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 Surveillance du banquet

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MessageSujet: Surveillance du banquet   Surveillance du banquet Icon_minitime1Ven 11 Nov - 12:36

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Titre: Surveillance du banquet. (suite de la mission « Commande de sanglier »)
Description: Pour le banquet en l’honneur du Daimyô, la surveillance et de mise pour un invité aussi important. Votre travail sera d’assurer la surveillance autour du bâtiment ou aura lieu la fête. Veillez à ce que personne n’essaie de s’infiltré dans le bâtiment. Les différents post seront échangés fréquemment enfin de permettre une meilleure surveillance. ( A vous d’imagine les autres post que vous ferez)
Lignes minimum: 55
Lieu: Centre-ville.
Salaire: 90 ryos et 40 ryos pour le kage.


    Me voilà sortit de l’hôpital avec en tête une toute nouvelle technique, l’extraction du poison. C’est pas mal du tout d’ailleurs, petit à petit j’arrive à grappiller des connaissances par ci et là et ainsi découvrir des jutsus que je n’avais encore jamais vu ou même lu. Bref, pour le moment je n’ai pas le temps de penser jutsus, il faut que je pense travail, je sais que quelque part une mission m’attend et pas des moindre. Ce soir, le Damyo est invité en plein centre de Kiri pour son repas et si la mission n’est pas encore prise, je sais pertinemment que c’est à moi d’assuré la surveillance du bâtiment. Tout à l’heure, j’ai chassé les sangliers qui sont servis au soupé, ensuite l’entrainement et maintenant je dois le protéger. Par le passé, j’ai déjà aidé le seigneur du pays de l’eau de manière indirecte avec Yukina et Obakee, je dois recommencer ce soir. Si le seigneur du pays de l’eau vient à être satisfait des services rendus par le village caché de la brume, alors Obakee verra sa notoriété augmenter encore plus à travers le pays. De cette manière, le Damyo soutiendra encore plus les choix du mizukage, il pourra parler de notre village un peu de partout et les missions arriveront encore plus nombreuses. Chaque action doit être réfléchie, voilà pourquoi je dois faire cette mission ce soir ! Pas de temps à perdre, je courais maintenant en direction du centre ville afin de regarder le tableau des missions pour savoir si elle est toujours là et... BINGO ! Personne ne l’a prise. C’est tout gagné pour moi. J’arrachais aussitôt le papier et montais dans le bureau d’Obakee.

    « C’est encore moi, cette fois-ci, j’enchaine avec cette mission. Je me suis rendu utile en allant chasser le repas, maintenant je vais aller m’assurer que tout ce passe bien et qu’aucun intrus ne vienne déranger le festin ! »

    Aucune réponse, un simple signe de tête. Parfait pour moi, c’est partit. Un petit coup d’œil sur l’horloge, il me reste encore un peu de temps. Je courais donc chez moi pour prendre une petite douche, après tout on ne sait jamais ce que l’on va me demander, qui sais si je ne vais que m’occuper de la sécurité du bâtiment ? Douche prise, tenue propre enfilée, je pris Gilgamesh, mon katana et Arkange. En ce qui concerne le reste de mes armes, elles seront invoquées en cas de besoin. C’est partit, j’étais fin prête. Je sautais dans mes bottes et partit aussitôt en direction du centre ville de Kiri. Rapidement, un bâtiment assès imposant se présentait devant moi, lumière, banderole, nul doute, c’est ici ! J’entrais dans le bâtiment et surprise, le marin de tout à l’heure était là lui aussi. Un homme, grand, assès fort, blond à la coupe au carré, les yeux marrons tellement foncé que l’on pourrait croire qu’ils sont noir, habillés avec classe, s’approchais de moi avant de prendre la parole.

