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| Sujet: Test Rp Suigetsu Ven 28 Oct - 13:16 | |
| Voilà maintenant plusieurs jours, que je ère dans les terres désolés de Kumo, à la recherche d'un homme, un seul homme qui avait réussit a me faire accumuler autant de haine, au point de réfléchir a quelle méthode j'allais employer pour le tuer. Lente ? Rapide ? Douloureuse ? Sanglante ? Le démembrer ? Il fallait que je pense a ça pour me détendre et garder mon mal en patience. Mais avant de vous narré ma situation actuelle, laissez moi commencer depuis le début. Qui l'aurais crus qu'on puisse faire cela à moi, Suigetsu, un membre du Clan Hôzuki.
Tout débuta ce jours là.. Un jour comme les autres pour moi, avant que l’inattendu se produise. C'était la période où le pays des vagues commençait petit à petit à se recouvrir de neiges. Le village de la brume sanglante, était enneigé. C'était la saison que je préféré, bien que le froid était au rendez vous, on pouvait observer les flacons tombés du ciel, venant se fondre en masse sur les terre de Kiri. C'est un spectacle qui me lassé pas et qui me faisait revenir des souvenir plus ou moins important. A ma grande habitude, je me promener dans mon village natal. J'avais strictement rien d'autre à faire, car le Mizukage m'avait déjà envoyé sur plusieurs missions a risque, dont j'avais était couronné de succès. Il prit soin de me dire qui fallait que je me repose, donc c'est pour cela qu'il allait pas me sollicité pour les futurs missions. En parlant de missions, bien sure c'est le terme officiel. Officieusement j'étais comme qui dirait un tueur a gage. Le Mizukage m'envoyait sur divers mission d'assassinat. Connaissant ma capacité et ma réputation dans le domaine de l'infiltration ainsi que l'assassinat, il mit pas longtemps à demander mes services. Qu'est-ce que j'y gagnais ? De la renommé, de l'argent et du sang sur ma lame. Voilà de quoi je vivais. Et épargnais moi votre morale, car pour moi il n'y avait rien d'autre qui comptais. Décapiter, démembrer sont les deux mots les plus appliqués de mon vocabulaire. Je faisais mon travail de ninja comme je dirais, avec un plaisir malsain à ôter la vie a autrui. Malsain ? Ça dépend pour qui. Pour moi j'étais rien d'autre qu'un mercenaire remplissant sa mission d'assouvir les désirs de son Mizukage. Mais je cache pas que tout ce sang que je répandais me rendais heureux. Sûrement dû a mes origines, et donc au sang qui coulait dans mes veines. J'étais comme qui dirais, formé dés mon plus jeune age, par mon défunt grand frère. On reviendra la dessus dans un petit moment.
Donc, le Mizukage, avait insisté pour que je prenne du repos. C'était plutôt pour me faire comprendre, qu'il y avait plus personnes qui menaçaient ses intérêt, que se soit sur le plan politique ou financier, et qu'il n'hésiterais pas une seule seconde a recourir a moi, si quelque chose de similaire venait à se produire. Alors me voici, arpentant les rues de Kiri ainsi que ses alentours, en espérant trouver une quelconque activité qui serait amusante de préférence, que je puisse me divertir ou faire un peu d'exercice. Je me situé actuellement dans un quartier commercial éloigner de Kiri. Il était mise a l'écart, sûrement dû a ses fréquentations, et le genre de personnes qui se trouvaient là bas, c'était pas pour acheter une baguette, vous m'avez compris. L'économie parallèle du pays avait pris naissance dans ce quartier sombre. Là bas, naquit, enlèvement en tout genre, des tueurs a gage plus ou moins expérimentés qui vendaient leurs services aux plus offrants. Donc, c'est dans ce quartier que j'avais décidé de faire un tour. Ma réputation était plus a refaire dans ce village. Et par de ce fait, je n'eus aucun mal à me déplacer parmi eux. Moi qui était redouté par tous depuis un moment, les personnes me croisant, baissez la tête de peur de croiser mon regard, ou de se retrouver perforé par ma lame. Je m'étais forgé en quelque sorte une réputation sans le vouloir, et je vous mentirais si je disais que sa me plaisait pas. Quelle personne n'aurais pas joui du fait que tout le monde vous craint et vous respecte ? Sûrement un crétin. Passons, j'étais donc en plein centre de ce quartier malfamé, et je n'avais pas réalisé que ma vie allait prendre un tournant à ce moment là. Je me promené sereinement comme j'avais l'habitude de faire, mais sans le savoir j'étais déjà sous surveillance rapproché. En effet, un homme me suivait en filature et gardait une distance raisonnable pour que je me doute de rien. Et un autre était déjà présent dans le quartier, et m'épiais de sa planque que j'avais même pas pris la peine de regardé. Même si il aurait été juste derrière moi, sincèrement je me serais fais aucun souci, et donc je l'aurais même pas remarqué, car comme un imbécile j'étais en confiance la plus totale. Jamais sa m'est, ne serait-ce heurtait l'esprit, qu'une personne s'en prenne a moi ou tente quoique se soit dans mon village natal. J'étais vraiment sure de moi, plus que quiconque, et malheureusement c'est ce qui allait provoquer « ma perte ».
