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 Does faith flows in you ? [Rokubi & Histoire jumelles]

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Lumina

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MessageSujet: Does faith flows in you ? [Rokubi & Histoire jumelles]   Does faith flows in you ? [Rokubi & Histoire jumelles] Icon_minitime1Sam 21 Mai - 4:07

1er Journal de Yami, page 53. Nous sommes le 23 janvier.


Nous sommes dans la cours de l'école, à Suna. Le village caché du sable est ma ville de naissance. Hier, j'ai atteint mes dix ans, et franchement, les anniversaire, ça ne me fait pas. Les chapeaux, le party, la musique... Je n'aime pas, je préfère être calme dans mon coin, sans trop déranger les gens. Je ne suis pas timide, loin de là. Juste... je ne sais pas ce que j'ai en ces moments. Un mauvais pré-sentiment. Je n'aime pas l'école non plus ces temps ci... je préfère rester auprès de mon père. Après tout, il est le seul à me comprendre réellement, et il est aussi mon seul parent. Malheureusement, rare sont les moments où je peux passer du temps avec lui, puisqu'il est souvent partit. Il prétend que c'est pour me tenir hors des dangers qu'il sort du village. Il m'a toujours strictement interdit de mettre le pied de l'autre côté de la muraille. Sinon, gare au foudres. Je n'avais pas non plus l'intention de m'y rendre, rien ne m'intéressait vraiment hors de là. 'Vivais ma vie tranquille, comme ça. Mes copains jouaient aux défis, et le professeur, nous surveillais. Lui, lui je lui aurait fait sauter la tête. J'adore tout ce qui explose, même si j'aime aussi le calme. Je le haïs, oh putain vous n'avez pas idée à quel point. Pourquoi ? Je suis première de classe, et d'un naturel arrogante, même si je ne me rend pas toujours compte que je le suis. Quand je répond, c'est bien intentionnément mais... mais les gens le prennent mal la plupart du temps. Je n'écoute jamais en classe, il s'abat toujours sur moi, mais j'y récole toujours les meilleurs scores. 105 % même. Je retient de mon père il faut dire. Bref, il ne m'aime pas, je ne l'aime pas. Il n'faut pas la tête à Papineau pour comprendre cela, non ? Assied au pied de l'arbre, je lève la tête quand un ami se pend au dessus de moi. Un fin sourire s'était arqué sur ses lèvres. Je leva l'oeil un instant puis soupira et le repoussa. Il s'assied à mes côtés, et me chuchotta quelques mots à l'oreille. Il m'incita à un défi, je me retourna vivement et secoua la tête en signe de non. Je ne voulais pas faire de bêtise, et papa m'avait prévenu. Puis, il se leva et hurla à plein poumon, malgré ma réponse...

- Ce soir à minuit, Yami passera les portes du village !!!

Connard. Fut le seul mot qui me vint à l'esprit. Le surveillant s'approcha de moi. Comme si en plus il devait en rajouter. Il posa une main sur mon épaule, je recula ma tête pour l’adosser à l'arbre. Il plissa les yeux et tenta de me raisonner, pour ne pas que je le fasse. Puis il menaça de prévenir Papa. Je secoua la tête et lui dit clairement que je n'avais pas l'intention de commettre une telle connerie. Après tout, j'avais mieux à faire... en fait, non. Le soir tomba, il était onze heure et 45 minutes. J'étais dans mon lit, seule à la maison, car Pop était partit déjà, en mission. Il croyait que je dormais depuis neuf heures, il était partit vers dix heures et serait revenu le soleil levé. Je n'arrivait pas à dormir. Donc, j'eus le malheur de sortir de chez moi. La lune était haute, le ciel clair et quand j’abaissai ma tête, je vit un petit bonhomme s'agiter nerveusement. "Yami est là, elle va le faire !" s'exclama-t-il, un petit groupe formé autour de lui. Aveuglée par le sommeil surement, je soupira puis descendit du balcon et marcha vers les portes avec eux. Après tout, qu'est-ce qu'il y aurait de si dangereux au delà de ces portes ? Probablement qu'un désert. Nous arrivions à l'entrée. Je trouva rapidement un moyen d'échapper à la surveillance des gardes. Il n'était pas bien difficile de berner ces incompétents après tout... Une fois dehors, je fit signe à mes amis que j'y était parvenu. Un sentiment de fierté et de joie s'empara de moi. L'adrénaline, c'était pourtant peu, mais à 10 ans, c'était beaucoup traverser ces limites. Inconscient du danger, les jeunes m'acclamèrent joyeusement. Je couru pour les rejoindre mais... mais c'est à ce moment que la malchance et le malheur dessinèrent mon destin. Les portes se refermèrent, les gardes alertés par les cris de petits et mes pas courants. Mais ce n'était pas tout... Quelque chose bougea derrière moi et je compris aussitôt que ce n'était pas moi qui avait fait fermer les portes, mais des inconnus qui se dressaient dans mon angle mort. Un violent coup vint heurter ma nuque. Je m'éffondra, mais ne m'évanouis pas. Mes prunelles azures se posèrent sur deux individu au visage voilé. Le premier sortit une seringue, j'étais paralysée par la peur et par le coup dans la nuque. L'aiguille pénètra lentement et douloureusement dans ma peau. Elle semblait longue comme l'infini, mais tôt, mes yeux virent brouillé, et mon cerveau me lâcha, je me glissai déjà dans les bras de morphé.


