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 Hiryuu :3

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Lumina

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Lumina

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MessageSujet: Hiryuu :3   Hiryuu :3 Icon_minitime1Jeu 23 Juin - 21:12

NOTE : CE RP EST OUT OF TIME ET GOIR EST UNE HALLUCINATION DE LUMI


Cold Blooded Fake ?

Chaud ? Mais si, évidement, tout le monde s'en plaignait. Humide ? Vous êtes fou ? Dans un désert ? Sec, serait le mot plus approprié a la situation météorologique. Sois tout le monde étaient enfermé dans leur maison, ventilateur à fond, à la seule plage de Suna qui entourait un minuscule oasis paradisiaque, maintenant souillé par des familles qui le monopolisait. C'était la guerre pour avoir la meilleure place, ironique. Au moin, le seul avantage que procurait ce manque de stilmulis dans la peau terne de Lumina, malgrés le fait qu'elle vive dans un désert, était aussi simple qu'elle ne ressentait pas le moin du monde les écarts de température. Certes, quand il fesait trop chaud, elle manquait un peu de souffle comme n'importe qui mais n'avait pas chaud. Et lorsqu'Il fesait froid, trop froid, elle pourrait faire de l'Hypotermie et en mourrir, mais ne sentirais pas la morsure du froid. Étrange non ? C'est un peu comme quelqu'un qui ne ressens jamais la faim, mourra car il ne se nourris pas sans le savoir... Ironique, mais pourtant très utile.

Elle devait être la seule a s'être éclipser en ce moment, sous les rayons tappant du soleil. Plus haut j'ai cité qu'il n'y avait qu'une seule plage a Suna, pourtant, j'ai mentis, il y a bel et bien un petit Atoll secrèt cacher dans les colines, enfin, les montagnes qui entouraient le village caché du sable. Et c'était la que la Kunoichi allait. Elle s'y sentait bien, l'air était plus fraiche, personne ne connaissait cet endroit, juste elle. Un petit Îlot y était, entouré d'un minuscule ruisseau pas plus large d'un mètre. Clairsemé, le son qui en émanait était des plus magnifiques, limpide eau, elle la fixait, étoiles dans les yeux. Après être entrée dans la caverne illuminée par un seul rayon de soleil perçant la roche d'un trou vers les cieux, elle enleva ses sandales, les plaça sur le bord de la cave, à l'intérieur de celle-ci, puis s'avança dans le sable froid, par l'ombre, et plongea ses pieds dans la marre raffraichissante. Aucun poisson vivait ici, mais les algues verdâtres, turquoises, rouges, roses, y vivaient, c'était magnifique.

Après avoir longuement tâter le ruisseau de la plante de ses petit pieds, quelque chose gigotta près des membres plongés dans l'eau de la Sunéenne. Quelque chose lui pinça l'orteil, ses yeux s'équarquillèrent, ses poiles s'hérissèrent, alors que la Kunoichi poussa un des cris les plus stridents au monde, un cri féminin, aigue, d'un minimum de 800 déibels pour sûre. Elle fit un bond vers l'arrière et donna un violent coup de pied dans le vide. Cet acte lui fit perdre son équilibre naturel, elle vrilla sur elle-même pour retomber vulgairement et se fracasser le corps en entier commençant par la tête sur une des paroies rocailleuse et sec de l'endroit. Le point fatal, fallait-il croire... Maladroite, malhabile ? Et comment !!! Après une retombée douloureuse sur le fessier, un lourd grondement se fit entendre, suivit de vibrations, d'un tremblement bien distinct. Après un long moment a scruter sans bouger, la pauvre petite fillette se retrouva bientôt coincé sous un amas de pierre...

Enfin, sous, est un grand mot, l'entrée se referma, elle était prise au piège, dans sa propre antre de paix. Heureusement, que (comparer a Ly Rolling Eyes) la puce n'était pas claustrophobe et tolérait les endroits petit et renfermé. L'éboulement reccomença, elle se contenta de fermer les yeux et de serrer les poings et les dents, mais compris assez vite que ça n'aboutirait à rien... Elle plaqua alors ses paumes vers le haut, en voyant un gros bout de roche, prononça : "KESHOO KAIDAN, forme bouclier !" Et vlan, un bouclier se forma a ses paumes, aussi grand qu'elle... Et voilà, 120 de chakras dans l'trou, mais au moin elle s'en sortirai vivante... ou pas. Un plus gros caillou ; le bouclier ne tiendrait plus très longtemps, vu l'intensité de l'éffondrement... Plissement de yeux, quelques jurons, elle vrilla la tête, laissa le bouclier et fit quelques mudras, pour envoyer deux immenses éclaires vers le haut. Celles-ci carbonisèrent le plus gros des roches, mais une petite dernière, juste assez petite pour éviter l'éclaire, retomba sur la tête de la fillette, à une vitesse fulgurante, fit renvoyer la tête de Lumi vers l'arrière, elle se la fracassa encore plus fort sur la paroie, s'évanouit sur le coup, un mine filet de sang émanait du dérière de la tête de la kunoichi... La pauvre fut soumise à un repo forcé, mais elle resta a semi consciente, on aurait plus dit une méditation forcé...


