Ma dernière et ultime mission avant de devenir Anbu. Du moins, c’est ce que je me disais, l’échec était pour moi impossible. Une grande mission, une mission des plus importantes m’attendait, cette fois ce n’était pas une mission simple d’espionnage ou de combattre une armée. Je devais jouer les médecins et aidé à combattre les forces ennemis en-même temps. Je me demande si un simple Anbu pourrait jouer ce genre de doublé rôle... Personnellement j’en doutais et d’ailleurs je n’étais pas non plus sûr de pouvoir y arriver moi-même. Mais je n’avais pas le temps pour les apitoiements. J’étais en pleine forme et apparemment j’étais la seule à pouvoir faire cette mission actuellement. Je ne savais pas combien de temps j’allais devoir tenir, mais je devais réussir, je devais réussi non pas pour Konoha, ni même pour moi. Je devais réussir car la perte de vie humaine est une chose affreuse qui ne devait pas se produire surtout avec autant de monde. Avant cela ne m’aurait fait ni chaud, ni froid, mais maintenant les choses étaient différente. Bien que le monde n’ai toujours pas changé, ma conception de la vie d’autrui elle avait était totalement transformer. Avant la destruction du clan Yukan, j’étais une jeune femme froide et cruelle, un seul homme avait réussi à me changer légèrement en quelques choses de plus agréable, mais je restais toujours une jeune femme froide et cruelle. J’aurais pu sacrifier mes alliés pour la victoire et la survie de ma personne... Mais depuis que je suis devenir Ato les choses sont bien différente, je pense autant aux autre qu’a moi... Peut-être même plus aux autre qu’a moi.
Enfin bref, après tout une matinée à préparer mon équipement j’étais enfin prête, le devoir allait m’appeler. J’allais devoir trouver et pénétrer dans le campement de Konoha pour soigner les autres ce qui n’allait déjà pas être facile. Mais bon, c’était sans doute la partie la plus facile dans le fond. Mais avant de parler de ça, je devais déjà porter mon équipement, jamais je n’avais été aussi chargé. J’avais des bandages, des scalpels et médicament, tout ce qu’il fallait pour se préparer au pire avec les moyens du bord. Si j’avais pu j’aurais pris un hôpital entier, mais cela allait être difficile de les porter sur mon dos... Quoi qu’il en soit, le début du voyage se fit avec l’aide d’un jeune villageois qui m’accompagna généreusement vers le port de Konoha. N’ayant aucun sens de l’orientation, il valait mieux que je sois accompagné durant ce voyage. Il ne me m’accompagnerait pas vers le lieu des combats, mais c’était déjà beaucoup de chance de l’avoir jusque-là... Et puis une fois arrivé à Mizu no Kuni j’allais sans doute trouver une personne qui voudrait bien m’indiquer le lieu de combat. Pour le moment, c’est tout ce que je pouvais faire c’était me rendre vers le lieu de bataille de demandant au gens de m’indiquer le chemin... Je sais, c’est pas terrible pour une Kunoichi, mais quand on confond le nord et le sud, il vaut mieux demander au gent plutôt que de se perdre stupidement et causer la mort de dizaine d’homme et de femme qui n’auront commis comme crime que celui de se battre pour leur village.