Premier journal de Yami, page 54. Nous sommes le ??/??/??


Lorsque je me suis réveillée. Je me souviens avoir vu une immense lumière blanche. Trop blanche pour être naturelle. Au début, j'eus l'audace de croire que j'étais au paradis, voir simplement morte. Mais non. La lumière éclairait mes yeux, passait rapidement de haut en bas, de gauche à droite devant ma prunelle. Comme pour vérifier. D'un ton arrogant et sèche, coupé par mon souffle court, malgré l'intention, je leur ordonne clairement d'arrêter. Je veux me débattre, partir, mais des sangles retiennent mes poignets et mes chevilles à une vulgaire civière. Je veux crier, mais ma gorge est nouée, mon estomac aussi. J'ai peur, j'ai vraiment peur, et je l'admet. Après un moment presqu'éternel, le nuit tombe, et on me libère des sangles pour me mettre dans une sale noire, totalement noire. Ils mon laisser mon journal, je l'ai toujours sur moi. Un crayon aussi, un stylo, avec lequel j'écris nerveusement. Insomnie, il devait être 5 heures du matin et je n'ai pas fermer l'oeil. Normal après tout. Je passa je ne sais combien nuits ici, je ne voulais ni manger, et je ne buvait que rarement. Un jour, une ombre se faufila dans le corridor, la porte s'ouvrit. Quelqu'un me fit signe de le suivre. Je me renfrogna sur moi-même et recula pour m'adosser au mur. Il entra dans la pièce s'approcha et se pencha pour être à ma hauteur. Je couvre mon visage de mes bras et jette le journal plus loin.<< Il y a un espace et une inscription illisible dans le journal >> Je l'ai récupéré, et je cour, cour le plus vite que je peux. Je talonne l'inconnu, il m'a promit de me sortir d'ici en échange de quelque chose. j'ai accepter aveuglément, biensûr... Nous fuyons le laboratoire, je continue ma course même hors du bâtiment, fuir le plus loin possible... L'homme me suit de loin derrière, je m'enfarge et déboule une belle côte, qui se termine soudainement en apique falaise. C'est l'inconnu qui me rattrapa d'une main. Mes prunelles effrayées semblèrent l’attendrir, puisqu'il me tire sur les berges.

- Quel est ton nom ?

- Yami, yami de ...de...

Et j'avais oublier d'où je venais. C'est à ce moment que l'amnésie avait pris le dessu.

- Qu'importe, Yami. Viens avec moi.

En un claquement de doigt, je me retrouvais assise à une chaise, enlacé sur les poignées de celle-ci. Nous étions téléporter. Dans un grand palait apparament. J'étais seule dans la pièce. Un brin de courage m'envahissait doucement. Des gâteaux étaient étalés sur la table. Je m'avançais, avec la chaise pour en saisir un. Mais quand j'y parvenu, un homme entra, celui qui m'avait fait fuir. Je sursauta, la chaise quenta et je me retrouvais sur le dos, fers en l'air. L'avantage fut que, les bras de la chaise se libérèrent discrètement des dites chaines. Je ne fit mine de rien et le duc, comme il prétendait se nommer s'approcha et ricana d'un air supérieur. il se mis à me parler de tout et de rien, s'assoyant dans son trône. Moi, triomphante, masquée d'un voile d'agonie pour couvrir la libération. Yeutons la pièce... Un lustre, argent. Des rideaux et des fenêtres démesurée. Un palier, en haut à gauche. Alors qu'il parle-mente, moi je ne l'écoute pas ; je cherche un moyen de partir. D'un vif bond, je me propulse dans les aires et entraine les chaines vides avec moi. L'en utilise une comme grappin pour m'accrocher au lustre. Je fais quelques tours dans la pièce pour m'accrocher au rideau et arracher la barre qui les tenais. L'utilisant comme javelot, le je la lance au Duc,qui ne bouge pas d'un poile, pourtant l'évite. Il sourit encore, sourire que je n'aimais pas particulièrement.

