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| Sujet: Hoshigaki Kisame Jeu 17 Nov - 21:50 | |
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Hoshigaki Kisame
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✘ Nom: Hoshigaki
✘ Prénom: Kisame
✘ Age: 32 ans
✘ Nindo: Devenir un épéiste et combattre mes ennemis
✘ Village désiré: Kiri no Kuni
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Description psychologique
Kisame Hoshigaki, une description psychologique ? *ricane* Bien, commençons, les jeunots ! Combattant, oui … C’est un combattant, il a ça dans le sang le requin, toujours à chercher des combats dans le simple moyen de faire surgir cet instinct d’animal qu’est le requin ! Les shinobis se battent pour créer et réaliser leurs souhaits, et cela par obligation, pour Kisame c’est au contraire un plaisir qu’il puisse se battre. Il adore les adversaires de grande force mais n’avoue jamais qu’il en est impressionné, du genre : « Ouah, c’est trop fort ! ». Il déteste venter une personne qu’il affronte. Brutal comme un carnivore qui défit sa proie, ses méthodes de combats demeurent très dangereux, voir énormément craintif. Son envie de surpasser l’ennemi et de lui dévoiler ses tours de passe-passe en un seul moment est pour lui une habitude, toujours à dégainer son Samehada pour frimer. Rien qu’aux coups qu’il inflige à l’aide de l’épée qu’il possède, on découvre sa rage de combattre avec cette brutalité qui pourrait s’avérer très dangereuse lorsque l’on baissa notre garde.
Il ne possède par ailleurs aucune excellence en l’art de la discrétion, lors de ses affrontements, il créé des Jutsu qui sèment pagaille dans tout un village si il le désirait, toujours à causer du bruit pour attirer l’attention, qui sait, il serait donc inutile de lui confier une mission d’infiltration, car il pourrait la saboter en un clin d’œil. Connaissez-vous le jeu du chat et de la souris ? Généralement, le monstre du brouillard est le chat, il adore courser sa proie, la torturer, petit à petit pendant une bonne trentaine de minutes voir plus si le rival est puissant, rabaissant l’ennemi par la souffrance qu’il lui inflige pour finir par le détruire sans même crier gare. Bouh, coup d’épée envoyé, mort brutale de l’adversaire par une puissance de maniement incroyablement brutal, tel fonctionne le mental de Hoshigaki Kisame. Fuir ? Il hait que ces adversaires prennent la fuite, pourquoi ? Tel est la question … Car il était autrefois la proie, comme bien d’autres shinobis de son village, il était forcé d’abandonner le champ de bataille pour rejoindre le Bureau du Mizukage, quelle honte !
C’était pour cette raison qu’il déteste la fuite d’un rival, pour cela, le requin avait trouvé un remède à cela. Il couperait les jambes de son adversaire à l’aide de Samehada dans le but d’assouvir un peu plus son envie de s’amuser. Voir un corps vivant qui tente de se débattre en se prenant pour un shinobi n’est pas le chose la plus marrante ? Hahaha ! Bref , un p’tit sourire machiavélique avec des dents de requins n’est pas plus terrifiant que de voir le diable en personne ? Un sourire provoquant, des, devrait-on dire. Il adore par ailleurs provoquer les personnes qu’il combat dans le simple but de faire du mal à cette personne, quand la colère monte, l’imbécilité arrive et l’homme fonce bêtement de front … A part cela au niveau de ses amis, si l’on peut dire, il est comme plusieurs autres personnes dans son genre. Ils soutiennent leurs amis, les aident dans le simple but de former et souder une équipe par ce que l’on appelle la confiance et la loyauté. Malgré les actions que Kisame exerce lors des combats, il reste plus ou moins calme, ne parle que très peu, sourit comme à son habitude.
Au niveau des méthodes approfondies des combats, notre monstre reste tout de même très habile, toujours avec de bonnes tactiques de combats, réfléchissant à chaque fois lorsqu’il est sur le point d’exécuter un Jutsu, plutôt doué en tactique, même s’il ne demeure pas comme étant le meilleur de ce monde des shinobis. Une intelligence qui reste malgré cela humaine, pour le moins. Une mise en garde extrêmement développée, le requin anticipe rapidement des méthodes, par ses outils de requins, comme l’ouïe. Cette personne qui n’est malgré tout pas si mauvaise, mais qui est totalement le contraire de ce que l’on pourrait croire car il est un des meilleurs dans l’art du Suiton ainsi que du Doton qui lui donnent de grandes quantités de tactiques de contre ou d’attaques.