    « Bonjour mademoiselle, je suppose que c’est vous qui allez vous occuper de veiller à la sécurité et au bon déroulement de notre festin ? Le Damyo n’est pas encore sur place, il vous faudra donc aller le chercher un peu plus tard, d’abord le cuisinier a besoin de quelqu’un pour s’éparer les pattes des corps de chaque sanglier. Il a quelques problèmes au niveau du bras et donc pas la force de le faire. Le capitaine du navire nous a fait part de votre force, je sais pertinemment que vous parviendrez à le faire. Une fois terminé, il faudra vous rendre aux portes du village pour accueillir le Damyo en personne et le conduire ici en toute sécurité, il ne doit pas être dérangé sur la route. Ensuite, vous assurerez la sécurité du bâtiment avec les autres gardes, attendez vous à ce que l’on ai besoin de vous ailleurs dans la soirée, on vous appellera si nécessaire. »

    Je ne lui fit qu’un simple signe de tête et me dirigeais directement vers la cuisine où le chef attendais préparant ses sauces. Chaque sanglier était déjà étaler sur des bâches à même le sol. Le chef débarquait par surprise et me tendit un petit couteau en m’expliquant la zone qu’il fallait sectionner. De mon côté, je fis plus simple, je sortais maintenant mon katana et sectionnais l’une des cuisses de l’animal. Heureux par la coupe et la rapidité, le chef m’autorisais à faire cela sur toutes les bêtes, merveilleux, surtout que cent sangliers ce n’est pas la fête. Une bonne heure et demi vient de passer et je venais de terminé ma première partie du travail initialement prévu. Deuxième étape, récupérer le Damyo à l’entrer du village, je ne vois pas pourquoi c’est moi que l’on envoie, je ne suis pas l’organisatrice, mais vu que je suis censé gérer la protection extérieur je me tais et m’exécute. Je prenais la route vers les portes du village, Arkange à la main. Je ne compte pas tuer qui que ce soit dans le village, mais je n’hésiterais pas à blesser pour défendre le Damyo, après tout c’est ma mission. Rapidement, un homme accompagné de trois soldats apparurent devant moi. Au vu du chapeau de l’homme du centre, ce ne pouvait être que le seigneur du pays de l’eau.

    « Bonjour à vous, je me présente, Koyuki jônin de Kiri. C’est moi qui suis ce soir chargé de votre protection sur ordre de notre Mizukage. Je vais donc m’assurer que vous arriviez à destination sans le moindre accroc et qu’une fois sur place personne n’entre pour déranger le bon déroulement de votre soirée. »

    « Très bien, bonsoir Koyuki. Je vous remercie pour votre engagement, mais au vu de votre tenue et de cette chose dans vos mains, je ne suis pas sure que vous soyez réellement en mesure d’assurer pleinement ma protection, mais si le mizukage vous fais confiance alors je veux bien faire un effort. »

    Moi pas à la hauteur ? Il se moque de moi celui là non ? Il sait que c’est uniquement grâce à moi qu’il va pouvoir manger ce soir ? Ma foi, ne disons rien après tout c’est le seigneur du pays. Mon but est simplement de l’emmener à bon port sans qu’il ne soit déranger sur la route, pas de soucis je vais faire comme ça. Arkange en main, une flèche armé prête à être tiré, je marchais tranquillement suivi du Damyo qui a vu son escorte s’arrêter aux portes du village afin de signer le registre d’entrer, ils .nous rejoindrons à l’intérieur du bâtiment, moi j’ai bien vu leurs visages donc pas de soucis de se côté-là. Soudain, notre calme ballade se transformait en une ballade dérangeante. Je me mis à hauteur du Damyo voyant un petit garçon arriver en courant dans notre position, kunai à la main. Je le regardais asses méchamment et l’informait que s’il n’arrêtait je tirais, mais rien y fait. Je décochais ma première flèche de la soirée juste devant ses pieds, chose qui venait de stopper net le garçon qui me regardait apeuré maintenant que j’avais réarmé mon arme et que je me montrais prête à lui tiré dessus. C’est peut-être méchant, mais c’est la sécurité avant tout par conséquent je ne vais pas me prendre la tête pour un merdeux dans son genre. Quelques secondes passèrent et il fit demi-tour en courant comme un dératé, ça c’est fait, mais le Damyo semblait rester sur sa fin.

