Omei Kyofu est un maniaque. Rien ne perturbe l'esprit d'un homme perturbé. Omei est un homme qui ne comprends rien à l'intelligence humaine, les choses le troublent énormément. Si ce n'est pas tuer, alors ce n'est rien. Tuer... Il a peur des gens, il est maniaque, peut-être un peu psychopathe. Après tout, qui a-t-il de plus cruel que l'homme? L'homme est un maniaque fou qui ne se sent vivant que dans la mort. Dans la mort des autres autant que dans la sienne. Omei la compris. Il tue pour se sentir vivant, il tue pour vivre, il tue pour simplement s'amuser. Il adore voir le sang, il adore sentir le sang, il adore toucher, goûter le sang. Kyofu à compris ce que les autres n'ont pas compris :" On n'est pas fait pour vivre une vie paisible. On est fait pour tuer, et rien d'autre." Le ninja est une machine à tuer, et Omei ne fait pas exception à la règle. Si on a peur de tuer, alors on a peur d'être humain. Si on a peur d'être humain, on a peur de vivre, et si on a peur de vivre...On se retrouve tuer, par celui qui essais de vivre.

Omei Kyofu n'aime pas les gens. Ils le rendent fou, il reste donc seul. Seul dans sa propre folie, seul dans son propre univers. Il n'a pas peur des gens, il les déteste simplement. Comme ci le monde n'avait pas assez d'humains... On peut considérer Kyofu comme étant solitaire. Il reste indépendant des autres. Il ne donne sa confiance qu'a quelques personnes qui le méritent. Malheureusement, les gens n'En valent pas nécessairement la peine. Les gens ont peur de tuer, et tuer, c'est tout... Ils sont étrange les gens, non? Ils se croient tout permis alors qu'ils sont trop lâche pour simplement comprendre que le seul bonheur véritable, c'est tuer. Tuer, c'est l'apogée de l'homme, c'est l'apogée du ninja! C'est de loin la meilleure chose que ce pauvre monde puisse offrir. Tout ça pour dire, que Kyofu est solitaire.

Comme j'ai dit précédemment, Omei Kyofu ne donne sa confiance qu'aux gens qui le méritent. Lorsqu'on gagne la confiance de cet homme, il est solidaire. Il t'aidera peu importe ce que tu veux, peu importe le prix à payer. Ses amis sont sa chose la plus cher à son coeur. Il se fou du reste. Si ce n'est pas tuer ou passer du temps à aider ses amis. Et seulement AMIS, il s'en contrefiche. Il défendrais ses amis à n'importe quel prix. Il se laissera insulter par quiconque veut l'insulter, mais si on touche à ses amis. Si on insulte ses amis. Si on regarde mal un de ses amis, il exterminera quiconque sur son chemin. Personne ne survit à la solidarité d'Omei Kyofu. Il est prêt à y laisser sa vie. Il ne considère pas sa vie comme grand chose, mais il sait la chérir. Il la chérit en tuant, parce que c'est le seul plaisir qu'il est possible d'avoir en tant que ninja.

Omei Kyofu à confiance en lui à un point incroyable. Il n'a pas peur de mourir parce qu'il se considère trop fort. Il a une sorte de confiance en lui-même qui bat n'importe quel autre confiance. Il a confiance en ses amis autant qu'en lui-même, malheureusement, il n'a pas d'amis, son seul véritable ayant été tuer, il reste confiant qu'un jour il retrouvera ce sentiment d'amitié qu'un jour il a pût expérimenter. Kyofu tueras si quelqu'un ose mettre sa confiance en jeu. Car sa confiance c'est une des seules choses qu'il puisse encore posséder.

Omei Kyofu n'existe que dans la mort. Il ne survit que dans la mort. Sa personnalité c'est la mort. Il est l'apocalypse, il est la faucheuse, la mort, chaque infimes parties de cette mort. Il est celui qui tranche la gorge autant qu'il est celui qui appuis sur la détente. Il est l'arme, et non la conscience. Il est créer pour être utiliser, et non pour choisir sa cible. On le pointe à quelqu'un, et il tue. C'est simple. Il n'est que l'objet de la mort, et non l'assassin lui-même. Il est l'Apocalypse.