30 jours

Lumina ~ Du premier au 5ieme ; Découverte

~ Noté que 1h dans le surmonde = 1 jour dans la réalité.

Tout était blanc, immense étendu. L'herbe était blanche et lumineuse, et d'ailleurs, on s'aurait presque cru au paradis... Est-ce que je suis morte ? Je fixe mes mains, elle sont bien réelles, bien consistante, pour en être certaine, je les frappes ensemble. Étrange, aucun son ne retentit. Premier pas, le sol est bien réel, je ne suis pas tomber. Second, troisième, j'avance, tout va bien. Une étrange melodie sonne toujours et encore en éco, le monde de Gobi ? C'était presque pareille, sauf que l'herbe habituellement étaient un espèce de nuage de ouath... Peut-être qu'il y avait une étét dans le monde des bijuu finalement, des saisons. Mais non, parce que je ne voyais pas de cage en cristale, ou du moin en verre renfermant mon louloup. L'air est fraiche, elle givre presque mes poumons, c'est la première fois que je ressens ça. Soudain, une voix, non, ce n'est défénitivement pas celle d'Houkou. Je me retourne, aux aguets. Rien, hormis une immense masse noir qui s'avance vers moi, à une vitesse fulgurante. Mon coeur bas plus rapidement, encore, encore, VLAN. Elle me recouvre, je suis prise au piège. Mon souffle se coupe, alors que la voix se fait encore entendre. Mais qu'est-ce qu'elle me dit non de dieu ?

Je n'entend rien, je ne voix rien, je ne respire plus. Une main se tend vers moi, grise, à mi chemin entre le noir et le blanc. Devrais-je ? Et Tanpis, je la prend, saisit de toute mes forces, elle me hisse hors de la masse noir, me guide, sans lacher sa main, je la suis, troublée. C'est quoi cet endroit, c'est la paradis ou non ? En toucas, si le paradis a des masses noires qui te gobe quand tu passes à côté, c'est très original et accueillant n'est-ce pas ?! Après de longues heures de marches, on ne semble pas avancer, car il n'y a que du blanc. L'autre s'arrête, il se retourne et me fixe, je tressaute, recule, tombe sur le fessier. Il n'a pas de visage, pas de bouche, pas de yeux. que des creux ou devraient se trouver les parties manquante... Pourtant il pouvait parler, d'ailleurs, il me dit :

- Lumina, ne t'inquiètte pas, tu es en ton intérieur, comme tu peux voir, la majorité de toi est blanche ? Enfin, c'est ce que tu crois non... Le noir, qui t'a attaquer tantôt, sais-tu ce que c'est ?

Aucun mot n'émanait de ma bouche, je n'arrivais pas a rien articuler, je voulu parler, en vain, aucun son ne sortit de ma bouche.

- C'était la masse qui te hante toujours.

- Gobi ?

Réussis-je a prononcer tant bien que mal, alors que le souffle me revenait peu à peu, malgré l'air glaciale qui attaquait sauvagement mes poumons, c'était désagréable. Habituellement je ne sentais pas les écarts de température, mais avec la condentation d'eau froide et chaude dans mes poumons, ça devenait terriblement douloureux. Je toussais, m'étouffais, alors que l'autre même avec l'absence de visage, on pouvait distinguer un peut de quiétude. Dans ses traits. Il secoua la tête, et articula calmement en orienta sa tête vers la mienne. Il me donnait froid dans le dos, mais il m'avait aider. Il me dit que ce n'était pas Gobi, puis il ôsa même m'imposer que c'était moi-même cette masse. C'était impossible, pourquoi est-ce que je m'aurais auto attaquer franchement ? Ça en était trop, je déteste être dans l'incompréhension, moi petite démone de Suna, ne le supporte absolument pas, et plusieurs auront remarquer que j'y mets toujours mon grain de sel. Toujours.

- Cette masse, c'est la seule partie de ton âme que tu ne peux pas contrôller.

- Vous radottez n'importe quoi espèce de... vous êtes tombé sur la tête ou quoi ? Vous n'avez même pas de visage !