Une fois à Mizu, j’ai donc eu beaucoup de chance car je n’avais pas à chercher longtemps avant qu’un homme charitable m’aide à trouver le chemin vers la zone de combat. Il ne me restait plus qu’à marcher tout droit... Par chance, même pour moi cela n’était pas impossible. Je pouvais être cruche, mais comme pour chaque chose il y a ses limites. Et je sais quand même marcher droit. Toujours est-il que pendant ma marche qui allait durée au moins une bonne heure j’allais devoir établir un plan pour pénétrer dans le campement de Konoha. Étant encercler par les ennemis, il n’allait pas être facile d’entrer sans se faire repérer et si je me fessais repéré je risquais avant tout de me faire abattre en moins de deux minutes, je n’allais pas pouvoir résister face à une armée, on peut être fort, on n’est pas pour autant surhumain et moi je ne l’étais pas... Donc pendant ma marche je réfléchissais à la première étape, mais aussi aux autres étapes, car il y en avait plusieurs et l’infiltration était seulement la première des étapes à passer, la suivante était l’étape médicale, soigner les blesser grave et ensuite les blesser légère et faire en sorte qu’il n’y en a pas d’autre... C’est l’étape numéro trois. Protéger et combattre l’ennemie en l’empêchant de progresser. Et même si ce n’était pas dans l’objectif de mission, j’avais une quatrième étape, repousser les ennemis avec l’arrivée des renforts ou si les renforts ne venait pas à temps. Tenter une percée et sauver le plus de monde possible. Je ne pouvais pas faire de miracle, mais je devais si c’était possible en tenter un si la situation devenait compliquer. Je ne suis pas une héroïne, mais je ne laisserais pas mourir des gens pour rien.
Première étape l’infiltration, c’était un moment délicat car je ne savais pas exactement comment faire pour entrer sans me faire repérer par les ennemies. Sans doute en fessant le tour je trouverais un endroit moins surveillé que les autres, mais j’augmentais les risques de me faire repérer. Non le plus simple était d’attendre que la nuit tombe, ce qui devait arriver d’ici une heure environ. Je devais donc préparé un plan pour entrer dans une heure exactement... Alors avant que la nuit tombe, je préparais un mécanisme proche du piège pour attirer l’attention des ennemis alors que je me placerais à un endroit où il ne pourrait pas me repéré et ou je pourrais-je l’espérais filer vers le campement de Konoha... J’avais donc placé un piège qui ferrait du bruit pour attirer l’attention des ennemis. Grâce à cela une troupe sera sans doute envoyez pour vérifier ce que c’est. Peut-être pas tous, je n’aurais pas cette chance, mais assez pour que j’arrive à m’infiltrer et entrer dans le campement de Konoha sans trop de risque... Je n’avais aucun talent pour le sensoriel, je devais donc utiliser une méthode certes un peu dépassé, mais qui a déjà fait ses preuves... Ensuite tout ce joué sur la vitesse. Pas le temps d’affronter tous les soldats pour entrer, je n’aurais de toute façon plus assez de chakra après les trois ou quatre premières et encore je suis sûr que je me vante un peu. Enfin bref, l’heure était enfin venue de mettre en place mon plan... La nuit vient tout juste de tomber.
Un bruit de branche d’arbre qui craque des oiseaux qui s’envole, il n’y a rien de mieux pour faire quoi que quelques choses de louche se passent à quelques pas de là. Quatre ninjas partent vers l’endroit pour vérifier ce que c’est... Ils sont prudents, mais c’est une chance pour moi. Cela laisse un grand trou assez pour que je fonce en ligne droite ou presque jusqu’au camp. Je me mis alors une veste noire pour être la plus discrète possible et avançait rapidement vers le campement de Konoha, je devais évidemment faire deux ou trois haltes, pour ne pas me faire repérer par un garde qui passe par là, mais tout semblait se passé comme prévu. Je pouvais déjà voir le campement de Konoha qui était fait en terre et en pierre. Sans doute un spécialiste du Doton qui avait créé ça pour se protéger des attaques directe de l’ennemi. C’était logique et même un bon plan pour se protéger de l’ennemi, mais maintenant, il était en quelques sortent prisonnier. Mais bon, je n’avais pas beaucoup de temps pour réfléchir, les hommes partaient allait vite revenir et peut-être même comprendre la supercherie... Même si j’en doute car j’ai fait le piège avec soin et de façon à ce que tout semble naturel. Quoi qu’il en soit, rapidement je fis un saut pour agripper le mur de terre avec mes pieds et fit un autre bon pour atteindre le haut du rempart et arriver directement dans le campement de Konoha. Je tombais sur un ninja qui montait la garde et qui semblait légèrement fatiguer, ne voulant pas crée un mouvement de panique je tendis un parchemin et dit :
Ato : Je viens de Konoha, je suis là pour aider à soigner vos blesses et tenir vos positions, j’ai ici le parchemin qui le prouve avec le sceau officiel du Hokage.
