(Deuxième compte, Yamashita)

Votre personnage ✘Nom: Kirimuzu ✘ Prénom: Daïki ✘ Age: 23 ans ✘ Nindo: Vivre sa vie comme elle l’emporte. ✘ Village désiré: Kiri no Kuni Description psychologique Daïki est pour certains difficile à cerner et pour d’autres, trop simple. Il se fit simplement à son instinct et ses émotions du moment. Pour lui, la vie à plusieurs chemins tracés dont on ne peut connaître les issues et c’est là tout l’aventure et la beauté de vivre. Il fait ses choix sur le moment, pense aux choses quand c’est le temps… Il n’est pas pour autant un «mouton». Si on devait lui assigner un alignement, ce serait loyal neutre. Il n’obéit pas ou ne désobéit pas spécialement aux lois : il s’en tient à ses valeurs et ses principes. Premièrement, à moins que quelque chose soit une véritable catastrophe, rien n’est grave. Tout à une raison d’être dans la vie, même les malheurs, alors mieux vaut tout prendre avec le sourire! Il aime beaucoup le contacte des autres, les fêtes, les soirées entre amis… Il existe deux sortes d’amitiés pour lui : Les amitiés de «blabla», de jeux et d’entraide, puis il y a les amitiés rivales. Quoi de mieux pour se surpasser qu’un fidèle rival? Après tout, le but étant toujours de surpasser l’autre, ils évoluent ensemble et même lorsqu’ils doivent faire équipe, ils connaissent tellement l’autre qu’ils forment la meilleure équipe au monde. Quelques autres de ses valeurs de même catégorie sont l’écoute, la loyauté, la protection et la charité. Daïki n’hésitera pas à tendre la main aux autres, même si parfois ça peut le placer lui-même dans un tas de problèmes. Mais il est conscient que sa capacité à rester calme et à garder le sourire dans les pires situations n’est pas donné à tout le monde. Finalement, la valeur la plus importante : Les femmes. Pas qu’il est seulement un joueur (car oui, il en est tout de même un), mais il est conscient de leur importance. Généralement, les femmes vont se soucier du détail et vont penser à certaines choses auxquelles un homme n’aurait pas pensé. Les femmes viennent compléter un tout essentiel à la vie. Alors que certains sont contre le fait que les femmes fassent certaines choses, métiers ou tâche, Daï va plutôt les encourager et surtout les défendre. Dans le monde ninja surtout, il ne se retient pas de remettre à leur place ceux qui disent que les femmes n’ont pas leur place dans le monde des ninjas… En gros, Daï est un pro-bonheur. Tant qu’il peut s’amuser et voir le sourire des autres, tout va bien. Dans les situations angoissantes, il essaie toujours de trouver le côté amusant de la chose. Finalement, c’est très difficile de le mettre hors de lui tant qu’on ne s’en prend pas à ses valeurs ou que quelqu’un ne pose aucun geste devant lui à l’encontre de celles-ci. Description physiologique Âgé de 23 ans, certains disent qu’il a l’air plus vieux et d’autres qu’il fait son âge. Daïki mesure environ 5 pieds 10 et son poids, en comptant les muscles, quand même, joue autour des 150 livres. De façon générale, il ressemble à son père : il a la mâchoire carrée, ses yeux bleu foncé affichent le mystère lorsqu’il réfléchit ou est très calme, mais ils ne cachent jamais ses émotions : Le bonheur les fait briller, la tendresse rappelle la sérénité de l’océan lorsqu’aucune vague ne vient le perturber, l’interrogation donne réellement l’impression qu’il a dans les yeux écrit «Hein!?!» et, pour les rares fois que c’est arrivé, la colère rend ses yeux gris très foncé, presque noir et le bleu n’est plus du tout perceptible. Il porte ses cheveux mi long, noir teinté mauve et souvent, même s’il passe son temps à la replacer, son œil droit est caché. Son corps, en imaginant qu’il est en pantalon court, montre des muscles entrainés non seulement en puissance mais en endurance. Il n’a pas d’immenses pectoraux et biceps avec un «six packs» sur le ventre. Bien qu’on voit ses formes juste assez découpées, on peut aussi voir toute l’endurance dont il peut faire preuve, car on voit que ses nerfs aussi sont développés : Ça ne sert à rien d’avoir de la force si on ne peut pas la maintenir! Enfin, normalement, il porte un pantalon noir semblable à une coupe cor du roi, avec une ou deux bandes de tissus qui lui servent à accrocher ses armes et sa gourde. Sous son veston à manches longues noir, il porte un chandail à manches courtes de la même couleur. Votre