Invité
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 |  Sujet: Présentation de Asuka  Lun 12 Mar - 20:52 | |
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Kata Asuka
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✘ Nom: Kata
✘ Prénom: Asuka
✘ Age: 13
✘ Nindo: La baston.
✘ Village désiré: Kumo
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Description psychologique
Sadique, meurtrier aimant sa basse besogne euh fier et égocentrique, voilà.Je suis un poil sadique, par exemple, avant de tuer un ennemie, j'ai pour habitude de le rendre eunuque, mais ceci n'est qu'un exemple. J'aime aussi à frapper avec Tentô partout où ça ne tue pas tout de suite, le ventre, les jambes, les bras, le sang coule mais on ne meurt pas tout de suite, j'adore et j'adhère. Meurtrier aimant sa basse besogne, c'est comme ça que doivent me qualifier nos ennemie lors de la grande bataille, il faut dire que malgré que ce fut mon premier combat, j'ai fais couler quelques litres de sang avec le sourire ce jour là, malgré qu'on ai perdu au bas mot quatre-vingt hommes de la famille, ce fut le plus beau jour de ma vie, le jour de ma naissance comme j'aime à le dire. Fier de moi, oui tout simplement parce que je suis bon, fort et beau, je sais, c'est pas banal de dire ce genre de chose de soit même, mais c'est comme ça que je m'aime, fier. Lors de mon premier combat j'ai égorgé plusieurs ennemie, je n'ai que treize ans, c'est formidable non ? Enfin bref, je m'aime quoi, c'est con à dire, mais c'est vrai que je m'accorde beaucoup d'importance...
Description physiologique
Commençons par le sommet, j'ai les cheveux gris/blanc depuis la naissance, oui c'est con quand on est jeune je sais bien mais je n'ai pas choisis hein, j'ai les yeux bleus, rare par chez nous mais il en est ainsi. Sur mon corps commence à "pousser" un gros tatouage représentant un dragon crachant de l'eau, comme toute ma famille. Niveau vêtements, je suis vêtu de blanc pour le haut, une chemise épaisse à manche mi longue, arrivant aux coudes quoi, une chemise qui arrive au niveau du sexe a peu pres, une ceinture en grosse corde la serrant à la ceinture, je porte en bas un pantacour noire et puis voilà en gros c'est tout hein... Ah si j'ai quand même autre chose à dire: généralement, les filles me trouvent plutôt à leurs gout et je les comprend tout à fait. Un petit regard de mes yeux bleus pétant et c'est dans la poche, personne ne résiste
Votre Histoire
Je suis né avec la guerre, avec le bruit des lames qui tranche la chair à vif, le bruit causé par les sanglots, des larmes qui tombent au sol, du petit "ploc" qu'elles produisent lorsqu'elles tombent dans une sale flaque de sang. Je suis né avec la guerre, à treize ans, des années avant cette guerre, je ne me souviens pas et je m'en fous, c'est une autre vie, une vie que j'ai bien fais de rayer de mes souvenirs avant qu'elles ne rayent mon présent de leurs insupportable bonheur, bonheur auquel je n'ai plus droit. Je suis né avec la guerre, la paix s'étant éteinte et ne me laissant que peu de choix concernant mon avancement dans la voie du shinobi, je ne put la concevoir que dans la haine de mon prochain, c'est avec la rage négative au corps qu'on me proposa d'avancer.
Ma famille et moi habitions dans une contrée proche du village caché de Kumo no Kuni, dans notre village historique nommé Shige, quand je dis village, il ne s'agissait pas là d'un village de shinobi comme Kumo, mais d'un village de paysans dans lequel le clan Kata vivait caché, déguisés en simples paysans afin de ne pas attirer l'attention sur eux. De ma vie avant la guerre, je ne vous raconterai rien de plus, je n'existais pas véritablement avant, on est pas un homme quand on vit caché. Un jour, un émissaire avait pressé l'allure jusque dans la demeure du Jônin, notre chef, le plus anciens de notre clan sans doutes, je n'en sais rien, son identité nous restait caché, même mon père, qui était pourtant déjà puissant n'était que genin et ignorait l'identité du Jônin qui nous gouvernait. Cet émissaire montait un étalon noir comme la haine qu'il amenait avec lui, dans ses bagages meurtriers, il amenait la guerre avec lui, cela se sentait dans son regard malsain, dans sa fierté mal placé, n'a t-il pas compris qu'il était chez nous, pas chez lui. Il avait transmis un message de guerre, venant d'un autre clan shinobi, les Tari, plus puissant, disant qu'ils avaient découvert l'existence de notre clan, et là même se trouve l'erreur, les clans shinobis sont forcément amenés à se faire la guerre entre eux afin de recevoir plus de missions que le concurrent. Bref, l’émissaire était resté de longues minutes dans la demeur du Jônin, nous attendions tous de savoir pour quoi il était là, cependant il était repartis sans la tête, selon la tradition de notre clan et aussitôt, tous les hommes de la familles durent s'activer à la défense de Shige no Kuni. Je voyais tous les hommes courir dans tous les sens et je me demandait quoi faire, qu'est qui, venant d'un enfant, pouvait aider de puissants shinobis ? Mon père revêtit son habit de shinobi, un costume sombre, masquant la moitié inférieur de son visage, il me faisait peur, je ne comprenais rien à la guerre en ce temps là, c'était ma principale faiblesse. Il s'approcha de moi, se baissa à mon niveau, un Tentô dans sa main gauche, tendu vers moi, il me dit :
