• Aujourd’hui, ma vie allait changer. On m’avait fait parvenir deux jours plus tôt une date, une heure et un endroit. Je devrais m’y rendre à temps et y rencontrer mes futurs compagnons d’équipe. Je ferais partie de ma toute première équipe. Juste à y penser je sautais sur place. Je me vêtis d’un kimono de kendo blanc serti de motifs de fleurs rosées. Ça n’avait sans doute pas l’air très menaçant, mais c’était en partie le but. Ayant été formée à la confection de kimonos par ma mère, je pouvais me permettre un peu d’améliorations personnelles. Je plaçai ensuite mon katana à ma taille, dans son fourreau. Ne restais plus qu’à nouer mes longs cheveux bruns en une basse tresse et j’étais prête pour la rencontre.
  
  Le matin était encore naissant lorsque j’accompagnai mon petit frère à l’Académie ninja. Il l’avait intégré au même moment que moi, mais notre père n’avait jamais vraiment voulu l’entraîner vu son âge. Il avait donc bien du retard à rattraper. Je déposai un baiser sur le front de Fuji qui l’essuya prestement avant de me mentionner d’une voix claire qu’il n’était plus un gamin. Je lui tendis son bento confectionné par mes soins en affirmant que, bien sure, il avait raison. Je partis ensuite, toute souriante, vers le lieu du rendez-vous. Comme j’avais une bonne heure d’avance, j’en profitai pour allumer de l’encens et pour me recueillir devant le mémorial le temps que mes coéquipiers arrivent.

• J’étais perdue dans mes pensées. Je regardais vaguement le nom de mon père, gravé dans la stèle depuis un bon moment déjà. D’autres noms y avaient prit place depuis. D’autres familles avaient pleuré et étaient venu allumer de l’encens. Je serrai mes mains ensemble, me mordillant la lèvre. Je pourrais peut-être essayer de venir ici avec Fuji. Je pourrais lui parler de notre père, lui rappeler à quel point il s’agissait d’un homme bon qui ne voulait que le mieux pour nous. J’allais m’enliser dans mes réflexions lorsque je me rendis compte que je n’étais plus seule. Depuis combien de temps? Impossible à dire.
  
  Je me levai avant de m’incliner une dernière fois devant le mémorial. Puis, je me retournai, la main sur le manche de mon katana. Ce n’était pas parce que j’étais sur la défensive, non. Ça me rappelait mon père car, des dizaines de fois, je l’avais vu poser la main sur ce même manche. Et ensuite, il me jetait le regard de la confidence. C’était un signe que nous allions nous entraîner en cachette. C’est un tic nerveux que j’ai depuis, ça me rassure de savoir que cette arme est là. J’avançai vers elle, mon visage laissait seulement voir un doux sourire. J’avais des années de pratique dans l’art de dissimuler ma tristesse à mon petit frère.
  
  « Bonjour, êtes-vous également ici pour la rencontre de l’équipe 3? »
  
  Et j’attendis sa réponse avec mon air inoffensif, comme à l’habitude. J’espérais simplement que l’on pourrait bien s’entendre. Au moins elle semblait apprécier les kimonos elle aussi. Peut-être pourrais-je m’en faire une amie? C’est bien beau avoir un petit frère, on ne peut pas lui parler de tout, encore moins quand on doit l’élever seule.
  

Un nouveau prof… ?

Le soleil était déjà haut dans le ciel du village caché du vent… Mouais, le village caché du vent et le seul truc qu’on trouve dans un lieu si merdique c’est du sable, du sable à perte de vue, toujours du sable à chaque rue et dans chaque recoin ! Nariamo couché sur son toit un chapeau sur le visage pour pouvoir dormir tranquillement au chaud, des pantalons noir plutôt banal et un t-shirt de la même couleur était tout ce que portait actuellement le jeune Junnin. Notre jeune héros vivait un grand, du moins il vivait ce qui devait être un grand jour, c’était la première journée qu’il allait officiellement être sensei… Mais il n’était pas plus enchanté que ça, être sensei signifie avoir plus de responsabilité… Plus de responsabilité, ce qui signifiait moins de temps pour dormir, moins de temps pour rien foutre, moins de temps à juste boire, la vie allait devenir un enfer faut croire !

