous savons que nous sommes toujours en vie.” Ouais, un grand sage, même s’il était un pourri finit.

C’est alors que je revins à moi pour regarder mon Mizukage en hochant la tête. J’acceptais son offre. Je n’avais rien à perdre, rien qu’à gagner. J’étais heureuse et à la fois surprise. Lui, Seikyo Kosuke, l’honorable maître Mizukage de ce sublime village m’avait observé m’entraîner et me proposait de m’aider dans mon entraînement et voulait me montrer une technique qui allait m’être bien utile. Mais comment refuser ? J’en étais muette. Subtilement, je glissais mes bras derrière mon dos pour me pincer afin de m’assurer que ce ne soit pas un rêve ou un illusion. C’était parfait, c’était réel, le magnifique Mizukage se trouvait belle et bien devant moi me proposant son aide. J’en étais toute éberluée et ravie ! Mais on ne pouvait lire l’émotion sut mon visage neutre montrant un semblant d’hésitation. Après m’être approcher de lui, je le regardais de bas en haut pour plonger mon regard d’azur dans celui de l’homme le coin droit de mes lèvres démontrait un début de sourire en coin afin de lui montrer que j’étais en accord avec ce que me proposait ce dernier. En prenant une légère respiration, j’ouvris lentement la bouche glissant sensuellement ma langue sur mes dents du haut avant de dire :

- J’accepte votre offre. Je me tournais dos à l’homme avant de me tourner vers lui pour dire : Raigeki no Yoroi, c’est ça.

Je n’attendis pas son approuvassions avant d’aller consulter le manuel des techniques afin d’y lire les explications. Je pouvais lire comment exécuter cette technique afin de la réussir. Je me proposais donc à moi-même d’essayer d’abord et avant tout et si je n’étais pas près de réussir, j’allais demander à l’homme plus d’explication, ce qui allait probablement arrivé vue le manque de maîtrise de mon chakra. Je me mis face à lui et ferma les yeux. Je me mis alors à concentrer mon chakra tout autour de mon pour le sentir picoter afin de savoir qu’il est bien de place. Une fois bien concentrer, j’exécuta la suite de mudra à montré dans le parchemin raiton puis cria le nom de la technique. Des petites charges d’électricité passaient autour de mes main et mes pieds ne durant que quelques secondes. Avec frustration, je gardais mes yeux fermés en soupirant... Encore un échec. Je savais qu’il ne me fallait pas que quelques petites essaie, car jamais personne n’y arrivait le premier coup, si non ce serait trop facile. Mais mon orgueil était atteint. En plus que j’étais sous la surveillance du Mizukage. Je venais de manquer devant mon supérieur. J’espérais ne pas avoir fait trop mauvaise impression devant lui, je ne voulais pas avoir l’air d’une incapable même si je savais très bien que j’en étais capable mais qu’il me fallait plus de temps. Mon premier essai était donc un échec. Il me manquait plus qu’à demander de l’aide à l’homme gracieux qui se tenait droit devant moi. J’ouvris les yeux pour le regarder d’un air blasé. Mes yeux parlait à ma place, je n’avais pas besoin de dire un mot pour que l’homme comprenne que j’avais besoin d’aide et d’explication.

[Petit rp, excuse moi.]

- J’accepte votre offre. Raigeki no Yoroi, c’est ça.

Le Mizukage acquiésa tout en continuant de regarder la jeune femme, il allait étudier du mieux possible la façon dont celle ci allait s'entrainer. Après tout aider les jeunes ninjas de son village était un des rôles qu'il devait s'occuper du mieux possible. Toutefois, s'occuper de tout le monde était assez compliqué, le travail d'un Mizukage ne laissait que peu de temps de repos, il allait en prendre pour une fois. Il regarda donc la jeune femme s'éloigner afin d'aller regarder un livre, ce livre ou les techniques Raiton étaient marquées. Allait-elle y arriver immédiatement ? Il n'y pensait pas, après tout, une technique ne s'apprenait pas en claquant des doigts, celle ci pouvait se faire rapidement, à condition que Kaela réussissait à manier son chakra parfaitement, une bonne maitrise de celui ci était la plupart du temps requis pour réussir à maitriser une technique. Il était là pour corriger ses erreurs et lui permettre de progresser. Il attendit donc sagement que la jeune kunoichi ai finie de lire la technique et en comprenne le but précis. Quand cela fut fait, elle se replaça devant lui à quelques mètres et commença donc son apprentissage de la technique.
Rapidement, elle tenta de dégager son chakra afin de créer cette protection qu'était ce bouclier Raiton, composant les bons signes de ses mains, elle donna lieu à la formule de la technique puis libéra donc son chakra. Des faibles rayons de chakra s’échappèrent de certaines partie de son corps, mains et pieds notamment. Raté, mais c'était normal, qui pouvait réussir une technique du premier coup? Impossible. Elle sembla déçue, peut être de rater devant un supérieur une technique ? Oh, cela ne faisait rien, même, elle montrait qu'elle était normal, un Kage ne pouvait pas réussir facilement à apprendre une technique. Tout passait par la volonté et l'envie de l'utilisateur.

Rapidement, les yeux de la jolie kunoichi accrochèrent le regard du Mizukage. Elle semblait avoir grandement besoin d'aide, au du moins voulait donner cette impression, il patienta quelques secondes, continuant de la regarder puis se rapprocha d'elle rapidement avant de lancer:

- Une technique n'est jamais simple à apprendre. Pour celle ci, il te faut une maitrise parfaite du chakra. Le concentrer dans tes mains ne suffit pas, il faut que tu repartisse également ton chakra dans chacune de tes parties du corps. Tout doit être équilibré, quand tu auras bien malaxé ton chakra, libère le afin de créer cette protection, ce bouclier autour de toi.

Il stoppa ses paroles quelques secondes puis reprit:

- Prends ton temps surtout, comme je l'ai dis, une technique est difficile à apprendre, c'est en passant par les échecs que l'on progresse. Maintenant réessaye et fait de ton mieux, je suis sur que ça finira bien par marcher.

Puis il s'écarta de quelques mètres en retrait pour laisser celle ci se concentrer et réussir son attaque. Elle en était capable, avait-elle la volonté nécessaire pour ?

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