« Asuka mon fils, il faut que tu comprenne que nous devons nous préparer au combat, tous les hommes le doivent, ordre du Jônin... Comprends tu mon fils ? L'heure est horriblement grave pour que cet ordre soit donné, on envoie pas tous les hommes pour une broutille. Le chef de mon unité de combat, un Chuunin, est à la réunion, il en reviens dès qu'ils auront finis, alors seulement nous en saurons plus. Tu devras combattre aussi Asuka, pour l'honneur et la protection de notre famille... ». Il me tendit le Tentô et je le pris, l'appuyant contre mon cœur, disant à mon père que je ferait l'honneur de ma famille à ces cotés dans la bataille. Quelques minutes après, le Chuunin en charge de l'unité de combat de mon père apparu et parla longuement avec ces dix hommes, la main sur l'épaule de mon père qui avait le regard triste, ne t'en fais pas père, je serais à tes cotés, pensais-je. Le Chuunin vint vers moi pour me dire que j'avais été affecté à son unité. C'était un homme jeune et vigoureux, peut-être vingt huit ans mais guère plus, il me dit comment je devais me tenir durant l'affrontement, droit et fier, Force et Honneur.
Je suis né avec la guerre, ce jour est le vrai jour de ma naissance, avant, plus rien n'a d'importance, ce jour là et seulement celui là marque le début de ma vie. Je suis né avec le combat, et ce fut des lors l'apogée de ma vie. Je me suis senti vivant ce jour là, en enlevant la vie de plusieurs ennemies. Les troupes des Tari arrivèrent deux jours après ça, ils investirent sans difficultés tout le village, simplement parce que tous les habitants étaient réfugiés dans la demeure du Jônin qui avait aménagé ses sous sol comme de véritables bunkers. Nous étions éparpillés dans le village à attendre le signal pour nous lancer dans la bataille. Notre clan prenait part au combat mais ce n'est pas tout... Tous les paysans du village se joignirent à nous, soit une centaines d'hommes armés de fourches et certains même de Katana. Bientôt l'heure de mon premier combat, pensais-je, bientôt, la peur me prit avant même qu'on ne lance l'assaut. Premier signal lumineux, les paysans se lancent dans la bataille, la plupart massacrés en quelques minutes de batailles. Deuxième signal, à nous de jouer. Nous devions contenir une grande armée de shinobi à une petite centaine d'hommes, travail presque impossible mais la hargne caractérise notre lignée. Je tuais mon premier ennemie ce jour là, et c'est à ce moment même que je suis né. Je suis né avec la guerre, avec le sang qui gicle lorsque le Tentô tranche les carotides, avec la souffrance ressentie dans le cri de l'homme que je rend eunuque avant de l'égorger, je me suis senti vivant en ce jour plus qu'en n'importe quel autre jour. Le combat ne dure pas plus, la majorité de nos hommes tombent rapidement sous la puissance ennemie, mon père ne cède pas et me protège tout en attaquant. Soudain, des shinobis de Kumo arrivèrent en soutien et rapidement, les Taki abandonnent leur poste et reculent sous l'ordre de leurs dirigeants. A nous la victoire pensais-je quelques minutes durant. Mon œil s'attarda alors sur le champs de bataille, c'est à dire le village, un pur bain de sang, ennemies, alliés, amis, le corps de centaines de personnes jonchais le sol. Une main à moitié arraché à son bras tombait sur le visage inerte d'un shinobi de Kumo venu se battre pour nous sauver. Je cherchais mon père du regard, et je le trouvais... Vivant, sain et sauf, mon père était toujours en vie, je reconnaissais bien là sa hargne et sa fougue au combat, on peut le blesser mais pas le mettre à genoux. La vue de mon père ensoleilla ma vision pour le reste de la journée, je marchais en esquivant les cadavres, et c'était fort difficile, il y en avait partout... Les Shinobis de Kumo vinrent à la rencontre du Jônin, ils lui proposèrent de rejoindre les forces de leur village caché, pourquoi voulaient-ils cela ? Pour le secret des Kata peut-être... Je m'en vais vous raconter l'histoire des Kata si vous le voulez bien.
