Kaguya Sasilvia
Ninja Inconnu
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 |  Sujet: Entraînement numéro dos  Lun 30 Mai - 1:54 | |
|   Hayabusa OtoshiJour 1- Bien plus que le triangle des Bermudes, les monstres marins ou la disparitions des dinosaures, la femme demeure la plus grande énigme de l’humanité. Quelle remarque stupide, cela m’apprendra à lire des sottises des biscuits de fortune.Je sortis du restaurant en laissant tomber le petit message qui s’envola avec le souffle gracieux du vent. Le ciel se trouvait nuageux et la pluie n’allait pas tarder. Les rues commençaient à se vider, ça sentait l’orage. Qu’est-ce que ça sent l’orage ? C’est l’odeur qui précède la pluie, un brin d’humidité avec la senteur des feuilles, c’est comme si la nature était parfumé d’un doux parfum. Je me réfugia donc dans la salle d’entraînement. Lorsque j’entra, je me demandais pourquoi j’y étais entrer, mais quelque seconde après... Pourquoi pas, je n’avais rien de prévu pour aujourd’hui et j’en avais bien besoin. Je passais près des gens qui s’entraînaient puis je me mis à feuilleter le livre des techniques. Aucune n’e me tombais vraiment dans l’œil. Lorsque je tournais les talons, mon regard se fixa sur un homme et frappait dans le vide. Il n’était pas laid, même plus tôt mignon. Je pris mon temps pour bien l’observer et mémoriser ses coups ainsi que sa parade de combat. Lorsque que j’en avais assez vue, je me lançais à l’aventure. Lorsqu’il exécutait ses coups répétitifs, je me jeta devant lui pour bloquer un de ses coups et ceux qui suivirent.
Il continuait de frapper et moi de bloquer, je pouvais voir un léger sourire dans le coin de ses lèvres, c’est alors que je lui donna un petit cou dans le ventre qu’il bloqua aussi tôt. Je me remis donc à bloquer ses coups pour enregistrer sa danse pour lui place un coup de pied sur son abdomen, Il plaça délicatement sa main sur mon mollet pour retirer ma jambe. Avec un grand sourire, il s’approcha de moi et à une rapidité inattendu, il se pencha pour me faire une jambette. J’étais médusé suite à ce qui venait de ce passer. Personne ne m’avait jamais encore envoyé au sol à cette vitesse et ni de cette façon là. Pourtant ce fut si banal et enfantin, j’aurais due m’en attendre. Comme un “gentle man”, il me prit par la main pour me relever et garda ma main dans la sienne pour y poser un baisé en me regardant dans les yeux. Lorsqu’il se redressa en lâchant ma main, il me dit :
- Enchanté, je suis Akiro Notsu et vous ?
- Kaela Aicih.
Il me regardait dans les yeux me souriant. Il semblait légèrement séducteur et intéressé. Alors je pris part à cette partie moi aussi question de m’amuser. Alors je glissais ma main dans mes cheveux en regardant l’homme fixement dans les yeux :
- Comme je peux le voir, vous être très doué en taijutsu, serait-ce trop demander de me montrer une technique ?
L’homme n’étant pas surpris par ce que je venais de dire, hocha la tête avant de se craquer les doigts :
- Je peux bien oui, vous voulez apprendre quoi ?
Je devais m’attendre à cette question, il n’était tout de même pas pour décider comme ça sur un coup de tête en plus qu’il était en compagnie d’une femme et comme tout homme qui se respecte, il n’était pas pour choisir à la place de la gente féminine, ce serait mal vue. Alors je me tourna vers le livre des techniques pointant du doigt une technique au hasard :
- Hum pourquoi pas celle-ci, Hayabusa Otoshi.