Description physiologique
Hoshigaki Kisame, une description physique ? Ce gars un shinobi qui demeure particulièrement être d’une espèce animalière qu’est le requin. Est-ce réellement un humain ? Dirait une personne intelligente ! Eh, bien, c’est un humain (xD). La première chose que l’on remarquerait si l’on voyait ce personnage là pour la première fois, serait cette peau bleuté d’un clair qu’il a, un visage de monstre et ce sourire qu’il dégaine à chaque fois face à ses rivaux ou aux personnes qu’il rencontre. Shinobi, certainement, celui-ci possède une taille qui est pour le moins correcte face à son âge. Il possède un bon mètre pour quatre-vingt-quinze centimètre ainsi qu’un âge qui est dans les environs de trente-deux ans sous un poids de quatre-vingt trois centimètre au niveau de sa masse physiologique. Un physique qui demeure plutôt bien musclé, ce qui est normal pour un shinobi de Kiri no Kuni. La seconde chose que l’on remarquerait si l’on exerçait une vue verticale de l’apparence de Kisame, on remarquerait qu’il possède des cheveux plutôt bleutés qui se dirigent sous un pique en un seul point en forme d’aileron. Des cheveux qui ne prennent aucun dépassement au niveau du front car ceux-là sont contrés par un bandeau frontal sous un symbole ! Mais quel Est-ce symbole ? Le symbole du village caché par une brume que ce monde de ninjas nomment Kiri, un bandeau qui recouvre tout le long de son front ainsi que les oreilles et une partie de ses cheveux à l’arrière par un morceau de tissu extensible ou s’y situe l’insigne même de son clan, tout du moins. Troisièmement, le visage est découvert trois étapes plus tard, des sourcils qui ne font qu’un seul millimètre de hauteur pour tout le long de ses yeux en largeur. Des cils qui encerclent le dessus même de ses deux petits yeux qui possèdent une apparence unique en son genre. Deux petits yeux qui sont géométriquement ronds, ce qui est extra-unique lorsque l’on est pour le moins normal ! Quelques veines rougeâtres qui se situent tout autour des pupilles du monstre du brouillard. Sous ses deux yeux s’y trouvent trois fentes branchiales (par jouc), que l’on nomme souvent des branchies, qui permettent généralement à Hoshigaki de pouvoir respirer sous l’eau sans aucun problème. Dans chaque coin de ses yeux, il y’a notamment des sillons labiales, un nez (narines) sous une apparence humaine si l’on peut dire, ainsi que des dents typiquement requin en formes de piques blanchâtre qui lui permettent de dévorer les proies qu’il possède sans aucun soucis. Quatrièmement lorsque l’on a découvert les parties précédente de son physique, on passe alors dans une phase vestimentaire, comme plusieurs personnes de ce monde s’y trouve un style vestimentaire qui pourrait être unique en son genre. Une tenue qui est tout du monde normale, un manteau noirâtre qu’il porte sur lui semble cacher sa tenue qui se trouve à l’intérieur de la tunique, un col qui se dirige jusque son nez qui camoufle une bonne partie de son visage de face. Lorsque les manches de cette tunique lévite par des gestes qui peuvent être réalisée lors des combats montre les manches de la tenue qui se trouve à l’intérieur même du manteau qui cache celle-ci. Des trais noirâtres superposées sur une couche fine est apparente blanche, pour des bouts des manches qui possèdent également une couleur violette. Alors que son manteau parcourt tout le long de son corps, une ceinturette de couleur brune est sur le torse de Kisame, mais à quoi sert-elle ? (e.e) Tel est la question ! Elle permet au requin d’y ranger sa fameuse épée légendaire que tout le monde nomment : Samehada (que je décrirais après). Par la suite se trouve un pantalon qui est noir dans le sombre, mais violet-bleu lorsqu’il se