Votre personnage
 |
✘ Nom: Chinamiz
✘ Prénom: Nariamo
✘ Age: 19 Ans
✘ Nindo: Faire du monde un immense terrain de jeu.
✘ Village désiré: Suna ( Ou le village que vous désirez remplir ! )
|
Description psychologique
Le caractère d’un individu ne se définie pas en quelques mots loin de là ! Une personnalité est une chose complexe, varié et avec l’humeur, elle change grandement et très rapidement. Nariamo ne fait pas exception à la règle, tout autour de lui est digne de faire ressortir plusieurs aspects très différents de sa personnalité, sans pour autant faire de lui un schizophrène. Il lui arrive seulement de changer radicalement tout dépendant ce qui lui arrive ou bien par ce qu’il voit !
Le Paresseux
Nariamo est majoritaire le genre de personne qui use le plus possible du don de la procrastination ! Ou l’art de tout remettre au lendemain, plutôt du style à rester coucher dans un coin à l’ombre, si rien ne l’oblige à bouger. Nari adore passer du temps à ne rien faire de productif, prenant son temps pour faire ce qui lui plait et non ce qu’on attend de lui à moins que sa touche à ses petits plaisirs!
Le Joueur
Notre jeune homme est un grand joueur ! Il adore s’amuser, à sa façon il faut le dire, mais pour lui reste de l’amusement ! Pour Nariamo, la vie est un jeu qui ne doit pas avoir de limite, se privé c’est comme blasphémer. La vie n’est pas éternel et donc si on veut pouvoir dire qu’on a vécu, il ne faut jamais avoir peur de voir la fin de celle-ci et donc la mort ne signifie pratiquement rien pour le jeune homme tout comme le danger ! Il est prêt à foncer à moins de voir que ce n’est pas son moment. Étant un joueur née, le jeune homme n’a pas peur de parier, même lorsqu’il est pratiquement sûr de perdre, tant qu’il a une chance et qu’il peut affecter le jeu, il ne dira pas non !
Le Charmant
Une autre facette de la personnalité de Nariamo qui se résume majoritairement pour les demoiselles, car notre jeune homme possède tout de même un côté gentleman même s’il n’est pas royalement un ange ! Lorsqu’une jeune femme lui tappe dans l’eau il lui arrive de ressortir ses bonnes manières pour l’approcher, du moins sa lui arrive !
Le Connard
Nariamo est aussi du genre cru… En gros, il ne mâche pas ses mots et n’a pas peur d’affirmer ce qui lui viens en tête et encore moins si c’est quelque chose de méchant. Il est du genre à critiquer pour rien, surtout si sa peut mettre un peu d’action dans sa journée. Plutôt observateur, si quelqu’un cloche sur quelqu’un Nariamo n’hésiterait pas pour s’en servir pour vexer la dites personnes ! Le jeune homme adore créer une sorte de provocation chez les autres les rendant encore plus facile à la crise de nerf, c’est un des choses qui fait partie de son jeu.
Description physiologique
Faites avec une Petite mise en scène ^^
Les yeux de la victime se soulevèrent dans un effort surhumain, il n’apercevait que deux bottes noirs aucun morceaux de peau n’était montré aussi bas, car le pantalon noir du bourreau était long et couvrait la partie supérieur de la botte. La victime réussie avec tout ce qui lui restait de force à s’appuyer sur ses coudes pour voir un peu plus haut une sorte de tissu noir comme les pantalons couvrir ceux-ci en partie et flottant dans le vent, puis le pied du bourreau reversa la victime sur le côté. Elle se retrouva étendue sur le dos, ce qui lui permettait de voir le reste de son bourreau…Deux mains couvertes par des gants tout aussi noir que ses pantalons, une ceinture elle aussi couleur de nuit où sont accrochés quelques petits sacs. Puis la victime vit enfin la peau de celui qui allait l’achevé entre les gants et le début des manches courtes de la veste qui est de la même couleur que tout le reste de ses habits. Cette même veste adosse un col ouvert qui cache le cou du bourreau et une fermeture éclair qui trône en plein centre de la veste permettant de l’ouvrir. Puis le futur mort vit le visage de celui qui lui avait causé tout ce mal, un visage des plus humains excepté les deux yeux de l’assassin qui était d’un rouge vif. Sa coiffure était peu commune, les cheveux qui se trouvait à l’avant lui tombait sur le visage, mais laissait les yeux bien à découvert et les cheveux arrières formaient une sorte de pic vers l’arrière. Quelques mèches cachaient les oreilles de l’homme, mais elles restaient très bien visibles. Voilà la dernière vision de la victime avant d’être décapité sur le coup…