Donc je me trouvais suivit de toute part, et malgré cela, je continuais ma route dans ce quartier. C'est là qu'un homme s'interposa sur mon chemin, me faisant signe de m’arrêter. Qui aurait crut que cette rencontre allait perpétrer mon périple. Cette homme, a l’œil nue, était age de la trentaine je dirais. Sur le plan physique, je faisais une tête de plus que lui, il avait un bandeau noir en comparaison au pirate sur un de ses yeux, il semblait être borne de l’œil droit à première vue. Qui était-il pour m’arrêter sur ma route ? J'allais pas tarder découvrir sa véritable identité ainsi que ses intentions. Pour moi il était juste une vielle personne, ne tenant pas à la vie, en vue de se mettre devant moi d'une telle manière. Il m'adressa la parole d'une voix confiante :
« Suigetsu-sama, j'ai entendu parlé de vous dans ce village encré de sang, permettez moi de me présenter, Yugako, subordonné du Seigneur du pays des vagues. J'ai une mission de la plus haute importance pour vous, par le Daimyo lui même. Il souhaite vous rencontrer »
A l'écoute de ses paroles, j'étais comme qui dirait enchanté. Toute de suite, je me voyais déjà, haut prestige de renommé. Servir le Daimyo lui même était l'occasion rêver de prouver ma valeur au monde, et réaliser mon rêve, faire partit de l'élite. Comme un enfant, je me suis soucié de rien, je me suis même pas demandais pourquoi un homme du Daimyo s'était retrouvé dans ces rue malfamé, car, mon excitation était a son comble. A la suite de ses mots, je lui ai demandé l'objet de sa demande. Il me répondit, avec sa langue fourchue, que je devais me rendre dans un lieu, et renforcé la surveillance avant que le Daimyo ne s'y rende en personne. Et que j'aurais l'honneur peut être si j'étais chanceux, de le rencontrer directement, et qu'il me ferais promu par la suite. Étant donné que j'étais en repos déclaré par le Mizukage, et que par dessus tout j'avais vraiment rien a faire, je me suis plié à cette demande.
A partir de ce moment là, nous avons pris la route, le subordonné du Daimyo était bien sure devant pour indiquer le chemin. Bien entendu j'étais toujours pisté depuis le début sans m'en soucié. Je marchais lentement,les bras croisés derrière la tête, en train de pensé a ma futur mission, et combien de mort j'allais perpétrer. Toujours ma gourde d'eau sur moi, a disposition pour me déshydraté , ainsi que mon sabre dans le dos, ma plus grande fierté, mon Kubikiri Hocho. Sa faisait maintenant une bonne demi heure qu'on marchaient. On s'éloignaient petit a petit de Kiri pour se retrouver dans les hauteurs. De là où nous nous trouvions je pouvais surplomber tout Kiri d'un simple regard. Après quelques mètres je vis une maison adjacent a une falaise. La maison en question ressemblait plus a une misérable planque de brigand qu'autre choses, mais bien sure ma vigilance était au plus bas. Le vielle homme Yugiko m'indiqua le chemin pour pénétrer dans cette demeure. Et il finis par me poser une requête des plus extravagante , il osa me demandé de retirer mon épée pour que je puisse sois disant me présenter au Seigneur du pays des vagues. Je comprenais toute à fait la requête qu'il me rétorqua, sinon n'importe qui pourrait porter atteinte à la vie du Daimyo sans ses mesures de sécurité. L'idée de me séparer même un court instant de mon cher sabre, ne m'avais jamais effleurait l'esprit. J'étais née avec, je mourrai avec. Tel était l'importance de