Un champs de pissenlits... [ PV: Chou ]

les pissenlits, c'est le paradis

Dernière édition par Seikyo Kosuke le Dim 17 Juil - 11:16, édité 3 fois

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Les champs de pissenlits? Un mythe. Un mytho. Cela ne pouvait être. Certes, l’on peut se retrouver face à un grand amas de pollens de ceux-ci si la saison adonnait mais… Disons qu’une telle chose digne de quelconque compte de fée ne pouvait point exister. Seuls les romans pouvaient témoigner à l’imagination de leur lecteur la grandeur en quoi devait consister ses derniers. Vous avez idée de l’ampleur d’une telle chose? Une grâce de la nature de la sorte? Un vrai rassemblent d’abeilles prêtes à vous sauter à la figure ainsi que d’allergies abondantes… Bref, le paradis terrestre. Seulement, seule l’imagination pouvait combler la quasi existence de la chose. Fantastique, non? Du moins se fut sa réaction, plus ou moins stupéfaite, lorsqu’elle tomba sur l’un d’eux. À vrai dire, elle eut d’abord soupçonnée avoir été empoisonnée par quelconque champignon sans l’avoir pour autant touché en chemin, lorsqu’elle tomba face à face avec la merveille. Devant elle, oui, s’étendait un éternel champ digne de ce calibre d’imagination. Il ne manquait plus que des lapins lui courant autour afin de rendre ce scénario digne d’un comte. Mais elle se résuma plutôt à rester figée sur place un bon moment, la gueule grande ouverte, prête à avaler un million de papillons avant de réagir. L’art d’admirer les choses qui ne feront sans doute jamais aucun sens. S’en fut presque que l’absurde avait une dent contre elle… Et certaines autres personnes. Bref, elle finit par secouer de nouveau sa tête, en revenir à ses sens… Qu’est-ce que ce monde de fou réserverait encore à de pauvres innocents de son genre? Elle osa s’aventurer parmi cette folie, posant le pied dans cet amas de pissenlits… Jusqu’à ce qu’elle ne le voit plus. Effrayant. Si ses trucs prenaient vie, enfin… S’hissant d’avantage parmi ce champs infini, elle commença à ne plus s’arrêter. Sous le charme de l’endroit, sans doute. En fait elle ne savait même plus comment elle avait finit là! À quoi bon. En peu de temps toutefois, elle constata déjà avoir parcourue bien de la distance, se retournant, pour ne plus voir l’herbe frais d’où elle avait aboutie… La pensée en fut même effrayante. Sincèrement, elle craignait être hypnotisée par le pouvoir de ses fleurs, de sorte à ne plus pouvoir faire demi-tour… Dans le fond, un monstre se trouvait au milieu de celles-ci, envoûtant tout passant et mangeant chacun d’entre eux jusqu’au dernier os. Pourquoi pas? Si personne ne revenait afin de témoigner de l’existence de tels endroits, après tout. Pffff. Ses surprises ne s’arrêtèrent point là, toutefois. D’ailleurs, ne finissaient-elles jamais?

"Mais… C’est quoi cette drôle d’odeur?"

Pourtant, elle le savait très bien. Une odeur si chaleureuse, si réconfortante, si… Ça ne pouvait être autre chose. Le mot clé, communiqué par le biais seul d’un sens lui était venu. Peut-être était-ce même la raison, dès le départ… Son subconscient l’aurait-il guidé jusqu’ici, sachant très bien ce qui l’attendait? La pure et innocente, sublime odeur de ce qu’est un brownie lui-même. Voilà ce qui l’attendait… Donc le champ de pissenlit savait même utiliser les faiblesses, les vices de ses victimes, afin de les entraîner à leur propre perte? Charmant. Mais il était trop tard. Son esprit était maintenant sous le charme. Ses cheveux, balancés par-dessus ses épaules par le vent derrière, semblait l’entraîner d’avantage à suivre cette piste. Génial, même la nature l’envoyait à sa perte maintenant! Ses yeux mêmes se fermèrent peu à peu, plus elle sembla s’approcher de la fin… Du brownie lui-même. Plus aucune prudence ne fut accordée, elle pensa même voler sous l’effet de cette douteuse magie. Mais quelque chose brisa rapidement le sort. Ou vaut mieux dire… Quelqu’un.

"Ko...Kosuke? Qu’est-ce que… WOAH!"

Se fut un face à face plutôt ironique. Non pas le fait que le Mizukage se trouvait au beau milieu d’un champ de pissenlits qui pourrait lui coûter la vie à lui aussi, mais le fait que… Une seconde, c’était louche ça aussi. Mais enfin, d’où elle voulait en venir… Étendue, la paisiblement, dégageant une drôle d’odeur de brownie. Odeur de brownie. La kunoichi avait figée, seulement son expression fut remplacée par une bien plus douteuse, voir jalouse. Ses yeux? Rivés sur lui comme un cowboy en regarde un autre dans un duel des plus clichés. À mort les questions, elle osa y aller plus directement, osant demander,

"L’odeur… Je ne suis pas au courant de l’existence de quelconque marque de parfum à cette odeur. Crache les brownies!"

D’un signe de main, elle l’invita à agir. Du moins, avant que des lapins passent vraiment à l’attaque. Mais Yuu ne bougea pas d’un pouce, comme un vrai animal sauvage toujours hésitant envers l’homme. Cette journée s’annonçait bien absurde, décidemment… Le contraire ne pouvait être, lorsque les deux se retrouvaient au même endroit, hum?

On n'obtient jamais rien sans rien.

Ses yeux fixés vers le lieu ou il avait ressentit le bruit, il attendit quelques secondes avant d'apercevoir une silhouette se dégager, la vue de la silhouette ainsi que sa démarche annonçait que cette personne était une femme. Levant les yeux jusqu'à apercevoir du visage de celle ci, ceux ci s'écarquillèrent lorsqu'il vit que la personne qui venait d'arriver dans le champs de pissenlits n'était autre que Yuu. Il ne savait s'il devait prendre ceci comme quelque chose de bien, après tout, chaque fois qu'ils se voyaient... de mauvaises péripéties venait bouleversées leurs journées. Toutefois, il prenait du plaisir à ces aventures. Il aurait de quoi raconter à ses petits enfants lorsqu'il aurait 90ans. Et surtout leur dire de se méfier des femmes, du moins un minimum ~. Avalant le reste du brownie qu'il avait dans sa bouche, il se releva du sol, attendant que Yuu se rapproche. Oui, il laissait la demoiselle marcher un peu, après tout, il était sur que celle ci en serait capable, surtout si elle sentait encore les brownies moelleux qu'il avait. Il la regarda donc s'avancer, la démarche légère jusqu'à lui avant que celle ci ne lâche:

"Ko...Kosuke? Qu’est-ce que… WOAH!"

Bon okay, le fait qu'un Kage ayant beaucoup de boulot traine dans un champs de pissenlits alors que peut être que des affaires urgentes devaient être réglées été certes abusé mais... pas la peine de s'affoler, après tout, on rencontre très souvent des kages hors de leur village et... Il effaça cette pensée, enfaite non, il devait être le seul. Mais tant pis, il avait besoin de libertés, de pouvoir courir dans les pissenlits, de se prendre les pieds dans la terre, se fracasser le crâne au sol. Quel bonheur, un esprit de gamin dans un corps d'homme, quoi de mieux me direz vous? Il posa ses yeux sur le visage de Yuu et émit un sourire, il ne se souvenait pas de la dernière fois ou il était sortit du village sans la croiser. A penser que elle aussi aimé les peluches, brownies et les pissenlits. D'ailleurs, l'odeur des brownies qui se dégageait de son sac était très forte, envoutante même. Il semblait que ceux ci soit responsable de la venue de la demoiselle.

