Sujet: Event 3: Le soir de Pleine Lune Ven 8 Juil - 10:52
Un soir différent des autres, la Lune est complète, et dans la forêt se produisent des choses étranges... Aux abords de celle ci, nous pouvons déjà entendre des cris, qu'ils soient ceux d'animaux ou encore ceux d'humains, ce qui est sûr, c'est que les pires créatures se déchainent en ce soir spécial...
Aux quatre coins de cette forêt se trouvent de valeureux ninjas, qui devront affronter la horde violente et sans pitié de monstres: Loups Garous, Renards, et autres animaux et monstres encore inconnus... Sauront ils se sortir de cet enfer? ____________________
Bien, vous posterez directement vos rp à la suite, le but étant simple, vous vous retrouvez dans cette forêt un soir de pleine Lune, et vous devez en sortir par tous les moyens. Pour ce qui est des monstres, je laisse votre imagination trouver la forme qu'ils auront, vous avez champ libre pour inventer ce que vous voudrez. Je laisse jusqu'à dimanche 12h pour poster.
EDIT: Les codages ne sont pas interdits, mais ils ne donnent pas d'avantages.
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Sujet: Re: Event 3: Le soir de Pleine Lune Ven 8 Juil - 11:28
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Sujet: Re: Event 3: Le soir de Pleine Lune Sam 9 Juil - 23:32
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On dit souvent que la nuit porte conseil. Peut-être était-ce pour cela que Neo passait autant de nuit blanche à admirer les étoiles. Il aurait aimé être comme elles, si belles et si paisible. Illuminer le monde ou quelque chose, montrer de cette manière qu’il existait. Mais à la place il se démenait dans les bas-fonds, loin de tous ces rêves d’apesanteur. Il avait choisi la voie de l’obscurité et des ténèbres, déçu, sans doute, haineux, et désabusé par une sournoise réalité. Mesquine. Dégoulinante.
Le jeune shinobi était donc immobile sur son lit, les draps et oreillers épars dans sa chambre. Il savait qu’il avait déjà gagné la lutte de sa modeste personne contre le sommeil. Bien qu’il aurai préféré perdre pour une fois. C’était donc les yeux ouverts, le regard perdu dans la contemplation de la roche du plafond qu’il laissait vagabondé son esprit. Il s’abimait dans des souvenirs douloureux et sombrait dans un abime sans fond de mélancolie. Ah qu’il était loin ce temps où il avait été heureux. SI loin qu’il en aurait presque oublié comment sourire.
Il se donna une petite claque qui eut pour effet de redonner à son regard éteint un semblant d’éclat. Encore une nuit ou dormir serait impossible. Il se leva avec lenteur et entreprit d’aller faire un tour à l’extérieur. Il s’équipa légèrement et sortit de sa chambre sans un bruit. Arrivé devant l’immense pierre qui bloquait l’entrée de l’organisation criminelle, il posa son front sur la roche. Il apprécia sa froideur qui lui permit d’apporter une mince éclaircie dans son esprit embrumé. Il apposa sa bague sur sa celle-ci et sortit. Il gouti à l’air nocturne, à pleins poumons. La fraicheur qu’exhalait la forêt proche du repère se faisait ressentir jusqu’à son entrée. Qu’importe. Il se percha sur une petite colline environnante et se mit à admirer les nombreuses lumières du firmament. La Grande Ourse était la constellation la plus visible ce soir nota-t-il pour lui-même. Décidément oui, devenir une étoile, un corps céleste était son rêve. Mais il était comme tout rêve. Inaccessible. Irréalisable. Appartenant à une vaine utopie forgée par ses espérances, brisée sans cesse.
Soudain, quelque chose d’imprévu vient troubler sa quiétude. Un objet semblant provenir du ciel s’écrasait tout droit sur la forêt. Abasourdi, Neoshei aperçut rapidement une masse ovale avant qu’elle ne percute le sol en une onde choc impressionnante. Au cœur de la forêt. Que pouvait-il bien être tombé au cœur de la forêt ?
Le jeune homme fut rapidement sur ses pieds, fermement convaincu qu’il y avait là quelque chose d’incontournable. A l’orée de la forêt, cependant, il s’arrêta net et tendit l’oreille. Un bruit. Comme un chuchotement. Neo chercha, en vain à en découvrir la provenance. Un chuintement étouffé et la nuit reprit son silence habituel. Il avança. Fit un pas vers l’inexploré, l’inexplorable. Un pas. Un pas vers un monde nouveau. Pour une nuit.