L’homme regarda dans le livre et me prit par le bras pour m’amener plus loin. Il commença ses explications, mais je n’écoutais gère ce qu’il disait, j’observais ces mouvements et ses muscles lorsqu’il bougeait ses bras, c’était un bien beau spectacle, mais lorsqu’il me demandait si j’avais bien compris, je n’avais rien enregistrer donc je lui demanda de répéter car je n’avais pas bien saisit. Là, j’étais heureuse de ne pas avoir compris. Pourquoi ? Parce qu’il se plaça derrière moi et me prit par les hanche pour me montrer le mouvement. Il me tourna vers lui et me demanda de sauter bien haut me disant que nous allions faire cela lentement. Même si à mon naturel j’aime lorsque c’est rapide, j’acceptais la proposition. Alors je bondis dans les aires, il sauta derrière moi, me tourna en l’air pour que j’ai la tête qui pointe vers le bas puis ne redescendions rapidement mais je ne toucha point au sol. Il me remit sur mes pieds et m’expliqua la suite. Mais pour mon simple plaisir, je lui demanda de recommencer sous prétexte que j’avais mal comprit la séquence où je me retrouvais la tête vers le sol. Après cette seconde démonstration, l’homme partit et revint avec un mannequin maniable faite de bois, il sauta avec le mannequin comme il l’avait fait avec moi, le tourna, passa ses jambes autour du pantin et ses bras autour de ces jambes pour ensuite retomber vers le sol, ce qui brisa le cou du mannequin. L’homme se releva en me donnant l’homme de bois.
Je pris l’outil d’entraînement entre mes bras et bondit en l’air. J’essayais de le tourner rapidement, mais je ne le fus pas assez, je n’eus pas le temps de terminer ma technique. En retombant au sol, ce dernier me fit signe de recommencer. Avec un grand sourire, je le regardais avant de sauter de nouveau, je revins au sol en lui montrant le mannequin car il avait un bras en moins. Il prit le bras au sol ainsi que le mannequin pour le changer et m’en apporter un autre. Je bondis donc pour exécuter cette technique de taijutsu. Mais je tomba sur les fesses et le mannequin n’avait pas eu le moindre choque. Soudainement, un jônin entra à toute vitesse dans la salle, prit Akiro par l’épaule pour lui chuchoter quelque chose qui semblait bien important. Alors il s’excusa et suivit le jônin aux pas de courses. J’étais découragé, je venais de perdre une proie facile. Je me mis donc à regarder le mannequin avant de continuer à m’entraîner jusqu’à ce que la salle soit sur le point de fermer. À ce moment là, je me rendis chez moi pour prendre ma douche et me reposer, il me fallait bien accomplir mon entraînement pour bien maîtriser cette technique de taijutsu.Jour 2- Sur mes cahiers d'écolier, sur mon pupitre et les arbres, sur le sable de neige : J'écris ton nom
Sur toutes les pages lues, sur toutes les pages blanches, pierre sang papier ou cendre : J'écris ton nom
Sur les images dorées, sur les armes des guerriers, sur la couronne des rois : J'écris ton nom
Sur la jungle et le désert, sur les nids sur les genêts, sur l'écho de mon enfance : J'écris ton nom
Sur les merveilles des nuits, sur le pain blanc des journées, sur les saisons fiancées : J'écris ton nom
Sur tous mes chiffons d'azur, sur l'étang soleil moisi, sur le lac lune vivante : J'écris ton nom
Sur les champs sur l'horizon, sur les ailes des oiseaux, et sur le moulin des ombres : J'écris ton nom
Sur chaque bouffées d'aurore, sur la mer sur les bateaux, sur la montagne démente : J'écris ton nom
Sur la mousse des nuages, sur les sueurs de l'orage, sur la pluie épaisse et fade : J'écris ton nom
Sur les formes scintillantes, sur les cloches des couleurs, sur la vérité physique : J'écris ton nom
Sur les sentiers éveillés, sur les routes déployées, sur les places qui débordent : J'écris ton nom
Sur la lampe qui s'allume, sur la lampe qui s'éteint, sur mes raisons réunies : J'écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux, du miroir et de ma chambre, sur mon lit coquille vide : J'écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte, sur les objets familiers, sur le flot du feu béni : J'écris ton nom.