" Il semblerait que l'on se croise bien souvent, peut être que cette fois la mafia animale ne va pas nous attaquer... Les écureuils, les autruches... Ce n'est plus pour moi. "

Puis il se tue quelques secondes, après tout, elle aurait surement des choses beaucoup plus intéressantes à dire. Leurs délires menaient à des... délires encore plus gros, et ainsi de suite. Cette journée de pouvait être différentes. Du moins peut être. La jeune kunoichi lui lança alors:

"L’odeur… Je ne suis pas au courant de l’existence de quelconque marque de parfum à cette odeur. Crache les brownies!"

Pourtant, on lui avait offert pour son anniversaire un parfum brownies, mais ses effets étaient trop dangereux, pire qu'un philtre d'amour, les femmes étaient toutes folles de brownies ( Rolling Eyes

). Cracher les brownies, oh non... Il le pouvait bien sur mais vomir sur la jeune femme n'était peut être pas la meilleure solution. Celle ci semblait résolue à manger ne serait-ce qu'un petit brownie. Souriant de plus bel, sa main tomba dans le sac et il en sortit un brownie au bout de ses doigts et le montra à la jeune femme. Il se rapprocha d'elle jusqu'à se retrouver à une trentaines de centimètres et lui montrer celui ci. Puis avant qu'elle ne pu faire un seul mouvement, il éloigna celui ci.

" Uhm, quel sera mon gain pour ce brownie et... oh, il y en a encore un bon paquet tout aussi délicieux. "

Un sourire sur le coin des lèvres, son regard fixé sur le charmant visage de la demoiselle, il réfléchissait. Son rôle de Kage l'ennuyait, il préférait s'amuser en charmante compagnie et vivre des aventures plutôt que de remplir les papiers quotidien. (Bref, je commence à parler départ comme ça Hanzo deviendra Kage comme y a marqué examen anbu u_u). L'odeur des brownies continuaient de se dégager vers Yuu, celle ci allait devoir faire preuves de très bons arguments pour les avoir.

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La galanterie est un concept ne pouvant s’appliquer à tout le monde. Non seulement les émetteurs, mais les receveurs. Personne n’est visé, voyons ~ Son partenaire de crime, ou plutôt de l’absurdité ne manqua pas de confirmer de tels dires. Il est vrai qu’en sa compagnie, l’on ne savait point ce qui allait se pointer cette fois. Comme il le souligna, les écureuils et les autruches, ils avaient toutes les bonnes raisons du monde de revenir à eux mais bref, sans doute les comptes étaient-ils réglés. Sincèrement, elle craignait les abeilles ou les lapins, en un tel lieu… Les comtes de fées sous leur pire journée? Mais elle ne manqua pas sans pour autant changer de position, de lancer un sourire moqueur à Kosuke lorsqu’il nota leurs rencontres de plus en plus fréquentes. Dans de bien drôles de circonstances, en fait, mais n’empêche. Mais elle n’abandonna pas là. Ne se laissant surtout pas distraire, elle fixa son regard sur les mains du shinobi, avant de siffloter un peu. Question de lui faire hâter le pas. Impossible, ses brownies devaient bien être avec lui… Puis elle ne quitterait pas les lieux sans avoir mise les mains sur eux! Pourquoi tant d’acharnement, vous demandez-vous? Pensez à un arc-en-ciel et des enfants joyeux gambadant dans les champs, poursuivant une licorne… Ou un scénario du genre. Bref, la joie elle-même! D’une main, elle s’apprêta à lui faire signe afin de lui faire accélérer le pas mais… Cela ne fut point nécessaire. Telle une enfant émerveillée, ses yeux grossirent, comme s’ils allaient sortir de leur orbite lorsqu’il osa... Sortir un délicieux et chaud brownie d’apparence de son sac. Ce n’est pas le pire. Le pire fut en fait qu’il l’exposa à de faux espoirs en se rapprochant d’elle, jusqu’à peine quelques centimètres pour… Lui retirer aussi rapidement du visage qu’il n’était venu. Une grimace? La colère? Hystérie? Quelconque sentiment s’était écrit sur son visage lorsque l’acte fut exécuté, il était certes qu’il n’aurait point raté cette expression digne de diable ou de simple folle.

" Uhm, quel sera mon gain pour ce brownie et... oh, il y en a encore un bon paquet tout aussi délicieux. "

Du culot, il en avait. Mais le tout fit avant tout, interpréter comme un défi. Yuu croisa les bras, sans détourner son regard du sien. Oh non, il ne s’en sortirait point aussi. Devant elle se retrouvait tout simplement un homme, un très malin mais à la fois très con, qui ne s’en échapperait pas de la sorte. De la dédicace envers l’art que son les brownies… Il voulait en voir? Bien, il en verrait! L’air nonchalant, elle se rapprocha un peu jusqu’à ce que la distance ne soit plus qu’idéale pour lui… Assener un coup de genou dans le bas ventre ( sifle

) et pour lui saisir le collet. Elle ne tarda pas non plus à le tirer légèrement, de sorte à rapprocher son visage à peine à quelques centimètres du sien, sourire sur le coin des lèvres. Que d’amusement, une vraie maso dédiée au sucre. Ne faut pas manquer de dire que cela faisait plutôt bizarre comme toujours, considérant sa taille toujours aussi petite comparée à celle des autres… Et de lui, particulièrement. Tant de mésaventures à ses côtés, pour n’en venir qu’à tant de violence et de férocité. Décidemment, une certaine rivalité ne s’étendrait jamais entre ses deux là ~ Mais ce n’est point pour autant négatif. La seule idée la faisait rigoler un peu… Ses yeux plongés dans les siens, sans gêne malgré le peu d’espace entre leurs visages, elle émit un petit rire avant d’oser y aller d’avant avec les menaces,

"Ce jeu peut se jouer à deux, tu sais mon cher… Mais à toi de voir…"

Du coin de l’œil, elle regarda lors d’un bref instant le sac de Kosuke au sol. Une drôle d’idée lui passa par la tête, sans doute l’effet de l’odeur délicieuse des brownies en question… Ou l’était-ce? Le contraire s’avérerait perturbant quoi que… Elle cligna des yeux quelques fois avant d’en revenir à la réalité. C’est-à-dire, son visage se retrouvant à une proximité incroyable de son cher camarade. Avant qu’une certaine gêne ne l’emporte et qu’un certain malaise ne soit apparent, elle n’abandonna pas le jeu et se rapprocha davantage. Ses lèvres? Presque sur les siennes. Mais armée d’un sourire, elle chuchota,

"…Brownies, ou pas?"

Sans laisser son sourire s’effacer, elle recula alors lentement sans lâcher Kosuke des yeux, quelque peu amusée à vrai dire. Non, cette rivalité semblait inévitable depuis le début… Puis à espérer qu'elle ne l'aurait point traumatisée avec sa soudaine attaque de dédicace. Muhahaha. Quoi qu'avait-elle raison à la fois de craindre sa riposte?