trouve face à la lumière qui donne un effet de mixage des couleurs du pantalon de Kisame-sempai [Tobi style] qui est plutôt stylé à voir, comme le dirait les nouvelles générations qui adorent la mode, comme ils l’appellent ! Et au beau de ce pantalon-là se trouve une sorte de chaussette bien blanche qui se dirige du bout de son pantalon à la sandale qui possède l’apparence banale d’une sandalette. Des sandales qui possèdent le même mixage de couleurs qui prennent toute la taille de son pied ainsi qu’un bout de pied ou le bleu de la peau de Kisame se fait remarquer. Les doigts de mains/pieds du Nukenin possèdent également une couleur violette tel un vernissage des doigts par un verni à couleur violet (Il est pas efféminé, vous en faîtes pas) ! Son épée ! Eh ouais … Cet objet légendaire que toute personne craint dans une vie tel que la notre. D’après les personnes qui connaissent cette épée là, elle demeure la plus terrifiante de toute, une immense épée qui est pour le moins vivant comme ! Elle est couverte de plusieurs écailles noirâtres qui donneraient la chair de poule. Lorsque celle-ci absorbe une quantité hallucinante de chakra, comme celle d’un Bijû, elle se met alors à grossir et à avoir une taille tellement imposante, et grosse, que les bandelettes qui enroulent le sabre pour s’attacher en un point se met à se déchirer sous un bruit de déchirure encourageante. Au bout de Samehada s’y trouve une bouche et des dents comparable à ceux de Kisame qui exprimerait sa force et sa capacité monstrueusement imposante, des sortes de cries affamés de l’objet même prouve que cette épée est belle et bien vivante. Elle possède des capacités spéciaux lorsqu’elle est utilisée pour frapper car elle n’est pas une épée ordinaire qui coupe, mais elle est une épée qui déchire ses cibles avec une force colossale. Vivante ? Intelligente ? Certainement, elle a une sorte de loi qui lui permet de contrer toute personne adverse qui prendrait sa personne alors qu’elle n’est pas Kisame Hoshigaki, elle envoye une multitude d’écailles au niveau du manche qui blesserait n’importe quel personne intruse qui prendrait sur elle l’épée Samehada. Au niveau du manche, une couleur jaune-claire rend cette chose bien plus belle qu’elle ne l’est déjà, des formes géométriques qui se dupliquent se trouvent sur ce manche même ainsi qu’une petite tête de squelette qui se trouve au bout à la couleur blanche ! Malgré cela, ce n’est pas tout, lorsque l’épée Samehada fusionne avec Kisame, celui-ci possède alors les critères de l’épée ainsi que les siennes suivi d’aspects qui rendent alors le monstre du brouillard totalement requin. Malgré qu’il ait deux pattes et deux bras, des sortes de nageoires sortent des bras du possesseur, ce qui rend Kisame aussi rapide qu’un requin, une queue et plusieurs autres parties de son corps qui se modifient lors de cette fusion …
Votre Histoire
Village de Kiri, période de guerre, période de souffrance. Les guerres entre village se faisaient toujours un peu plus chaque jour qui passait dans ce monde-ci. Des villageois tentaient malgré la mort qui leur venait à plein nez d’obtenir un pouvoir absolu qu’était l’envie de contrôler les autres Terres shinobis tel que Konoha, Suna ou encore Kumo. Tous combattaient avec tant de haine pour créer une paix éternelle, malheureusement elle ne fut qu’empirer cette vie qui devenait un peu plus sombre. Les humains se battaient entre eux tels des requins qui ne reconnaissaient plus leurs compagnons d’auparavant, une faim et des ambitions sans failles qui ne faisaient que détruire un peu plus l’homme et toute sa splendeur. Le Yàng dominait le Yin et la nature la plus sombre des êtres terriens envahissait la surface plane et vive de cette planète de ninjas.
