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 |  Sujet: L'Obtention des Poings Légendaires  Mer 1 Fév - 21:39 | |
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L’Obtention des Poings légendaires :
Que La journée commence !
Seul, sur l’herbe d’une citée inconnue, je fixais continuellement les nuages qui se propageaient sur Terre. Dans mon esprit ? Des pensées, des souvenirs, voilà ce que je voyais lorsque je me perdais en fixant les nuages. Les yeux rivés sur ces fumées de poussières qui étaient plus ou moins d’une coloration blanchie. Il donnait un nouvel effet, comme si le temps avançait tel une course qui devait désormais prendre une nouvelle ampleur qui m’emmènerait tout droit vers une vie non utopique, auquel la guerre ne serait qu’éphémère voir passagère. Malgré tout, d’innombrables questions se trottaient dans mon esprit et l’une était majoritairement réutilisée … Le clan Nara était-il toujours au village ? Depuis peu, je ne rencontrai aucune personne venant de ma famille, et de plus la paresse s’intensifiait à un tel point que mes soupirs se haussaient de quelques dizaine de secondes en plus.
Autour de moi, dans mon entourage, quelques arbres qui restaient là, inerte, devant moi et qui créaient des ombres à grande superficie. Le soleil quant-à-lui était dans son stade de pleine puissance qui se faisait ressentir en un bref instant, une chaleur à en faire cuir la peau, les ombres en deux-dimensions qui recouvrait tout le long de mon corps donnant un effet, le calme et la tranquillité. En se qui concernait les espèces étrangères du lieux que j’envahissais, des animaux sauvages qui se promenaient par-ci et par-là, un jardin de rosiers qui se trouvait au-dessus de cette statuette immobile que j’étais, ainsi qu’une maison typiquement Japonaise qui restait par chance depuis quelque peu très calme.
Mes pieds qui durcissaient sous un degré de chaleur incroyable, voilà ce qui se produisait lorsque je ne bougeai plus et que je restai dans une seule et même position que je prenais le plus souvent dans ma vie. Des paupières qui picotaient lorsque je ne fermai pas toutes les deux minutes donnant un réel embarrât, des bras qui restaient cloués contre l’herbe et qui avait déjà quelques centimètres de hauteur comme les champs de blé des fermiers que l’on pouvait rencontrer au large du Pays du Feu. Le torse qui se gonfla tel un ballon d’amusement pour atteindre son épopée afin d’absorber une bouffée d’air qui ressortait comme par magie sous une forme sale de notre corps. Les lèvres qui devinrent sec en une trentaine de minutes ainsi que des cheveux qui se positionnaient sous une copie en forme de cratère que formait mon corps afin de se positionner entre cette herbe.
Malheureusement ! Comme par hasard, le bonheur de la paisible vie de shinobi que j’avais en quelques heures partit subitement en éclat lorsqu’une jeune kunoichi se mit à quelques mètres de moi, cachant cette lumière étincelante qui recouvrait ma vision. Peu à peu mes pupilles s’adaptèrent à la puissance lumineuse qu’envoyait le soleil, lorsque le visage de la jeune demoiselle se montra sous un jour nouveau.
Oh une belle demoiselle se montrait, certes, elle n’était pas très amicale et elle n’était pas du genre passif. Sa voix se retentissait comme un cri de lionne enragée qui ne semblait pas apprécier ma posture ainsi que mon passe-temps favori. Elle se mît soudainement près de moi, les yeux qui donnaient un air de loucher, son nez qui se trouvait à quelques millimètres de la mienne lorsque …
~ Wow, la kunoichi disparut soudainement se métamorphosant en un nuage de plus.
Un rêve ? Pas très cool pour un misogyne de mon genre. Quel cauchemar, rêver d’une dictatrice qui prenait le contrôle sur ce qu’était ma passion pour la flemmardise? je commençais par me lamenter sur mon sort lorsque j’envoyai alors les deux mains vers le visage rinçant en quelque sorte mes yeux qui paraissaient flous comme si je mettais des lunettes alors que j’en avais même pas besoin. Bref, le dégoût total, je me levai, mon dos qui prenait alors sa position verticale fît subitement quelques craquements qui se retentirent à l’intérieur de mes oreilles. Bâillement en vue, je mettais désormais la main devant ma petite bouche qui contra l’air de celle-ci lorsque j’étirai par la suite mes articulations qui se mirent en craquement soulageant.