Titre

Provocation ? Tel était le mot qui convenait le plus à la situation présente, il cette provocation envers la charmante demoiselle de ne pas lui donner les brownies pouvait mettre le monde en guerre. Il la sentait capable de bouleverser le monde pour pouvoir satisfaire son appétit, toutefois, il pouvait surement tirer quelque chose d'elle, n'étant pas du même village, il pouvait profiter de la compagnie de celle ci, il n'en aurait peut être plus l'occasion dans quelques temps. Continuant de sourire, il attendait de voir la réaction qui s'annonçait féroce de la jeune femme. Du moins à ce qu'il aurait crut, au final il fut tout de même soulager de la suite, elle n'allait pas vouloir le découper ou l'écarteler pour obtenir les brownies. Non, elle usa d'un stratagème de plus en plus apprécié chez les femmes, viser le bas ventre pour faire mal aux hommes. Combien de personnes mourraient chaque jours de ces attaques atroces et sans scrupules. Bref, il s'était préparé à recevoir un coup comme celui ci, mais la douleur ne pouvait être totalement amortie. Il grimaça rapidement avant que celle ci ne agrippe par le collet et le rapproche de son visage. La différence de taille était quelque peu élevée entre les deux personnes, mais ceci était normal après tout ? Une grande femme, ce n'était pas beau. A seulement quelques centimètres du visage de la demoiselle, il pouvait voir chacun des détails de Yuu, plongeant son regard dans le sien, il ne pu s’empêcher de sourire. Un sourire un peu bête ? Peut être mais on ne pouvait pas contrôler chacune de ses actions. Le subconscient faisait parfois des choses que l'on ne pensait pas pouvoir faire. Oui, il avait insulté un monsieur super balèze quand il était petit, et son subconscient en était le responsable, résultat il avait fait un beau séjour à l’hôpital... Saloperie de subconscient... Bref, il cligna des yeux deux, trois fois avant de se re concentrer sur le visage de la jeune femme. Partant de ses yeux, longeant de son regard le nez de celle ci, finissant sur ses lèvres. Un jolie minois pourrait-on dire. Puis ses yeux se replongèrent dans ceux de la demoiselle qui lâcha:

"Ce jeu peut se jouer à deux, tu sais mon cher… Mais à toi de voir…"

Les yeux de la jeune femme se détournèrent quelques secondes, fixant le sol. Il savait exactement ce qu'elle regardait. Le sac remplit de brownies, il était prêt à agir si celle ci se jetait dessus, après tout, un coup de genou, pas le meilleure gain pour lui offrir cette nourriture. L'odeur des brownies de plus en plus présente, il ne doutait pas que celle ci deviendrait folle si elle ne pouvait en gouter ne serait-ce qu'un seul d'entres eux. Quand au visage de la jeune femme, il se retrouvait de plus en plus près du sien, au point ou les lèvres de celle ci se retrouve proche, très proche même des siennes. Sa respiration cessa, son regard toujours plongé dans les yeux de la kunoichi. Elle lâcha alors:

"-…Brownies, ou pas?"

Toujours un sourire sur le bord de ces lèvres, elle s'esquissa lentement, au plus grand regret du jeune Kage hélas, toutefois il n'allait pas lui laisser le temps de s'échapper, elle l'avait cherché, il allait donc répliquer. Oh, se devait-il de répondre à sa question ? Non, elle aurait bien évidemment le droit de prendre les brownies, mais ils avaient le temps, ceux ci n'allaient pas disparaitre. Sans laisser le temps à celle ci de s'écarter ou bien de répliquer quelque chose, par la parole ou par un geste désobligeant. Il s'approcha d'elle, son visage se rapprochant lentement de celui de la demoiselle. Dominant par sa taille, de sa main droite, il releva légèrement le menton de Yuu avant de coller ses lèvres aux siennes. Après tout, elle ne pourrait rien dire, elle l'avait bien cherché, et puis, cela faisait un petit moment qu'il attendait cette occasion. ( 357jours pour être précis o: ).
Sa main descendit le long du corps de la demoiselle avant de s'arrêter sur la hanche droite de celle ci. Prolongeant le baiser le plus longtemps possible et profiter au maximum du moment présent. Puis il décolla ses lèvres de la jeune femme avant de lâcher à l'oreille de celle ci.

" Oh, je pense que tu les mérites largement. "

Mais, elle avait le temps avant de les manger, après tout, il se passerait peut être des mois avant qu'il ne se recroisent une nouvelle fois. Sans plus attendre, il tomba littéralement sur Yuu pour ainsi dire, les deux personnages atterrissant dans les pissenlits. Toujours un sourire au lèvre, la pensée que cette journée ne soit pas mouvementée et très belle le réjouissait, il allait pouvoir passer du temps sans se faire attaquer par un animal à lunette ou à chapeau. Couché sur la kunoichi, il se mit sur ses genoux afin de ne pas l'écraser. Ses yeux de nouveau plongés dans ceux de Yuu, il avança de nouveau son visage de celle ci effleurant ses lèvres, et changer de direction afin de déposer un léger baiser dans le cou de celle ci. Sa main quand à elle commençait à se balader dangereusement, parcourant le corps de la kunoichi, remontant de la hanche de la demoiselle avant d'atteindre la poitrine de celle ci. Tâtant la poitrine ferme de la jeune femme comme un gosse venant de découvrir un nouveau jouet. La pensée que ceci puisse énerver Yuu, ou créer une guerre mondiale fut vite écartée, il avait aussi des peluches dans son sac, peut être que ces quelques cadeaux la calmerait, toutefois, les regards de la jeune femme ainsi que sa manière d'opérer pour les brownies laissé présager que celle ci ne se mettrait peut être pas autant en colère que ceci.

" Uhm, plus attirante qu'un brownie et plus douce qu'une peluche ~ " (Et pas dans le sens poilue comme la pensé Emy D: , c'est pour que tu me frappes pas X= )

Un compliment pour être sur qu'elle ne le frapperait pas. Puis, il embrasse de nouveau la jolie demoiselle dans le cou, puis descendit sa tête jusqu'aux seins de celle ci. Faisant glisser lentement les bretelles du haut que portait celle ci, il put ainsi apercevoir la poitrine ferme et parfaite de la jeune femme. Un atout qui leur permettait d'obtenir tout d'un homme, heureusement, elles ne pouvaient imaginer le pouvoir d'un sein, pire qu'un genjutsu. Ses lèvres effleurèrent ainsi la poitrine de la jeune femme, puis il laissa l'inspiration faire son œuvre, mordant légèrement les seins de celle ci. La suite ? Taper 1 pour la décapitation, 2 pour la suite du rp. (L'audience va voter 2, soit tolérante Sad

)

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C’est tout de même étrange comment un seul sentiment, même si on ne peut l’expliquer, parvient seul à combler notre manque de réponse face au vide que la vie peut sembler nous laisser. Une chose d’une ampleur donc on ne peut vraiment avoir idée avant de l’expérimenter soi-même. On ne se doute jamais lorsque l’on rencontre une personne aux premiers abords, l’importance qui lui sera accordée… Ni d’ailleurs le temps qui lui sera adjugée. Se sont ses petits mystères, ses péripéties, ses rires qui permettent parfois sans en avoir la moindre conscience à deux personnes d’apprendre l’une de l’autre. De grandir aussi, si vous préférez ce terme. Ironique en quelque sorte, que de regarder dans le passé, proche ou lointain, les mémoires forgées avec quelqu’un pour s’étonner soi-même de l’influence du temps sur les choses… Et ce n’est jamais sans impact. S’en est même magique pourrait-on dire. Maintenant l’un peut bien savoir d’où Disney puise réellement ses idées. Même si cela paraît plutôt évident à la fin… Sans être nécessairement une réponse, le temps n’est jamais perdu. Pas celui passé avec des gens qui vous ont procurés bien… De l’humour, entre autre. Dans le cas présent, du moins. Cela peut bien rimer avec toute l’absurdité digne du nom. Du moins, c’est bien ce que ce cher Kosuke lui eut procurée depuis… Un bout de temps, pour résumer. Elle ne dirait point les jours exacts ( sifle

), mais en effet, un sacré bout de temps. N’est-ce pas magnifique?

