Omei regarda le petit entrer. Il n'avait pas l'air bien fort en faites, il était plus étrange que fort. Dans les grandes lignes, s'il était arrogant, Omei ne répondrait pas à sa requête. Le Sandaime Hokage était le plus cruel des Kages, et ce petit s'était décidé à se ramener dans son village malgré la réputation qu'il lui était donné. Il était étrange de se présenter devant le Sandaime Hokage de cette façon. Le petit resta droit debout devant le Hokage ,assis sur son bureau , les mains sous le menton à écouter le petit déballer toutes ses conneries.

« Bonjours ! Je suis un vagabonds, mais aussi un ninja du grade de Chuunin. Je ne vais pas vous cachés que j'ai quelque problème .... financier et que je suis prêt a tout pour gagner de l'argent voilà pourquoi je souhaiterais obtenir une mission pour le village de Konoha et apporter un peu de mon aide... »

Omei se mit à faire des signes de mouvement de tête comme s'il trouvait stupide de s'adresser ainsi à quelqu'un comme lui. Il se leva et s'approcha, frappant avec le revers de sa main telle une gifle le visage du petit, et ensuite de ses deux mains s'arranger pour qu'il finisse à genoux. Ensuite, du haut de ses deux mètres douze centimètres de hauteur, il regarda le petit, avec un sourire meurtrier.

« On se met à genoux devant un homme comme moi, petit. Voici ta première leçon. »

Omei s'éloigna et se rassit sur son bureau, inclinant légèrement la tête sur le côté, les mains sur le rebord du bureau.

« Si ça ne tenait qu'à moi, tu serais déjà mort, et je me nourrirais de tes tripes en ce moment même, mais le concierge ne serait pas amuser de ramasser, et je ne dois pas non plus faire paraître mon village trop...Comment dire...Méchant. Tu es un déserteur, de quel village viens-tu, petit? »

Omei continua de le fixer de tout son âme, faisant comprendre au petit que celui-ci n'était pas en position de pouvoir. Le Sandaime Hokage était bien plus puissant qu'un Chuunin, surtout un Chuunin qui tentes d'être honnête. Dans la vie, si on est honnête, on se prends des baffes, et on y risque sa tête. Deuxième leçon de la journée. Omei se leva et fit relever le petit, le regardant droit dans les yeux.

« Je peux t'aider si tu travail pour moi, bien entendu, mais tu devras me faire le rapport de tout ce que tu feras dans mon village, et aussi, si je sens la moindre petite connerie de ta part, ta tête ne resteras pas sur tes épaules. Réponds à ma question et part, j'ai autres choses à faire. Les gardes du village te laisseront marcher librement, mais n'oubli pas, j'ai des yeux et des oreilles partout. »