Ses cheveux sont noir comme l'encre, qui couvre le papier pour décrire une histoire. Ses cheveux sont sombre comme la nuit qui semble continuer indéfiniment. Comme si ses yeux étaient les seuls étoiles qui illuminaient ses pauvres pensées à travers le voile d'encre du monde extérieur.

Ses yeux dorées vous montrent un monde dans lequel vous plongez sans jamais vous y retrouvez, un endroit magnifique et morbide à la fois, lorsque rien n'est plus, et tout est. L'alpha et l'oméga. L'enfer et le paradis. Un simple endroit de collision intense d'où on ne ressors jamais...

Son visage semble vieux sans pourtant l'être. On dirait qu'il n'a pas dormis depuis des siècles et des siècles. Chaque secondes que l'on regardait son visage, on ressentais chaque batailles menées, chaque combat perdu, chaque combat gagner. Chaque fois qu'il aie tuer, chaque fois qu'il est mort. Omei Kyofu, l'homme qui n'existait pas. Celui qui passe sa vie dans l'ombre de sa propre personne.

Sa peau semblait pâle, quasiment grisâtre. Il semblait avoir vécu trop longtemps pour l'âge qu'il possédait. Son corps lui même semblait immatériel, comme si chaque fois qu'on clignait des yeux, il semblait de plus en plus disparaître. Chaque fois qu'on le perdait de vue, il devenait de plus en plus intemporel.

Son bandeau de village comme ceinture, elle soutien une moitié de toge, couvrant les jambes seulement. De couleur noir et doré, elle laisse le haut du corps à l'air. Ses muscles sont mutilé, certaines parties de son corps semblent toujours aussi fraîche que la journée où elles étaient apparues sur ce corps. Il n'en restait pas moins charmant, même s'il semblait plutôt en mauvais état. Il restait fort, c'était probablement un de ses plus grands atouts.

Ses sandales semblaient plutôt vieille, elles semblaient avoir marcher des années, sur des kilomètres et des kilomètres, supportant tout son poids et ses 2.12 mètres de hauteur. Elles semblaient commencer à tomber tranquillement en mille morceaux, mais cela ne préoccupais pas vraiment l'homme qui les portait. De simple bout de bois après tout. À tout bout de bois son utilité après tout. L'utilité de toutes parties et objets de Omei Kyofu, c'était tuer.

Les bras de Omei Kyofu étaient recouvert de bandages de long en large. Ses mains, ses avants bras, jusqu'à la hauteur des épaules étaient recouvert de bandages. On pouvait voir le sang qui avait sécher sur ceux-ci. L'homme était donc t-il un masochiste? Qui sait. Tout le monde à ses secrets, et chaque secrets à son utilité.

Premier verset de la bible de l'Apocalypse.

"Je suis la lame qui tranche la gorge. Je suis l'épée qui étends les tripes. Je suis l'ange qui contemple les hommes et leurs péchés. Je suis l'Apocalypse."

Il y a des millions d'années, la terre fût créer. Les plantes, la terre, l'eau, l'air, furent les premières créations d'un Dieu qui n'est toujours pas reconnût. Les animaux furent ensuite créer pour amuser ce même Dieu. Les créatures de ce monstre se sont fait classer en tant que dans deux types. Les carnivores, et les herbivores. Carnivores...Cela semblait tellement cruel. Alors, ce Dieu était cruel? Les carnivores devenaient donc les chasseurs, et les herbivores, les chassés. Les herbivores se virent munît de quasiment rien pour leur survit. Les carnivores, de toutes les armes possible de mettre à un être vivant. La vie est injuste. Et Dieu a fait de la terre, son terrain de jeu. Dieu regarda chacun de ces animaux s'entre-tuer, ne serais-ce que pour avoir un territoire, pour avoir des enfants, pour se nourrir, ils tuaient...