Bref, le pauvre sembla avoir absorbé le choc. Il s’en sortirait, très certainement. Si les autruches et un écureuil géant ne pouvait avoir raison de lui. Mais c’est alors qu’il s’approcha d’elle. Chacun de ses pas vers elle n’était point intimidant toutefois, elle attendait. Elle fit plutôt découragée une fois de plus par un constat inévitable de sa grandeur. Maudit soit mère nature, parfois… Son regard ne dériva pas du sien, bien trop hypnotisée. Il était impossible de lire les conneries qu’il pouvait rappliquer, vous savez… Mais avant même de pouvoir entreprendre quoi que se soit, ce dernier osa faire ce qu’elle n’avait point osée. C'est-à-dire? En quelques mots, disons l’embrasser. Pourquoi ce genre de chose doit toujours, toujours surprendre même si on l’a… Cherché. Après tout, disons qu’elle avait agit de la sorte en… Bref. Sa réaction fut plutôt sèche, ses yeux restèrent ouverts un bon moment avant qu’elle ne parvienne à s’emporter. Il n’y aurait point de mot exact pour en décrire la raison… Ça semblait juste la chose à faire. Puis disons qu’elle ne rejetait pas une telle attention non plus. Ses mains ne tardèrent pas à s’harmoniser au rythme de celles de ce sacré Kosuke, juste terme, afin de s’enrouler à son coup. Sans laisser aller des lèvres du jeune homme, elle en profita aussi pour filer quelques doigts dans sa douce chevelure. Seul le toucher la fit sourire légèrement à travers le baiser. Toutefois, se fut bref. Du moins, ça lui sembla. La séparation fut quelque peu douloureuse, jusqu’à ce qu’il chuchote à son oreille,

" Oh, je pense que tu les mérites largement. "

Puis qui était-il pour juger au nom des brownies eux-mêmes, hum? Certes, elle aurait put le frapper mais une fois de plus il ne manqua pas de la surprendre. Si jamais elle n’aurait pas atterrit dans un champ de pissenlits, elle ne se serait certes pas retenue afin de le projeter dans l’espace avec des brownies là où elle pense mais… Ouais, les fleurs lui auront sauvé la vie. ‘Malgré la situation dans laquelle les deux se trouvaient. Il peut d’ailleurs se considérer heureux d’avoir fait garde à ne pas l’écraser, chose qui l’aurait projeté bien plus loin. Bien plus loin qu’où elle, s’efforcerait de le projeter. Tout de même curieux, comment elle s’était laissée entraîner là dedans… Charmeur sans aucun doute, cet innocent Kosuke. Innocent? Oubliez ça. Les choses se passèrent assez rapidement, distraite par le baiser et l’attention qui furent consacrés à son coup, cette dernière ne put remarquer ou donner quelconque attention… Uh, une minute. Était-il vraiment… Oui. Son corps s’avéra plus tendu lorsqu’elle eut réalisée où était rendu la main de ce dernier, elle ne manqua pas d’y jeter un œil non plus. Un peu plus et elle aurait d’ailleurs son crâne contre celui de ce dernier. En faire autrement n’aurait pas été digne d’elle ~ Mais en effet, ce dernier avait bien posé la main là. Là, sur le sac de lait. Vous savez. Cela serait mentir si elle ne soulignait pas la rougeur très visible qui s’était accaparée de son visage au même instant. Dire que son ego était aussi soumis que ça?

" Uhm, plus attirante qu'un brownie et plus douce qu'une peluche ~ "

Traumatisant, digne d’un second coup, ou bien provocateur? Tous ses mots dans un malaxeur. Mais il n’avait surtout pas fini, oh non… Son regard croisa celui de Kosuke à peine un instant alors qu’il s’attaqua de nouveau à son cou, jusqu’à ce que… Maintenant il était mort. Il serait mort. Une fois qu’elle aurait mit les mains sur les brownies… Elle sentait le tissu couvrant sa peau peu à peu se dérober, glisser de sur elle. Si jamais elle aurait put voir sa propre expression à l’instant, elle jurait qu’elle verrait nulle autre que des yeux sortants de leur orbites. Mais le pire parmi tout cela? Aucune réaction. Aussi rigide qu’une plante. Pour un malaise… Apprécié. Maintenant dévoilée, elle détourna le regard, n’osant point faire face au jeune homme pour l’instant. À croire que son poing était hypnotisé par la joie des pissenlits. Mais se fut lorsqu’elle sentit les lèvres de ce dernier se posa sur cet endroit délicat qu’elle ne put retenir sa surprise. À travers les respirations de la jeune femme se hissa l’un de ses sons dignes de témoigner d’un certain plaisir. Chose pour laquelle elle se frapperait plus tard. Instinctivement, elle passa ses mains derrière la tête de ce dernier, caressant ses cheveux. Si impuissante face à ce type? Cela ne pouvait passer. Elle s’en voudrait pour le restant de ses jours! Elle osa donc se hisser un peu hors de son étreinte, afin de le forcer à lever le regard. Pourquoi se laissa-t-elle hypnotiser par les yeux de ce dernier lors d’un instant? Passion? Sincérité? Désir? Elle ne le savait point elle-même. Quoi qu’elle n’apprécierait pas qu’il remarque la gêne dans son visage à ce moment. Qu’arrivait-il à son ego, tout d’un coup? Une petite pousse, allez! D’un ton moqueur, voir provocateur, elle ajouta,

"Je me chargerais de te décapiter personnellement pour ça, Kosuke…"

Telle une tigresse ( -se frappe- ) elle laissa lentement glisser ses mains le long des épaules du jeune homme avant de le pousser sur le côté et de s’accaparer le premier rôle, un genou au sol de chaque côté. Elle prit un moment pour contempler de sa position le visage de ce charmeur. Comme si la gêne était disparue, elle prolongea le moment, sentant la chaleur émanant d’une si belle journée lui coller à sa peau nue, dévoilée à la lumière du jour. Puis après lui avoir lancé un autre sourire moqueur, elle prit alors position. Elle s’assit alors sur le bassin du jeune homme, sans appliquer tout son poids bien sur, puis se pencha lentement vers l’avant, se frottant contre le torse de Kosuke jusqu’à ce qu’elle n’ait atteinte son visage. Satisfaite et quelque peu amusée, elle plongea son regard dans le sien, question de provoquer un peu, avant d’abaisser son visage de sorte à presque l’embrasser de nouveau. Mais à la place, elle décida de laisser ses yeux longer son coup, jusqu’à son haut. Puis alors elle murmura, laissant ses mains se glisser jusqu’à l’extrémité,

"Mais avant, soyons un peu équitable, veux-tu?"

