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| Sujet: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) Jeu 12 Avr - 11:39 | |
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Votre personnage
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✘ Nom: Terumii (oui y a bien deux "i" !).
✘ Prénom: Mei.
✘ Age: 27 ans.
✘ Nindo: Je ferai souffrir les plus vils, de ma main il périront d'un battement de cil.
✘ Village désiré: Kiri
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Description psychologique
Les caractéristiques physiques d’une telle femme sont d’une étrange fascination tout en gardant une part d’énigme frôlant l’indéchiffrable. Nous l’avons bien décrit précédemment, Mei Terumii est le contraste étonnant de la compassion, c’est une femme intelligente mais impassible ou bien glauque. De ce fait sa carrure physique est impressionnante et tellement adaptée à la complexité de ses pensées Mei est une femme d’une vingtaine d’années, intrigante et intéressante qui n’a nulle envie de se laisser marcher sur le pied, encore moins par un homme. Ces yeux sont ornés d’une poudre noirâtre très féminine qui accentue étrangement le bleu azur de ses pupilles ; d’ailleurs son iris semble différent de la couleur qui tapisse ses yeux. Le tissu de son long blouson est uniquement fait de soie bleuâtre, on peut même dire qu’elle est d’une couleur océane. Elle coiffe ses cheveux d’une manière bien précise ; rien n’est trop parfait dans ce monde, sa coiffure représente cet aspect mitigé de la vie. De longues mèches brunes lui tombent devant le visage un peu en bataille afin de la faire transparaître comme une femme mauvaise et hautaine. Une telle coiffure définit par personnification, la folie de cette illuminée qui malgré le tourment qui l’obsède, garde partiellement une certaine modestie. Son regard, des plus déterminés, semble percer n’importe quoi tout en gardant une froideur intense, si transcendante qu’elle perforerait même la matière la plus rigide qui soit. Un sourire malin s’affiche fièrement sur son visage s’apparentant presque à celui des plus grandes sadiques de notre époque. Au final, Mei, malgré son apparence trompeuse et son caractère bien défini, est bel et bien la plus belle et plus fière allégorie du sadisme populaire mais attention, elle n’est pas une mauvaise femme bien au contraire elle a la volonté d’accéder au pouvoir de Kiri afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Description physiologique
Nous commençons déjà par l’origine de sa personnalité, qui, d’après plusieurs hypothèses est d’une complexité similaire à celle d’une schizophrénie bipolaire (je sais, c’est pas français.) D’après les propos avancés par certains ninjas de Kiri, cette femme a tout d’une sadique qui se plait à torturer (mentalement, je parle bien) ses victimes. Elle est issue d’un clan qui lui a conféré des affinités redoutable et reste une ninja complète et bien habile. Elle semble avoir un complexe à l’égard des hommes misogynes et déteste avoir à faire à l’un d’eux. Mei Terumii est une femme controversée dans tête, c’est une femme bonne (gentille …) qui ne cherche qu’à assouvir la volonté du village ; la paix, le bonheur, la prospérité. Elle n‘est pas Mizukage mais elle est tournée vers son peuple et juge qu’il doit avoir son mot à dire. Cependant, elle est très lunatique et dans ses pics de colère, elle dégrade salement la personne en face d’elle, celle qu’elle ne peut encadrer. Elle n’est absolument pas prévisible, elle est telle qu’elle le décide ; c'est-à-dire qu’elle ne se laisse pas imposer ses choix, si sa volonté est de faire telle ou telle chose, elle le fera et ce qu’importe les moyens qu’il faudra utiliser.