Qu’allai-je bien faire aujourd’hui ? Bonne question que je me posais dans ma tête, aucun emploi du temps ne s’organisait dans ma vie habituelle, seul quelques courses au marché et quelques provisions pour ma maison actuelle mais rien de bien ennuyeux. Un entrainement ? Tout le monde faisait ça seulement pour se mettre des Jutsus sous la dent et moi c’était pas mon genre. Les Jutsus de Kekkei Genkai acquis globalement je n’avais plus rien à apprendre à ce jour … Enfin presque ! Une technique devait être en cours d’acquisition et malheureusement je n’avais pas l’ingrédient nécessaire pour réaliser cette technique qui aurait pu m’être utile que notre Clan appelait en terme de base : - Kage Mane Shuriken … A quoi consistait-il ? D’un geste, j’envoyai une légère baffe sur l’une des capsule rectangulaire qui servait de poche à parchemins Kuchyose ou autres … Et dans mon cas ce fût une simple histoire et indication sur les techniques des Nara tel un livre de sceaux. Comment les descendants de ma lignée pouvaient-ils écrire tant de choses sur nos origines et sur nos Jutsus alors que l’on avait une flemmardise constante ? Un soupire de plus se dégagea de ma gorge, je devais à-présent lire tout ce parchemin qui fût confiée au futurs générations dont moi.
Les symboles anciens qui fondait aujourd’hui les simples souvenirs de nos ancêtres se trouvait dans chaque parchemin, les tactiques, les méthodes de remèdes pour maladies courantes ainsi que nos talents et les dérivées de tous nos Jutsus de Clan. Ah ! J’arrivai en une-heure et trente-deux minutes au début de la phrase qui indiquait la technique que je possédais pas encore, pour le moment. Elle permettait d’avoir une arme spécialement conçue afin d’absorber le Chakra de l’utilisateur qui imprégnait sa puissance dans celle-ci lorsque la lame de l’objet absorbe l’énergie et qu’il puisse momentanément posséder la nature du Chakra de l’utilisateur. Ce qui voulait signifier que l’objet spécial aurait alors un effet comparable à ceux de mes Kage Mane si je les utilisais comme indiqué. Dans notre cas, les lames consommaient donc le Ninjutsu de la personne pour copier les techniques ainsi que leurs effets comme l’exemple qui se trouvait dans le parchemin ancestrale. Bref, je ne savais pas ou je pouvais trouver l’objet qu’il fallait et Konoha n’était pas si petit qu’il paraissait à vue d’œil.
Lorsque je pensai à ce que j’appelais arme spéciale, elle devait avoir une facilité à recevoir l’énergie vitale de mon corps et peu de personnes auraient pu en fabriquer. En une dizaine de minutes je descendis le long de la crête montagneuse qui se formait au-dessous de mes pieds lorsque je vins alors prêt d’un magasin marchand qui vendait les objets pour le moins spéciaux. Par chance cette salle à quatre murs se trouvait à quelques pas de la descente, en un clin d’œil j’ouvrai alors la porte de la pièce qui se trouvait aux côtés des autres habitations.
« Yo le marchand … J’aimerai savoir si vous vendez un objet tranchant et métallique qui permet d’imprégner facilement son Chakra ? »
Le marchand aux lunettes sombrées se mît à dégainer de ses lèvres un léger sourire qui soulevait et penchais instantanément la position de sa moustache, il prit un temps de réflexion sous les caresses et brossages qu’il réalisait sur ses poils maronnés à l’aide de ses deux doigts de la main gauche laissant l’autre main sur son bureau de vendeur. Pendant qu’il se perdit dans ses pensées, je prenais l’initiative de regarder ce qu’il avait dans son inventaire, quelques objets banaux ainsi que des trésors qui valaient une bonne année de travail et quelques missions délirantes à en perdre sa vie.
