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| Sujet: Fujihara Eleanore -- Ange ou démon ? Ven 30 Mar - 6:20 | |
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Fujihara Elea Princesse des cieux
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✘ Nom: Fujihara.
✘ Prénom: Eleanore.
✘ Surnom: Elea-Pyon // Lala-Pyon.
✘ Age: 19 ans.
✘ Nindo: Jouer, jouer avec toi... My little cat ♥
✘ Village désiré: Kumo. |
CODES DU RÈGLEMENT: Validé par Lumi-chan <3.
(c) Emy pour le kit Avatar-Signature <3 Arigato, Princess-Sama |
Indéfinissable tristesse... Musique enchanteresse ♥
Ma vie. Triste abysse de solitude et de désespoir. Je suis née de l’union d’une rose et du soleil. Mes parents rayonnaient de joie et de passion. Ils se sont rencontrés alors que ma mère était en mission dans le restaurant du village. Elle avait treize ans à l’époque. Mon père, lui, en avait quatorze, plus vieux de quelques mois à peine. Ils s’entendirent bien tout de suite, devenant amis puis meilleurs amis. Et quatre ans après ils se mirent ensemble, vivants de leurs missions ça et là dans tout le pays et ses alentours. Maman me racontait souvent leurs histoires, je les connaissais par cœur. Ils m’ont eut à vingt-cinq ans, le jour de l’anniversaire de ma mère. Le jour de la disparition de mon père... Le dix-huit Novembre, alors que le froid et le vent violant ravageaient les rues vides de Kumo. J’imagine leur sourire lorsque je sortis la tête. J’avais beaucoup pleuré d’après papa. Je pleurais toujours autant, dans mon cœur. Ils n’étaient pas morts. Simplement partis sans se retourner, sans que je ne sache où. Mes cinq premières années de vie se passèrent à merveille. J’appris à parler, à marcher, à écrire également. Papa m’entraîna aux arts martiaux et maman à l’art médical. C’était un médecin très réputé dans tous le village. Ce n’était pas pour rien qu’elle était Juunin. Mon père, lui, était un Anbu possédant la responsabilité de la garde des portes. Il prenait tout si quelque chose ne se passait pas comme prévu. Triste sort mais il l’acceptait et faisait ce qu’il pouvait pour ne rien subir. C’est vrai qu’ils étaient souvent en mission, jusqu’à ce qu’un beau jour l’on annonça à ma mère la disparition de son mari. J’avais cinq ans ce jour là. C’était mon anniversaire, celui de maman aussi, il aurait dû rentrer d’après le Kage. Mais il n’était pas de retour à notre foyer, deux jours de retard déjà. L’objectif de sa mission avait pourtant été atteint sans encombre. Seulement, il n’était pas mort. Je ressentais toujours cette étincelle de vie dans mon cœur. Seul le sentiment qu’il me manquait grandissait au fond de moi. Mais je le reverrais, j’en étais certaine. Maman ne ressentait pas cette chose là, papa était mort pour elle. Elle en versait des larmes chaque jour depuis sa disparition... Cela me rendait triste. Très triste. Je crois bien utile d’avouer que c’est depuis l’âge de mes six ans que j’ai appris à devenir plus forte. Que cette double personnalité moins enfantine que la première s’était créée. Je ne sais vraiment depuis quand environ, seulement que Black m’empêchait de sombrer dans l’abysse profond des ténèbres. Bien qu’elle ne le paraisse pas, elle était vraiment gentille. M’enfin... À chacun son point de vue après. C’est après la disparition soudaine de maman qu’il arriva. Mon meilleur ami, mon second père. Aussi musicien que l’étaient mes parents, aussi musicien que je l’étais moi-même. Shiyo. Je ne le remercierais jamais assez de m’avoir sauvée de la mort. Je le rencontrais un soir de pleine lune alors que je marchais dans les rues vides du village. Le ciel était triste, il pleuvait. Allez savoir pourquoi je me sentais apaisée dès lors que cette eau coulait en cascade sur mon visage. Peut-être qu’elle me comprenait, elle. Je n’en savais rien, j’étais perdue. J’avais peur dans le fond, peur d’être seule... Le temps passait et cette sensation s’emparait de moi pour m’étouffer sans que je n’y puisse rien faire. Black était là, à