Notre jeune homme se redressa alla saisir son matériel ninja tranquillement, étuis, veste, katana et tout autre chose pouvant avoir une utilité pour le ninja qu’il se trouvait à être. Une fois arranger Nariamo saisit une pomme qui reposait sur la table, il mordit dedans à pleine dents avant de commencer à marcher en direction du mémorial, endroit où il avait décidé de retrouver ses élèves pour la toute première fois, un lieu assez éloigner du village en étant des plus sécuritaire ! Nariamo n’avait pas vraiment prévu quelque chose pour ses élèves… Faut dire que l’organisation n’était pas son fort, à vrai dire travailler n’était pas son fort tout court, il avait essayé de faire bonne impression au Kazekage et on dirait que sa avait fonctionné peut-être même un peu trop !

Nariamo allait arriver au mémoriel, il regarda rapidement l’heure et remarqua qu’il avait environ une dizaine minutes de retard sur l’heure qu’il avait dit à ses élèves… Espérons qu’ils seront indulgent avec lui, c’était tout de même son tout premier jour dans la peau d’un professeur ! De loin, il remarqua les silhouettes qui commençaient à se dessiner devant lui, étrangement… Les trois semblaient être féminin, le jeune homme se demandait si réellement ses trois élèves allaient se retrouver à être trois jeunes femmes. Une fois rendu plus proche le jeune shinobi fut tout de même surpris de voir que c’était réellement trois jeunes femmes et surtout qu’elles ne semblaient tous pas bien plus jeune que lui-même pouvaient l’être.
Le jeune sensei passa près des jeunes femmes sans réellement leur porté attention et alla s’assoir tout simplement sur la pierre qui représentait le mémorial des ninjas de Suna décéder lors de bataille, il n’avait pas la moindre idée que ses élèves avaient de la famille sur ces pierres et il s’était installé tous simplement et avait diriger son regard vers eux en finissant sa pomme qu’il lança dans le sable un peu plus loin.

‘’ Et bien… Bonjours à vous trois, je crois bien que je suis celui qui devrait vous former à être de bonne petit Kunoichi ! J’ai pas l’habitude de faire dans le traditionnel et on va faire sa direct, parce que Moi je ne vais pas tournée autour du pot mes petites demoiselles ! Ah oui j’oubliais, moi c’est Nariamo ! ‘’

Le jeune homme affichait un sourire en coin suite à ce court dialogue qu’il avait adressé aux jeunes femmes, ses nouveaux élèves, il les observait tranquillement curieux de voir comment elles allaient réagir à ces premiers mots.

Ordre : Luccia, Seki, Kira et Moi !

• J’allais engager la conversation avec la jeune femme nommée Ohari. Toutefois, c’est le moment que choisit notre sensei pour faire son apparition. C’est en le regardant arriver que je remarquai la troisième membre de notre équipe. Je l’admirais déjà pour une chose, si on devait comparer, c’était elle qui ressemblait le plus à une vraie ninja. Je ramenai mon attention sur le prof qui alla s’asseoir nonchalamment sur le mémorial. Je fronçai les sourcils et mon regard se fit plus dur. Le nom de mon père était inscrit là, le nom de l’homme qui m’avait formé au kendo. Et lui s’asseyait là en manque total et flagrant de respect. Il prit ensuite la parole, ce qui acheva de me rendre cet individu tout à fait désagréable. De bonnes petites kunoichis? Mes petites demoiselles? C’est qu’il nous narguait ce Nariamo. D’accord, il n’avait pas l’air beaucoup plus vieux que moi et si mon retard dans mon apprentissage venait des désirs de ma mère, j’ignorais bien la raison pour laquelle les deux autres avaient l’air aussi âgées que moi. Au moins, ça me donnait du courage.
  
  Je m’avançai vers lui avec mon regard toujours aussi renfrogné. Je ne devais pas être très intimidante, mais je m’en fichais. S’il y avait quelque chose que je n’acceptais pas, c’était que l’on bafoue ainsi la mémoire de mon père. Je pris une voix forte et décidé qui tranchait avec ma tendresse habituelle.
  
  « Le nom de mon père est sur cette stèle. J’ignore si vous saisissez la portée de votre geste, ignorant si vous aussi avez de la famille sur ce bout de roche. Quoi qu’il en soit, par respect pour les défunts et leurs proches, je vous demanderais de descendre de là. »
  
  Et je continuai de le fixer. Maintenant, tout le monde savait que mon père était mort, mais ça m’étais égal. Quel l’on me traite de gentille petite kunoichi passait encore, je n’étais que genin. Que l’on s’assoie sur mon père…J’espérais seulement que mes futures coéquipières ne me traiteraient pas différemment à cause de ça.
  