- Oui, j’en connais deux paires de Poings Américains de style shinobi que je venais de perdre lors d’un braquage que réalisait une bande de gamins brigands. Malheureusement ils n’ont jamais retrouvé les objets précieux qu’ils ont prit et cela va faire un bon mois déjà. Ils vivaient à quelques maisons d’ici et on la distingue grâce à une croix aux teintures rouge comme la couleur du sang qui se tague sur les murs emboisés et c’est là qu’ils furent arrêtés.
Quelle poisse. Je n’avais plus d’issue si ce n’était que de farfouiller l’endroit ou logeaient les jeunes brigands lors du braquage.
« Merci, je me débrouillerai ! »
D’un pas, je longeais le long de la pièce pour atterrir à l’extérieur de celle-ci sous une envie de retrouver les lames que je recherchais depuis quelques temps déjà. Quel ennui … pff ! Cette histoire n’était-elle pas sur le point de finir ? Aucune idée, la seule issue que j’avais était de suivre les indications du marchand antiquaire pour atteindre une maison, ou même, un taudis ou un symbole en croix rougi s’y trouve. Je parcourus alors la ruelle, aux alentours du village fixant avec précision les habitations des villageois. En quelques minutes je parvenais désormais à atteindre la maison indiquée, celle des voleurs. Le calme total, l’étrange demeure, la peur de l’inconnu, voici les sentiments que je pouvais ressentir lorsque je me mettais en face de cette habitation qui paraissait comme un endroit lugubre et invivable. La porte rectangulaire qui était verticale n’avait aucune porte comme toute maison descente, les murs étaient noircis et ils se brisaient en plusieurs plaque de bois qui s’éparpillaient tout le long de la maison des brigands inconnus.
Je pénétrai désormais entre la paroi de la demeure qui conduisait automatiquement à l’intérieur et quelques objets y trainaient. Sale, puant, dégoûtant, comment pouvait-on vivre dans une porcherie de ce genre ? D’un mouvement de délicatesse, j’ajustai la position de mon gilet verdâtre ainsi que mon bandeau frontal qui se positionnait sur mon bras gauche lorsque je me mis alors en mode détective. Je touchai instinctivement les plaquettes qui constituaient la maison des étrangers, loin de cette fraîcheur de l’inhabité une chaleur parvint entre mes doigts qui s’écarquillaient comme par pressentiment. J’étais de sorte sceptique et je ne croyais pas aussi facilement aux histoires qui fondaient les légendes shinobis, bref, je visionnai subitement l’une des tables de la demeure qui se situait vers ma gauche. Je marchais désormais en direction de la table ou se positionnait un verre cristallisé ainsi qu’un mégot de cigare qui laissait quelques lueurs de fumée s’évaporer dans les airs. Hum … Quelqu’un venait de passer ici et il n’était pas là pour une routine. Je regardais à droite ainsi qu’à gauche pour enfin terminer ma partie faciale qui rivait désormais vers les plaques de bois qui couvraient le sol. Merde, une personne s’y cachait forcément et elle espionnait les lieux pour avoir ce que je recherchais tant : les lames !
Un bruit se fît soudainement lorsque je fis un saut qui me projetait au coin de la pièce. Une multitude de Kunais traversèrent le sous-sol pour atteindre le toit de la maison qui explosèrent en une fraction de seconde. Sous une épaisse fumée surgissait alors une personne qui avait un katana en main, le marchand qui possédait des habits de combattant.
- Tiens, tiens, je savais qu’un gars de ton genre chercherait les Poings Américains que je voulais tant avoir depuis le temps. Croyais-tu qu’un marchand se positionnerait à quelques pattés de maisons du lieu ou logeaient les briguants pour un rien ? Haha, quel imbécile tu fais, je devais un mois plus tôt obtenir un objet de grande valeur dans mon tableau de chasse, un objet qui valait de l’argent et surtout une grande puissance. Grâce à elle je pouvais obtenir une vie de riche et donc devenir puissant. Malheureusement ces crétins ont caché les lames lorsque les Anbu intervinrent et qu’ils furent emmenés en prison me laissant alors sur la paille après que j’ai tout dépensé pour ce plan machiavélique.
