Car la froide nature qui m’habite se déchire entre t’aimer et te tuer;

♪ Cling Cling ♫ Comment l'amour qui nous porte. ♪ Cling Cling ♫ Comme la mort qui nous emporte. ♪ Cling Cling ♫ C'est se qui nous unis et nous rend si different.

- " Non. Je n'ai aucune envie de te revoir se soir. Fit une voix douce, au tintement aigu, la voix d'une femme que l'on comprend belle, rien que par la sonorité et le ton supérieur de sa voix.
- Mais Aya! " Implora la voix d'un homme, pitoyable sans doute.
La femme s'emporta, s'indigna de cette persévérance, elle se tourna vers lui, offrant a ses yeux noir et larmoyant la dernière vue de sa poitrine nue et de ses yeux gris acier.
- Il n'y a et n'y aura jamais de nous. Tu ne me sert qu'a me défouler rien de plus. Lança t elle dans l'air, sonnant la fin d'une relation.
Purement physique, c'est se que disait toute les conquêtes qu'elle avait.. Elle ne voulait aucune relation sentimental, ne faisant que donner libre cour a ses désir charnel qu'a n'importe quel être humain. Et pourtant, la Shinobi sélectionner avec soin chacune de ses aventures : Jamais un ninja, il y avait trop de chance qu'elle le rencontre plus tard en mission. Jamais un supérieur non plus. Cela lui rendrait la vie plus difficile, l'homme se sentirait encore plus supérieure à elle. Et surtout : jamais chez elle.
Elle choisissait donc des proie faciles qu'elle pourrait rencontré une ou deux fois avant de les laisser. parfois il comprenait tout seul qu'il n'y aurai jamais suite, parfois il avait la folle idée qu'Aya pouvait avoir le moindre sentiment pour eux. C'était pitoyable se disait elle. Mais il fallait bien ça pour rendre le sexe un peu plus attrayant.

Aya se redressa donc, de si bon matin, le soleil n'était même pas encore levé. Elle s'habilla rapidement, prenant congé de son hôte pour repartir d'un pas léger, sur les toits, vers l'appartement qu'elle habitait depuis bien des années maintenant. Aya ouvrit la porte. Sans un mot, de toute façon, personne ne l'y attendait. Elle referma cette dernière, se dirigeant naturellement vers la salle de bain.
Se baignant, se lavant de ses crimes, la dame se fit un brin de toilette. Lorsqu'elle sortie de la douche, le soleil ne pointait pas encore totalement le bout de son nez, mais l'on pouvait voir, a l'horizon, par déjà la mer, se dessinait dans les nuages des auréoles d'or et d'orange, de rose et de rouge.

Lorsqu'elle sortit, elle s’installa devant sa fenêtre, fenêtre qui lui offrait une vie imprenable sur tout le village de l'eau, mais surtout sur l'horizon lointain ou se lever le soleil. Fixant se derniers, clignant des yeux en observant le soleil se lever. La belle soupira. Se demandant si tout allait encore continuer "aussi bien". Il n'y avait aucune tache noir dans son dossier, elle avait déjà raté quelque mission, comme tout le monde, mais aucune n'avait couté la vie d'un membre de Kiri. Elle avait aussi réussis bien d'autre mission, des faciles comme des beaucoup plus dure. Elle avait déjà arracher bien des vies, et a présent, elle était lassé. Ses parents étaient tout deux mort heureux (parait il) en mission, et Aya c'était retrouvé il y a quelque année toute seul, a l'age de 17 ans. Elle était assez vieille pour s'occuper d'elle même, et resta donc seul. Se qui ne l'aida pas a se socialisé avec les autres habitant du village. Mais elle n'avait besoin de personne, et, elle se plaisait a croire qu'elle aimait sa solitude.
mais, parfois, comme ses temps si, elle s'ennuyait et ne trouvait rien a faire d’alléchant, regrettant presque de ne pas avoir d'ami chez qui aller pour se dégourdir l'esprit.
Aya soupira, observant avec plus d'attention se ciel qu'elle trouvait de plus en plus magnifique. Mélancolique, la belle femme se demandait si il n'était pas temps de se faire quelque "ami" au village. De quoi se détendre lorsqu'elle est dans cette état lasse, de quoi se plaindre un peu, lorsqu'elle en a envie. Aya est lasse de sa vie de Ninja. Elle ne ressent plus tout l'attrait qu'elle portait a cette profession au début, ne ressent plus que la mort et le sang tout autours d'elle, et ne sais plus bien pourquoi elle fait cela.

Perdu, si l'on peu dire, Aya ouvrit la fenêtre, s'élançant vers l’extérieur, vers la tours du Mizukage, pour voir si une mission ne l'y attendait pas se matin. Chassant d'un coup de vent l'idée saugrenu de se faire des "amis" a son age, il fallait qu'elle passe à autre chose!