Dieu était cruel. Lorsqu'il perdit l'amusement de ces bêtes,il se décida à en faire une plus puissante. Une qui serait plus forte, plus cruelle, un monstre, une machine à tuer... Il devait créer l'apogée de ses créations précédentes, celle qui prendrai la place comme chef de ce monde. Alors Dieu créa l'homme. La machine à tuer la plus cruelle qui existe. Pour son propre amusement, il venait de créer une chose qui ne valait même pas la peine d'être décrite. Elle était rapide comme le tigre, fort comme l'ours, rusé comme le renard, agile comme le singe, en faite, il possédait chaque avantages de chaque animaux. L'humain n'avait pas de défaut, sauf ses sentiments. Certains hommes eurent la chance de détruire ces sentiments, et d'autre, ne l'eurent pas. L'homme lui-même est un objet de destruction qui mèneras le monde à son enfer personnel.

Peu importe le nombre de temps que cela prendras, Dieu resteras poster sur son trône, à regarder les hommes s'entre-tuer avant d'envoyer un homme qui serait le jugement dernier. L'Apocalypse.

Un homme devrait naître parmi les autres. Un homme devrait se lever et utiliser l'arme non seulement pour son propre plaisir personnel, mais pour celui du monstre qui l'avait créer. Il devrait devenir puissant, se battre à tout prix, tuer tous les gens qu'il pourrait. Comment est-ce qu'un Dieu pourrait permettre à un homme de vendre son âme pour son propre plaisir personnel? Demander à un simple homme de tuer les siens, de devenir plus puissant pour tous les exterminer parce qu'il en avait assez de jouer avec tous ces jouets inutile?

La bible de l'Apocalypse relaterais d'une façon simple et morbide comment est-ce que cet homme devrait se faire élever. Comment cet homme devrait naître. Les parents de cet enfant devraient être de fervent priants de ce monstre qu'est Dieu. Ils devraient être prêt à offrir leur vie pour une apocalypse digne de ce nom, et c'est la simple et seule raison qui pousseras des gens à travers les siècles à tenter ce processus complexe. Malheureusement, personne ne réussira sauf la personne qui sera dédier à être l'Apocalypse, celui qui aura la chance d'être le jugement dernier, l'objet de destruction de l'homme qui regarde de haut les machines de guerres que sont les humains.

Mais comme dans toutes histoires, un jour, il y aura un homme qui, sans le vouloir, deviendra cet objet. Et malheureusement, on n'a aucun mots à dire lorsqu'on est choisit par une prophétie qui existe depuis des milliers d'années... Surtout lorsqu'on est un seul enfant contre un monde d'adultes...Apocalypse, tu seras mon ami. Apocalypse, tu seras mon ennemi. Apocalypse, permets nous de mourir.

Deuxième verset de la bible de l'Apocalypse.



"Le froid ne m'affectes pas. Rien n'est plus froid que mon âme. La chaleur ne m'affectes pas. Rien n'est plus brûlant que ma rage. Les armes du mal et du bien ne m'affectes pas. Je suis l'Apocalypse."

Les instructions ont toujours été bien simple. Elles doivent être respecté dans l'ordre. Si l'ordre est changé, si un mot est mal expliquer, si l'enfant n'acceptes pas, si les parents ne sont pas consentant, si une seule des choses écrites est mal dicté, mal faites, alors, les gens qui auront oser profaner la mémoire de leur Dieu devront périr. Apocalypse un jour vivra dans un monde qui le rejetera, et malheureusement, les règles ne sont pas la pour l'aider. Les règles sont simple. Ce sont les instructions. Les 7 Lignes Universelles.

- L'enfant doit naître sur la table sacrificielle de Dieu, créateur de la guerre et de la mort.

- La mère de l'enfant doit être sacrifié dans les minutes suivant l'accouchement du rejetons.

