Nazu
Ninja Inconnu
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 |  Sujet: I.Stances et Illumination.  Sam 22 Oct - 13:48 | |
| I. Stances et Illumination.
Et ce corps en brassant,
Détend sa coupe large,
On peut voir sur le pan,
Dessiner l'eau qui bavent,
Belle hideusement,
D'un homme qui saigne noir a ton flanc souverain ! Son ombre, a cette allure d'ombre. Tend sa mesure longue sur les pierres du noir sol. - Mon géant se tordait durement et se mêler en saccade. J'avais ce broiement qui remuer du dedans. Mon coeur parfois s'emballer, d'autre moment s’arrêter. Mais j'étais innocent des séditions lourdes et croissantes de mon antre. - L'homme évide dans l'air sombre, a ce regard qui a chaque remous, se déconcentre. Il valse son oeil court dans la lumière jaune qui ne vise qu'une partie du sol en rond. - Un complot, avait une nature de pénombre. Faire une lumière sur ce qui me fit, je n'y jetait que du brun, et en légère semence. - Dans ce coin il y a une source de mauve, elle supplante la dorure astrale, le violet de la chose s'aggripe aux jambes de l'homme. Son poil devient rare. Les rayons les font être au manquement de tout. - Je voyais une lueur dense qui s'approchait de tout, du grand. L'air s'était muer en je ne savais quel autre immense. Cette allant allez emmenant ce qu'il pouvait, il coulait sur le gris de la pièce ; son allure devenait a se confondre bientôt parfaitement ; s'allait du mauve clair jusqu'au foncé. Puis, un rose joliment, qui venait ; traitre, m'entoura les cotés. Cette aura railler mes flancs crasseux. Le sombre d'un autre-fois, oui, m'avait bien abîmé ! Puis je riais avec, je m'en apercevait lentement, mais l'on prend bien du gout a sourire de soi. - Un coloriage nouveau est venu s'étaler. Une odeur vielle marche sur le plafond mousseux, le vert de cette herbe affirme le temps passé. - Sous mon banc des attentes l'aube s'était évaporait, lentement, le vent avait fait aller l'aura qui me gardait. C'était chaud puis froid, la température gondolait comme lorsqu'on éprouve un bien dans un mal. La matinée s'en allé sous les traits d'une disparition ecoeurante. Mon géant retrouver son ondulation. Par temps il remuer tendrement, conformément, d'autre fois il saccader, ronfler puis s’arrêter et reprenait. - Le cortège fabuleux s'estompe dans l'impuissance, le sombre reprend une allure de sombre. Lendemain horlogieux, d'un acte méconnu se lève le soleil ; cette aura jaune reparaît. -Elle était revenu, cette forme ... m'avait apaisé le géant. Puis le jour entièrement dans une nouveauté habituelle s'ouvrit, j'attendais avec une patience d'enfant le corps violet et rose de ce qui me ravisser. Ça ne faisait pas deux jours que je voyais aller cette appareil extra. Mon sommeil ordinaire, regardait le ton plein, intensément, de cette profondeur. - Cette vague creuse l'air et la bosse, le mouvement tendant vascille, oscille et se serre. Le coloriage mauve s'éclate soudainement sur la pièce Iluminée. Dans son odeur de visuel sa couleur s'appauvrit encore, le violet est marron. - Le remuement de mon géant clocher son affection, de tapages incessant ou je me retrouvais sur le sol vibrant. Quelques trainés de poudre brune vomissait sur mon atour faible, l'odeur désagrégeais mon astre sans chapeau. Chimiquement, on eut dit qu'on déchargeait mon entier. - Le gras du soir arrive dans le ciel, il ancre ses couches de cuivre sur son âpre tendance. La lumière gribouille le chambard du regain. Le reflet d'un or s'entassant un par un. - Mon corps était un versant rouge ou cravacher le soudain ressentiment. C'est terminé, Ca y'est ... Salut a la Bonté ! [EN COURS] |
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