Je sursautta, me surprenant. Je ne vouvois jamais les gens, pourquoi est-ce venu aussi naturellement ?

- Je suis la matérialisation de tes pensées, si tu m'imagines sans visage, c'est que tu n'arrives pas a imaginer ton fond intérieur, savais-tu qu'il existait ?

Je secouais violement la tête .

- Et je ne voulais pas le savoir, qu'est-ce qui se passe ?

[color=white] - Tu es ici, car tu t'es assomée.



[justify]

Lumina ~ Du 6ième au 10ième jour.

Passé

Cela fesait exactement 5 heures que le vieu.... truc m'expliquait ce qu'était cet endroit, pourquoi j'y était, et comment je ferais pour me sortir de ce trou. C'était assez compliquer, moi même, petite lumière, n'arrivait pas trop à en comprendre beaucoup... Il fallait que j'affronte cette grosse masse noire. Ah génial ! Me battre contre moi-même... Sympa, alors je vais me donner un bon coup de poing dans la tronche et il va s'en prendre un aussi ? Hé hé, malheureusement, ce n'était pas un miroire... bah enfait, heureusement, j'espère que je ne suis pas aussi grasse que cette chose, beurk ! Enfin, j'étais perdu dans mes pensées, je n'écoutait même pu l'autre chose me radoter des truc aussi incomprenable que le gouvernement lui même... Je tournait la tête, voir cet étendu blanc, herbe fraiche sans la moindre trace d'insecte, heureusement.... Jusqu'à ce que l'autre débil de la vie décide de se retourner et de me flanquer un poign au visage. J'équarquilla les yeux, boula un peu vers l'arrière après avoir fait quelques pirouettes, je retomba sur le ventre et hurla :

- Non mais ça va pas la tête ! Si tu es on fort intérieur alors j'te hurle de te calmer !

Et l'autre chose commençait a prendre des traits, de longs cheveux noirs des yeux ébènes et un visage sans émotions. Stupéfaite, je fis un léger bond et me releva tout en plaçant mes bras devant moi. Il avait prit la forme d'un homme, dont le visage n'émanait en moi aucun souvenir. Il tendit la main. J'hésita un peu a la saisir, qu'allait-il faire si je la prenait ? Arf et alors, tout ça n'était qu'un rêve après tout, alors pourquoi pas. Après de longues réflexion, il tendit sa main plus intensément, pour justifier mon choix, j'hocha la tête suite à une profonde inspiration, pris sa main. L'univers se distortionna un bon coup, et se reforma. Un étrange spectacle se déroula sous mes yeux ébahis, bouhe bée, j'observais la scène. L'image d'une mère aux cheveux violet presqu'ébène caressais sa fille, dont le visage n'était pas visible. Soudain, une larme perla sur la joue de la mère. Elle laissa son bébé au bas de la porte, sonna, et s'enfuis. On vit alors la mère, se faire aussitôt épingler par une centaine de kunais, alors qu'un dernier ninja l'égorgea, une immense giclé de sang revola, et j'en reçu quelques goutes sur ma joue.

- Oh mon dieu...

- Chut.

Je ne déplaça pas mon regard, toujours rivé sur la scène morbide. Puis la scène se dissipa, et les goutes sur ma joue aussi. Il fut place maintenant au petit enfant devant la porte, il pleuvait, on semblait être à Oto. Un porte s'ouvra, alors qu'une demoiselle pris le petit bébé, stupéfaite, elle l'entra dans sa maison, s'en occupa, le réchauffa. Par la suite, un vit un homme, tout de noir vêtu, dans une église, à prier, en sanglot. Il demandait pardon, pardon a une demoiselle dénomée Sachiko, il demandait pardon de lui avoir priver de la vie. Je quantais ma tête, c'était lui qui l'avait égorgé ? Elle recula la tête, l'homme avait des yeux mauve, mauve tout comme les miens, coinsidence me dis-je calmement. L'autre me lança un regard, le sage, je lui retourna celui-ci, reposant mes améthystes sur le spectacle. L'homme sortit de la cathédrale, essuya quelques larmes, remis sa cagoule et fonça vers la ruelle.