m’aider mais rien n’y faisait. Enfin... Avant qu’il n’arrive. Je n’avais pas très bien compris son geste, pourquoi il avait fait ça alors qu’il ne savait absolument rien de moi. Mais Shiyo était l’ange que je recherchais depuis leur disparition. Ils n’étaient pas morts. Je ne le répèterais jamais assez. J’avais confiance en eux comme en personne alors j’en étais certaine. Mais je suppose que vous ne comprendrez mes sentiments que lorsque je me serais ouverte à vous, cher amis. Alors je vous laisse libre-choix de lire en moi... Il y avait un piano, dans la pièce du fond. J’en jouai souvent avec papa avant. Je me demande encore ce qu’il s’est passé, pourquoi il n’est jamais revenu. J’aimerais savoir. Il y a temps de choses que je voudrais comprendre. Mais je n’y arrive pas. Je vois toujours ce noir autour de moi. Il y a toujours ces ombres floues qui m’empêchent d’en découvrir plus sur mon histoire. Je n’ai pas perdu la mémoire mais pourtant... Il m’arrive de faire des rêves étranges la nuit quand je dors. De doux rêves où je suis avec papa et maman, Shiyo et Haru. Mon jumeau, le jumeau de mes rêves. J’aurais aimé rencontrer quelqu’un d’aussi angélique que lui mais il n’est que pensée et fumée... Quand je me réveille au petit matin, je vois cette dure réalité. Je suis seule. Toujours aussi seule. Depuis qu’ils sont partis. Maman et papa, vous me manquez vous savez ? ... Mais tout ce que vous m’avez appris, les arts martiaux, la médecine et la musique. Je vous ferais honneur en combattant avec. Je me battrais avec vous, je continuerais de toutes mes forces pour vous. Je fouillerais le monde pour vous retrouver, je vous en fais le serment devant ce piano. Et seul Dieu sait l’importance que cet instrument possède à mes yeux. D’un geste fluide j’effleurais les touches, m’asseyant sur le banc avant de me mettre à jouer. Le morceau préféré de maman. Nostalgie profonde, je voudrais tant vous revoir. Ne serait-ce qu’une fois. Des larmes, pourquoi êtes vous partis, que c’est-il passé ? J’aimerais tant comprendre. Soupirs, doux et amers. Comme les sentiments que vous avez créés au fond de moi. Maman, papa. Je vous aime. x.x.x.x.x.x.x.x.x « Papa a... Articulais-je difficilement, cachée derrière le petit pot de fleur du hall d’entrée, disparu ? » Imaginez-vous cette masse qui vous tombe sur le cœur à ce moment précis ou une telle nouvelle vient résonner amèrement à vos oreilles. Des sanglots, silencieux. Je pleurais, versais toutes ces larmes qui n’auraient jamais dû couler. J’en voulais au monde entier de m’avoir prit mon père. Une enfant comme j’étais à l’époque ne pouvait pas vraiment réaliser le poids de la douleur qui s’empirerait sûrement au fur et à mesure des années. Maman s’effondra sur le pas de la porte, devant l’homme masqué. Je ne voyais rien de son visage mais cette désolation pour un ami et camarade perdu se faisait sentir, c’était apparent. Il ne pouvait pas rester plus longtemps, alors il s’en alla laissant deux âmes en peines au bord d’un précipice sans fin. J’ai longtemps lutté pour ne pas y tomber. Maman n’avait pas eu cette force, elle n’en avait jamais eu besoin de toute manière. Croyant papa mort, elle s’était décidée à vivre, pour moi m’avait-elle dit. Je m’approchais doucement de cette fleur si fragile, j’avais peur de la briser au moindre touché. J’étais bien plus forte, sans m’en rendre compte. C’était... Etrange. Elle se redressa et me serra dans ses bras, comme si elle ne voulait pas que je parte. C’était comme si elle avait peur que l’on m’arrache de son étreinte comme ils l’avaient fait pour papa. Je me laissais faire, trop jeune pour comprendre, trop... Faible pour réagir. x.x.x.x.x.x.x.x.x L’une de mes plus belles histoires fut sans aucun doute la rencontre de Shiyo. Je marchais, seule, dans les rues du village caché de Kumo. Il était tard et la nuit était tombée depuis fort longtemps. Les étoiles égayaient le ciel, la lune s’occupait d’éclairer les avenues les plus incertaines. Il pleuvait. C’était bien