La végétation était dense et un impénétrable manteau noir l’empêchait de bien se repérer. S’orienter était ardu, le silence oppressant. Peut-être aurait-il mieux fait de ne pas partir à l’aveuglette comme ça, poussé par un désir, une pulsion incontrôlable. A peine avait-il fait 50 mètres qu’il savait dès lors qu’il était perdu. Au point où il en était, autant poursuivre l’aventure jusqu’au bout. Il écarta une branche avant d’entendre de nouveau le son. Le chuitement presque inaudible. Il se rapprochait. AU fur et à mesure qu’il avancait il devenait de plus en plus décelable. De plus en plus lugubre. Le chuintement avait cédé à de petits cris étouffés. Qu’elle était donc la provenance d’une pareille chose ? Tapis dérrière les arbres, Neo s’approcha à pas feutrés. Ses yeux s’étaient accoutumés au manque de lumière et il décelait un peu mieux son environnement. Et il découvrit l’origine de ces cris. Une femme, allongée par terre, sur de la mousse. Nue.
* Quoi ? Un couple qui vient faire son affaire à cette heure, paumé dans une forêt inextricable ? Mais bordel, c’quoi c’te… *
Il ne finit pas sa phrase et retint son souffle, comprimant ainsi un sursaut d’effroi. Il existe un proverbe, tourné sous forme de blague le plus souvent sous forme de blague qui dit « Quelle est la plus belle chose sur une femme ? Un homme. » Soit. Mais certainement pas un loup. Un loup ! Il sortit de sa cachette prêt à faire quelque chose, n’importe quoi, qui puisse stopper cet acte de zoophilie. Consentant ou non, il fallait que ça cesse. Pour le bien de ses nuits futures : cauchemardé de ça toute sa vie ne l’enchantait guère.
Il sortit donc du fourré dans lequel il s’était tapit, attirant ainsi l’attention des deux êtres copulant à qui mieux mieux. Le loup se releva. Se releva. Se releva ?! Il était immense et se tenait droit sur ses pattes arrière. Il devait mesurer plus de 3 mètres et avaient des griffes qui ne palissaient devant aucune épée. Quel était donc ce monstre ? Ce n’était quand même pas… Non, foutaise, les Loup-Garou n’existent pas. Mais alors, bordel, qu’est-ce que c’était ?!
« Fuyez pendant que je le… »
Le reste de sa phrase ne franchit jamais ses lèvres. Il eut l’impression de s’étrangler avec ses mots, toussa et cracha par terre. Osa relever la tête et émit un juron bien sentie. La femme était poilue. Poiluuuue ! 10 secondes plus tard et elle était devenue la réplique exacte de l’autre abomination. Neo émit un petit rire nerveux avant de lever les yeux au ciel. Lune. Grande, lumineuse. Ronde.
Impossible, impossible ! Balivernes, il allait se réveillait d’un instant à l’autre et rirait bien de cet événement aberrant les 2 prochaines années à venir. Il se pinça. Prit la fuite. La douleur était bien réelle. Il ne devait pas rester là, c’était trop pour lui de combattre des monstres surpuissant d’après les contes, lubriques, baisant dans une forêt noire sous une nuit de pleine Lune. Le seul « hic » était qu’ils étaient très rapides. Plus que son Shinpo. Ils gagnaient du terrain. Il n’avait d’autre choix que de combattre. Il vit une petite clairière non loin et tenta le tout pour le tout. Il dégaina sa faux, prit appuies sur un tronc et bondit en direction des deux bêtes. Il prit la première par surprise et lui trancha la tête avec difficulté. Il reprit appuie sur un tronc et repartit dans son sens initial, celui de la fuite et tenta de décapiter le dernier Loup-Garou. Celui-ci para aisément de ses immenses griffes et l’envoya voler avec une force surhumaine. Neoshei fit un saut périlleux pour contenir son élan et atterrit dans la clairière. Lui et son adversaire se faisait face. Le premier à porter le coup sera le vainqueur. L’autre périrai. Ils le savaient, se préparaient. Le jeune shinobi amassa son chakra dans ses pieds et ses mains. Chargea sa technique du fauchage destructif. 1 minute. 2 minutes. 5 minutes. 20 minutes. Il bondit, dans un rugissement féroce. L’animal bondit lui aussi, et envoya un puissant coup en avant de ses griffes. Neo ne chercha pas à les éviter. Il les détourna légèrement pour qu’elles n’atteignent pas de partie vitale et fit un mouvement rotatif. Poussé par cet élan, la faux décrivit un arc de cercle parfait en direction de la jugulaire de son adversaire.
« Henkyori Hakai ! »
La lame de chakra fusa, laissant un corps énorme choir sur le sol et une tête s’envoler vers d’autres cieux.