Malgré moi, mes parents en faisaient étrangement parties, sous les ordres strictes du Mizukage de Kiri no Kuni, le village caché par une brume constante. Était-ce l’une des raisons qui m’emmenaient à ignorer totalement l’existence de ma famille ? Aucune idée, un simple remerciement pour cette vie qu’ils m’avaient offert ? Haha … Ce monde méritait de périr au fin fond d’un Océan. Malheureusement; mon envie de devenir comme toute les personnes de mon village donnait toujours plus à mon cœur cette envie de faire régner une paix dans mon village si je pouvais le dire. Un signe de l’existence de mes parents ? Une photo ? Une lettre ? Une simple lettre, elle expliquait mes origines et ouvrait la voix du shinobi. J’étais un mi-homme & mi-requin, tient cela ne se voyait pas normalement … Bref, cette lettre contenait plusieurs informations qui paraissaient des plus importantes pour mon parcours. Racontons toute mon histoire depuis le début, je vois que plusieurs d’entre vous sont un peu dans une incompréhension totale ! (Simplement pour faire plus d’histoire)
Le temps de Guerre :
Temps de guerres, temps de haine. Des milliers de Kunais et d’armes de shinobis regorgées de sang au beau milieu du village caché par la brume, une multitude de pierres infestées de plusieurs parchemins explosifs, des cadavres inertes au sol qui n’était pas beau à voir. Des cries, des pleures, de la haine, des souffrances et des maisons dévastées par la propagation de toute les guerres. Voilà à quoi rimait notre village peu avant ma naissance prématurée. Des milliards de légendes narrées par plusieurs personnes que l’on prenait pour des prophètes exhibaient des images et des portraits horrifiants sur les batailles de notre village de Kiri no Kuni. Plusieurs orphelins sans aucune famille pour les soutenir, ils donnaient aux futurs générations l’envie de se venger des tueurs de toute les personnes qui rongeaient tant les esprits torturés par ce qui se déroulait.
Alors que le Mizukage avait déclaré plusieurs guerres pour diverses raisons, les guerres s’empilaient toujours un peu plus lorsqu’une Grande Guerre fut déclarée. Mes parents lutaient tous comme les villageois de notre petit village. Dans les temps des shinobis, on nommait ce genre de guerres, des Grandes Guerres car elle étaient composées les plus grandes nations dans notre village qui ne donnait aucune pitié lors des affrontements. Les tactiques se faisaient de plus en plus mais aucune n’était jamais trop puissante et très bien élaborée pour que les shinobis ne les suivent à la lettre. Des ninjas de tous les grades laissaient leur vie sur le champ de bataille, même les Genins et les aspirants y passaient aussi. Les plus faibles périssaient au fin fond de l’oublie et les plus grands avaient en leur vaillance une statut suivie d’un nom et d’un prénom gravé sur le lieu ou la ou les personne(s) laissèrent leur vie.
Mais ou étaient les Genins ? Manque de reconnaissance de la part des personnes de ce village, sûrement. Les guerres, ce mot rongeait les personnes les plus censées de tout village, quelle était la raison ? Quelle solution ? Le créateur aurait-il détruit le monde qu’il avait créé par la simple erreur des personnes qui y régnaient ? Cette chose bouffait encore plus notre monde des ninjas ne laissant derrière elle que les traces apparentes de la pagaille qu’elles avaient causées. Les générations passèrent jusque celle de mes défunts parents (qui ne l’étaient pas encore dans ce temps-là), une mère et un père dont les origines étaient liées aux Hoshigaki ? Je n’en savais trop rien, trop peu de chose était connue sur ma famille, le Mizukage envoya quelques jours plus tard mes parents qui laissèrent tous deux l’enfant que j’étais à la maison au sous-sol par précaution. En ce temps-là j’avais deux ans et demi, pas plus ni moins.
Rien qu’une simple lettre qu’ils avaient cachés dans un endroit secret dans un endroit inconnu. Cette lettre était scellée par un sceau que seul les plus futés pourraient décrypter mais rien de plus ainsi qu’une lettre qui m’informait de tout ce qui se déroulait en ces temps. D’un geste ma mère et mon père firent un léger baisé au coin de ma jouc droite avec un petit signe d’amour qu’était le « Je t’aime » que ma mère exprimait avec passion et amour puis il laissèrent alors ainsi la lettre écrite de mains propres par mon père qui se trouvait sur moi au niveau de mon petit ventre bien rond. Ma mère pleurait et tentait d’essuyer les larmes de toute cette souffrance mais en vain. Elle soufrait tout comme notre village assoiffé par la victoire et par l’envie d’être les maîtres du monde. Lorsqu’ils sortaient sans aucun détour du regard en ma direction lorsqu’il quittèrent le sous-sol allant en direction du champ de bataille. Que leur était-il arrivé ? Tant de question sans réponse …
Quelques jours passaient, des écrans de fumée se dispersaient des toits de logements, des flammes ardentes furent rejetées par des combustibles apparents. La faim que j’avais se faisait un peu plus grand dans cet endroit délabré, combien de temps allais-je tenir ? Ce genre de question ne se posait point lorsque l’on avait que deux ans, mes dents de requins hérissaient à la simple envie de manger, l’instinct de carnivore était la seule chose que j’avais. Ma vue à cet âge-là se faisait flou, je disais d’un air incompréhensible des : guaa et guaa ainsi que des mangé et autres mots. Le premier mot que je prononçai subitement de ma bouche fut : Maman, des parents qui se seraient trouvés en face de leur enfant auraient applaudit de joie et auraient prit leur fils dans leurs bras. Malheureusement, je demeurais seul dans ce sous-sol sans aucun moyen de me faire remarquer.