    « Vous êtes folle de faire fuir un enfant de la sorte, ce n’est pas sous prétexte qu’il arrive armé d’un kunai qu’il va forcement attaquer. »

    « Je suis désolé, mais nous somme à Kiri. Nous sommes connus pour vivre avec les meilleurs épéistes au monde. Même un simple gamin armé d’un kunai à pu suivre un entrainement drastique et tuer un sanglier avec ce même kunai. Ma mission est d’assurer votre sécurité et non pas de penser ce qui est bien ou mal. J’ai volontairement tiré devant lui pour couper sa course, ce n’est qu’un gamin, il n’aurait jamais pu m’affronter avec un simple kunai. Ne vous inquiétez donc pas, avec moi vous ne craignez rien, ne vous fiez pas aux apparences. Pour le moment nous devrions peut-être continuer notre route, vous allez être en retard sinon et je sais que cela sera mal vu de la part d’une personne de votre importance. »

    Il ne m’adressait qu’un simple oui de la tête et nous reprenions maintenant notre route. Quelque minute seulement suffirent à ce que l’on arrive devant le bâtiment où je laissais entrer le seigneur. Il me donnait deux ou trois instructions de dernière minutes et je me postais maintenant devant la porte, Arkange en main, flèche armé, prête à tirer sur quiconque osera s’approcher d’ici. Soudain quatre silhouette apparurent, je brandis mon arme dans leur direction attendant qu’ils ne daignent se présenter. Les quatre hommes s’approchaient de plus en plus et je laissais de nouveau partir ma flèche qui vient se loger juste devant leurs pieds. Le premier attrapait la flèche et la brisait juste avant qu’elle ne disparaisse, et bien, me voilà en compagnie de forte tête ! J’armais à nouveau mon arc prête à lui transpercer le crane avant que le second ne s’avance avec un grand sourire. Un homme apparut derrière moi et posait sa main sur mon épaule.

    « Vous voilà enfin, j’ai bien cru que vous n’arriveriez jamais. Cette jeune fille est chargé de la protection du bâtiment sous ordre du Mizukage, il ne fait nul doute qu’elle ne vous aurait pas laissez entrer si je ne vous avais pas vu par la fenêtre du bâtiment. Vous auriez dû lui montrer votre marque prouvant votre appartenance à ma garde. Mademoiselle, vous pouvez baisser votre arme, ils sont avec moi, ils vont manger avec moi ce soir, veuillez les excuser. »

    Un soupir et je mis Arkange sur mon dos et accrochais ma flèche à ma ceinture. Je me décalais afin de laisser l’entrer du bâtiment libre et les hommes entrèrent. Le dernier s’excusais pour cette arriver surprise et entrait à son tour suivi du Damyo. Je n’avais plus qu’à attendre ici maintenant prête à agir pour le bien de ma mission. Je regardais à droite, à gauche, devant moi, rien à signaler, personne dans le coin. Voilà maintenant plusieurs heures que nous étions stationnés là avec deux ou trois autres personnes attendant que tout ce passe pour le mieux et surtout que le seigneur du pays de l’eau se décide à bien vouloir sortir et rentrer chez lui. Puis l’homme placer sur le toit se mit à hurler qu’un intrus approchait par l’est, quel idiot celui-là, il devrait crier encore plus fort tiens pour que l’on puisse l’entendre même au pays du vent. Puis contre toute attente, quelqu’un arrivait maintenant, un homme grand, blond, surement un professionnel du corps à corps. Il s’approchait de l’entrée que je gardais et me demandais maintenant de le laisser passer, aucune chance. Je sortais mon katana prête à attaquer s’il tentait de forcer le passage. Une présence derrière moi, quelqu’un approchait maintenant puis posais sa main sur mon épaule.

    « Ne sois pas autant sur les nerfs, je sais que tu veux faire ton travail, mais n’agresse pas toutes les personnes qui approche. Le Damyo m’a demandé de te faire entrer, viens donc le voir. Ibracho, viens prendre la place de la demoiselle je te pris. Désolé monsieur, mais nous ne pouvons pas vous laissez entrer, je vais donc vous priez de bien vouloir repartir merci. »

    Je rangeais mon arme après que le blond ne se soit décidé à faire demi-tour et que l’autre homme pris ma place. Je suivais désormais l’organisateur de ce repas à l’intérieur de la salle. Les table était placé en carré, un des hommes de j’avais rencontré tout à l’heure se trouvais debout au milieu et le Damyo vint aussitôt à ma rencontre.