Lentement, elle ouvrit son haut, ses lèvres contre sa peau. Elle commença avec le coup, puis plus son haut s’ouvrit, plus ses lèvres suivirent. À plusieurs reprises, elle put sentir les battements de cœur et la respiration de ce cher Kosuke, jusqu’à ce qu’elle ne lui frôle le nombril. Maintenant libre de le débarrasser de son haut, elle sourit avant de remonter jusqu’à son coup par le biais du même processus, tâchant de le mordiller à plusieurs reprises. Oh oui, il allait payer. Elle laissa un dernier baiser sur son coup avant de dégager le plus de tissu du torse qui allait s’offrir à elle. Puis elle recula un peu la tête, question d’admirer son trophée. Fière d’elle, un sourire se hissa sur le coin de ses lèvres à la vue de ce corps. Pas mal, il prend bien soin de lui, évidemment. Curieuse, l’une de ses mains s’affala et caressa de nouveau le corps de ce dernier, de haut en bas, alors qu’elle plongea son regard dans le sien. Pas question de rater une seule réaction après tout ~ Puis elle s’élança vers l’avant une autre fois, déposer un autre baiser sur les lèvres de ce dernier, avec passion. Dans le fond peut-être se torturait-elle aussi en agissant de la sorte… La bonne métaphore serait de dire qu’elle était en feu. Du moins, son bas ventre l’était ( adore ce mot! ). Elle se rassit alors sur son bassin, puis toute aussi provocatrice, s’assura de s’y frotter un peu, l’air bien innocente. Dans son cas, il ne lui restait que ses shorts… Le même semblait valoir pour lui. Prête à se venger, elle baissa les mains vers la ceinture du pantalon de celui-ci, puis plus lentement que jamais, se mit à la retirer. Digne de blaguer un peu, chose inévitable, elle se mit à siffler comme pour faire durer le suspense, avant de lancer aussi innocemment que jamais, chose qui se retournerait sans aucun doute contre elle de toute manière,

"Tu es certain de vouloir gâcher les yeux innocents des petits animaux de la forêt?"

Bah quoi? S’il y avait des petits lapins là, dans les pissenlits sifle

Qui sait! Pffff.

"Je me chargerais de te décapiter personnellement pour ça, Kosuke…"

Menace vaine et futile, il ne la craignait point. Ou du moins il avait vécu tellement de situations traumatisante avec elle que cette menace bien que très violente ne lui retira qu'un sourire. Qui aime bien châtie bien ? Le proverbe s'appliquait très bien à la situation. Un regard furtif et très bref aux alentours. Quoi de mieux que des ébats dans un champ de pissenlit ? Peut être un brownies avec un verre de lait. Effaçant cette pensée de son esprit, il se reconcentra sur la charmante demoiselle, croisant le regard de celle ci. Le teint légèrement écarlate, une forte gène ? La possibilité était élevée. Après tout, ils étaient dehors, n'importe quelle personne ou animal pouvait passer et venir les déranger. Un Kage batifolant avec une kunoichi d'un autre village. Cela pourrait faire la une du journal The Kiri Chronicle-Telegraph. Il voyait déjà cela en première page. Enfin, il avait fait attention à ne pas être suivit par des girafes reporteurs. Il n'y avait que peu de chance qu'une personne s'hasarde en ce lieu si reculé. Cette pensée que rien de désastreux n'arrive clochait toujours dans l'esprit du Kage. Puis, il chassa de nouveau cette pensée. Se satisfaire du moment présent et ne pas chercher de problèmes ? A penser aussi négativement, cela finirait surement par lui retomber dessus. Au moins celle ci ne réagissait pas violemment comme cela aurait pu être le cas. Au contraire, il sentit les mains de celle ci passant derrière son cou et caressant ses cheveux. On ressentait plus de douceur que de haine dans ce geste. Et la menace d'il y a quelques secondes disparue complétement de l'esprit du jeune homme.

Toujours ses yeux plongés dans ceux de la demoiselle, il fut légèrement surprit. Celle ci le poussa sur le côté, et pour réaction et bien Kosuke... ne bougea pas et la laissa faire. Celle ci qui était il y a quelques secondes en dessous de lui venait d'inverser les rôles. Ses genoux de part et d'autre de son corps. Ainsi souhaitait-elle prendre une position de force. Les yeux du Mizukage quand à eux ne quittaient pas le corps de la jeune femme, totalement envouté par les courbes parfaites que la nature lui avait donné. Yuu se posa à se moment sur son bassin, sans exercer tout le poids de son corps, puis un sourire moqueur se dessina sur le visage de celle ci. Devait-il craindre quelque chose ? Hum, il ne pouvait imaginer quelque chose de mal durant ce moment, après tout. Les autruches, écureuil devaient bien se reposer de temps en temps non ? Il priait de tout son cœur pour que rien ne vienne perturber sa journée. La jeune demoiselle se frotta contre son torse afin de remonter jusqu'à son visage. Un baiser ? Non une feinte, cela devrait être interdit, comment peut on oser feindre un baiser éè ? Ceci méritait une fessée, hélas il n'avait pas amené son fouet dans le sac. Il s'en servirait une autre fois.

"Mais avant, soyons un peu équitable, veux-tu?"

L'équité revenait souvent, pourquoi les femmes depuis quelques années souhaitaient dominer ? Elle devraient rester à leur place non ? Dans la cuisi... euh donc le Mizukage continua de la fixer, ne répondant pas à cette phrase et la laissant agir. Après tout, elle devait avoir la situation en main. Quelques secondes après, celle ci ouvrit son haut, et descendit le long de son corps. Ses lèvres suivant le rythme et effleurant la peau de Kosuke. Sa respiration s'accéléra peu à peu, comment résister à une femme aussi charmante ? (Oui un brownie mais c'est déjà dit plus haut o: ). Puis il sentit les lèvres de celle ci lui frôler le nombril. Il passa ses mains dans la douce chevelure de la jeune femme. (Utilisez le shampoing brownie et vos cheveux seront doux et soyeux.) Puis caressant le dos de celle ci. Son haut étant maintenant totalement enlevé, elle remonta progressivement son corps après quelques mordillements qui fit sourire le Kage. Enfin, après l'avoir observé torse nue après quelques secondes, elle lui déposa un baiser animé qu'il fit durer le plus longtemps possible, caressant le dos de la jeune femme, puis longeant le corps de celle ci pour arriver à ses hanches. Quand elle eut cessé le baiser, elle se redressa immédiatement et se frotta contre le bassin du jeune homme. Quand à Kosuke ? Il ne réagissait pas, après tout, Yuu savait ce qu'elle faisait en jouant la prédatrice sexuelle (/zbaff/). Il allait attendre encore quelques secondes avant de réagir de prendre l'ascendant. Ceci n'était qu'un combat d'une certaine façon, prendre le pouvoir sur l'autre pour que celui ci agisse dans le sens qu'on le souhaite. Toutefois ne valait-il pas mieux d'être dominé parfois ? Celle ci avait donc libre action sur lui. Elle ne tarda point à passer ses mains à la ceinture du Kage et commencer à l'enlever, elle se mit même à siffloter en enlevant le pantalon du Kage. Viol d'un kage ? Cela pouvait aller très loin. Prison, argent à verser à la victime (moi), viol dans la prison ensuite, et surtout, plus de brownies. Il se retrouvait donc avec juste un caleçon dans un champ de pissenlit. Normal, qui ne l'avait jamais fait ?