Lorsqu’un tremblement hasardeux se fit ressentir jusqu’au sous-sol de notre petite maison. Un grondement tellement fort qu’il brisait les planchettes de bois d’arbustes. L’effondrement des murs de bois créèrent un passage qui dirigeait immédiatement les occupants de la maison dans cette eau qui recouvrait la surface de KiriGakure no Kuni. Mon corps tombait et se noyait dans cette mer bleuté. Aucun moyen pour moi de respirer librement. En quelques minutes je commençais à désespérer dans cette eau, j’étais si petit que je ne savais rien faire … Lorsque des Fentes branchiales apparurent au coin de mes jouc, trois petites ouvertures qui apparaissaient et je pouvais désormais respirer. L’âge d’un requin avait peu d’importance, il s’adaptait toujours aux situations les plus difficiles pour toujours devenir plus fort que la normale. Je l’eau commençait à m’emporter, je battais pour la première fois les mains tel un poisson, je nageais toujours plus vers l’avant jusqu’à attraper une quantité incroyable de poissons que je mangeais sans même compter.
Quelques temps après, alors que je me laissais faire par l’eau qui partait toujours plus loin je sortais immédiatement de l’eau qui se mettait à m’emporter un peu plus loin, arrivé au bord de la mer, accroché avec les mains et les angles contre le pont en bois qui me donnait une position stable et fixe, je me mettais par sortir de l’eau, marchant à quatre pattes lorsqu’une pluie torrentielle se mit à tomber sur cette surface. Un homme, doté d’une épée enroulée par une multitude de bandelettes se mit à avancer vers moi. Alors que cet homme fixait mon regard, sans même dire un mot, il me prit dans ses bras lorsqu’il m’emmenait avec lui et avec la lettre qui se trouvait sur mon ventre attachée par un léger fil blanchâtre.
Première étape, progresser :
Les années passaient, j’avais désormais neuf ans et toute mes dents. Je vivais chez moi, seul mais allais chaque semaines voir mon Sensei, Fuguki Suikazan, un gentil homme qui m’avait retrouvé au bord d’un pont. Je m’entrainais toujours pour devenir plus fort afin de combattre les autres villages, aucune haine ne traversait mon esprit, mais je voulais devenir un shinobi grand, très grand comme mon Sensei qui était à son tour un grand épéiste de Kiri. J’apprenais à tenir un Kunai entre mes mains, je visais des cibles avec plus de concentration pour être un bon lanceur et je voulais toujours manier un sabre tel que la Samehada de mon maître. Cette épée qu’il possédait n’était pas une épée ordinaire, elle était comme dirait une personne censée, vivante. Elle possédait des écailles bizarres et aucune chose n’était aussi vivante qu’elle. Les adversaires de mon sensei disaient toujours que son épée absorbait le chakra par un contact ou une technique utilisée, ma curiosité attisait un peu plus mon envie de découvrir Samehada.
La nuit venue, alors que je contemplais le ciel brumeux qui rejetait toujours plus de pluie tout autour du village. Une idée survenait dans mon esprit qui paraissait un peu troublé par l’épée du Sensei. Je sortais à l’extérieur de ma maison, fermais la porte avec rapidité lorsque je courus en direction de la maison de Fuguki. Quelques minutes s’écoulèrent quand j’arrivais alors face à la porte. J’ouvrais sans aucun bruit, j’entrais à l’intérieur puis je me dirigeais subitement dans la salle d’entrainement du Sensei. Un terrain isolé de la ruelle lorsque je m’approchais alors de l’épée qui se trouvait à quelques pas de l’endroit ou je me trouvais. J’avançais prés de celle-ci lorsque je pris le manche de celle-ci sans aucun geste brusque. Ah, elle n’était pas si mal que cela à ce moment-ci. Quand plusieurs dents de requins sortirent instantanément quelques secondes après. Les dents de la Samehada blessaient ma main, plusieurs ouvertures se créaient sur ma main droite. Du sang s’écoulaient tout le long de ma main qui se retrouvait au sol, séchant à chaque moment qui s’écoulait.
