Première partie: Renseignements et étude du cas.
Première mission pour moi depuis mon tout nouveau grade de Chûnin, je décide de la faire seul. Je dois me rendre à Kawa no Kuni et nous débarasser d'une bande de bandits à la noix qui vont bientot nous mettre en pénurie en assasinant les marchands et en pillants leurs marchandises.
En arrivant sur les lieux, premier constat à noter, deux charettes renversées et un cadavre au sol. Je m'approche alors doucement du cadavre, guettant autour de moi, écoutant attentivement chaque bruit, rien de suspect pour l'instant. La tête de l'homme ayant été attaqué est face au sol, les bras, le long de son grand corps, il doit mesurer dans les un mêtre quatre-vingt-dix je pense. *Retourne sa tête! Allez 1,2,3* Je retourne sa tête dans un mouvement brusque et ce que je vois me donne une énorme envie de vomir, il à dû se prendre une série de coups de batte ou je ne sais quoi sur le crâne, bon ça c'est rien, juste un bout de la boite cranienne enfoncée et du sang partout, mélanger à la poussière du sol, poussière comme dans un endroit qui subit la sécheresse et je ne savais pas que c'était comme cela ici. Non, ce qui est génant, ou plutôt et simplement dégueulasse, c'est les centaines de vers qui grouillent dans la plaie et sur le sang secher au sol. Bien sûr, il y a la magnifique odeur de la mort, du sang et des larves dégueulasses qui est bien horrible aussi. A l'odeur, il doit bien être là depuis quatre ou cinq jours celui là. Ce qui indique que les marchands évitent désormais la zone, pas étonnant quand on voit dans quel état il pourrait finir pour aller livrer quatre patates au village. Comme si le spectacle n'était pas assez horrible à voir, voilà qu'a deux-cents mètres de là, une dizaine de cadavres sont entrain de pourrir aussi, génial. Bon bah c'est partit pour l'inspection encore alors. Je ne reste pas au milieu de la route, j'essaie de rester le plus discret possible, j'aimerais coincer les assassins, pas qu'ils me coincent, ça serait beaucoup moins drôle. Des traces sur le sol pas encore balayées par le vent entre le premier cadavre et les autres macabés. *Bordel, c'est tout recent ça, du monde est venu il y a peu ici!* Je regarde les traces lentement, je prend tout mon temps pour savoir combien peuvent être les responsables. Soudain un bruit, je relève rapidement la tête, ils ne sont pas loin. Un petit bond en arrière et hop, me voilà dans le fossé, je serai rapidement à découvert à cette endroit, mais là, quatre mètres plus loin, se trouve un tuyau passant d'un coté à l'autre de la route et servant normalement à laisser passer l'eau aujourd'hui absente. Plus j'en approche, plus l'odeur devient insoutenable, en effet, c'est plein de sang à moitié sécher. *Génial, quelle baignade plaisante m'attend.* Lorsque ma tête arrive au niveau de l'embrasure du tuyau, je me retient de vomir. Le but est de traverser ce p*tain de tuyau pour les voir arriver et pouvoir les espionner à ma guise. Je les vois, je m'intéroge sur qui ils peuvent être, ils n'ont pas franchement l'air méchant, sauf si la méchanceté se lis dans la tristesse du regard d'un enfant de huit ou neuf ans.* C'est quoi ces gens là ? Ce ne sont surement pas les responsable, femmes, enfants, en larmes...* L'idée me vient de m'infiltrer parmis eux, mais comment faire ? Je me retourne la tête et je ne trouve pas, ils doivent être une dizaine à peine et ont l'air de bien se connaître. Deux d'entre eux ramassent un corps et le charge sur une espèce de brouette et disparaissent après quelques pas dans la forêt. Sinon, je pourrais les suivres, certes, mais je n'entendrai pas ce qu'ils racontent. Je sais, faisons simple, un petit henge no jutsu fera l'affaire. * Trouve une tête de paysans ou d'alcoolique, une tête bien laide... Papa!