Arrêtez de pleure !

Nariamo observait tranquillement sa pomme atterrir sur le sable brillant de Suna… Puis notre jeune home tourna la tête en direction de ses élèves pour finalement les regarder avec attention. La première, une demoiselle aux cheveux bruns, elle portait un jolie petit Kimono blanc à fleur, une très jolie tenue… mais surement pas la meilleure pour un entraînement avec son équipe. La deuxième, une petite châtaine portait elle aussi un kimono blanc, un peu moins enfantin par contre elle n’avait pas les petites fleurs, elle. Et la toute dernière, une blonde qui semblait être la moins féminin du groupe, elle était la seule qui semblait prête à réellement ce battre. Nariamo avait toujours son petit sourire en coin en observant les demoiselles, son équipe semblait plus ou moins efficace, mais bon c’était la vie après tout ! La petite brune c’était avancée et son visage venait clairement dire qu’elle n’était pas heureuse des mots que venait de lui dire le jeune Junnin.

« Le nom de mon père est sur cette stèle. J’ignore si vous saisissez la portée de votre geste, ignorant si vous aussi avez de la famille sur ce bout de roche. Quoi qu’il en soit, par respect pour les défunts et leurs proches, je vous demanderais de descendre de là. »

Nariamo baissa les yeux, pas parce qu’il se sentait mal, pas pour montrer qu’il était désolé d’être assis sur le symbole des anciens combattants du village de Suna, il avait baissé les yeux tout simplement pour regarder entre ses deux jambes la pierre, puis redressa la tête en rigolant tout simplement pour lui-même. Au même moment la jeune châtaine, c’était approcher et venait de posé le jeune sensei qui était en train de rire, Nariamo se laisse tomber par derrière et profita de la rotation pour tout simplement rouler au sol et avec l’élan finir sur ses pieds ! Le jeune homme passa ses mains pour retirer la poussière de ses vêtements puis observa la jeune châtain avec un léger sourire pour lui montrer que son attitude ne le dérangeais pas vraiment.

"... soyez sûr.... que nous nous entendrons pas"

Nariamo la regardait doucement… c’était vraiment important de s’entendre ? Une jeune fille qui dès le départ était boucher d’esprit, Nariamo en avait vue des femmes hautaine, mais celle-ci semblait être un bon cas ! Puis elle allait dire une sorte d’excuse à la première qui venait de dire qu’elle avait perdu son père… Et puis quoi encore, un ninja doit être prêt à mourir, c’est tout, C’est dans les risques du métier comme on dit. La dernière, la blonde, semblait être la plus calme et surtout la moins susceptible que ces deux coéquipières, elle avait pourtant fait un signe en respect au père de la première.

"Je crois qu’il serait plus prudent pour vous de surveiller votre langue et vos actions, ça peut toujours en offusqué certain."

Nariamo se redressa complètement, il était maintenant bien droit et son sourire était parti… Son regard était devenu sérieux et pour la première fois devant ses élèves, il avait l’air plus d’un homme que d’un enfant ! Nariamo c’était approcher d’eux d’un pas lourd et les regardaient les trois à tours de rôle…

‘’ J’espère sincérement que vous vous foutez de moi… être offusqué par des mots ou encore par mes actions, je ne suis pas ici pour former des gardiens moi ! Faut se réveiller mes petites dames, vous êtes là pour devenir ninja et au dernière nouvelle un ninja ce n’est pas le genre de personne à pleurer après un petit geste choquant ! On va vous demander de tuer pour votre village, vous risquez même de voir vos familles mourir dans vos mains, vous allez devoir tuer d’autres personnes ! J’ai tenu ma mère agonissante dans mes mains, alors que j’avais commencé à comprendre le monde et je suis certain d’avoir moins chialé que vous ! ‘’

Nariamo leur tourna le dos tout simplement et commença à s’éloigner, tranquillement en direction du village… Après quelques mètres il tourna la tête en direction des jeunes femmes.

‘’ Ce n’est pas une partie de plaisir pour moi non plus ! Alors bon si vous n’êtes pas satisfaite, suffit de vous barrer les filles ! Aller entraîner vous seules, mais ce n’est pas moi qui va vous recommander au Kazekage pour l’examen Chunnin ! ‘’

Puis il tourna la tête pour recommencer à marcher…

• La seconde fille sembla m’appuyer en délogeant notre sensei de la stèle. Puis, elle se tourna vers moi et s’excusa pour mon père. J’étais seulement mal à l’aise, mais lorsque l’autre s’inclina devant moi, je piquai un fard. Avoir su je n’aurais rien dit, je détestais que l’on agisse ainsi avec moi. Cela faisait des années maintenant que mon père était mort et j’en avais fait mon deuil. Je revenais seulement pour lui faire honneur. S’il y avait une mort que je ne tolérais pas, c’était celle de ma mère.
  