« Aie … Aie … J’ai mal ! Merde » Prononçais-je en criant. Quelle plaie, j’avais dû réveiller mon maître et il me prendrait sûrement pour un décliquant. Des bruits de pas se retentirent tout le long du couloir qui se situait à côté de cette salle d’entrainement. Une mauvaise nouvelle ! J’allais forcément me prendre une punition des plus terrifiantes de toute.
La porte du couloir prés de la pièce d’entrainement s’ouvrait automatiquement après quelques minutes de cries. Mon Sensei apparut sous un silence absolu, je me cachais avec robustesse sans faire un seul bruit, Fuguki alluma subitement la lumière de la salle, ce que je ne voulais point faire pour ne pas me faire repérer lorsqu’il vint prés de l’épée Samehada. Il ne pouvait pas me chopper ! J’étais tellement introuvable sur le toit d’en face. Oh zut … Les gouttelettes de sang apparaissaient tout le long de mon trajet. Il n’avait plus qu’à suivre les traces jusqu’à me trouver. Il suivait les gouttes de sang, je ne pouvais pas rester immobile et je tentais de bouger d’un geste, mais malheureusement une brique tombait subitement au sol et le Sensei ne perdit point le temps lorsqu’il plana à quelques mètres du sol.
« Tu n’as malheureusement pas le don de l’espionnage, Kisame-kun »
Quelle poisse … Je fixais mon Sensei d’un air étonné, il attrapait le col de ma tenue d’aspirant au titre de Genin lorsqu’il me projetait au sol non loin. J’étais désormais bloqué dans une position allongée face à mon maître qui allait sûrement me battre d’un coup ferme et précis. Je pouvais voir ses yeux qui paraissaient lumineux sous l’effet du noir, il paraissait très en colère et je pouvais désormais m’attendre au pire. Il approcha plus prés de ma personne, il ricanait tel un fou qui exhibait sa victoire face à sa proie. Il fonçait directement vers moi, prenait plusieurs shurikens qu’il dirigeait subitement en ma direction. En voyant la vitesse et la position des shurikens je pouvais déterminer la force et il n’était pas là pour me dire bonjour. Je penchais mon dos lorsque je m’enroulais par terre sans même faire un effort. Était-ce mon Sensei ? Je ne l’avais point reconnu car le noir donnait une allure floue et je ne pouvais point dire si c’était lui. Les shurikens allèrent au-dessus de moi, je contrais avec facilité quand une seconde lueur apparut prés de la porte du couloir d’en face. Lorsqu’une voix grave et très ressemblante à celle de mon Sensei se fit entendre à quelques mètre plus loin de la personne qui se trouvait en face de moi ! Qui était donc cette personne qui m’attaquait sans se retenir ?
« Kisame, rappelle toi qu’il ne faut jamais prendre l’épée d’un épéiste car il la connait comme une partie de son corps et celle-ci pourrait se retourner contre toi comme maintenant. Petit garnement ! »
Une voix qui prit peu de temps après de l’ampleur, il s’écrièrent tous deux puis se battaient sans même se dire un mot … C’était quoi ce problème ? Les deux shinobis s’affrontaient dans le noir total, des shurikens et des Kunais se fracassaient de partout, Samehada, compte à lui était au même endroit qu’à mon arrivée. La bagarre se faisait de plus en plus forte, je me cachais dans un coin calme, caché par un mur lorsque le combat se terminait avec un cri affreusement bruyant. Qui avait remporté le combat ? Pour le savoir je fixais du coin de l’œil gauche l’endroit ou se trouvaient les combattants. Une chose se mettait par sauter rapidement au-dessus du toit de la pièce d’entrainement de Fuguki. Une lueur qui passait sous une rapidité sans égal, lorsque je courus rapidement prés du second cadavre qui se trouvait au sol. Je prenais le corps des bras puis poussais toujours vers la lumière. Cet homme était lourd mais je pouvais malgré moi arriver jusque cette lumière qui allait me montrer qui était cette personne. Un moment de choc se fit, c’était mon Sensei qui agonisait au sol sans rien dire. Il souriait pour la première fois depuis que je l’avais rencontré, il me fixait dans les yeux lorsqu’il prononça les quelques mots avant de mourir.