Ninja de Konoha : Je... Je vais prévenir le chef suivez-moi je vous prie... (Voix haute) Minoru, Minoru, réveille Yu qu’il monte la garde et viens avec moi jusqu’à Okido.
Un peu plus tard, je me trouvais devant une petite tente ou se reposais celui qui se fessais appeler Okido, il semblait dormir avec ses vêtements vu la tête qu’il avait et surtout le bâillement qu’il avait fait en sortant de sa tente. Il prit le parchemin, passa environs 10 minutes à le lire avant de me dire :
Okido : Je vois, cela semble un vrai, j’ai lu sur ce parchemin que vous êtes là pour aider avant tout les blesser.
Ato : Oui, mais je ferais aussi de mon mieux pour tenir vos lignes jusqu'à l’arrivée des renforts qui ne devrait plus tarder à mon avis... Mais avant cela amenez-moi à vos blesser et à votre chef médical.
Okido : il fut l’une des premières victimes du l’attaque, il est d’ailleurs le plus sévèrement toucher, on a réussi à les mettre à un état plus ou moins stationnaire, mais on a rien pu faire de plus avec nos moyens...
Ato : C’est problématique... Bon alors si vous avez encore un ninja en forme qui n’a pas peur en magasin j’aimerais l’avoir comme assistant.
Okido : Yoko, il est sans doute celui qui a pour le moment le moins souffert des batailles et qui est aussi le plus expérimenté
Croyez-le ou non, Yoko était le jeune ninja que j’avais rencontré à mon entrer dans le campement. Je crois que ce n’est pas la peine de vous expliquer à quel point la situation était désespérée. Mais comme on dit, il faut faire mauvaise fortune bon cœur... Essayer de faire de notre mieux malgré la situation plus que désavantageuses....
Avant de reprendre la discussion avec Okido... Discutions qui allait être un peu plus stratégie qu’autre chose, je devais avant tout m’occuper des blessés qui était quand même en nombre... 18 blesses dont 8 plutôt gravement... Je ne savais pas si j’allais pouvoir m’occuper de tous, mais je devais faire au mieux. Rapidement je fis un tri entre les blesses légère et grave... Leurs blessures étaient sévère pour certains, mais pas mortel dans l’heure actuel. Je tentais donc de soigner le maximum de gens en analysant ensuite les urgences avec les blessés graves. Celui qui fessait office de médecin était l’un des plus sévèrement toucher et surtout étant médecin, il se pouvait qu’il soit d’une importance capitale pour la suite. Je n’allais pas pouvoir le remettre sur pied avant l’arrivée des renforts, mais avec un peu de chance j’allais pouvoir le soigner assez pour lui donner assez de force pour gère quelques blesses légère. Il était 18 blesses je ne pouvais pas gérer tout, toute seule. Donc même s’il était affaiblit, je devais avoir un soutien médical professionnel. Ce Yoko semblait gentil et tout, mais il n’avait sans doute aucun expérience en médecine et semblait aussi manquer cruellement de sommeille. J’avais apporté quelques pilules énergisante pour aide ses hommes à retrouver un peu la forme, mais sur la durée je savais que cela n’allait pas suffire... je savais que rapidement j’allais devoir trouver une autre solution... Mais pour le moment, je devais sauver les blesses le plus vite possible.