Votre Histoire
(Minimum de 10 lignes) Après la mort de mes deux géniteurs, j’étais vue comme une enfant indigne ; voir ses parents mourir sans rien faire est un pêché maléfique, perfide et digne d’un démon. Non, moi, je n’étais qu’une enfant qui avait osé protéger sa mère d’un père abruti et arriéré. Le Mizukage en place, que je ne nommerai pas par son nom, rendit hommage à mon père comme étant un homme respectable et unique. Ah ça oui, il était unique, tellement unique que sa mort n’inspira ni tristesse, ni joie. Le vieux tas d’os me prit sous son aile ; d’après lui le vice s’était malencontreusement emparé de mon âme. Quelle connerie, j’étais tout à fait normale à l’exception de ma capacité a utiliser le Yoton et Futton. Les autres membres de ma famille ne me regardaient qu’avec dédain et mépris ; d’ailleurs, mon oncle, utilisateur maître du Yôton, daignait me menacer de ses poings destructeurs. C’était, avant, un modèle pour moi, aujourd’hui il n’est que le souvenir d’un misérable parasite. Vous l’aurez probablement compris, je suis une combattante très peu indécise … avec le temps, que c’est pour cette raison qu’ils sont venus, eux, si fier et si menaçant.
Le Mizukage m’avait laissé une permission de sortie sur les collines alentours. J’avais dix-huit ans, et ce qui est plutôt intéressant, c’est que je n’avais pas cette inutile garde rapprochée composée de trois genins. Car OUI, j’étais surveillé de près depuis l’assassinat de mes parents ; mais je n’en n’avais rien à faire, si j’avais voulu quitter Kiri, je l’aurais fait. Ce début de soirée était plutôt réconfortant étant donné la chaleur inhabituelle qui s’imposait petit à petit autour de moi. Je m’allongeais sur ce sol poussiéreux tout en regardant l’éclat des étoiles quand soudain, un bruit que je n’avais encore jamais entendu, attira mon attention. Je relevai mon torse qui s’était merveilleusement bien incrusté dans la terre – je me demande comment mon omoplate gauche a pu craquer, soit. Il y avait, en effet, une personne qui se tenait devant moi, habillée de noir, me désignant du doigt comme le feraient les avocats de la cour. Une étrange peur me submergea, je ne comprenais pas ce qui se tramait devant moi, mais cet homme, lui, m’évoquait quelque chose de mauvais – et pourtant j’étais attiré par ce qu’il dégageait -. Il n’avait pas besoin de prononcer le moindre mot, je comprenais ce qu’il désirait de moi, le rejoindre qu’importe les préjugés. Epris d’un bonheur spontané d’avoir enfin une raison de me barrer de ce village merdique, je me mis à sourire niaisement tout en m’approchant de lui. L’homme camouflé se retourna comme s’il voulait que je le suive – ce que, bien évidemment, je fis ! J’étais aveuglée par l’idée de quitter ce village pour pouvoir enfin montrer au monde entier mon pouvoir magnifique que j’en oubliais la présence de la petite ninja qui me suivait à la trace. Oui, il y avait une ninja qui me reluquait avec envie depuis les buissons mais je n’y prêtais guère attention de par le fait qu’elle devait probablement faire parti de mes « gardes du corps ». Tout à coup, elle sauta hors du buisson hurlant mon nom comme étant déserteur du village. L’homme que je suivais se retourna, kunai en main, cherchant à éliminer cette enfant. Je l’arrêtai aussitôt, j’avais en tête une bien meilleure idée. M’approchant d’elle avec supériorité je lui annonçai alors.
- Je doute que ta mère ne t’ait appris à fermer ta bouche devant deux dangereux déserteurs hautement classés. Tu me connais et je te connais, je n’aurai aucun mal à t’éliminer si je le voulais. Plutôt que d’hurler ma désertion, met en garde Kiri des attentats que je n’hésiterai pas à reproduire si le vieux pigeon avait pour idée de me pourchasser, un ! Sur ce je m’en vais et va te coucher.
Sur ces mots je franchis à jamais les frontières de ma liberté, m’évadant de ma prison de terre, de cet enfer qui me rappelait l’horrible crime que j’avais commi- … Hummm … quoi ? Je viens de me réveiller … Comme c’est étrange, ce rêve n’était qu’une fiction de mon esprit. Mince c’était plaisant dans un sens, j’étais libre.