* Evidemment, il est l'incarnation même de la laideur cet homme là, comment n'y avais-je pas pensé, avec son penchant pour l'alcool, comment pouvait-il en être autrement de toute façon. *Henge no Jutsu* L'illusion doit être parfaite puisque même mon haleine mon semble différente, horriblement puante. Je me roule un coup dans le sang et m'écorche le front avec une caillasse qui à l'air de bien trancher, me voilà blessé et tout sanguinolant. Je rampe lentement et discretement jusque derrière les jambes d'une jeune femme en jupe, oui même en mission il faut savoir se faire plaisir. Je détourne vivement le regard tout de même, vivement, elle était croisée avec le Yéti celle là. Elle se retourne, en s'essuyant les larmes aux coins des yeux, je sentait qu'elle ne voulait pas paraître faible devant ses proches en versant des larmes. Et là, son pied ( lui aussi croisé avec un Yéti.) buta contre mon ventre d'alcoolique, les joies du Henge no jutsu quoi. Voyez vous, d'habitude, je me sens quand même assez beau, mais alors là, avec la tête de mon paternel, je me sens aussi beau qu'un bon vieux crapaud. Je suis découvert, comme prévus, je retiens bien ma respiration et ils me mettent sur une brouette à mon tour, je suis juste entrain d'esperer partir avec une plus jolie fille. Hélas non. Peu confortable cette brouette...
J'arrive dans ce minable village plein de vivres, les habitants sont entrain de préparer une caravane. Donc c'est le village principale des marchands et pas du tout des brigands. Je peux donc sans problème reprendre ma forme réel. En voyant qu'en faite, je suis beau, la fille qui m'avait amené sursauta et recula de plusieurs mètres, je la rassure et fondant en larme, elle m'explique que son père vient de mourire et veut me faire un calins. J'esquive rapidement en passant sous ses bras tendus. * C'est mort, pas de bêtes velues contre moi.* que ça soit au niveau éthique ou esthétique, j'ai toujours été contre le port de la fourrure, qui plus est entre les jambes. Bref, les hommes du village me regardent méchamment et commencent à pointer des fourches vers moi. Du bout de mon doigt je leur montre le symbole de Suna sur mon bandeau frontale et leur teint à peu près ce language. ( Mais point de fromage à gagner là.)
-Je suis envoyé par le seigneur Kazekage afin de vous débarasser de ces bandits qui vous martyrisent à chaque trajet, j'ai vu les carcasses de vos frères. Mesdames et messieurs, j'ai un plan. Prenons la route en fin d'après midi, dans les charettes, en plus des provisions, placez au minimum deux hommes par charette, deux hommes armés bien sûr. Pour ma part, je me deguiserai comme l'un d'entre vous et quand le moment sera venu, je nous debarasserai d'eux. D'accord ?
Par chance pour eux, ils me fon confiance, je représente le village caché du sable en même temps, heuresement qu'ils ont confiance.
Deuxième partie: A la Bagarre!!!
Il est désormais temps de passer à l'action, pour se faire, j'ai besoin du total appuie de mes hôtes, et dieu merci, ils sont pour. Il faut dire que leur situation commence à être très grave. J'aide à la préparation des vivres à transporter afin de gagner du temps, j'ai hâte d'aller toucher ma solde en rentrant à Suna. Les cargaisons étaient déjà presque prêtes à mon arriver, il n'y a plus grand chose à faire, mais on s'active tout de même. Je les regarde travailler, certains sont vraiment de beaux bébés, les muscles saillant et le regard décidé. Je leur expose le plan plus en précision.
-Bien, maintenant que la cargaison est prête, passons à la mise en œuvre de notre plan. Nous avons donc Dix-sept charrettes , je conduirai la neuvième, ainsi, je serai apte à faire front devant, au milieu et derrière rapidement. Il y a bien plus de chance qu'ils attaquent par le milieu ou la fin, nous prenant à revers et limitant notre droit de réponse. Je propose donc que non rajoutions une charrette au milieu, où dix de vos hommes seront logés durant le trajet, derrière des bâches afin de ne pas attirer l'attention, ces hommes seront armé et serviront à faire une impression de masse et bien sûr à combattre l'ennemie. Je vous ai comptez, il y a soixante hommes ici, quarante-quatre viennent avec nous, deux par charrette plus les dix de celle du milieu que je conduirai, vous n'interviendrez que si je suis en difficulté. Bien, nous partirons dès la fin du repas, afin d'arriver sur le lieux habituel des attaques à la tombée de la nuit.
