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| Sujet: Hitorogami Saku Mar 14 Fév - 20:24 | |
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Votre personnage
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✘ Nom: Hitorogami
✘ Prénom: Saku mais surnommé Hito
✘ Age:17
✘ Nindo: Advienne que pourras
✘ Village désiré: Suna
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Description psychologique
De nature timide, je n'aime pas à me montrer en spectacle, depuis l'enfance on me reproche cette timidité, chose qui m'a forcée à choisir le Kugutsu no Jutsu comme principale arme, afin de vaincre mon handicap si je peut nommer cela ainsi. Je n'ai pas le sang en horreur mais je n'y suis pas spécialement accroché non plus, je ne le ferai couler ou laissera le mien couler que pour le bien de mon village, je ne suis pas et ne serai jamais accro au meurtre gratuit, il faut qu'il ai une utilité, sinon je le vois comme une perversion que je n'appuie vraiment pas. Concernant les femmes, on peut dire que je suis légèrement pervers. Des qu'une me plaît je me sens obligé de l'approcher pour en faire une proie et à chaque fois, je me prend des râteaux énormes, on est doués ou on l'est pas, personnellement, je ne le suis pas. Je deviens aussi fou quand je vois un tatouage, j'en suis passionné, mais il parait que dans le milieu des shinobis, c'est assez mal vue, pfffff. J'ai tendance à adorer tout ce qui est naturel aussi, me mettre dans une forêt est le plus beau cadeau qu'on puisse me faire, mais par chez moi, c'est pas ce qu'il y a le plus...
Description physiologique
Une belle chevelure mi longue noir, parfait, on peut dire que je suis assez beau goss quand même, le genre brun ténébreux qui a du succès auprès des filles, sauf qu'en vue de mon comportement, elles me fuient plutôt comme la peste, enfin bref, c'est un autre sujet. J'ai une boucle d'oreil au lobe gauche quand j'enleverrai dès mon premier jour à l'académie, de peur de perdre un peau de chair au passage d'un noble coup de poing. Niveau fringues, je me promène torse nue tout simplement par flemme de laver mes vêtements une fois sales, les pantalons, ça suffit amplement. J'ai un tatouage sur le bras gauche, une toile d'araignée au coude symbolisant le temps passer à attendre avant de pouvoir me lancer dans la grande aventure du shinobi. Sur l'épaule du même bras, un os sortant de la peau dans une effusion de sang pour représenter rien du tout, j'aimais juste l'idée. Sinon, j'ai un problème aux pied, un de mes orteils passe au dessus d'un autre, c'est tellement rageant à voir, d'une laideur absolue, c'est un peu comme une rose jaune au milieu de roses rouges, surtout en sachant que la rose rouge symbolise l'amour et la jaune l'infidélité. Heuresement, mon autre pied est tout à fait beau. Cela fait que je cache souvent dans le sable le moche-pied.
Votre Histoire
Premier chapitre de ma vie: L'arrivée de Kataionna
Né au sein du village du sable il y a maintenant près de dix-sept ans, je n'eut de cesse que de m'élever afin de faire la fierté de ma famille et plus particulièrement de ma souffrante mère. Aucun de mes parents ne fûts shinobis, par choix, ma mère ayant toujours eu peur du contact et de la chaleur de l'affrontement et mon père étant trop porté sur la bouteille pour réfléchir à faire autre chose de ses journées. Comme je disais, je suis né il y a dix-sept ans ou presque, ce qui me fait un âge assez avancé pour tenter de commencer à devenir shinobi pour ainsi rétablir l'honneur de ma famille. Mon grand père, lui avait été jônin dans l'unité des marionnettistes, un grand ninja pour faire court, mon rêve est d'atteindre son niveau. Il est toujours vivant le bougre, je dirai même bon vivant, il mange bien et surtout boit bien. Vous ne pouvez imaginer quel frustration pour lui de savoir que sa fille unique était trop peureuse pour suivre ses traces, lui qui avait consacré chaque souffle à sa vie de soldat. Aucune de ses marionnettes n'avaient survécu à sa rage quand ma mère lui avait appris sa décision. Et les lambeaux de bois restant n'avaient, eux, pas survécu au fait que ma mère épouse un pochtron pas capable de tenir bien un kunaï, c'est dommage, car moi, je suivrai ses traces et j'aurais aimé le faire avec son ancien arsenal. Cela aurait été pour moi un grand honneur... J'avais pris cette décision très jeune, vers l'âge de six ou sept ans sans doutes et depuis cet âge, je ne peut m’empêcher de penser à autre chose, l'idée de me battre aux cotés de marionnettes que j'aurais pensé, construit et contrôlées, c'est simplement magnifique. Je m'imaginais en situation toute la journée, surtout que je n'avais strictement rien d'autre à faire, j'avais donc conçu des plans et étais enfin prêt à me lancer dans l'aventure... L'aventure peut commencer, cependant, mes parents ne m'avaient pas encore autorisé à aller à l'académie, pour une raison que j'ignore, peut-être mes dix ans de l'époque quand j'y pense. c'est donc seul que j'ai commencé mon initiation, acharnée. Chaque matin, je me levais dans le but d'être plus puissant que la veille, seul problème, je ne maîtrisais pas encore les simple fils de chakra pouvant me servir pour utiliser ma marionnette, rien que ça demandait énormément de patience et de rigueur, il n'était pas facile de devenir marionnettiste. A une période de trouble avec ma maman chérie, je dût vivement ranger ma chambre, quelle expérience horrible, je ne la recommencerai pour rien au monde, enfin bref, j'ai rangé la chambre de fond en comble. En sachant que j'ai retrouvé des bouts de ramen dans un coin qui pourraient bien datés de ma pré-enfance, mais j'ai trouvé autre chose, quelque chose de plus intéressant je doit dire: Un dessin que j'avais fais quelques années auparavant.