l'histoire de cette lame a mes yeux. Loin d'être ravi par le demande de Yugiko, je finis par y cédé et je déposa ma lame imposante au sol. Un de ses hommes la saisi a deux mains pour sois disant la mettre de coté le temps de ma rencontre avec le Daimyo. Puis Yugito poussa cette vielle porte, et me pria d'y rentrer en premier. C'est a partir de ce moment que tout a basculé. Un homme, sûrement celui qui me pistait depuis le début était a l'étage supérieure. Il s'approcha de moi calmement et sortit une sorte de fouet. Oui, cette homme avait l'intention de me frapper avec. Bien sure je fus absolument pas effrayer par cette attaque physique qui allait juste me traverser grâce a ma capacité de liquéfaction. C'est là que du chakra Raiton émana dans le fouet qui était déjà en ma direction. Vous l'avez compris, il était trop tard pour esquivé quoique se soit. Je m'étais fais avoir comme un vulgaire gamin. A la suite de cette attaque qu'il m'avait porté, je fut immobilisé et ce pour un long moment. A la suite de mon immobilisation, Yugiko dévoila son vrai visage et ses véritable intention. Il m'avoua que son histoire était monté de toute pièce, et qu'il avait fait tout ça dans le seul but de m'amener ici et de me dérober Kubikiri Hocho. En effet, c'était un collectionneur d'épée, et de pas n'importe quelle épée. Il convoitait les épées légendaire. Je suis rentré dans une colère noir, c’était la première fois de ma vie que j'avais envie d'arracher le cœur d'un homme de mes propres mains. Avant de s'en allait, il me déclara l'endroit de sa destination, et ce fut Kumo. J'ai ne me suis jamais sentit aussi humilié de toute mon existence. Tellement il était sure de son coup, il prit la peine de me donner le nom de sa destination. Etait-il fou ? Non, simplement sure et certain de jamais me revoir. Je commençais à me liquéfier petit à petit, a fine gouttes, sous leurs visages sadique et jonchés de sourire que je voulais agrandir de part ma lame un par un. Quand ils finirent pas quitter la pièce en refermant la porte. Je me suis mis a poussé un cri de rage, que personne ne pouvait percevoir, entre les éclairs de ce fouet qui m’empêchait de me soustraire convenablement. Pendant que je luttais pour prendre complètement ma forme liquide, Yugiko était en route pour Kumo avec mon bien le plus précieux. Je ne lui pardonnerais jamais, je souhaitais mourir avec mon épée que vivre sans. Et lui par son stratagème des plus vicieux il a réussit à me l'extirper. Je pouvais m'en prendre qu'à moi même. A cause de ma confiance en moi absolue et de mon manque de méfiance, je fus amener à cette situation des plus embarrassante qui pouvait m'arriver. Une heure s'écoula, et j'étais finalement arrivé a mon stade de liquéfaction complète qui à pu me permettre par la suite de me dénoué de ce fouet. J'étais exténué et a bout de souffle dû à l’effort qu'il ma fallut pour me défaire entièrement de ce lien, je titubais debout, m'appuyant tel un faible sur le bord de la porte après l'avoir ouverte. Heureusement pour moi, il me restais ma gourde d'eau, dont j'épuisai aussitôt le contenu. Le peu d'eau a l'intérieure qui me rester, me donna assez de force pour me permettre de me sauver de cette endroit. Essouffler et plus que déshonoré j'étais en direction du village a fin de réunir mes affaires le plus vite possible et partir a la recherche de ces satané brigands, après au moins une journée de repos indispensable...