« Ki … Kisame je v…vais mourir et je voudrais … t’offrir Same…hada ! Garde … Bien cette épée et essaye de devenir épéiste, comme tu … l’avais toujours vou…lu ! Derrière mon … armoire dans mon bureau, se trouve une lettre … des tes parents … pour toi »
L’Examen Genin Arrive :
Eh Oui, l’examen approchait à grand pas et j’allais désormais combattre pour en devenir un. Un p’tit matin habituel, brumeuse dans tous les cas, sans aucune menace en vue, je me dirigeais alors à grands pas vers le Terrain des examens afin de combattre mon rival ce jour-là. Je ne le connaissais pas et lui aussi d’après les cas similaires à ceux des autres Genins, je discutais en souriant machiavéliquement avec un Chûnin du village de Kiri no Kuni. L’explication ne perdurait que de quelques minutes lorsque je courrais à vive allure en direction du Terrain. Quelques gouttes s’écoulaient de plus en plus au sol et sur les habitations du village, les gens couraient vite vers les endroits ou l’eau ne passait pas, afin de ne pas être mouillé. Moi, j’étais le contraire des villageois, l’eau était ma force, sous un surf au milieu des villages je créais un mouvement rapide et très stylé qui facilitait un peu plus mon trajet vers la salle.
Sur mon dos se trouvait Samehada qui s’était entiché de moi quelques minutes après la mort de mon Sensei, il tentait de me connaître, il s’avançait en s’agrippant sur ses écailles noirâtres en ma direction ce jour-là jusqu’à pointer le manche de celle-ci vers moi. La première fois que je l’avais touché, une connexion de pensée s’interposait et je connaissais Samehada qui était à comptée de ce jour mon ami de toujours. Lorsque Fuguki était mort, les bandelettes qui enroulaient en plusieurs ficelles blanches le sabre furent arrachées par la force et la taille imposante de cette être qui montrait qu’elle demeurait vivante. Je constatais toujours avec une peur de me blesser par les dents qui sortaient instantanément du sabre que celui-ci enroula directement le manche telle une queue qui s’ondulait sous une apparence reptilienne. Wow … Le Chakra que j’avais perdu ce jour-là revenait automatiquement à la normale, je sentais en elle du Chakra tel un shinobi et je comprenais désormais à quoi elle servait.
En l’espace de quelques instants, il rompait vers son ancien propriétaire puis il posait une fois de plus le manche de son sabre sur le corps de Fuguki qui dégagea une lumière lumineuse qui était comme magique. Le niveau de Chakra de celle-ci augmentait sous une absorption comme on pourrait le dire, puis elle changea alors son odeur en allant à celle de son nouveau maître, moi. Ce jour-là j’avais prit fermement la ceinture orangée de mon Sensei, le mis sur moi puis je tenais Samehada puis je le mettais sur mon dos car elle m’appartenait désormais.
Depuis je me trimballais avec elle, malgré sa masse qui n’était pas si facile à gérer que cela, elle était désormais mienne et je m’en servais pour exceller dans cet art qu’était la maitrise parfaite d’une épée. Mon âge n’était pas un problème car un requin avait toujours la force et il s’adaptait toujours aux situations les plus dures. Sous la longue marche que j’entamais quelques flaques d’eau se mirent en travers de mon chemin ce qui rendit mon trajet plus difficile à entamer. Oh, zut, je trébuchais quelques minutes plus tard, la face au sol boueuse et j’étais sale comme un cochon. Alors que j’avais baigné ce matin même je restais accroupi sur ce sol sans prononcer aucune parole. Mes nerfs étaient à bout, une colère se manifestait subitement hors de moi, je pris Samehada poing ferme sous les cries affamés du sabre qui était forcément de mon avis lorsque j’envoyais un grand coup à l’aide de mon Chakra qui dirigea instantanément l’épée contre une rangée d’arbres, des pommiers plus précisément, qui furent déchiquetés violement. Ah ! Comme c’était soulageant, sous un rire hypocrite je rangeais l’épée dans mon dos, fixant les arbres qui avaient un état pitoyable à ce moment-là.