Le repas qu'ils m'offre est génialement composé de soupe au miso, de pâtes instantanées et de divers plats typique de leur coin, purement et simplement, j'adore, une éternité que je n'avais pas si bien mangé. Leur village se trouve au milieu d'une forêt et nous devrons passer par un chemin parfaitement dessiner et particulièrement à découvert, ils n'ont pas prévus ça pour la guerre les anciens. Nous nous mettons rapidement en place, chaque homme emmène son arme, un katana pour la plupart, une lance pour certains autres. L'heure du départ à sonné, j'emporte quelques vivres, j'aurai sans doutes faim sur le trajet. La charrette que je conduit est lourde, le poids de dix hommes assez massifs quoi. Henge no jutsu, voilà, j'ai l'apparence d'un de ses types, et je leur demande en riant si un marchand sans argent dans une bourse c'était crédible. Rapidement, la forêt se termine et laisse place à des hectares et des hectares de plaines. Voilà six heures que nous sommes partis et toujours rien, aucun signe de l'ennemie à l'horizon. Nous continuons d'avancer, j'éspère qu'ils viendront, que je n'ai pas fais le trajet pour rien . Un bruit à gauche, je ne détourne pas le regard tout de suite, je ne souhaite pas attirer leur attention, d'autant que personne d'autre n'y a fait attention. Nous continuons d'avancer et soudain, sur la gauche et la droite, une centaine d'hommes court en notre direction. Je reprend forme initiale et sort mon Katana, je hurle aux hommes de tous combattre à droite, je m'occupe du coté gauche. Un homme court vers moi et fait une grimace en voyant le symbole Suna sur le bandeau frontale, il essaie de courir mais mon katana viens lui frapper la carotide, un de moins, un autre tente de me mettre un coup de lance, je me penche en avant, sort mon seul et unique Kunaï et lui plate entre la septième et huitième côtes, là c'est la mort pour lui. Beaucoup n'osent pas s'approcher de peut de subir le même sort que leur camarade de bagarre, cependant, je ressens tout même leur nombre, ce ne sont pas des shinobis bien sûr, mais ils combattent plutôt pas mal, je dois l'avouer. Je fait un bond arrière afin de me trouver sur le toit d'une charrette pour leur sortir le grand jeu.* Vous voulez jouer contre moi bande de cons, vous avez pas finis de souffrir *. Ils veulent se battre, je vais leur donner l'occasion de rencontrer Kataionna. Je la sort rapidement et leur dis.
- Vous autres, vous voulez vous battre contre la toute puissance de Suna ? Et bien soit, vous l'aurez voulu. Afin que vous ne recommenciez pas à attaquer ces caravanes de vivre qui nous sont destinés, je vais simplement tous vous exterminer. Vous allez goûter à l'horreur que tout homme se dressant contre Suna vivra.
Senju Soubu, manipulation de l'armée des milles mains. Les regards apeurés de mes ennemies se concentre tous sur Kataionna et plus particulièrement sur sa main qui fait sortir rapidement six mains qui elles même font sortir six mains chacune etc Toute ses mains viennent s'abattre sur ces hommes, qui se font décimer, ceux qui sont encore vivant ne tarde pas à fuir, pour sauver leur vie. Je me relance dans la bataille de l'autre coté sans Kataionna. Katana en main, je tranche les tête à tour de bras et là encore, les ennemies fuient et les cris heureux et fiers de nos hommes tranchent l'air de leur hargne. Personne de chez nous fût tué durant l'affrontement, mais en marchant sur le champ de bataille, je peut constater le nombre d’ennemies terrassés principalement par mes soins. Après avoir pensés les blessés, on se remet en route pour aller à Suna .
Première mission de rang B terminée avec succes.