Votre Histoire
On raconte que nos parents façonnent notre personnalité et la façon d’on nous dirigeons notre propre vie… Qu’il implante en quelque sorte un code de conduite dans notre subconscient pour nous imposer des limites, pour qu’on sache ce qui est défini comme bien et mal… Et pourtant toute ma vie, j’ai fait ce que mes parents détestais… Toute ma vie, j’ai observé mes géniteurs travailler éduquer mes jeunes frères et sœurs en me disant que je ne leur ressemblais pas le moins du monde. Comme-ci j’étais complètement inconnu à cette famille qui portait m’avait fait naître, moi qui portait leur sang j’avais l’impression de ne même pas comprendre qui était réellement les gens que je voyais à tous les matins lorsque je me réveillais. Vous pouvez penser que c’est parce que j’avais l’impression d’être délaisser ou bien mal aimé, mais non… Bien au contraire, j’ai toujours eu une mère des plus gentilles, une maman qui est là quand tout va mal avec un magnifique sourire réconfortant, offrant gratuitement de merveilleux commentaires et compliments… C’est bien ce qui me manque de cette famille, ce sourire qui rendait même le soleil fade, c’était ce qui rendait cette femme qui m’avait donné vie tellement belle, son sourire irremplaçable. Alors que mon père, était là plus pour faire bouger, c’est lui qui mettait la vie dans la maison, même s’il n’était qu’un simple travailleur de champs, il avait mille et un talent allant de la menuiserie, passant du lancer de couteau à l’art ! C’était un homme à tout faire comme ma mère le disait si bien, elle disait aussi qu’il aurait pu devenir un grand homme s’il avait su être plus méchant, mon père était un homme qu’on peut qualifier de trop doux qui se laisse un peu trop marcher sur les pieds… Aujourd’hui, je n’aurais pas peur de le qualifier de faible, il n’avait pas le courage de se dresser bien droit pour montrer que lui aussi pouvait prendre la place qui lui est due. Puis, autour de moi, j’observais mon jeune frère et mes deux petites sœurs, lui si insouciant… Même étant quatre ans plus vieux que lui j’avais toujours de la difficulté à le regarder aller, sans la moindre peur, il sauta au secours des uns et des autres, sans qu’on ne lui demande il était toujours prêt à vouloir aider les autres, comme père. Alors que mes deux petites sœurs, qu’on surnommait les petites fleurs, étaient comme leurs surnoms, doux et délicats. On aurait pu croire qu’elles étaient de petits anges descendu du ciel pour faire briller la terre de mille feux ! Rendre le monde plus heureux, toujours souriante… Je ne crois même pas avoir un seul souvenir de mes petites sœurs les larmes aux yeux et pourtant on n’avait pas la vie la plus facile, nos parents travaillaient beaucoup et moi je me devais d’apprendre à exécuter mes talents au meilleur de leur forme, j’aidais de droite à gauche, mais sans plus… Alors que mon frère lui, s’occupait de tout avec un plaisir non dissimuler, la joie d’aider était facilement palpable sur son visage, tout allait bien dans notre petit monde et tout allait durer ainsi pendant encore quelque temps…
‘’ Mais un jour… La foudre devait s’abattre… ‘’
Mes yeux… J’avais l’impression qu’il était fermé depuis déjà plusieurs jours, mon corps semblait épuiser, alors que je n’avais aucun souvenir de ce qui pouvait avoir causé cette fatigue chez moi, mon dernier souvenir était dans la forêt où j’étais en train de m’exercer en pratique sur un chien… Alors que mon jeune frère m’avait surpris sur le fait, dès que je l’ai vue… C’est là que ma tête arrête, j’avais passé près de paniquer et puis rien, trou noir. Et maintenant, je me tiens debout…Debout dans des tonnes de cendres… Debout devant la maison qui m’a vue grandir en feu et pas seulement elle, mais bien tout le village semblait brûler d’un feu aussi noir que la nuit, c’est seulement à ce moment… En me demandant ce qui c’était réellement passé que je m’arrêtai à observer mes mains… Du sang, c’était la seule chose qui s’offrait à moi et pourtant aucune douleur ne m’affectait, il ne fut pas difficile pour moi de comprendre que ce n’était pas mon sang, mais maintenant j’étais curieux de savoir à qui il était. Je m’avançais parmi les débris, cherchant des traces de