là la seule chose que je reprocherais à cette soirée d’été. Cette eau qui ruisselait doucement sur mon visage me faisait du bien. Je savais que l’on ne verrait pas mes larmes couler ainsi. Je pleurais, moi. J’étais trop faible pour retenir ce genre de chose. Alors j’évacuais. Je faisais tout mon possible pour ne plus penser à rien. J’avais six ans... C’était bien trop difficile d’oublier à cet âge. Il paraît que l’on vivait l’innocence et la joie à cette époque de la vie. Je ne voyais que le malheur des autres autour de moi. Le leur et le miens. J’étais seule. Était-ce normal ? Quelques pas avant de bifurquer lentement sur la droite. Le centre-ville. Même en pleine nuit celui-ci s’en trouvait illuminé de mille feux. C’était beau. Mais pas assez suffisant pour réchauffer mon cœur en peine. Je continuais ma marche, allant je ne sais où. Il n’avait pas été prudent, cet homme, de parler de sa à ma voisine alors que je me trouvais à côté. Cachée, comme la première fois. Sauf que je ne m’étais pas approchée de la vieille dame qui s’occupait de moi depuis ces quelques semaines. J’étais partie en arrière, silencieuse, et j’avais fuit. Je ne sais pas pourquoi. J’étais simplement partie, ma veste sur les épaules, un jean et une paire de basket aux pieds. Je n’avais rien embarqué, simplement mes souvenirs et ma peine. Je ne voulais pas que l’on me retrouve. Jamais. Je ne voulais pas mourir non plus, ça aurait été une solution de facilité. Et puis une gamine de six ans comme moi n’aurait jamais pensé à une telle chose. Je tournais de nouveau, peu m’importais la direction. Je pleurais toujours, j’avançais toujours alors. Mais quelque chose stoppa ma route. J’avais la tête baissée, je ne pouvais voir de qui il s’agissait. Il y avait seulement deux pieds face à moi, ressemblants forts à ceux d’un homme. Je n’avais pas tout de suite prit conscience que cela pouvait s’avérer dangereux de foncer ainsi dans des inconnus mais il s’agissait là de toute l’innocence que l’on pouvait avoir à cette époque de la vie. Je relevais lentement le haut de mon crâne, après avoir murmuré quelques mots d’excuses. Il avait l’air effrayant, cet homme... Ses bandages sombres ne représentaient qu’un peu plus les ténèbres avec toute cette nuit qui nous entouraient et ces cheveux... Longs, noirs... Je frissonnais un instant. Je n’avais pas froid, même avec toute cette pluie qui m’avait trempée. Je réalisais que la peur s’emparait inexorablement de mon petit corps frêle. Que fallait-il que je fasse ? Je n’en savais rien. Dans le fond, je ne le connaissais pas. « Tu es perdue ? » Ses mots résonnèrent en moi comme un soulagement. Je restais immobile, choquée de comprendre, même à l’âge que j’avais, qu’il ne me voulait aucun mal. Il s’était contenté de poser une main sur mon épaule droite et de prononcer une simple phrase. Il était triste, cet homme. Je n’avais que six ans, il était plus âgé que moi mais je le comprenais, j’étais capable de ressentir en lui cette tristesse et cette haine que je ressentais en moi. C’était comme ci... Comme s’il y avait eu la foudre qui nous avait réunis sur la même route. Je n’avais plus peur. Je ne comprenais seulement pas. Pourquoi mes sanglots redoublaient-ils d’intensité ?... Je me sentais en sécurité. « Je suis... Seule... » Tous ces mots empreints de mélancolies me donnaient encore plus envie de pleurer, je n’arrivais presque plus à respirer tellement mes sanglots étaient forts. Il me prit dans ses bras, s’agenouillant pour être à ma taille. Mes pleurs s’étaient stoppés dès qu’il eut créé ce contact entre nous deux. J’ouvris de grands yeux étonnés, pourquoi faisait-il ça ? Étions-nous... Pareils ? « Tu n’est plus seule maintenant. Je suis là, à nous deux nous allons reprendre une vie normale, d’accord ? » Il me murmurait ces douces paroles tandis que je m’endormais subitement, trop fatiguée pour supporter plus. Il m’embarqua dans ses bras et m’emmena dans un lieu que je ne connaissais pas. Je venais de rencontrer mon avenir.