Maintenant vous savez pourquoi j'ai entrepris ce voyage en direction de Kumo, et l'immensité de la haine qui me ronge de l'intérieur. Je me suis fais dérobé mon bien le plus précieux, mon Kubikiri Hocho, je devais la récupérer a tout prix, quoiqu'il m'en coûte, en l'honneur de mon grand frère. Car ce n'est pas l'histoire d'une simple épée, mais plutôt d'un rêve que deviendra réalité dans un futur proche. Cela remonte a mon enfance, à l'époque où mon frère était parmi nous. Mon souffle de vie débuta quand celui de mes parents s'acheva. C'était un soir de claire de lune, ma mère était couché entrain de tenter désespérément de me mettre au monde quand une bande de mercenaires envoyé par un certain homme débarqua dans notre misérable demeure. Les mercenaires armés jusqu'au dents, n'eut aucune pitié en vers mes parents. Ils commencèrent par tuer mon père qui s'était opposé pour pouvoir protéger ma mère ainsi que ma venue au monde. J'étais sortis in extrémiste du ventre de ma mère, quand celle ci fut froidement exécuter. Il manquait plus que moi, j'étais posé sur un drap, mon premier souffle allait déjà s'éteindre. Quand à ce moment là, mon grand frère eut vent de ce qui était entrain de se produire, et accourut aussi vite. Il ouvra la porte, et découvrit les corps inanimé de nos défunt parent. Il fut submergé par un sentiment de haine et se mit à se jeter sur ses adversaires, les perforant un par un avec sa lame, tel une danse qu'il exécutait, il se battait de plus belle, dansant avec sa lame couverte de rouge, couverte de sang, couverte de haine. Le sol était inondé de sang, et parmi tout ces corps qui gisaient au sol, il y avait juste deux personnes vivante, Mangetsu et moi même venant de naître. C'est là que ma destinée fut tracé. Il me prit dans ses bras, comme n'importe quelle personne voulant prendre soin d'un nouveau née, et il s'approcha de la fenêtre admirant le claire de lune se reflétait sur le lac. Les ondulation de l'eau animait l'astre de la nuit, pendant que Mangetsu plongea son regard dans le mien, à présent son jeune frère pour me dire :
« Je m'appelle Mangetsu, né sous la pleine lune sanglante, toi qui est né sous le reflet sanglant de la lune, tu sera Suigetsu. »
Bien sure, cette histoire me fut conté par mon propre frère dés mon enfance, la vérité tragique sur ma venue au monde. Après quelque années d'ignorance, dès que je fut capable ne serait-ce de tenir une épée, mon grand frère pris en charge ma formation. Nous étions inséparable, et il y avait pas un jours où on ne s’entraîner pas au maniement de l'épée. Nos lames fusant à travers les airs qui procurait un son des plus agréable, qui fut vite mené par un rythme donné par la percussion de nos lames l'une contre elle. Les années continuaient de passé, et je grandissais petit a petit, toujours en m’entraînant avec mon grand frère. Quand un jours il m'annonça les raisons de tout ces entraînements. Il m'affirma qu'il avait rejoins le groupe des Sept épéistes de Kiri et qu'il attendait ma venu avec impatience. Le soir même, il me laissa un mot, et m'indiqua l'endroit ou était entreposé une épée de grande valeur pour lui. Une épée qu'il souhaitais me voir manier à l’apogée de mes capacités. A la suite, je ne l'ai plus jamais revue. J'ai pus apprendre que mon frère étant membres des sept épéistes de Kiri, avait tenté de perpétré un coup d'état en voulant assassiner le Mizukage. Après cet échec, ils furent tous déclarée déserteurs, et leurs mise a mort était donné. En raconta que mon frère trouva la mort à ce moment là. Quand la nouvelle me parvenus, tout était clair dans ma tête, je ne vivais pour un seul objectif, le nindo de mon frère, sa volonté, était en moi. Réunir toute les épées légendaire voilà par quoi je voulais commencer. Chaque épée était détenue par un ninja de renommé qui avait su la maîtriser. A l'exception de Mangetsu Hôzuki, mon grand frère qui était le seul a les avoir toute maîtrisées. Je connaissais déjà leurs noms qui sont les suivants : Hiramekarei, Kiba, Kabutowari, Nuibari, Homatsu, Samehada, et Kubiri Hocho jusqu'à présent en ma possession. Chaque épée détient une capacité différente qui la rendait vraiment extraordinaire et ainsi convoité de tous. Alors voici le merveilleux cadeau que m'avais fait mon frère, une des sept épée légendaire. Maintenant vous savez absolument tout de mon histoire, de ma détermination et pourquoi je veux a tout prix récupéré ce qui est mien. En l'honneur de mon défunt frère et du nindo que je vais accomplir, je tuerais absolument tout le monde se trouvant sur mon chemin. Actuellement en possession d'un Katana bon marché, je marchais lentement sur les terres de Kumo no kuni. Yugiko.. Je ne donnais pas très cher de sa peau, et finalement après cette longue marche et mure réflexion, j'ai pus enfin me décider. Ce sera une mort lente et douloureuse.
Dernière édition par Hôzuki Suigetsu le Ven 11 Nov - 16:46, édité 1 fois |
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