* Digne de la Team R ! *
Il tomba à genoux. L’enfoiré n’était pas mort pour rien. Une importante balafre sur son thorax dessinait un motif étrange, sanglant. Une croix. Une croix ?! Comment diable avait-il pu l’entailler en une croix parfaitement proportionnée ?! Il déchira sa veste et entreprit de se fabriquer un bandage de fortune. Il retourna voir le cadavre de l’étrange animal. Stupeur, c’était le corps d’un homme qui gisait dans une flaque de sang. Sa tête manquante ne laissait pas de doute sur le fait qu’il soit bien le monstre. Devrait-il reconsidérer la fatale question de l’existence, de qui est qui, s’il sortait vivant de cet étrange monde ? La lune semblait avoir un sourire moqueur derrière ses cratères. Ronde. Elle semblait lui dire : « Ce soir les règles ont été brisées, la loi qui régit ce monde oubliée. Cours, cours, divertis-moi. Fourmi stupide, à quoi aspires-tu dans un monde tel que celui-ci ? Dans un autre Monde ? »
Le shinobi reprit sa quête à travers la forêt. Pas franchement frais, blessé. La seule certitude qu’il avait était qu’il se dirigeait vers le lieu de l’impact de l’objet mystérieux tombé du ciel. Certitude bien incertaine en réalité. Une douleur au mollet droit le fit pousser un énième juron. Il y vit une trace de morsure, petite mais qui saignait abondamment.
* Allons bon, qu’est-ce que c’est encore ?! *
Soudain il entendit un couinement moqueur en haut d’un arbre et leva la tête. Un écureuil. Et il avait les babines rouges du liquide vermeil appartenant au ninja. Comment un écureuil avait-il put l’attaquer et lui infliger pareille blessure ? Inconcevable, inconcevable ! Quel était ce merdier sans nom dans lequel il s’était fourré ?!
« Tu vas payew. »
Neo se retourna vivement. Il était persuadé d’avoir entendu une voix. Quelqu’un de normal dans toute cette anormalité ? Quelque de censé dans ce bois insensé ?
« Qui est là ? Montrez-vous ! -Mais ye souis là ! -Montrez-vous ! -Regawde déwwièwe toi ! -Connard, y’a juste un crétin d’écureuil avec des chicots de deux fois la taille de sa tête qui me parle derrière moi ? Tu te paies ma…. HEIN ?
Il se retourna vivement, surpris par sa phrase qu’il venait seulement d’assimiler. Il fit un bond en arrière et dégaina sa faux.
-Ye oui, cay bien mouay qui te pawles ! Tu vas payew ! -Quoi ? Quoi ? QUOI ? OMFG, WTFF ? HEEEIINN ? Bordel, mais y s’passe quoi là ? BORDEL ! Et quand j’me pince j’ai mal ! Connard, c’est ta faute ?! -Chut l’inyecte, il ay temps de t’écwasew ! Nous vengewons ce choiw notwe fwèwe Géwawd, quwe tu a sauvayement achachiné ! -HEIN ? HEIIINNN ? -Mes fwèwes à l’ayaque ! Wongew lui les os ! -HHHEEIIIIINNNNNN ???!!"
Une dizaine d’écureuils apparurent soudain et foncèrent sur lui. Des dents de 5 centimètres, plus grandes que leur tête, affutées, ornaient leurs bouches menaçantes. Neo commença à enchainer quelques moulinets très rapides.
« Bakudai Senpuu ! »
Sa technique de l’énorme maelström bloqua toutes les attaques de ces boules de poils carnivores à l’accent horrible qui assassinait les oreilles. Il les trancha tous, sauf le chef qui s’affala dans un cri pitoyable. Il lui manquait ses 4 pattes et sa queue mais il était toujours vivant. Il enleva une énorme clé d’autours son cou et la lui tendit . « Yu.. Yuu ay digne d’afwontew le Dieuw Hamstew Québkôa. Voiyi la clé qui ye ménewa tout dwoit à son wepaiwe ! Adieuw. Pwends gawde aux pinqouains sauyages qui s’évissent dans lay enviwons ! Pawdonnes-nous Géwawd ! »
Et il mourut. Neo aurait bien voulu lui fermer ses paupières à cette pauvre bête mais il se rendit compte qu’ne plus d’avoir fait apparaitre une clé alors qu’il n’avait plus de membres il n’avait pas de paupières non plus ! A la place il l’écrasa jusqu’à ce que le sol assimile bien ses composants naturels. Stupide, déluré, fou. Après 1 heure dans un monde totalement improbable, le bon sens était une fausse alerte. La Lune. Rieuse.