- Le père doit être la personne qui sacrifie la femme qu'il aime.

- L'enfant doit être élevé par le père seul.

- Lorsque le poupon atteindra seize ans, le père devra expliquer le rôle de l'enfant. Si l'enfant refuse quelque règle que ce soit, le père devra l'assassiner.

- L'enfant devra connaître et accepter le rôle qui lui a été confier.

- L'enfant devra survivre à sept jour seul avec lui-même à travers la forêt, là ou les animaux vivent, ceux qui lui ont donner chacune de ses habilités humaine.

Simple, certes, mais impossible. Impossible pour n'importe quel humain normal... Après tout, il devait être l'apocalypse. À lire les règles, à travers les siècles, le nombre de nouveaux nés qui ont tenter de devenir l'Apocalypse, le nombre de mort par tentative de rendre un enfant aussi puissant que l'Apocalypse elle même, les sectes grandissant, devenant des religions, qui se séparèrent en branche, toujours attendant cet homme qui un jour mettrais fin aux péchés du monde.

Cet histoire semble certes étrange, mais elle en reste du moins la plus authentique. Les écrits ont changer à travers les fils du temps, mais dans la bible de l'Apocalypse, celle qui ne fût jamais changer, jamais profanée, elle relatait ces règles. Les règles que nul n'oserais contredire. On a tous peur qu'un jour l'apocalypse nous emmène au plus profonds des abysses. On s'attends simplement à ce que cet fin soit plus douce que selon les écrits...

L'histoire d'une vie écrite en dedans des 7 Lignes Universelles. L'Apocalypse. Une vie en sept lignes. Que dire de plus? Après tout, le monde était déjà condamné à périr un jour ou l'autre, et ce jour arriverais lorsque l'homme qui deviendrait l'Apocalypse le décidera.


Troisième verset de la bible de l'Apocalypse.

"On ne choisit pas sa destiné. On l'accomplit, c'est tout."

L'apocalypse est simple. Elle est l'univers. Elle est tout. Elle est le Dieu des mortels. Malheureusement, elle peut échouer. Mais chaque fois qu'une Apocalypse échoue, une nouvelle pourra tenter de voir venir le jour.

Le troisième verset est le dernier verset important de la bible de l'Apocalypse. Il récite de loin le simple but de l'apocalypse. Quelques mots. Quelques mots dans un livre simple et sans aucunes fonctions.

Un jour, personne ne sait quand, l'enfant devrait apprendre à se servir d'une arme. Tout selon l'époque et l'âge, l'arme changerais. Autant se pourrait-il qu'il manie une épée, autant qu'il puisse manier les élements, cela n'importait pas. Il devait tuer, tout simplement. La façon d'atteindre un objectif est inutile, du moment qu'on réussit à atteindre cet objectif.

Objectif, emmener l'apocalypse sur une terre de pêcheur. Des gens qui ne comprennent rien à la vie, qui ne comprennent rien au monde. Des gens qui ont perdu foi, qui ont perdu leur âme...Vendre son âme au diable. Ou est-ce que Dieu est le Diable lui-même? Un Démon cruel qui prends chaque parcelles de bonheur pour le transformer en douleur intense et si puissante qu'elles tuent chaque petit bout d'espoir.

Apocalypse. L'homme qui un jour libérerait le monde de leur fardeau. Un homme que tout le monde attendais. Un homme que rare seront ceux qui pourront le voir. L'homme qui sauras contrer le temps et vivre pour l'éternité. Apocalypse, assassin du monde, celui qui vivra lorsque les autres périront dans les flammes de l'abysse du monde. Apocalypse, toi qui est tout et toi qui n'est rien. Notre sauveur à tous, repends ta colère à travers le monde, repends ta foi à travers nos coeur. Apocalypse, reprends le contrôle du monde que tu as créer, des cendres d'un ancien monde. Dans les règles de l'Anarchy tu vivras, dans les règles de l'Anarchy tu finiras. Nous avons commencer cendres, nous finirons cendres. Si Dieu nous le permet, alors nous serons un. Si Dieu nous le permet, alors nous disparaîtrons en tant qu'une seule et unique personne.