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Iris d'argents... Couleur d'antan ♪
Elea est une jeune demoiselle pleine de mystère à elle seule. Malgré cela, elle prend l’apparence d’une jolie demoiselle tout ce qu’il y a de plus basique. Ou presque car il est vrai que certains petits détails la rendent assez unique. Ni trop petite, ni trop grande, dans la majorité dirons-nous. Un mètre soixante-dix, ce n’est pas encore trop mal. Cinquante-sept kilogrammes, trop, pas assez ? Cela dépend des points de vue. Pour sa part, elle se sent parfaitement à l’aise dans ce corps mince et sportif qu’elle arbore. Seulement Elea est fragile, la jeune femme possède une peau vampirique, quasi cadavérique allant en total opposé avec le fait qu’elle soit une belle et grande nudiste. Le soleil aurait donc un effet vraiment défavorable, alors elle y fait grandement attention car conserver cette fraîcheur blanchâtrement mortelle est l’une de ses plus grandes priorités.
Parlons plus en détails à présent. Une longue touffe bleue nuit, quelques mèches cachant son front des traits angéliques quoique légèrement arrondis au niveau du menton. Un chignon tenu à l’aide de rubans de soie lilas et de grands iris océan nappés d’un filet de nacre violacé, -allez savoir comment ceux-ci font pour changer lorsque Black prend le dessus, c’est et cela restera un mystère...-, se chargent de donner du charme à cette jolie damoiselle. Un petit nez aquilin tout mignon se dresse fièrement au centre de ce doux visage, surplombant deux lèvres pulpeuse au goût étrangement fruité.
Ensuite il y a les tenues. Eh oui la demoiselle possède une armoire complète de vêtements en tous genres. Vous vous demandez probablement à quoi tout cela lui sert à elle, grande nudiste ? Je ne sais pas moi-même mais sachez, que cela peut toujours être utile, pour une quelconque occasion. Loin d’avoir tout mon temps, je ne vous décrirais que ce qu’elle met principalement, lorsqu’elle n’est pas nue ou en sous-vêtements.
Il y a tout d’abord sa « Day’s clothes » telle est-elle nommée. Il ne s’agit pas de biens sophistiqué, simplement d’un T-shirt plus ou moins coloré et d’un jean foncé. Afin de ne pas avoir trop froid lorsque les températures baissent, elle porte une veste de survêtement couleur de lilas à capuche, bien pratique quand l’on est sensible des oreilles et une pair de baskets blanches au bout des pieds. Il y a aussi ce pendentif qu’elle ne quitterait pour rien au monde. Une magnifique clé de sole en argent que lui avait offert Shiyo lors de leur rencontre il y a de cela quelques années déjà. Il symbolisait la musique qu’ils jouaient ensembles mais pas seulement. Cela signifiait également l’amour qu’ils se portaient l’un à l’autre, ces sentiments de protections qu’ils s’échangeaient mutuellement. Il s’agissait là d’un objet bien plus que beaucoup trop précieux aux yeux d’Eleanore.
Ensuite vient sa tenue de combat. Disons qu’il s’agit plutôt d’une métamorphose qu’autre chose. Ou d’une certaine particularité à vous de voir. Il se trouve que lorsque les cheveux d’Elea sont détachés, ils deviennent aussi sombres que les ténèbres. Etrange non ? Mais c’est comme ça, nous n’y pouvons pas grand-chose dans le fond. Elles attachent ceux-ci en deux longues couettes hautes descendant jusqu’à ses fesses à l’aide d’élastiques bleus nuit. Armée d’une paire de gants fins et noirs pour le style, une brassière noire dont les bretelles s’en trouvent invisiblement croisées dans le dos caché par la veste de survêtement ouverte et rayée de blanc sur les bras, sans oublier cette longue cape à capuche noire lui arrivant à la base des pieds. Je vous dirais, nudiste oui mais sans abus non plus. Elea porte un mini short en guise de bas auquel il est accroché sur le côté gauche une petite chaînette argentée. Et ses chaussures ? Plutôt utiles pour éviter de s’écorcher les pattes, il s’agit d’une paire de bottes montantes noires tout comme le reste de sa tenue d’ailleurs. Noires avec des lacets blancs, celles-ci étant repliées vers l’extérieur.