Le monde des ninjas avait tendance à prendre de mauvaises tournures lorsque des bandits au mental d’escargot se mettaient en travers de nos chemins, son plan était tellement prévisible que les forces spéciaux n’eurent même pas le besoin de bouger le petit doigt. Comme toute chose je n’avais aucunement besoin de m’inquiéter pour cet ingrat que j’allais envoyer en prison. J’esquissai soudainement un sourire comme le faisait la plupart des shinobis de notre peuple, les mains jointes je formais alors le mûdra adéquat pour former la Manipulation des Ombres et ainsi prendre l’homme dans un piège que j‘aurais élaboré.
Mes sens se mirent une fois de plus en éveil, mes mains liées sous une combinaison précise du mûdra qui invoquait l’aura que j’avais en moi prit subitement la forme du Kagemane que je dirigeai désormais à volonté, ma vue fixa aussitôt les moindre recoins qui auraient pu servir de problème et ainsi mettre mon ennemi en position de faiblesse, ma peau se mit délicatement à fondre sous cette chaleur qui créait sur tout le long de mon corps d’infimes gouttelettes de sueur qui se mirent à geler sous ce vent qui s’intensifiait par un sifflement divin. Lorsqu’un nuage grisé se mit en formation propageant une ombre un peu partout qui annonçait un temps de pluie.
L’ombre se mit en mouvement, un allongement se fit, j’allais avoir la proie dans mes filets. Alors que la manipulation se réalisait, l’ennemi lui demeura dans l’inconscience et dans la surprise. Peu de personnes connaissaient mes talents de Nara et je devais en tirer profit. L’ennemi à son tour envoyait désormais trois shurikens de base que je devais contrer avec rapidité.
« Kage Mane no Jutsu, réussi ! »
Le ton soudain se métamorphosa en une technique dévastatrice qui conduisait instantanément l’ennemi dans le vide absolu de l’incompréhension. La plus simple des options que j’avais dans mon esprit était celle de prendre une arme qui pourrait contrer les projectiles qui venaient en ma direction. Une fois le Jutsu du Kagemane réussi, je débattais aussitôt le bras droit sortant un Kunai comme on en voyait tous les jours afin de dériver les armes tranchantes qui venaient en ma direction. Hum … En trois gestes, la lame qui grinça une dizaine de secondes émit le son de la réussite, je souriais légèrement, la paume de ma main qui empoignait le manche de l’arme dont j’étais propriétaire avait désormais quelques cicatrices qui apparaissaient tel un gêne qui se frayait sur mon bras blanchâtre. Bref, il était temps pour moi de régler le compte de ce gars là !
« Franchement, ce combat, il ne mériterait même pas de naître alors je vais me contenter de chercher les Poings légendaires … J’suis fatigué et je voudrai bien terminer cette matinée à regarder les nuages moi ! »
Ou les bandits avaient-ils caché les poings américains ? Le taudis restait trop petit pour obtenir une bonne cachette auquel les Anbu n’y penseraient pas. S’ils n’étaient pas si censé que ça, j’aurais opté pour cette table, qui, malgré le temps était la seule chose qui restait dans ce taudis. Je relâchais en douceur le mûdra du rat sous la technique de manipulation des ombres qui restait malgré tout activée, lorsque je me dirigeai sous l’imitation du marchand, commençant par démonter la table boisée qui restait inerte dans cette pièce. Après une bonne demi-heure qui défilait, je parvenais enfin à obtenir les armes que je convoitais tant depuis ce matin-même.
Enfin, j’avais désormais l’arme que je recherchai qui était une fusion d’un Kunai suivi de celui d’un poing-américain qui avaient des piques au bout. Elle était très belle au niveau esthétique, très coupante tel un super rapporteur ( x) ). La journée était pratiquement terminée, j’accompagnais le marchand voleur aux forces spéciales d’Anbu qui emmenèrent l’homme en prison et pour récompense j’obtins les poings américains qui permettaient une meilleure pénétration du Chakra de l’utilisateur et qui recopiait tantôt l’affinité principale de celui qui donnait un peu de son énergie en elle. Et qui donnait alors la possibilité de réaliser le Jutsu de mon Clan qu’était le Shuriken de l’ombre.
* Bon, je vais aller faire une partie de shôgi *
- Spoiler:
~ 170 Lignes pour l'acquisition des Poings Américains spéciaux
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Daisuke
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| | Sujet: Re: L'Obtention des Poings Légendaires Ven 3 Fév - 6:06 | |
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