La jeune femme était également dénudée, il se lui restait plus que ses bas. Et, l'excitation melangé à l'impatience ne faisait pas réellement un bon ménage. La demoiselle avait prit son temps, trop de temps peut être ? Reprendre la main maintenant et accélérer ce moment afin de passer à des choses disons, plus sérieuses.

"Tu es certain de vouloir gâcher les yeux innocents des petits animaux de la forêt?"

Les animaux de la forêt ? Bof, eux ne se gêner pas pour batifoler devant tout le monde non ? Il se foutait de l'intimité, et puis ils étaient caché dans les pissenlits rappelons le. Il ne pouvait rien leur arriver de grave dans des pissenlits éè. Sans lui laisser une seconde pour réagir, il la fit tomber en arrière, et posa comme elle l'avait fait ses genoux de par et d'autre du corps de la jeune femme. Posant délicatement un baiser sur les lèvres de celle ci, il descendit atteignant son cou qu'il embrassa également avant de continuer sa descente, profitant des courbes parfaite de la demoiselle. Laissant glisser ses doigts le long de son corps. Arrivant au niveau de la poitrine de celle ci, il agrippa les seins de celle ci qu'il malaxaient tout en fixant la kunoichi dans les yeux, un bonheur d'observer de la gène dans les yeux de quelqu'un d'autre ? Une augmentation du plaisir ? Il ne saurait que dire. Toutefois, il appréciait ce genre de situation. Sadique ? Uhm, pourquoi pas. Quittant le regard de la jeune femme, elle mordilla de nouveau les seins de celle ci durant quelques secondes puis cessa son action. Il continua ainsi de descendre le long du corps de Yuu avant d'embrasser son nombril, ou plutôt l'effleurer pour enfin atteindre l'un des dernier morceau de tissu qui lui barrait la route.

Agrippant le haut du short que possédait la Kunoichi de ses dents, il tira d'un coup sec et précis pour que le bouton lâche, puis il déposa un baiser sur la peau de celle ci et... Il retourna la demoiselle et la positionna à quatre pattes. Ses fesses tournées vers lui, délicatement, il agrippa son short déboutonné et le fit glisser avant de le jeter à quelques mètres de là. Maintenant au moins, ils étaient à égalité, un dernière vêtement chacun. Les fesses de la Kunoichi tournée vers lui, il ne prit pas beaucoup de temps à réfléchir, enfaite il n'avait pas vraiment envie de perde du temps, profiter de se moment du mieux possible. Ses mains se posèrent donc sur celles ci et les caressèrent durant quelques secondes. Ferme, assez musclées, pour ainsi dire parfaite, faisant glisser le tissu légèrement sur le côté, il déposa un baiser sur la fesse droite de Yuu. (Oui, car la gauche était méchante et je l'ai déjà tâter sur NAR o: ). Puis, d'un geste ample et d'une grande beauté, il claqua les fesses de la jeune femme. (Un minimum de sadisme, la romance ne fait point tout.) Laissant glisser ses doigts sur les fesses de la jeune femme, il s'autorisa à laisser passer une main sous le tissu et unique rempart de celle ci. Étant toujours à quatre pattes, il ne pouvait savoir quelle expression prenait la demoiselle. Elle pouvait à tout moment se retourner et faire un home run spectaculaire. Ses doigts longeant ses fesses, doucement, même trop doucement, après tout, elle l'avait bien fait attendre très longtemps. Ainsi après quelques secondes qu'il espérait longue pour la jeune femme, les doigts de sa main droite glissèrent sous le tissu avant d'arriver jusqu'à la partie intime de la jeune femme. Comment décrire se moment ? Et bien, il pleuvait des cordes... Oui, mouillé, très mouillé même. (/zbaff/). Oui, il aurait aimé voir l'expression de la demoiselle, le plaisir de la voir rougir aurait été quelque chose qu'il aurait aimé voir, mais il y avait le temps, et il aurait l'occasion d'en profiter. Sa main caressa donc lentement la partie intime de la jeune femme. Caressant le clitoris de celle ci, faisant des mouvements lent, circulaire (Rond D:), puis accélérant au fur des secondes afin de provoquer plus de plaisir à sa partenaire. Quand à son autre main, elle glissa le long des cottes de la jeune femme avant de continuer son chemin vers la poitrine de Yuu qu'il malaxa fermement. Puis, il stoppa son action durant quelques secondes, enlevant le dernière des vêtement de la jeune femme, le faisant glisser le long de ses jambes puis le jetant au loin parmi les pissenlits. Il écouta la respiration de la jeune femme avant de reprendre, non plus en faisant des ronds, non pas de carrés non plus. (il ne savait pas les faire). Non, il allait passer à quelque chose d'autre, glissant son majeur dans les parois intenses (pour chou) de la demoiselle. Ainsi, durant quelques minutes il effectua des va et vient, régulier au début, puis prenant de plus en plus de vitesse afin de donner plus de plaisir à sa partenaire, puis il cessa. Après tout, l'équité n'était plus respecté maintenant ~

" Aucun animal en vue, les lapins ne seront pas trop choqués "

Invité

La seule manière de rendre un homme digne de confiance est de la lui accordée, hum? D’ailleurs les actes qui s’en sont suivis ne sont pas venus seuls, il faut toujours quelqu’un pour les engendrer! Juste à regarder la réaction de ce très cher Kosuke, il était certain que les animaux de la forêt se feraient envoyer balader. Avait-il même mis quelques trappes à brownies en place? Dangereux, tout de même, il n’y a pas que des bêtes qui mettraient pieds là dedans! Enfin, elle ne tarda pas non plus à basculer de nouveau sur le dos alors que ce dernier prit à nouveau les dessus, tout comme elle l’eut fait. Le karma fait bien des choses, à croire. Un baiser de plus fut exécuté avant qu’il ne s’en prenne à son cou. Il ne tarda pas non plus sur cet endroit, longeant maintenant son corps jusqu’au plus proche attrait féminin, si l’on peut l’appeler ainsi ( :X ). Sans compter qu’il fut quelque peu difficile d’ignorer ses mains baladeuses. Mais disons ce qui fait plus mal à l’ego de celle-ci est en fait le plaisir qu’elle éprouva lorsqu’il posa ses mains là où il venait d’afférer tant ses lèvres, surtout par le simple fait qu’il osa s’amuser à la regarder rougir. Si seulement elle aurait eut la force de lui renvoyer ses yeux de la mort qui en dirait long sur les souffrances qu’elle lui promettrait pour plus tard, mais à la place, elle détourna légèrement le regard afin qu’il n’aille pas aussi grande entreprise sur cet ego qu’il ne l’avait déjà! Elle ne put donc point prédire grand-chose jusqu’à ce qu’elle ne ressente ses lèvres à nouveau au même endroit, chose qui la fit à la fois frissonner et raidir un peu. Mais une fois de plus, celui-ci ne tarda pas à en exécuter davantage… Il était en feu quoi? ( :O –zbaff- ) Il parcourut alors sa route en descendant plus bas, et encore plus bas… Jusqu’à en atteindre la dernière barrière de tissu restante, bloquant l’accès lui-même à la caverne d’alibaba féminine.

"Kosu… Mais qu’est-ce?"