Le temps passait, c'était maintenant la nuit à Oto, l'homme à la cagoule se baladait, à pas lents, mais furtif, avec un bande d'autre ninjas. Il foncèrent vers le lieu ou Sachiko avait déposée son bébé. D'un vif geste, ils défoncèrent la porte d'entrée. On vit tout les bébés, et une, ressemblant étrangement a Lumina, cheveux violacé, coupé aux épaules. Tout les bébés se mirent à pleurer, et la nounou qui s'en occupait s'était fait empaler sur un sabre. Le bébé a la tignasse mauve restait serin, et fixait le carnage d'un air impassible. Touts les enfants furent assasiné, sauf une partie, qui avaient été mis de côté, car leur parents n'avaient pas été plaidé coupable au tribunal. En autre mot, le nom de ce lieu était un orphelina dont les parents étaient ciminels, des rejetons désirer mais interdits. La fillette pourtant, sa mère, avait été plaidé coupable, s'était enfui et s'était fait tuer, mais l'homme, que l'on avait vu a l'église, retira sa cagoule et pointa un kunai sous le yeux de la petite. Il l'approcha lentement de sa gorge et l'acota sur le frêle petit cou du bébé. Il s'arrêta net, tremblant, il donna alors un violent coup de kunai, vers la gauche, à l'opposé du bébé, tua tout se congénaires sauf un. Un ami fallait-il croire. L'homme pris la jeune demoiselle dans ses bras et dit.

" Désoler, mais je ne viendrais pas à bout de ma mission. Je ne trahirais pas Sachiko une deuxième fois..."

Puis il tendit le bébé a son compagnon.

" Ramène la à Suna, trouve lui une famille qui s'en occupera bien, je t'en pris. "

Son congénaire retira sa cagoule, et on vit le visage de l'homme aux cheveux noir, dont la chose qui avait sauver Lumi avait pris forme plus tôt. L'autre tint sa promesse, et ramena la demoiselle à Suna.





Mon regard stupéfait et ma bouche grande ouverte ne savaient que faire, plus aucune ordre provenant de mon petit crane se rendait jusque là. C'était quoi ce cirque ? Qui était ce petit bébé ? Je baissais graduellement la tête, puis je pris une grande inspiration. Jusqu'à ce que le sol se mis à trembler. Mes yeux s'équarquillère et mon coeur se mis a battre comme il n'avait jamais battu avant. Je paniquais presque tandit qu'une immense ombre se dessinait au sol. Elle recouvra bientôt mon entièreté. L'autre m'avertit alors, et a nouveau que je devrais la vaincre, du coup, elle prendra ma pire phobie. Je ferma les yeux, me tendit, serra les dents et laissa perlé une larme ; j'étais horrifiée. Quand je me retourna, j'espèra ne pas voir ce que je savais déjà être l'ombre. Goir apparut, devant moi, me surplombant de sa hauteur. Je ne poussa aucun cri, mais me jeta litéralement au sol en perdant l'équilibre. La peur avait fait fléchire mes pauvres jambes. Je secoua violement la tête, me rappellant que j'étais dans un rêve. Et dans les rêves, on peut faire ce que l'on veux. Je planta alors mon regard améthystes dans le regard Topaze de l'hallucination, fit quelques mudras et hurla :

- DÉGAGE

L'hallucination s'estompa, elle redevint la masse noir qu'elle était et se matérialisa en autre chose. Un oeuf, bien rond, bien symétrique, noir, aussi gros que ma paume entière. Je le pris, il était encore chaud, mais pas au point de me bruler les mains. Aussitôt je m'y attacha, il ne me fesait plus peur, et un espèce d'instinc maternel me dicta de le serrer contre moi. Ce que je fut. Le sage arriva alors, posa sa main sur mon épaule et me souris. Puis il disparut, se dissoudant en d'infimes pétales blanche, comme tout ce monde, surnaturel, se dissous, à son tour. Ne laissant que moi et cet oeuf étrange.





Et c'est un contacte tiède et agréable qui réveilla la kunoichi c'était assez visqueux, mais elle ne fit mine de rien. Lumi ouvra les yeux, et aperçut une mignonne bête aux yeux dorés et reluisant la fixant. Elle était toute mignonne la bêbêtte. C'était un petit serpent cornu ayant une pointe de diable au bout de la queue. Il était noir, et son ventre argent, ses cornes et sa pointe violette. Il tira sa langue ébène pour sonder l'endroit et chatouilla le bout du nez de notre amie avec celle-ci. La petite fille se releva, elle avait très mal au dos et au cou, voyant la position dans laquelle elle s'était endormie. Et à sa grande surprise, elle vit l'oeuf noir éclot a ses pieds ; l'étrange rêve n'était alors pas un rêve. Mais une méditation forcée, qui entraina la création du Daemon de Lumina ; Hiryuu. Elle ramena la petite bête chez elle, déjà extrêmement attachée à celle-ci. Maintenant elle n'aurait plus besoin d'Hebi, Hiryuu serait son propre partenaire de combat.
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Mizutirigi Haosha

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