( Un début d'ébauche pour un pantin ) Voilà que j'étais tombé sur une ébauche, une ébauche que j'avais fais pour une marionnette, ce dessin était accompagné d'une dizaine d'autres, mécanismes et rotules y étaient abondamment expliqués, je me suis dis ce jour là que mon intelligence devait être supérieur quand j'avais huit ans que maintenant... Bien sûr, il y avait plein d'erreurs et d'obstacles que je n'avais pas pris en compte. En premier lieu, les mécanismes ne fonctionneraient pas tous en combat, par exemple, il faudrait que la marionnette, auquel je n'avais pas encore choisis de nom puisqu'elle n'était même pas construite, soit très proche de mon adversaire si elle veut utiliser la lame qui part de son coude gauche. Sa bouche non plus n'aurais pas été fonctionnel, mais je savais désormais comment améliorer ça. Tous les dessins eurent une place d'honneur au dessus du bureau, dans l'ancien atelier de grand père, une fois redessinés évidemment. L'atelier de mon grand père était un lieu magique, quoique poussiéreux aussi, tellement que j'éternuais à chaque fois que je touchais un outil et que la poussière s'en élevait. Une fois un petit peu de ménage, j'entreprit la création taillée dans le bois de ma première marionnette, que j'appelais une fois terminé: Kataionna
Deuxième chapitre de ma vie: Route vers la reconnaissance.
Il m'avait fallu deux mois pour construire Kataionna, il faut dire qu'imaginer un pantin, c'est assez simple, le rendre utilisable en revanche, ça, c'est quelque peu plus compliqué et pour ça je respecte les maître de cet art. Une fois Kataionna terminée, ma fierté était telle que je pris une nouvelle résolution, devenir un artisan du Kugutsu no Jutsu, c'est à dire, mettre au point plusieurs pantins, me construire un véritable arsenal qui ferait de moi l'un des plus puissants Sunajin, mais là, je rêvasse un peu trop. Je ne mit pas tout de suite au point des jutsus allant avec ma partenaire de bois et de mécanisme métallisés, j'était absorbé par l'idée d'en faire d'autres, ou plutôt, pour l'instant, simplement de les concevoir sur papier, me servant de mes erreurs sur Kataionna pour progresser. Vous savez, les filles ne m'aimaient déjà pas à cette époque, j'étais pas moche du tout, mais j'avais un art de la drague plutôt désastreux et c'est ça qui m'avait pousser à vouloir créer des femme-marionnettes. je voyais mon spécialité comme un art, ni plus ni moins, j'aimais les pantins et la manière de les faire bouger et combattre, c'était énormément de travail mais à force de le vouloir, mon talent commençais à montrer le bout de son nez, et cela commençait également à faire la fierté de mon grand père, qui après ma construction de Kataionna me rendit visite dans son atelier où je passais le plus clair de mon si précieux temps. Sa venue m'emplit le coeur de joie, il avait inspecté dans les moindres détails ma Kataionna chérie et avec un sourire fier il m'avait dit tous les défauts qu'elle comportait, cela paraît paradoxal, mais il fallait le faire et il était heureux que ça soit lui qui le fasse, ça n'allait pas être mon père, une étincelle dans l'atelier si il y était et tout aurait explosé tant son corps est empli d'alcool, ma mère, elle, était juste trop occupée à la maison pour venir voir et applaudir l'avancement de son unique fils. Bref, mon grand père, l'ex jônin du régiment des marionnettistes, lui était là, et m'aidait à avancer. Il essaya Kataionna afin d'en voir pleinement les erreurs et les choses pratiques, on peut dire que les choses qui allaient bien étaient bien moins nombreuses que les erreurs. C'est normal, c'était mon premier pantin. Il m'avait donc dit de la démonter et de la refaire afin qu'elle soit plus facilement utilisable et qu'elle ai un réel impact sur la victoire ou la défaite d'un combat.
Je passais désormais toute la journée dans l'atelier, j'avais démonté Kataionna, mais maintenant, le sujet était de la refaire à nouveau, en mieux, plus travaillée, plus apte au combat... Comme je le disais, je m'ettais donc remis à l'oeuvre sur ma pièce d'art, d'abord sur les dessin, l'imaginer autrement que comme je l'avais fais à l'origine, c'est très dur une fois que nous avons l'image dans la tête du pantin terminé. Déjà, je l'ai imaginé plus jolie, les cheveux plus long et pas d'épis partout comme sur la précédente, j'avais donc les cheveux à préparer, la perruque en gros, celle qui coiffera ma poupée d'amour et voilera son beau visage des yeux pervers de mes enemies, bref. Il a fallu que je retravaille toutes mes pièces métaliques de manière à donner à la marionnette une plus grande mobilité, chose peu aisée quand il s'agit d'un être de bois et de férailles, mais le challenge est là, je lui voulais des mouvements fluides, naturels.
( HRP: Désolé pour la qualité minables des photos, quand on a un portable minable, les photos sont minable. )
CODES DU RÈGLEMENT (2) :
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Dernière édition par Hitorogami Saku le Mer 15 Fév - 12:52, édité 4 fois |
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