Quoi, pas droit d’être traumatisé par la manière dont ses dents eurent exécutées ce tour? Elle en reparlerait surement à son dentiste. Bref, un choc. Car oui, elle avait osée regarder ~ Du moins ce jusqu’à ce qu’il ne prenne plus que les avants. Elle fut littéralement soulevée telle une poupée de chiffon sur ses quatre pattes, de sorte à ne même plus avoir un œil sur lui. Ce qui n’est point de bonne augure, si vous lui demandiez… Il était facile d’en juger autant à sentir ses shorts lentement glisser jusqu’à être complètement retirée. Les mains baladeuses furent aussitôt de retour ( :O ). Ses dernières se posèrent là où le tissu fut maintenant absent, n’aidant surtout pas au niveau de la gêne. Quoi qu’heureusement cette fois il ne pouvait voir cette dernière rougir, quoi qu’elle non plus ne pouvait discerner ses intentions quoi qu’en fait… Elles étaient bien plus qu’évidentes. Ok une chose qu’elle n’avait pas prévue, la claque. Si elle était si contorsionniste elle se serait chaleureusement retourné lui donner une baffe à la figure, mais la loi de la gravité l’en empêchait atrocement! Mais c’est alors que ses doigts se frayèrent un chemin jusqu’au parois internes de cette dernière (pas intenses, maudit inculte :O)… Chose qui lui en coupa presque le souffle. De nombreuses injures et souhaits de vengeances tout aussi douloureux passèrent à travers les pensées de Yuu, qui se résolut toutefois à attendre le moment propice. En ce moment disons qu’elle était trop… Soumise. Ouch, le mot lui-même faisait mal! Elle s’en mordit les lèvres lorsque la sensation lui parvint. Graduelle, très certainement, mais ses maudites caresses la rendaient encore plus submissive. Si ce n’était du soutien de sa main libre et baladeuse qui revint à sa poitrine, elle aurait bien cru après quelques moments qu’elle se serait écroulée à la suite de ses actions. Il prit un certain rythme, provocant davantage de plaisir qui se fit savoir par quelques gémissements qu’il ne manquerait pas d’entendre. Ouch une fois de plus pour l’ego! La friction ne pouvait point être ignorée, la forçant à fermer les yeux alors qu’il continua à accélérer le processus. D’ailleurs le majeur n’aidait pas ~ Du moins, elle en jugea le contraire lorsqu’il cessa. Sec comme ça. Les yeux de la jeune femme s’ouvrir de nouveau, lentement, sueur au front. Celle-ci laissa évacuer son souffle alors qu’elle réalisa qu’il s’était vraiment arrêté. Vraiment, il voulait jouer à ça? Aux agaces? Typique de sa part, hum? Une fois de plus, ce jeu se joue à deux!

" Aucun animal en vue, les lapins ne seront pas trop choqués "

Oh oui il le verrait bien… Lentement, elle se redressa, jusqu’à ce que son dos n’heurte le torse de Kosuke. Elle en profita alors pour saisir les mains de ce dernier des siennes, puis de les porter à abaisser le dernier morceau de tissu qu’elle avait sur le corps. Il l’aurait cherché. Ne sait-il pas qu’elle est sauvage lorsqu’elle le désire? Non en fait il le sait parfaitement, non? Alors il n’aurait pas d’attaque de cœur si elle jouait un peu la prédatrice digne de ce nom! La seule idée la ravit. Tandis qu’elle guidait ses mains, elle détourna un peu la tête afin d’enfouir son visage dans le coup de l’homme contre qui elle se blottissait. À l’occasion elle y posa ses lèvres et le mordilla, digne d’un peu de provocation. C’est patiemment et douloureusement qu’elle le guida jusqu’à ce que le dernier morceau de tissu ne joigne le reste. Puis alors, elle sourit, dévoilant de nouveau son visage à Kosuke en se retournant, puis en posant une main à son coup afin d’entraîner une fois de plus ses lèvres sur les siennes. Puis d’un malicieux sourire, à une proximité incroyable, son regard dans le sien, elle murmura,

"Alors pas de pitié, mon cher ~"

Directe et honnête, oh elle le serait. Sans même perdre une autre seconde, elle fit asseoir confortablement ce dernier. Elle, se retourna complètement et à genoux devant lui, maintenant complètement dévoilée à ce dernier. Équité? Oh, elle la pêcherait, littéralement. Ses yeux s’abaissèrent lentement vers le dernier morceau de tissu qui résidait sur ce dernier. Le karma ferait la magie de Disney… Quoi qu’à y penser, ils en font de nombreux messages subliminaux ceux là! Kosuke pourrait la regarder comme il veut, faire ce qu’il veut, mais elle avait ses plans et elles les exécuteraient. En d’autres mots? Sa main glissa de sou cou, caressant son chemin jusqu’à l’extrémité de ce vêtement. Sans doute aurait-elle prit plaisir à regarder l’expression sur le visage de celui-ci, mais à la place elle se concentra sur une seule chose… Ouais, elle allait pêcher. Sa main glissa maintenant doucement à l’intérieur, les doigts flatteurs jusqu’à ce qu’il ne s’accapare une emprise sur son fusil (ta faute!). Ensemble, ils le longèrent et le redescendirent tendrement. Un sourire vint se river sur les lèvres de la demoiselle qui sans arrêter, leva de nouveau son regard dans celui de son partenaire, avant de lui voler un autre baiser alors qu’elle s’activait. Elle pressa sa poitrine contre lui sans séparer ses lèvres des siennes, puis sans arrêter son travail en cours. Enlacés autour de l’instrument masculin, ils le caressère tendrement à un rythme qui ne cessa d’accélérer, se promenant d’au en bas, créant une friction constante. Elle l’avait maintenant libéré du tissu qui cachait ainsi la fierté d’Adam (MDR). Quant au baiser, il fut arrêté tandis qu’elle vint poser sa tête contre son épaule, là où elle commença à mordiller, quelque peu agace. Mais elle empira sans doute le cas lorsqu’elle se résolut à ralentir le rythme de ses mains, ce, avant d’oser ramener son visage devant le sien, question d’observer un peu sa réaction. Provocatrice? Qui sait. Elle n’a pas de talent pour ça? D’une voix douce et à la fois moqueuse, elle ajouta,

"Est-ce assez équitable pour toi, hum?"

Ça n’encourageait surtout pas à la suite voyons sifle

L'art de prendre du plaisir ? Après tout, sa position de Kage ne lui laissait aucunement le temps à toute forme de bonheur ou de plaisir. Toujours actif, être Kage d'un village était en quelque sorte renoncer en grande part à sa vie personnelle. Étant encore jeune et plein d'entrain, cette vision de rester enfermer dans un bureau jusqu'au jour ou il serait tué. Oui en général les fins des Kages ne sont pas bonnes et suite à la vieillesse. Les différentes forme de meurtre de Kage étaient de plus en plus sophistiquées: la dernière trouvaille était un piège à brownie qui allait devenir une arme massive. Attirer à attirer un Kage grâce a un brownie dans une cage et des que celui ci est dedans: clac. Le piège se referme. Mais quelle joie de mourir le brownie à la bouche ? D'ailleurs ce mot brownie le ramena à la raison et fit cesser ses pensées pour le moins futiles et débiles qui lui venaient sans cesse. C'est ainsi que l'odeur des brownies de son sac s'engouffra dans ses narines. Oh joie, un délice ce fumet. Détournant tout de même ses pensées de cette odeur, il fixa son attention sur la kunoichi. Après tout, la n'était point le moment de penser aux brownies. Observant dans tout les détails, centimètre par centimètre le corps de la jeune femme, il fut heureux d'être sortie de son village. Il n'avait d'ailleurs plus envie d'y retourner pour ainsi dire. Profiter de cette belle journée pour ce faire plaisir, et faire plaisir évidemment. C'est quoi aimer ? - C'est avoir envie de faire plaisir rien que pour le plaisir de faire plaisir. Cette pensée collait parfaitement avec la scène présente. Ayant stopper net son action et pour ainsi dire le plaisir de la jeune femme d'un coup sec, il savait pertinemment que ceci pouvait être prit telle une provocation chez la kunoichi. Et puis, ayant été docile et pour ainsi dire soumise durant les quelques minutes précédentes, il doutait que celle ci se laisse faire telle une marionnette jusqu'à la fin. Et d'un côté il souhaitait que celle ci prenne les devants, du moins que la domination soit partagée. Une soumission totale ? Le plaisir n'en serait que réduit, il fallait savoir dominer et être dominé. Chacun y prendrait son plaisir.