Histoire Daïki a grandi à Kiri no kuni. Ses parents possédaient une boulangerie-pâtisserie. Il demandait souvent à sa mère de lui faire des tartes fraises et crème et à son père des pains framboises-chocolat, qui devinrent ses deux péchés mignons. Quand il commença à aller à l’école, il rapportait souvent des tartelettes et des petits pains pour que tous aient des collations. Après tout, à cette époque, Kiri était encore séparé du continent et était très pauvre, mais ses parents avaient un grand succès avec leur recettes et avaient de grosses commandes venant des autres pays, ce qui leur permettait d’avoir un budget supérieur à la plupart des habitants de Kiri. Pour cette raison, les parents de Daïki aimaient beaucoup aider les autres villageois, car ils faisaient des pains et des gâteaux d’abord pour leur propre plaisir plutôt que pour l’argent, alors ils étaient fiers de pouvoir partager leur chance avec ceux qui étaient dans le besoin. Pour cette raison, Daïki étaient très apprécié à son école ou très haïs par certains qui préféraient être jaloux plutôt que reconnaissants. En grandissant, Daïki apprit à faire comme ses parents et partageaient son temps entre l’école et le travail au magasin. Chaque soir, ils allaient donner aux sans-abris ce qui n’avait pas été vendu dans la journée, puisque la fraîcheur de leur produit faisait partie des secrets de leur succès. Mais après quelques années, le jeune homme voulait connaître quelques choses de nouveau. À Kiri, il était difficile de devenir ninja, mais depuis peu, la réglementation pour passer d’aspirant ninja à genin avait changé. Ainsi, l’aspirant boulanger-pâtissier réussit à convaincre ses parents de le laisser devenir aspirant ninja. Seulement, il était déjà vieux pour devenir ninja, car généralement, les jeunes étudiants étaient aux alentours de 12 ans et lui en avaient maintenant 17. Étant donné qu’il devait attendre encore un peu avant de quitter la boutique, Daïki avait décidé d’observer de temps à autres les ninjas et d’analyser leur façon de faire. Évidemment, il ne pourrait arriver à faire ce qu’ils faisaient tout seul, mais l’étude théorique était un début. Après plusieurs mois d’attente, il put enfin rejoindre les aspirants ninjas. Il étudia fort, mais dû recommencer quelques fois, car il était beaucoup plus facile d’apprendre les techniques ninjas quand on était jeune. C’est comme cela que Daïki devint très calme et joyeux presque tout le temps. Pour contrôler son chakra, il fallait d’abord être positif, croire en soit, mais surtout, garder son calme. En fait, pour être exact, la seule chose qui changea en lui c’est qu’il n’était plus l’enfant surexcité qu’il était. Bon, il faut dire que de consommer autant de sucre qu’il le faisait ne l’avait pas aidé, mais au moins, tout c’était placé avec le temps. À ses 20 ans, il devint genin. L’examen n’avait pas été trop difficile, mais il se sentait mal à chaque fois qu’il battait quelqu’un. Première, les autres ninjas étaient beaucoup plus jeunes que lui, pour la plupart. Ensuite, ils avaient le même rêve que lui. Mais bon, eux n’hésitaient pas à lui taper dessus quand ils voulaient gagner, alors il s’était fait à l’idée, mais s’excusait toujours par la suite… C’est ainsi que ça fait 3 ans qu’il est genin. Il avait dû abandonner son entraînement pendant plusieurs mois, car sa mère était tombée malade et que son père avait besoin de lui à la maison et au magasin. Heureusement, sa mère s’en était sortie. Elle avait été épuisé par le stress du magasin et de savoir que son fils allait peut être se faire tuer dans des entraînements et des missions stupides. Mais voyant comment il était devenu fort, calme et confiant, elle avait été rassurée. Daïki, une fois sa mère totalement rétablie, devait retourner dans sa nouvelle réalité. Seulement, il avait été partie si longtemps que son équipe avait été reconstituée et il devait maintenant être assigné à une nouvelle. Un jour, il reçut donc une lettre lui disant où il devait aller pour se faire assigner à un nouveau senseï et éventuellement, le ou la rencontrer… CODES DU RÈGLEMENT (2) :Yus sire ! Par Lumi

Finalement, la valeur la plus importante : Les femmes. :: Évidemment
Awww des patissier dans l'âme, j'ai envie de gâteaux tiens <.<

Bref, validé Chuunin. À moins que tu ne veuilles commencer Genin. 6 techniques offertes, re-bienvenu !