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Un ange passa... Mais il resta planté là ♀
Eleanore est une jeune demoiselle emplie de qualités. Mais elle possède un bon gros paquets de défauts, plus ou moins voyants également. Il y a du neutre aussi, elle est nudiste. Nudiste comme l’était ses parents. Pour plus de précision, se balader en petite tenue ou même en sous-vêtement dans les rues du village ne la dérangerait en rien. Mais c’est une personne éprouvant tout de même un certain respect vis-à-vis des autres alors elle n’enlèvera pas plus que son chandail et son short si elle se trouve en présence d’autres formes humainement vivantes. Franche ~ Qualité ou défaut ? Cela dépend des occasions. On dit que la franchise est une bonne chose, que cacher certains mots, garder certaines émotions pour soit n’est pas forcément bon pour tout le monde mais cela fonctionne dans les deux sens. Si vous parlez trop cela peut vous poser quelques problèmes selon les occasions. Elea est comme ça, à trop en faire parfois... Intelligente ~ C’est à voir n’est-ce pas. Disons que les stratégies ne sont pas son point fort, elle préfère foncer dans le tat. Mais le monde n’a plus vraiment de secrets à ses yeux, la demoiselle voudrait découvrir de la complexité. Il n’y a plus rien de tel sur Terre à l’heure actuelle. Que de jeux simples et de calculs déjà résolus... Mais vous savez, l’inconnu fait moins la force que le savoir. Enfantine ~ Oh oui, une vraie gamine dans toute sa splendeur. Eleanore reflète parfois le cœur d’une âme sensible et innocente croquant la vie à pleines dents. Il lui arrive parfois d’être émerveillée d’une petite chose anodine ou de rigoler comme une idiote suite à un compliment. Faire cette moue boudeuse que tous détestent tant est l’une de ses grandes spécialités lorsqu’elle s’en trouve vexée d’un quelconque reproche. Allez savoir pourquoi elle n’a pas réussit à perdre cette âme d’enfant pure et capricieuse que l’on avait tous à l’époque. Le combat, sa patrie ~ L’une des choses les plus importantes à ses yeux. Ne lui enlevez jamais ça... Jamais. Ses amis, son village. Eleanore est l’une des rares personnes comprenant vraiment ce qu’est l’amour patriotique, elle voue un culte au grand et puissant Kage de son village, Aa Yotsuki. Elle donnerait sa vie pour lui et tous les autres. Mourir en combattant de toutes ses forces l’ennemi. Elle en rêverait même la nuit. La demoiselle n’est pas du genre à refuser un combat, encore moins un défi de force. « La vie est un combat alors pourquoi refuserais-je de me battre contre la vie elle-même ? » Mais si vous saviez à quel point la surprise est encore grande. Seulement une description reste une description alors je vous montrerais les personnalités complexe de cette charmante demoiselle. Eleanore et Black. Que de mystère n’est-ce pas ? Oui cette jeune femme innocente s’en trouve être schizophrène, c’est ainsi depuis la disparition de ses parents. Désirez-vous entrer au cœur de deux contraires attendrissements attachants ? ~ D’un côté nous avons la gentillesse incarnée, la patience à toute épreuve, un courage surhumain. Nous avons une jeune demoiselle à son aise avec autrui, absolument magnifique douce et belle mais hélas formidablement maladroite.~ De l’autre nous connaissons une vraie petite diablesse, aussi peste et méprisante que le serait Hadès s’il avait vraiment existé. Black n’est pas de ce que l’on pourrait qualifier de « méchante », loin de là. C’est une personnalité désagréable et gueularde aux premiers abords mais sous son côté diabolique et sans pitié, elle cache une grande solitude en plus d’une peur immense de perdre Eleanore. Ceux-sont ses plus grandes faiblesses. Cacher ses défauts par ce qui semblerait être quelques qualités. Ce servir du faux pour cacher le vrai. Blesser les autres est l’une de ses plus grandes spécialités, sa première passion dirons-nous. Là encore un moyen de cacher sa vraie nature, sans doute.
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