Laissant le temps à la demoiselle de prendre son temps, retrouver son souffle et surtout trouver une idée diabolique pour se venger, il ne tarda pas à sentir celle ci se redresser jusqu'à coller son dos contre lui, puis de saisir ses mains afin d'enlever le dernier morceau de tissu qu'elle possédait. Sans opposer une quelconque résistance, le jeune homme laissa faire la demoiselle. Accepter de se soumettre quelques minutes, telles étaient les conditions nécessaire pour que chacun y trouve son propre plaisir. Ses pensées s'estompèrent une fois de plus, sentant les lèvres de la jeune femme heurter les siennes avant que celle ci n'ajoute dans un murmure qui suggérait une suite forte intéressante.

"Alors pas de pitié, mon cher ~"

La suite, le jeune homme se retrouva assis et devant lui, se tenait à genoux la jeune femme. (Situation rêvée D; ). Ainsi celle ci prenait la situation en main (Quel jeu de mot D: ). Sentant la main de celle ci glisser depuis son cou jusqu'à la dernière pièce de tissu que possédait le Kage. Puis ses doigts glissèrent lentement à l'intérieur du tissu. Tout en continuant de descendre, elle releva la tête plongeant son regard dans celui de Kosuke en souriant, un sourire qu'il rendit d'ailleurs immédiatement avant que celle ci ne l'embrasse. Baiser qu'il rendit immédiatement, en faisant perdurer ce moment. Il pouvait sentir la poitrine de la jeune femme contre son torse, enlacé contre la jeune femme. Caressant son dos, l'embrassant dans le cou. C'est alors qu'il sentit les doigts de la jeune femme se refermer sur son fusil (On continue avec ce trip alors D; ). Blottit contre le corps de la jeune femme, il la laissa faire. Ses doigts effectuant des aller retour constant, sans pause et devenant de plus en plus rapide au fur et à mesure des secondes qui passaient. La jeune femme ne tarda pas à lui enlever son dernière vêtement, maintenant chacun d'eux se retrouvait dans la nudité la plus totale. Continuant à sentir les vas et vient de la jeune femme, il sentit son pouls s'accélérer, sa respiration devenant également de plus en plus rauque au fur et à mesure du plaisir que procurer la kunoichi.Toutefois, la suite fut qu'elle stoppa son action, ralentissant jusqu'à s'arrêter puis poser son visage devant celui de Kosuke avant de lancer sur le ton moqueur qu'il connaissait maintenant énormément.

"Est-ce assez équitable pour toi, hum?"

Oh, le dicton "on n'a rien sans rien" n'était pas vraiment dans le tort, une petite vengeance pour ce qu'il avait fait précédemment ? Et bien, maintenant c'était à lui de donner afin de pouvoir mieux recevoir ensuite (). Rapidement, il souleva délicatement la jeune femme tel un pantin désarticulé, la posant sur ses genoux face à lui, de manière à pouvoir admirer au mieux les courbes et les magnifiques forme de celle ci. (Tel un brownie sauvage o: ). Ses mains s'hasardant de nouveau sur les seins de celle ci qu'il embrassa, mordilla même. Tout en malaxant ceux ci, il releva la tête et embrassa la kunoichi tendrement avant de poser sa tête sur le cou de celle ci. Mordillant à certain moment le cou de celle ci. Ses mains descendirent lentement, glissèrent le long de ses hanches atteignant les fesses fermes de la jeune femme. S'amusant avec, les malaxant comme si c'était un jouet qu'on lui avait offert. Quand il eut finit, ses mains reprirent leur périple. Longeant les jambes du coté extérieur jusqu'au niveau des genoux de la jeune femme, il se ravisa, passant par le côté intérieur et avançant lentement, même très lentement vers la partie intime de celle ci. Quand il fut à quelques centimètres de ce lieu, il plaça sa tête devant celle de Yuu, afin de contempler chacune de ses émotions, puis de nouveau continua de faire glisser ses doigts le long de sa jambe. Caressant délicatement l'entrejambe de la jeune femme, cette fois ci il avait le visage de celle ci à quelque centimètres de lui, il pourrait plus facilement profiter de cette scène. Il stoppa tout de même rapidement cette caresse faisant rouler la kunoichi sur le coté, celle ci se retrouvant dans le champ de pissenlits.
Quand à lui il se plaça maintenant à genou dans le champ, juste devant la kunoichi qui était maintenant couchée dans l'herbe. Ses mains longèrent les jambes de la jeune femme. Passant des pieds, glissant jusqu'aux mollets de celle ci et enfin s'arrêtant sur les cuisses. Les jambes de la jeune femme qu'il écarta afin de profiter d'une vue encore meilleure qu'il n'avait eu pour le moment. Il s'approcha lentement de la jeune femme afin de déposer un baiser sur les lèvres de celle ci puis murmurer à son oreille.

" Aucune catastrophe aujourd'hui, humm étonnant. "

Oui, rien n'avait essayé d'atteindre à leur vie, pour une fois... Embrassant de nouveau la jeune femme, il longea de ses lèvres le corps de la jeune femme, effleurant son nombril maintenant tout en suivant avec ses mains avant de se retrouver à quelques centimètres de l'intimité de la jeune femme, enfin plus vraiment d'intimité là. C'est des moments comme ceci ou l'on souhaite voir l'expression de l'autre, en retirer un grand plaisir. Toutefois, il ne releva pas encore les yeux, il y avait le temps non? Embrassant les cuisses de la jeune femme, se rapprochant de plus en plus de son intimité, déposant ses lèvres tout autour sans se préoccuper de cet endroit, il continua de faire patienter la jeune femme, puis quand il pensa l'avoir fait mariner assez longtemps, il recadra son attention. Sans plus attendre, il écarta délicatement les lèvres avec son pouce et son index (Celles du bas évidemment ). Puis introduisit sa langue tout en commençant à tourner lentement durant une dizaine de seconde. Puis tout en continuant, de sa deuxième main valide, il se permit d'utiliser ses doigts afin d'augmenter le plaisir de la demoiselle, jouant entre coup de langue et doigté, changeant de vitesse, parfois rapide parfois lente ne laissant aucun répit à la kunoichi, continuant son acte il leva les yeux vers elle, plongeant son regard dans le sien tout en remontant sa cuisse jusqu'à poser sa main sur les fesses de la jeune femme, quelle serait sa réaction ?

» Bon anniv' Chou D:

Un champs de pissenlits... [ PV: Chou ]

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