J’adoptais une nouvelle forme de mon caractère, je fixais attentivement le sol puis frappais d’un coup ferme le sol terreux qui créa une petite fissure. Des paroles en l’air, plusieurs provocations, je parlais tout seul face au vent et aux arbres. Je n’étais pas fou, mais je voulais me libérer. Peu de temps après je continuais à courir avec deux fois plus de rapidité en direction de cette Salle. En arrivant prêt de la porte qui me conduirait immédiatement dans cet endroit inconnu. J’ouvris la porte, j’entrais dans la salle lorsqu’une ruée d’aspirants au titre de Genin se positionnèrent en face sous un rangement vertical. Vers la gauche se trouvait un (Hoshigaki Kisame Versus Zakuro) !
Sous une série d’applaudissement j’entrais dans cette arène … Je faisais parti du second combat de lutte du village afin de devenir Genin. Sur le terrain, une tête d’un jeune garçon qui avait qui le savait le même âge que moi, des flaques de sang et un corps à moitié coupé par un katana incrusté de rouge qui donnait un air d’horreur à la salle. L’odeur de la puanteur venait toujours plus à bout de mes narines qui ne pouvaient point sentir cette odeur avec une telle simplicité. Le symbole du village métallique, était accroché par un énorme clou qui ne donnait qu’une allure détestable de ce village qui testait les jeunes enfants de mon âge dans le simple but d’avoir des shinobis sans cœur et sans aucune pitié. Tuer n’était pas mon but principal, m’amuser, tel était le principe de mon examen ce jour-là ! Je fixais en souriant comme à mon habitude le public et les gradins, j’attendais avec impatience de voir qui était mon rival.
Vous vous demandez sûrement quel décor de ce village, rien de plus que ce brouillard constant, les arbres verdâtres qui rôdaient toujours les alentours, les trois étages du bureau du Kage qui se situait en face, toits marrons qui recouvraient la partie du dessus. Rien de plus spécial, ce qui donnait toujours à ce village un air sérieux et concentré aux autres nations. Lorsque le second Genin entrait par la porte principale vers le terrain ou le combat allait commencer. Un gars qui se mettait dans la mode, il portait une tenue plus ou moins nouvelle, une cravate et un costume neuf qui avait des épaulières, un gilet-par-balle ainsi que les objets habituels. Au niveau des armes il possédait sur le dos un Katana avec un manche rouge ainsi que des lunettes et des cheveux marrons.
« Je suis Zakuro, ton pire ennemi, et je te tuerai comme un petit poisson crue par la flamme du Katon ! » Déclinait-il avec d’un sourire provocateur.
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« Oh, désolé de te dire que tu ne réussiras pas à me vaincre aussi facilement, tu ne connais rien de la mort mais tu connaitras dans peu de temps lorsque je t’enverrai dans une tombe. »
Il était de nature Katon, quel imbécile, j’étais supérieur par rapport à lui au niveau de l’affinité car j’étais Suiton. Son visage rappelait ceux des enfants qui vivaient encore et toujours derrière les pattes de leur parents. Il avait beau faire son grand homme sérieux et cruel mais il n’était qu’un lâche sans aucune force. Je regardais un peu partout lorsqu’il prit son Katana puis il fonça à toute vitesse vers moi, pas si futé d’attaquer de front, je prenais avec toute la lenteur du monde ma petite Samehada adorée puis je stoppai par la suite son arme d’un geste vif et concentré. Il était trop basique et lent au niveau des maniements d’armes, il n’avait aucune expérience dans ce qu’était l’art des épéistes. D’un mot précis j’exprimais soudainement un mot qui hérissa les écailles de mon sabre, le Katana de l’adversaire fut brisé d’un clin d’œil lorsque je dirigeais alors le manche de l’épée contre mon ennemi. Les dents du crâne miniature qui se situait au bout de mon sabre pénétra dans la face de cet homme. Yata, Samehada lui avait volé tout son Chakra il s’évanouissait peu à peu sans dire un seul mot. Il prononçait quelques paroles sans même je comprenne ce qu’il disait. Il tomba directement au sol puis il commença à fermer les yeux, pour m’amuser, je prenais le Katana puis tranchais les pieds de celui-ci, il hurla de toute ses forces sans même pouvoir se rebeller. Je tranchais quelques minutes plus tard sa tête, j’avais désormais gagné ma place dans le village de Kiri no Kuni.
CODES DU RÈGLEMENT (2) : | Kozukoto Walabize | and | Mission Oméga |
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Dernière édition par Hoshigaki Kisame le Mar 22 Nov - 19:29, édité 5 fois |
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