Neo se dépêcha donc d’achever cette quête délurée. Il croisa en chemin 2 pinguins kamikazes armées d’explosifs qu’il évita soigneusement mais fut obliger de décapiter un zèbre à dent de sabre qui l’avait repéré. Il arriva enfin sur les lieux du crash. Un cratère d’une vingtaine de mètres de circonférence. En son centre, une espèce de capsule énorme y trônait. Lisse, uniforme, excepté un trou de serrure. Neo inséra la clé dans la serrure. Elle rentrait. Il tourna et une lumière verte en surgit. Il recula et se mit en garde. Quelle autre ignoble chose allait-il encore en sortir ? Ce fut un hamster Géant, déguisé en blanc avec une banane et des lunettes teintées qui apparut.
« Hellow.. comm ço lô I’m Elvis Prisley ! T’qui lô ? -OMFG ? WTF ? LOL? KESKISPASS ? -Humm Let me see lô... Well… Do you want music? Ca swing in la cabane à boâ ! Let’s Rock’n’Roll ! -TAGGLLLLEEEEEE ! -Well, Go on baby lô, Dirty dancing, come ônnnn ! Oh, yeah ! Criss de tabarnak there is d'lô coquine par lô ! -WHUUUT THE HELL FUCKING FUCK ???! -Sure ! Ostie de tabarnak quesser what you criss? Wanna play with our body !”
Il fit quelques signes étranges et deux pingouins à tête de singe arrivèrent par derrière le shinobi et lui saisirent fermement les bras. Un ouistiti à tête de pingouin lui fonça dessus et sa tête heurta un arbre. Il se redressa en sueur. Quel sale rêve ! Quelles conneries ! Quel merdier dans sa tête ! Il se recoucha, posa délicatement sa tête sur l’oreiller. Mais ce n’étais pas le contact doux qu’il avait espéré qui lui parvient. Une sensation rugueuse. Comme celle de l’écorce d’un arbre.
Neo cligna des yeux, et à leur réouverture il se vit ligoter à un arbre, la tête contre un tronc massif. Les 3 choses dansaient étrangement comme plongés dans un rite mystérieux, en transe. Tout à coup, le Dieu Hamster Analphabète Géant déguisé en Elvis P. parlant Anglais avec l’Accent Kébkôa prit la parole :
« Lô ! Fucckk ! »
Aussitôt ses sous-fifres se mirent à déshabiller complétement le pauvre Neo qui se demandait bien pourquoi ça lui arrivait qu’à lui des merdes comme ça. Quand il fut totalement nu, l’étrange hamster sortit son membre et s’approcha. Horreur et damnation ! Il n’était pas question qu’il se fasse violer par autre chose qu’une jolie fille ! Il décida de rompre le sceau qui maintenait sa technique secrète, interdite, cachée.
« Ninpo : Bifflage géant en rafale ! »
Il assomma ainsi les sbires, et défit ses liens d’un simple coup de Paupaul. Le Dieu machin-truc, surpris par ce revirement de situation, recula. Mais pas assez pour éviter le coup spécial de Neo.
« Ninpo : technique ancestrale de la biffle assomante ! »
Il broya la le crâne de la chose avant de s’évanouir, éreinté. Quand il se réveilla il était dans sa chambre. Pas de fausses joies, peut-être n’était-ce pas un juste retour à la normal. Peut-être était-ce encore une feinte incroyable de son esprit impitoyable. Il jeta un coup d’œil dehors. La Lune. En croissant. Rassuré, il partit se doucher, pour chasser toute cette crasse imaginative qu’il avait des subir cette folle nuit-là. Il poussa un énorme juron quand il vit une cicatrice en croix au niveau de ses pectoraux. Il avait quitté la forêt certes mais… Ou était la réalité ? Certainement plus là où il l’attendait…
(Peace à nos amis kébkôa :O Peace à ceux qui auront le courage de lire autant de conneries aussi :O )
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Sujet: Re: Event 3: Le soir de Pleine Lune Dim 10 Juil - 11:20
Bien, Satusbatsu tu gagne l'event, et le prix de trois points cadeaux. Sachant que Naruto tu es le seul autre candidat, et que tu as fait un grand effort pour ton rp (qui n'est pas mauvais d'ailleurs), je te donne un prix (le prix du perdant D:), qui est de 100 ryos, que tu peux d'ores et déjà ajouter à ta fiche ninja, voila, cet event est terminé.
Sujet: Event 3: Le soir de Pleine Lune 
Ven 8 Juil - 10:52