J'ai une histoire. Je suis l'Apocalypse.

Un entrainement qui tue les hommes

C'est ici que commença la quête d'un homme sans exception. Il n'était qu'un ninja parmi tant d'autres, il n'était qu'un homme sur la terre, alors comment pourrait-il accomplir une telle tâche que d'exterminer tous êtres vivants? Après tout, les hommes ayant commis de grands péchés, n'allait-il donc pas accomplir le pire crime que le monde pût un jour compter à son actif? Tuer des milliers de gens... Pour cela, il y avait des allier. La nouvelle que l'Apocalypse était né et avait survécu, prête à accomplir sa destiné se rependit à travers tous les villages, les fanatiques se lèveraient. Et le moment venu, tous seraient forcé à accomplir le tragique destin de l'Apocalypse. Tuer ou mourrir. C'était simple. Tout le monde finirait fou, les Kage tomberaient, les villages brûleraient, exploseraient, disparaiteraient dans l'histoire d'un homme sans exception. L'apocalypse.

"L'entrainement commença simplement. Son père était mort. Sa maison brûler. L'Apocalypse se fit hébergé chez un homme qui était un très grand priant de la bible de l'Apocalypse. Cet homme me montra tout ce que je devais savoir. Mon but principale était de manier les flammes de l'enfer. Tout le monde prit. Et de nombreux prient la mort. L'Apocalypse est une version humaine et vivante de cette même mort. Je trouvai facilement un sensei Katon. Il m'apprit les bases, le fait d'être une flamme, d'être comme le feu, brûler les âmes impures dans le monde si dure qu'est la vie. Toujours tenter de devenir plus puissant, c'était ma quête."

"Le sensei Meiko était un bon sensei. Il m'apprit tout ce que je dût savoir sur le Katon. Des techniques les plus inutiles aux techniques les plus dévastatrices. Tout ce que je voulait, c'était brûler. Détruire tout ce que je pourrais détruire. La vie est courte, et elle le serait encore plus si j'agissais en conséquence. Après tout, que pourrai-je faire d'autre? Je suis l'Apocalypse, c'est mon but, c'est mon droit. C'est mon destin. Des dizaines de gens sont mort pour tenter en vain de créer une réplique de la personne que je suis. Ils ont sacrifier leurs femmes, ils ont sacrifier leurs enfants, ils ont sacrifiés leurs vies pour me permettre de vivre. Qui aurait cru qu'un jour j'apparaîtrait?"

"Sensei Meiko était bon, mais un peu stupide. Il n'était qu'un homme après tout, un humain parmi tant d'autre dans la grande quête qu'était ma vie. Cet homme mourut pendant mon entrainement. Je devrais apprendre de moi-même. Il m'apprit comment me battre, et c 'est de cette façon que je le tuai. Je devais devenir plus puissant...C'était donc le temps pour moi de trouver une nouvelle affinité...Si je suis plus puissant, alors je serai capable de prendre possession du monde, avant de le détruire... Mon entrainement ne fait que commencer..."

"Je pris en main ma vie et je partit vers Konoha. Je quittai l'endroit ou je vivais, maintenant que mon sensei était mort, je devais retrouver un nouveau sensei. Mais cette fois ci, un sensei Doton. Si je réussissais un jour à manier la lave, alors enfin je serais assez puissant pour être le démon vivant, le dieu éternel, l'Apocalypse. Je suis prêt à vivre à nouveau, je suis prêt à accomplir ma destiné. Je suis à deux cents pour cents prêt. Alors c'est à ce moment que je prit ma vie en main et que je fût prêt à me battre, pour mon âme, pour ma vie , pour une simple parcelle d’existence, purger le monde de l’imbécillité humaine."