Ah ! Effectivement, ça c'est de l'hasard

Quand les pleures dans la nuit
S'inclinent les premiers :
Font des arbres l'hideux -
Tout de cris sans de l'arme.

Nul ne peut se vanter de n’être pas, seul, effrayer des instants par ce qu'enferme les arbres. Qui n'eu jamais l'instinct du regard entouré ? Qui détourne son oeil vers un bruit qui observe ... Personne dans l'homme n'a su, avec de la prestance, toujours s'imaginer qu'il ne s'agissait de rien d'autre que d'une fée foret.

L'homme sentait le vieux vent recyclait par les forets qui émincé d'odeur son visage, comme si ce majestueux secret - de l'élément - avait emporter dans ses tirades éternels un peu d'humanité. On aurait voulu croire a une divague songe qui apercevait le vent enrobé d'un tablier. Comme s'il était le plus fin cuisinier et qu'il montrer les plus fines odeurs ; comme s'il tisser de la soie dans l'agrume, et qu'il éternisait ce geste, ou qu'encore il était le chargeur des saules : faisant frémir la mer. La songe l’épancha a une assiette merveilleusement apparente ; ou ce chef-tablier put engourdir la paraître : la statufier : pour que l'on puisse l'admirer tout fait de son semblant exact, et qu'elle demeure ainsi, presque intouchable, tant elle fut éprouver avec de l'humble ouvrage.

L'homme s'éleva de dessous le vieux chêne - de la racine - a la quelle il se trouvait couché, il essaya vainement de suivre les belles odeurs, mais que rarement il parvint a truffer le trésor. Et seulement a ces moments ou l'apogée de la chose était la plus "disante", il vit que profiter d'un tout n'était que temporaire, qu'il fallait - d'après ce qu'il s'était mis a penser - chercher perpétuellement son bonheur, le perdre, puis le retrouver. Il parcouru successivement les branchages qui étaient devenus amples dans leur nombres et les profond ombrage d'une foret encore plus épaisse. A chaque pas il s'y contrastait, et quand le sombre avança, il devint du ténèbre. Même un animal, vivace dans la nuit, n'eut eu de vision dans ce noir métal infini, car celui-ci était pareil a de l’aveuglement. Il ne fit que quelques pas et déjà il se produisit un soudain tremblement : comme si, dans le noir, l'espace l'avait envahie : comme s'il s'était rapprocher et empêcher qu'il ne s'enlève de son étreinte : et que ses tremblement furent des gestes d'appels, d'évasion ...

Puis l'homme, dans l'effroi, agita ses mollets et se mit a courir en de puissantes enjambées qui ne laissait rien l’abîmer ; ni les ronces déformées près des arbres chenues aux branchages recroqueviller, ni les petit cours d'une chose humide et invisible dans cette pénombre ; ni la compression des frayeur de la nuit. Seul, il voulait encore être atteint par cette joli odeur. Quand la foret ouvrit d'entre ses taillis, ses lumières, il s'y dirigea promptement et une fois qu'il y fut parvenu. Il y eu comme un élan de retour des ténèbres ; une chose quelconque s’élança sur lui ; ce fut surement une bête féroce revenu du plus profond de cette immensité.

Mais lorsque, par merveille, a la suite d'un léger instant de peur ou il ferma les yeux, lorsque qu'il les rouvrit, il aperçu tout autre chose qu'un sanguinaire animal, c'était une belle femme - un de ces êtres - humain qui plus est - qui font tout ensemble un et qui font aimer ceux qu'il ne font pas pleurer. Ses poignets était en deux, fait en une paire qu'elle laissait conçu sur le thorax de l'homme. Elle avait son visage tout énoncé par la même surprise ; peut-être au point de la frayeur que l'homme avait pu croître. Son teint était marqué d'un teint si pur et si vrai, ses yeux n'avait rien d'extraordinaire mais ils coordonnés si bien avec le reste de tout son visage qu'ils étaient comme les diamants d'un beau collier, d'ailleurs elle en portait peut-être un attaché a son cou, mais l'homme ne le vit pas très bien. Et il levèrent tout deux et la jolie femme commença a s'excuser.

- Héhé, excusez-moi c'est que j'ai glissé et...

L'homme lui dit :

- Ne vous excusez pas, nous étions toutes aussi coupable l'un et l'autre, après tout quel était l'infime pourcentage qui eu fait que je sois derrière vous et que vous soyez devants moi ? Tout deux, nous ne pouvions savoir ...

L'homme n'avait pas vu les deux amies de la jolie femme qui s'était mis a commenter la situation :

- Elle est pas possible c'te fille...

- Plus maladroite qu'elle ça n'existe pas, ah non, non, non !

La plus belle des femmes, celle qui avait trébuché sur l'homme leur dit :

- J'suis pas encore sourde les filles !

Cela fit un peu sourire l'homme qui se plaisait dèja de cette rencontre, il acheva en disant :

- Peut être n'est elle pas adroite, mais je me soulage que ce soit elle et non vous qui soiyait tombé sur moi ...

L'homme attendait sa réponse, il ne sentait plus l'odeur de la cuisine fait du vent, mais il pensait que cela, pour échanger la faim a des belles, était le plus beau sacrifice.




PS : OUF ! Je pensais avoir tout supprimer, j'ai commencer a le refaire mais heureusement il était dans le c/c désolé pour ce retard ... j'avais pourtant fini a 11h ce matin ...