- Tu sais, je t'ai libéré en échange de quelque chose non ?

- Uhm.

- J'aimerai que tu ne saccages pas la salle de dîner s'il te plait.

Sourcils froncés, je retombe au sol sans dire un mot.

- Tu sais pourquoi ils t'on kidnapé ?

- Je t'écoute.

- Ils ont besoin d'un Jinchuriki.

Je prétendit savoir ce que c'était.

- Alors pourquoi le laboratoire ?

- Ils veulent créé un autre toi, plus fort, plus puissant pour pouvoir contenir le Bijuu. Ils t'auraient simplement éliminer par la suite... mais l'expérience à échouer.

- Comment le sais-tu ?

- Simple, je suis directeur des opérations... et ton clône n'est pas dysfonctionnel, mais il ne t'es pas identique, ni plus puissant, tu seras donc la Jinchuriki et ton clône sera tué.

Rapidement, je vrilla puis brisa la fenêtre d'un puissant coup de talon et détala vers le laboratoire. Un clône ? C'était impossible...


Premier journal de Yami, page 55. Nous sommes le ??/??/??


Arriver au labo, je défonce une fenêtre, les bouts de verres s'ancrent dans ma peau, mais je m'en fiche. Si j'avais un clône, je les interdiraient de lui enlever ma vie. Fouillant chaques pièces, je retourna dans la première où j'eus fait irruption. Sur un lit était étendu une demoiselle frôlant les mètres 45, cheveux teintés d'ébène, la peau claire et le visage identique au mien. Ses yeux sont clos elle les ouvres et vrille la tête vers moi. Elle sourit. De magnifiques prunelles orangées-dorades. Pareille comme celle de mon père. Et ce qu'il me manquait mon papa, ce qu'il devait être déçu de sa fille. Mais... mais... un blanc me vint. Quel était son nom déjà ? L'amnésie grandissait en moi. L'expression de la deuxième moi semblait se frigorifier, elle était dans un immense tube remplit d'un certain liquide. Elle semblait terroriser. Je fut porter à tourner la tête pour sursauter en voyant le Duc se dresser à mes côtés. Il semblait déçu, son visage évoquait l'ironie. Mouvement de recule, je me plaque contre la "cage" de mon clône. Plissant les yeux, je perce cette cage d'un coup de poing violent. La petite se libère du cylindre, se dresse sur ses deux jambes et fixe aussi le Duc. Certes, elle était nue elle, mais c'était un détail. Mince et fragile,elle réussissait quand même facilement à se mouvoir et même à parler. Ses réflexes étaient bien... en général... Prise de spasmes souvent. Quel ironie du sors quand même. Si je revenait à... à... Revenir où ?

- Tu sembles troublée Yami, que ce passe-t-il ? Tu as été une très mauvaise fille hein...

- Je.. j'ai oublier, oublier beaucoup de choses.

- Tu as dû mal réagir au tests, pauvre de toi, tu deviens amnésique. Je t'ai demandé de ne pas sacager la sale de dîner ; Tu as arracher les rideaux, brisé une chaise, arrachéle lustre et brisé une fenêtre. Tu devras être puni.

- Ne la touche pas. S'enquit le clône.

- Qui es-tu ? Lançai-je.

- À toi de le décider...

C'est à ce moment précis que la terre se mise à gronder. Un tremblement de terre ? Non ça ne ressemblait pas à ça. Un cri strident, maléfique effrayant, retentit, nous figeant sur place. On aurait dit Satan en personne qui hurlait ses poumons en entier. Tressautant nous levâme la tête en même temps, moi et mon négatif. Le toit s'arracha d'un vif coup et l'horreur se dessina au dessus de nos têtes hébétées. Le ciel était teinté de voiles ébènes, sombrifiant l'atmosphère. Une ombre noire semblait s'approcher de plus en plus du bâtiment maintenant dénudé de toit. Le duc s'écria "Tiens ! La voilà d'ailleurs" mais nous n'y portèrent simplement aucune attention. Trois scientifiques firent irruption dans la pièce pratiquement détruite. Ils enchainèrent les mudras et une barrière blanche se forma au dessus de nous. Intriguées, nous la touchons en même temps, et le bout de nos extrémités furent sévèrement brûlés, le réflexe fut donc de se tenir au milieu du globe. Deux prunelles dorées illuminèrent le ciel, un chakra orangé-jaune émanait d'un être immense et terrifiant. C'était ça, un Bijuu ? Il semblait bat sur pattes, l'air d'une belette, et il électrifiait tout ce qui se trouvait sur son passage.Les machines sautèrent, overdose d'électricité probablement. La chose possédait six queues qui se fracassaient de tout les côtés. Son museau s'approcha du glob et cracha une foudre dessus, ce qui le détruit.