  J’allais protester pour leur dire que ce n’était rien, que ça ne me dérangeait plus, mais notre nouveau professeur prit la parole. C’était un long monologue assez frappant. Ma vision de cet homme changea soudainement. Lorsqu’il parla de la mort de sa mère, une vague de sympathie pour cet homme me toucha. Lui n’avait sans doute pas de quoi s’accrocher. J’avais mon petit frère, lui avait du développer un côté détestable qui aimait bien avoir de l’attention. En tout cas en l’entendant parler, je compris qu’il avait du vivre bien des choses que je ne pourrais même pas imaginer. Bien sûr, élever mon petit frère était une expérience qui m’avait forcée à vieillir. Lui, il était devenu un ninja, chose que j’aurais toujours du mal à être. Alors qu’il allait nous tourner le dos, je m’avançai vers lui et pris la parole avant qu’il ne s’avance trop.
  
  « Je vous remercie d’être débarqué du mémorial. Pour ce qui est de voir quelqu’un mourir, j’ai déjà donné. C’est pour ça que je me spécialise en ninjutsu médical. (Petite Pause) Notre écart d’âge ne doit pas être immense, mais malgré cette première impression assez mauvaise, je crois que nous avons beaucoup à apprendre de vous. Que vous vouliez rester ou pas, je ne chialerai pas. Je vais apprendre, que ce soit auprès de vous ou pas. Moi, je ne vous supplierai pas de rester, mais je vais vous demander d’envisager tout ce que vous manquerez à nous confier à quelqu’un d’autre. Chose certaine, j’ai du respect pour les hommes qui disent ce qu’ils pensent. Ça aura été un plaisir d’apprendre qu’un homme comme vous existe, ici, à Suna. »
  
  Je n’attendais pas de réponse. Il allait sans doute partir de toute façon. Je fis donc un signe de tête aux deux autres et me préparai à partir également.

S'il croit qu'une personne devient ninja pour le plaisir, il se trompe lourdement. Chaque personne protège quelque chose et si ce n'est pas un être humain ou un objet, c'est sa propre vie.

Pareil, voir ses proches se faire tuer. Bien sur que ça peut arriver, et alors ? Les ninjas ne s'entrainent-t-ils pas pour devenir plus fort et éviter de se faire tuer ? Le jour ou l'on trouve une personne pouvant être un Kage alors qu'elle ne s'est jamais entrainé, on m'appelle.

On se qui concerne l'anecdote à propos de sa mère, paix à son âme. C'est à se demander s'il essai de nous faire peur ? Certains d'entre nous on déjà perdu de la famille, d'autres sont venu ici pour pouvoir protéger leur famille.

Je déteste particulièrement sa dernière phrase. J'aimerais le frapper pour l'avoir dit. Si on ne pleure pas, alors on accule de la haine et on finis par haïr son entourage et son pays. Pleurer c'est quelque chose de sacré et le premier qui dit l'inverse en face de Seki aura la déculotté de sa vie.

On mérite tous une chance !

Nariamo marchait toujours en direction du village, les trois jeunes femmes l’avaient fatigué, on aurait cru qu’il se tenait devant trois petites princesse et pourtant elles étaient tous des ninjas à en devenir… Leur attitude était loin de ce que Nariamo avait imaginé pour comme élève typique, même s’il n’était pas motivé à devenir Sensei, il avait toujours aimé en apprendre plus, se développer pour rembourser la dette qu’il avait envers Suna. Mais ces trois-là, actuellement elles ne semblaient pas vouloir réellement devenir des femmes plus fortes… Peut-être qu’elles étaient devenu Ninja pour le plaisir de croire qu’elles deviendraient des héros pour le village ou une autre merde du genre. Le jeune était bien décider à partir, retourner sur son toit se faire cuire littéralement au soleil, mais il savait que Haosha allait surement ne pas apprécier qu’il ne forme pas les futures ninjas du village, ses femmes étaient des genins… Nariamo savait que c’était son travail qu’il le veule ou non de les rendre apte à monter Chunnin, il allait le faire surement par orgueil au final, mais il allait devoir les réveiller ! Mais bon peut-être pas aujourd’hui... La voix de la petite brune arrivait sur oreilles du jeune Junnin qui arrêta de marcher pour pouvoir écouter.