« La douce nostalgie d’un pays aquatique, de paysages surexploités, d’un état d’esprit différent des autres nations ; Ici c’est l’anarchie, seul le Kage est respecté, le reste n’est que les nombreux glaviots de mère nature. Je vous présente Kiri, alors que je pénètre le territoire déjà inquiet de nouvelles menaces, ces Ninjas de la nouvelle ère ne me connaissent pas, ce serait un comble que l’un d’eux me demande qui je suis. »
En cette journée de printemps, début de la saison, les premières floraisons du mois commencent leur cycle annuel. Les bourgeons des arbres parfument déjà la route pour rejoindre l’insalubre village de Kiri. Le contraste entre le renouveau de la Nature et le décor très précaire du territoire de l’Eau lui fit comprendre que, malgré le temps et les guerres, ce pays était toujours aussi individualiste et surtout égoïste. Il était sérieusement l’heure que tous ces enfantillages cessent. La terre rocheuse s’enfonçait au contact des chaussures de la ninja du village de proximité et la Mort semblait s’écraser comme la semelle de ces sandales dans cette terre labourée jour après jour. Les pierres qui parsemaient la route du village semblaient doubler de volume à chaque mètre que franchissait Mei Terumii ; le village de Kiri était connu pour ses immenses étendues d’eau, ses quartiers chauds, mais surtout pour l’abondance et l’épaisseur de sa brume. Plus les pierres grossissaient, plus la porte du village semblait de plus en plus proche, d’ailleurs, elle croisait de temps à autre certains paysans qui semblait le reconnaître. Il y avait ce larbin, lèche-botte jusqu’aux oreilles qui n’avait pas tenu sa langue à l’égard du secret vis-à-vis de la famille de la schizophrène. Elle se souvint qu’il devait lui faire payer cette trahison … Bah, ça devrait attendre plus tard, après tout Mei souhaite réintégrer les instances du village afin de pouvoir poursuivre son but. Un but qu’elle a longtemps prêché grâce aux mouvements féministes de sa famille. Traversant les champs de blés, de maïs, les routes rocailleuses, sablées parfois, elle riait à gorge déployée car elle se sentait libre, loin de toute cette mascarade. La lune illuminait la joie, le bonheur et la réjouissance de cette splendide créature de Kiri. Le paysage changeait à mesure qu’elle avançait, elle traversait des contrées, une fois l’horizon était dégagé et aéré, d’autres fois il été obstrué par la présence de bâtisses plus ou moins intéressantes. Elle termina finalement sa course au pied d’un arbre solitaire, un chêne qui plus est, au beau milieu d’une prairie, sur lequel elle s’adossa. Fermant les yeux, elle se mit à imaginer toute sorte de choses. Après une longue réflexion elle déclara : « Je serai Mizukage et qu’importe mon passé, il est inutile d’en parler. »
CODES DU RÈGLEMENT (2) :Editer By Shino
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Alucard Ninja Inconnu
Messages : 477 Date d'inscription : 02/12/2010 Age : 35 Localisation : IN THE WORLD
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| Sujet: Re: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) Jeu 12 Avr - 21:12 | |
| Bienvenue x) Je te Valide Genin , avec 4 Techniques Gratuites ! Bon rp |
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Mizutirigi Haosha Ninja Inconnu
Messages : 1328 Date d'inscription : 01/11/2010 Age : 29
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| Sujet: Re: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) Jeu 12 Avr - 21:32 | |
| « Un petit village voisin à Kiri est attaqué, analysez la situation, trouvez pourquoi ce village est attaqué. ( Attention, un Juunin viendra vous rejoindre, mais avec du retard) restez en retrait sans vous faire remarquer, les hommes surveillent les alentours. Les attaquants sont aux nombre de 15. Une fois le Juunin arrivé, neutralisez les sbires et capturez le chef pour savoir le pourquoi de l’attaque »
Merci Shiyo. & bonne chance à toi Mei. |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) Ven 13 Avr - 12:19 | |
| Bienvenue parmis nous |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) Ven 13 Avr - 13:27 | |
| Bienvenue à Kiri Encore une qui veut ma place |
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| Sujet: Re: Mei Terumii, la Mizukage qui finalement, ne fut pas Mizukage ! (terminée.) | |
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