    « Koyuki, on viens de m’informer de l’énoncé exact de votre mission, vous devez empêcher toute infiltration dans le bâtiment, et bien moi je vous confie une tâche qui va compliqué votre mission. Le repas est un peu trop monotone, pour la peine je vais vous demander de livre un combat contre Nazashi dans le carré formé par les tables. Si quelqu’un venait à entrer, nous vous laisserons vous occupé de son cas. Le deal est intéressant n’est ce pas ? Avant de commencer, je dois vous prévenir que Nazashi est le meilleur épéiste du pays, faites bien attention à vous. »

    « Le meilleur épéiste du pays dites-vous ? Laissez moi rire, personnes n’a jamais été capable de rivaliser avec moi à l’arme ! Mettons une petite règle en place, nous ne devons utiliser qu’une seule et même arme durant ce match, qu’en dites-vous ? »

    « Voilà qui promet un match intéressant dans ce cas, la règle me plait, faites vous plaisir et montrer nous du beau spectacle, on n’attend que cela ! »

    L’homme de la garde sortit un katana, pour ma part je choisi Gilgamesh. J’assemblai chacune de mes deux lames pour laisser place à une épée aussi grande que maniable. Le combat pouvait maintenant commencer, il est vrai que l’homme se défendait plutôt bien. Un coup à droite il le parait à gauche aussi et que ce soit en haut ou en bas il arrivait à lire ma trajectoire et me contrais à chaque fois, étrange. Bien sur, ses attaques n’avaient rien de particulier et je les contrais facilement, mais rapidement une présence vint troubler la fête. Nazashi me donnais un coup par la droite et en frappant fortement, je réussi à le désarmer aussitôt, je plantais Gilgamesh sur le sol, sortais Arkange et envoyais une flèche vers l’entrée. L’homme blond de tout à l’heure venait d’entrer, mais il ne fut pas suffisamment rapide et ma flèche se plantait directement dans sa cuisse droite. J’armais une seconde flèche et visais à nouveau l’homme qui se tenait toujours debout.

    « Tu n’as rien a faire ici, à ta place je partirais sur le champ ou je vais devoir te faire enfermer pour trouble, je ne laisserai personne venir perturbé le repas de notre seigneur ! »

    « Ce n’est pas une gamine qui m’arrêtera »

    Il ne me laisse pas le choix, ma seconde flèche allait se planter dans l’épaule droite de l’homme face à moi qui ne semblait toujours pas vouloir se stopper, dans ce cas je n’ai plus d’autre choix ! Après une brève série de mudras, une flèche à pointe brillante apparut dans mes mains, je l’armais et tirais aussitôt sur l’homme qui ne pouvait plus faire le moindre mouvement. Je sortais mon fil ninja, lui attachais les mains et n’avais plus qu’à partir l’enfermer. Je récupérai Gilgamesh, la refit passer à l’état de deux lames et regardais tout le monde.

    « Désolé Nazashi d’avoir dû mettre un terme si rapidement à notre combat, je m’amusais bien pourtant. Monsieur le Damyo, je vous prie de m’excuser, je ne pensais pas qu’il reviendrait, j’aurais mieux fais de le détruire tout à l’heure au lieu de le laisser faire sagement demi-tour. Je vais maintenant le conduire en prison, bonne soirée à vous. »

    « Merci beaucoup à vous Koyuki. Je garde vos talents en tête, si besoin je sais pertinemment que c’est vers Kiri que je me tournerai, je remercierai votre mizukage plus tard. Nous allons maintenant nous retirer, essayez de savoir ce que voulait cet homme et condamnez le en fonction. Nos chemins se recroiseront, merci et à très bientôt. »

    C’est terminé pour aujourd’hui, j’emmenai l’homme dans les prisons du village et par la suite irais faire mon rapport à Obakee, il faut savoir !



Lignes : 119 / 55

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