« Je vous remercie d’être débarqué du mémorial. Pour ce qui est de voir quelqu’un mourir, j’ai déjà donné. C’est pour ça que je me spécialise en ninjutsu médical. (Petite Pause) Notre écart d’âge ne doit pas être immense, mais malgré cette première impression assez mauvaise, je crois que nous avons beaucoup à apprendre de vous. Que vous vouliez rester ou pas, je ne chialerai pas. Je vais apprendre, que ce soit auprès de vous ou pas. Moi, je ne vous supplierai pas de rester, mais je vais vous demander d’envisager tout ce que vous manquerez à nous confier à quelqu’un d’autre. Chose certaine, j’ai du respect pour les hommes qui disent ce qu’ils pensent. Ça aura été un plaisir d’apprendre qu’un homme comme vous existe, ici, à Suna. »

Nariamo toujours dos à ces élèves avait maintenant un sourire sur les l’être, elle disait avoir donnée… Et pourtant même pour un ninja médical, même encore plus pour un ninja médical tenir un mort lui arriveras et ce pratiquement à chaque mission ! Elle n’avait pas hérité du bon don la petite pour ne plus voir de mort, même si elle tenait surement de ce convaincre d’empêcher, elle semblait vouloir ‘’attirer’’ Nariamo avec des compliments, ce qui amusait un peu le nouveau Sensei de la voir agir de la sorte ! Puis, il entendit des bruits de pas, elle s’éloigna à son tour. La seconde… la petite châtaine au grand air, n’avait pas dit le moindre mot cette fois, elle n’avait pas répliqué… étrangement! C’est de-elle que Nariamo attendait la plus grande réaction, mais non rien ne se produisit ! Puis tout le contraire ce produisit celle qui semblait la plus réserver qui ne parlait pratiquement pas comparer aux deux autres venait de surprendre Nariamo avec un bon discours.

"Hey! Nariamo! On ne pourra pas dire que toi et moi on ne se comprend pas alors! J’ai pas demander une équipe non plus, on me l’a imposé. Par contre, il parait que l’entrainement a plusieurs apporte plus que l’entrainement en solo. T’es coincé avec nous et nous avec toi. Que tu nous entraine ou pas, se sera la fin du monde pour personne, si c’était pour en finir a ça, j’serais resté chez moi. Je n’ai pas envie d’avoir fait ce chemin pour rien. Alors pour ta recommandation au Kazekage, tu crois que c’est toi qui va écouter le plus alors que tu ne voulais pas de nous?! Pas une grosse perte j’ai l’impression. Que ce soit avec ou sans toi, ou même sans sensei, tu verras, je passerai l’examen chuunin!"

Nariamo venait de se prendre une crampe, et une envie de rire c’était en prit de lui ! Et bien sa faisait quand même du bien de voir qu’au moins une des trois semblaient réellement avoir envie d’apprendre ! Le jeune Junnin se retourne, un léger sourire en coin sur le visage, il recommença à marcher, mais cette en direction d’où il arriva. Il marcha tranquillement en direction de son élève, la petite blonde là, Nariamo s’arrêta à environ deux mètres de la jeune femme et la regarda dans les yeux, toujours avec son petit sourire nargueur.

‘’T’as pas tort en disant que je suis pris avec vous ! Donc je suis d’accord pour être productif… Mais j’ai une condition pour toi et les autres si elles sont d’accord pour se joindre à nous, je ne veux jamais vous entendre vous plaindre de quoi que ce soit lorsque je suis présent ! Envoyer moi chier si vous voulez, traiter moi de merde, je m’en fou plus que tout, mais pas quand je suis présent ! Et aussi lorsque je vous dis de faire quelque chose, faites-le… En échange, je ne vous demanderais pas trop de marde ! Et je vais essayer de respecter vos convictions comme pour le mémorial ! Sa vous convient ? ‘’

Les jeunes femmes ne le savaient peut-être pas, mais Nariamo savait déjà que ça n’allait pas être facile pour lui de s’adapter aux valeurs qu’il n’a jamais eu et qu’il n’a même surement jamais apprise… Mais Nariamo allait réellement tenter de respecter ces jeunes femmes, du mieux qu’il le pouvait du moins !