- Le seul moyen de se débarasser de ce monstre, c'est de le scèller en quelqu'un HAAAAHAHAHAHAHA

S'écriait le Duc, maintenant bon pour l'Asile. Le clône rajouta presqu'aussitôt.

- Je serais celle qui scellera cette chose !

Je ne dit rien. Après tout, c'était pas mon problème si elle était suicidaire... Elle me fit un sourire franc, c'était la première fois que j'en voyait un aussi éblouissant. Les scientifiques enchainèrent les mudras une seconde fois. Une panoplie de sceau se formèrent sous l'autre, lui montèrent dessus alors que sa peau brûlait déjà sous la chaleur de ceux-ci. Elle se retenait pour ne pas hurler, ça se voyait. Ses yeux se reversèrent, et l'autre monstre recommençait à hurler. On aurait dit qu'il était aspiré pas les sceau, et bientôt, il entrait carrément dans ma jumelle. Après un moment, elle se mise à hurler, elle pleurait, criait, implorait d'arrêter. C'était insuportable. Trois queues étaient déjà scèller en elle. Je n'en pouvait plus. Dans un geste de courage,ou peut être juste un coup de tête, je m'élança vers elle. Une scientifique tenta de m'arrêter, mais ce en vain. Je lui saisit la main, les sceaux montèrent directement sur mon bras pour s'emparer de mon corps. Je ressentais maintenant sa souffrance, et, dans un second élan de bonté, je la poussa hors du cercle. Les trois dernières queues se scèllèrent en moi, et le tout fut terminé. Je tombait déjà comme un vulgaire chiffon, que le clône rampait vers moi. Elle me saisit la main, me sourit, sa peau brûlée vive, elle réussissait quand même à avoir le plus éblouissant des sourires.

- Kami, tu te nommes Kami, qui signifie dieu, déesse pour toi, car tu es courageuse, et tu as un sourire digne de ce nom.

Elle me remercia, puis, même si je ne le désirai pas, mes yeux se clorent, les siens aussi. Une seconde aiguille transperça ma peau, puis je partit pour de bon. Lorsque je me réveilla, plus rien était ancré dans ma mémoire, mais j'ai ce journal, dans lequel j'écris. Je ne me souviens plus de rien. Un masque est posé sur mon poitrail, enfin, une moitié. Une inscription est écrite dessus ; "Tu te nommes Yami, l'autre, s'est Kami, vous êtes des jumelles dizygotes de naissance et vous aurez le moyen de fusionner ensemble en recollant le masque. Vous pourrez ainsi utiliser Rokubi, qui d'ailleurs est scèller en vous en forme complètte. Vous avez quatorze ans et vous êtes des Shinobis. Bonne route.


Aujourd'hui, 21 mai


Aujourd'hui, Yami a perdu son journal. En fait, elle l'a laissé à l'endroit où elle s'est réveillée. Les pages contenant les informations sur la scèllation du démon (alias le dernier chapitre et les autres infos) sont déchiquetés, effacer, elles sont donc illisible. L'inscription sur le masque a été brûlée. Yami et Kami n'ont aucun souvenir de ce passage et ont changer du tout au tout. La petite élève studieuse et calme qu'était Yami est devenu une chanteuse hors-pair qui adore s'amuser, faire exploser des trucs et les parties, disco, dancefloor etc. Quant à Kami ? on ne l'a pas vraiment connu. Mais assez connu pour savoir qu'elle n'est plus aussi solanelle, mais bien comme sa soeur. Pyroman hors paire, elle adore faire bruler des trucs.

Hrp ; Les jumelles ont donc 3 queues de Rokubi chaque et peuvent l'utiliser en forme complètte que si elles fusionnent.




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Lumina

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Terminée, je n'ai pas compter mes lignes mais je crois que j'en ai assez, même sans le coding.
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Daisuke

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