vie, quelqu’un qui pourrait me dire ce qui c’était passé pendant le temps que moi j’étais dans un autre monde, pendant que je n’étais plus conscient. J’avançais tranquillement jusqu’à marche sur quelque chose qui fit un bruit différent des morceaux de bois à moitié calciner… Mes yeux se baissèrent avant même que mon cerveau puisse comprendre complètement ce qui se tenait sous moi, je regardais maintenant une main rendu noir par les flammes qui s’était brisé sous le poids de mon corps… J’aurais dû à ce moment avoir peur, prendre mes jambes à mon cou et partir loin de ce qui s’annonçait être un carnage… Mais non, quelque chose au fond de moi me disait d’avancer, me poussait même à continuer de marcher… Que ce que je venais de voir n’était rien comparer à ce que je verrais en faisant quelques pas encore. Et donc, je continuai, continua à marche dans les débris pour traverser ce qui restait de porte à mon ancienne demeure, pour voir ce que je savais trouver… Des corps, des corps meurtries par les flammes, mais aussi par quelques choses d’autres, j’en étais sûr… Les marques de griffes qui apparaissaient sur plusieurs corps venaient rendre mes pensées véridiques, j’observais les corps tranquillement sans le moindre son, sauf celui du feu qui grillait les planches. Je n’avais pas peur, au contraire une sorte de petite lueur naissait en moi, je me devais de continuer de regarder… Mes yeux s’arrêtaient, je venais de trouver quelque chose… Mes deux petites sœurs, elles étaient devant moi ou du moins ce qui en restait, leurs corps étaient sectionner en deux pratiquement de la même façon, elles devaient s'avoir trouvé une à côté de l’autre lors de l’attaque et avait dû mourir au même moment… Je m’approchai des deux corps et posa ma main sur leurs yeux pour les refermés, à ce moment je me surpris à les revoir dans une béatitude total, comme si leur joie était revenu. Je remarquai ensuite le corps de mon père très près de celui de mes jeunes sœurs… si sa n’avait pas été mon père je ne l’aurais surement pas reconnu… Son corps était rendu une masse de sang et de chair, il avait dû se placer devant mes jeunes sœurs pour les protéger… Il avait été broyé en une dizaine de morceau, son corps ne ressemblait plus à rien de connaissable, mes pieds se tenait dans le sang de mon propre père et pourtant le dégoût n’était pas présent en moi. Puis un son me parvenu à l’oreille, mes yeux se tournèrent dans cette même direction, je commençai à avancer tranquillement. Déplaçant un débris qui me bloquait l’accès je me retrouvais devant le corps d’une jeune femme, celui de ma mère… Elle avait dû être averti par le bruit, car elle me fixait déjà, son corps avait été traversé par plusieurs morceaux de débris et c’est à ce moment-là que je me senti plus humain, je sentais de la tristesse en moi, car je savais que ma mère allait bientôt mourir, je m’approcha d’elle pour qu’elle puisse me voir parmi la fumée, dès qu’elle vue que c’était moi, son regard d’espoir de survie semblait fondre et une sorte de peur apparu dans ses yeux… sans que j’aille à parler, ses lèvres ce mit à bouger…
‘’ Nariamo… Je t’aime mon fils, soit fort…pour nous tous, ce n’était pas toi. ‘’
Sans que je puisse lui répondre, elle me quitta… une larme coula sur ma joue, j’observais le corps de ma douce mère et j’essayais de comprendre les dernières paroles qu’elle venait de me livrer… Elle avait eu peur de moi, puis avait semblé réaliser que je n’étais pas le même qu’elle pensait, des sons se dirigeait vers moi, je me retournai pour voir plusieurs personnes entrer dans la maison et venir dans ma direction. Je ne bougeai pas, j’observais tranquillement les inconnus qui semblaient savoir ce qu’il recherchait… Et j’avais l’impression que j’étais la cible de cette recherche et pour valider ma pensée l’un d’eux retira le masque qu’il portait sur son visage pour me sourire, comme pour me consoler et m’amadouer.
‘’ Nous sommes là pour t’aider Nariamo. Nous allons t’accompagner dans un lieu plus intéressant pour toi et plus sûr.’’
Je ne répondis rien, mais il n’en attendait rien, il m’attrapa et quelques secondes ensuite nous étions déjà partis en direction de… Je l’ignorais en faites, j’allais le découvrir lorsque nous allions arriver !
CODE DU RÈGLEMENT: Kozukoto Walabize Mission Oméga
|
Sujet: Nariamo 
Lun 12 Sep - 2:02