Sur toute chair accordée, sur le front de mes amis, sur chaque main qui se tend: J'écris ton nom.
Sur la vitre des surprises, sur les lèvres attendries, bien au-dessus du silence : J'écris ton nom.
Sur mes refuges détruits, sur mes phares écroulés, sur les murs de mon ennui : J'écris ton nom.
Sur l'absence sans désir, sur la solitude nue, sur les marches de la mort : J'écris ton nom.
Sur la santé revenue, sur le risque disparu, sur l'espoir sans souvenir : J'écris ton nom.
Et par le pouvoir d'un mot, je recommence ma vie, je suis né pour te connaître : Pour te nommer.
LibertéJe ferma mon livre de poème après avoir relue le poème que je venais d’écrire, ou plus tôt créer. J’étais assise sur le bord de ma fenêtre, éclairé par les petits rayons de soleil qui perçaient les nuages blanc et épais. La plume à la main, je regardais les gens passer dans la rue, cette rue était ma muse pour écrire mes poèmes qui m’aidaient à vider mon esprit de toutes ces pensés et idées aussi saugrenues une autant que les autres. Je rangeais mon cahier et ma plume avant d’aller manger une tartine à la confiture et boire un grand verre de lait. Lorsque je mangeais, j’essayais de me souvenir de ce que j’avais bien pue faire la veille. Ho oui, mon entraînement avec ce charmant monsieur qui a dut me quitter. Mais bon, je ne lui en voulais pas. Donc je savais alors ce que j’allais faire aujourd’hui.
Après le petit ménage de mon appartement, je me dirigea vers le bâtiment appeler le salon d’entraînement. Je m’y précipitais, mon premier réflexe fut de surveiller autour de moi si jamais le charmant jeune homme était là. Et bien non, il n’y était pas. C’était dommage. Je pris un mannequin de bois et alla plus loin. Je tentais de me remémorais les séquences de la techniques avant de sauter en l’aire pour trouver le moyen de tourne l’engin le plus rapidement possible. Lorsque que j’eus réussis à tourner le mannequin dans les aire avec rapidité et agilité pour enfin être à l’aise pour exécuter la technique en question, je me mis à essayer de réussir tout les séquences. Bien sûr, les deux, trois, quinze première fois, j’échoua. Soit que je tombais, soit que je mettais les pieds au sol avant que le mannequin ne touche au sol car j’ai peur d’avoir mal ou bien je lâchais l’homme de bois avant de terminer la technique. Il me fallait donc plus de confiance en moi.
Suite à quelques minutes de persuasion, je tentais le coup. Alors dans une vrille étonnante, le mannequin fut tourné et écrasé contre le sol. Quand je me releva, j’observais le pantin, il était dans un sale état. Mais pendant quelques secondes, j’hésitais à si j’avais réussis ou non. Alors je tentais le coup une fois de plus. Cette fois-ci la tête du mannequin se détacha du corps. Là, j’avais la confirmation que j’avais réussis, mais j’allais également avoir à rembourser l’outil que j’ai brisé lors de mon entraînement. Mais le plus important était que... J’avais réussis ! Technique apprise : - Spoiler:
 Nom : Hayabusa Otoshi Traduction: Technique de la trappe du faucon Type : Taijutsu Description : Technique de Taijutsu qui consiste à bloquer l'adversaire et de le faire tomber à toute vitesse vers le sol. Imaginez un Omoto Renge sans les bandages. Si les dégâts sont sensiblement les mêmes que pour cette dernière, le Hayabusa Otoshi est plus facile à esquiver du fait de l'absence de bandage. 2jours d'entrainements. 70 de dégâts.
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