Il y a fort longtemps, plus de mille ans d'après les Kata, un homme nommé Shige Kata vivait au bord d'un grand lac, nommé le lac Kata, c'est d'ailleurs pour ça que l'homme se nommait comme cela. Shige était âgé d'une vingtaine d'année à l'époque de notre histoire et il vivait seul, dans une cabane, il se nourrissait exclusivement de plantes cultivés dans son petit potager. Dans le lac Kata, on dit qu'un grand dragon vit, mais Shige avait grandit là et ne l'avait jamais vu. Un jour, il alla faire un tour sur le lac, dans sa petite embarcation, il prenait grand plaisir à naviguer sur ce grand lac. Alors qu'il naviguait, doucement, sourire au lèvres, le grand dragon fit surface devant lui et parla : « Shige Kata, je sais qui tu es, je te connais par cœur et j'aime ta personnalité. Je vais t'expliquer pourquoi j'en suis là. Étant jeune, j'étais un homme, mais je tua mon amante par passion, alors son père, un vieux fou, me maudit et me transforma en dragon. Je veux redevenir homme, mais pour ça, il me faut prendre le corps de quelqu'un d'autre, mon âme irait vivre dans le corps en d'autres termes, ceci ne détruirai pas pour autant l'âme de l'homme avec qui je vivrai... » Shige compris que l'heure était grave, mais plein de bonne volonté, il accepta d'essayer. Quelques années plus tard il vint s'installer à proximité du futur Kumo. On le disait plein de magie noire et de malice, il avait un regard lourd de méchanceté disait-on. Pourtant, il n'était qu'un simple paysans rétorquaient certains, il fonda son propre petit village qu'il nomma comme lui, Shige. Cet homme était tatoué sur tout le corps, ne laissant que mains, visage et pieds nue d'encre. Son tatouage représentais un dragon crachant l'eau... Des couleurs vives, beaucoup d'eau, un dragon très bien travaillé. En vérité, le secret de sa « magie » venait de là, bien sur, il ne sortais jamais torse nu, ainsi personne n'avais jamais vu ses tatouages., heureusement, les tatouage, déjà à l'époque, étaient surtout marques de la mafia, on l'aurait encore plus détesté pour cela. Il épousa une femme qu'il rencontra sur un marché où il vendait les légumes provenant de sa récolte personnelle et eut trois enfants. Chacun héritèrent de son tatouage au fur et à mesure, tout comme leurs enfants et les enfants de leurs enfants. Ce n'est cependant pas la seule particularité des Kata, chacun d'eux depuis toujours est d'affinité Suiton, depuis des dizaines de génération, rien n'a changé de ce coté. Les enfants du vieux Shige arboraient leur tatouage à l'âge ou s'éveil leurs talent pour le ninjutsu, vers les neuf ans pour la plupart, en même temps, une partie du dragon s'installait en eux.
C'est tout ce que l'histoire dit, cependant, on peut ajouter quelque chose, le pouvoir des Kata est le suivant : Chacun des membres du clan hérite du Tentô de son père ou s'en voit offrir un pas leur père dans tous les cas. Cette lame est parcouru d'un flux de chakra suiton typique des Kata, de ce fait, en combat, un Kata peut rejoindre son arme par téléportation, ou remplacer celle d'un parent en cours de bataille. Ce n'est pas tout, ils ont un talent innés pour le suiton qu'ils utilisent à leur guise, la technique familial concernant l'eau est la suivante. Créer des dizaines de lame d'eau qui sortent de tout le corps pendant le combat au corps à corps. Cette technique sauva une grande partie de la famille dans l'affrontement contre les forces des Taki.
Une fois la grande bataille terminée, nos pertes s’estimèrent à quatre-vingt pour cent de nos hommes, des pertes énormes en d'autres terme... J'avais vécu mon prémier bain de sang, le seul pour l'instant, mais j'espérais bien que j'allais me battre à nouveau sous peu de temps. Suivant l'invitation des Kumojin, certains d'entre nous rejoignirent leurs forces et allèrent s'installer à Kumo no Kuni. C'était notre cas, à ma mère et moi. Mon père lui préféra rester ici, avec ses quelques camarades voulant faire revivre Shige, le village de nos ancêtres. Ma mère et moi partîmes, le cœur serré. Je promettais à mon père de revenir le voir assez souvent, surtout que Kumo n'était pas loin du tout de Shige. Je suis né avec le sang, j'avais aimé cela plus que tout au monde. Les souvenir de ce jour reviennent parfois en mon esprit : Le sang qui gicle, les veines découpées, les cous déchirés, les coups de Tentô entre les cotes ou découpant les carotides, la total de bonheur, les autres ont compris leur douleur, il ne faut jamais nous attaquer et je pense qu'ils l'ont compris... Tant mieux. Je devint shinobi de Kumo dès mon arrivé au village, ou plutôt apprenti shinobi, on me plaça à l'académie, là où personne n'avait déjà combattu à part moi. Rage, la rage d'être placé dans un endroit pareil, avec des gamins ne sachant tenir correctement une arme...
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CODES DU RÈGLEMENT (2) : Barbe à Papa gout Fraise.
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Dernière édition par Asuka Kata le Mer 14 Mar - 14:08, édité 12 fois |
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