Toutes la nuit aurait été une suite de soin et seulement pour les blesses grave, j’avais usé de toute mes compétences pour sauver le maximum de vie, mais il y en avait une dont les blessures étaient tellement sévère que c’était impossible. Je me demandais même comment il avait survécu jusqu'à mon arrivée. Son foie dut au choc de l’attaque avait explosé un poumon avait été percé et se retrouver gorgé de sang et je ne compte pas les fractures qui ne réglait pas l’affaire tout ce que j’ai pu faire pour cette homme c’était apaiser ses douleurs du mieux que je pouvais, mais il était condamnée... Même si on était à Konoha avec une vraie équipe prête et équipé. Le soleil se levait alors que j’avais seulement fini mon dernier patient grave. J’avais les mains et les vêtements en sang, mais sur 8 personnes j’en avais sauvé 7, c’était triste pour la huitième personne, mais je ne pouvais rien pour lui... Enfin bref, le reste de la journée a été de me concentrer sur les blessés légers. Cette fois aucune victime à noter, mais durant mes séances de soin, je pouvais entendre le bruit des combats qui fessais rage... Mais étrangement cela était par intervalle et par petit groupe... En fin de journée j’avais fini de soigner tous les blesses, j’étais extenué, mais une perte sur tout le lot c’était presque une victoire... Presque... Mais c’était pas fini, je devais maintenant parler au chef Okido parler du patient condamné et de leurs stratégie, sans oublié de leurs ressource... Je m’avançais donc doucement vers lui les mains et les vêtements encore taché de sang et je dis :
Ato : J’ai fait de mon mieux pour chaqu’un d’eux, mais il y en a un qui est perdu. Je sais que cela ne fait plaisir à personne et moi en premier, mais vous devez lui offrir la paix et la tranquillité... Si vous m’autorisé, je ferais en sorte qu’il nous quitte sans souffrance...
Okido :... Soite... Je crois que nous n’avons pas le choix. Si les autres sont ne sont déjà plus condamné c’est déjà pas si mal...
Ato : J’ai encore autre chose à vous demander, qu’allez-vous faire quand les renforts vont arriver ?
Okido : Ce que je vais faire, je vais attendre ici qu’il se débarrasse de nos ennemis, je ne vais pas tenter la vie de mes hommes je n’ai déjà même pas la moitié de valide.
Ato : Vous devriez plutôt tenter une sortie non ? Essayez de sauver ses hommes en profitant de l’attaque de nos alliés pour les sortir de là.
Okido : C’est de la folie, la moitié sait à peine marcher et dans quatre jours on sera sans provisions, je ne vois pas ce qu’on gagnera.
Ato : regarder l’ennemi, ils sont au moins 60. Si Konoha n’envoie pas assez de troupe, cela risque d’être dangereux pour nous tous. Car on pourrait rester coincé pendant longtemps. S’il n’attaque pas tous d’un coup, c’est qu’ils ont un plan, et se plan pourrait être justement d’attirer Konoha ici et faire encore plus de victime. Écouté moi, je sais que cela peut sembler fou, mais je pense que se sera noter meilleurs chance de sauver le maximum de soldat... Les soins que j’ai prodigué devrais mettre la majorité des blesses sur pied... Trois ou quatre maximums seront dans l’incapacité de marcher ou se déplacer seule. Donc tout ceux valide tenterons une percer pour rejoindre les forces alliés. Les ennemis ne s’attendront pas à ça et seront donc prix entre deux feux. On crée une brèche dans leurs troupe et on fait passer les blesses et nous avec. Si on frappe au bon moment, les chances de réussir sont assez bonnes.
Okido : Vous croyez vraiment ? Vous croyez que c’est possible ? Moi j’ai plutôt l’impression que c’est une idée de folle.
Ato : Vous trouvez que je suis folle... Mais dites-moi, vous préférez mourir comment, mourir de faim ou mourir au combat, comme un héros ?
Un long silence se fit sentir pendant un bon moment. Je savais que je l’avais touché. Beaucoup de ninja veulent devenir des héros et quand en plus on a des responsabilités... C’est encore plus important car il faut montrer l’exemple. L’exemple, mais aussi montrer que Konoha n’a peur de rien et peut faire face à n’importe quel situation, c’était le message que je voulais lui transmettre et que j’espérais soit passé... Quoi qu’il en soit, après le long silence, il accepta ma proposition d’un signe de la tête. L’étape final allait bientôt être mit en place, mais je devais faires plusieurs choses avant de commencer les préparatifs. Premièrement, je devais abréger la souffrance du pauvre ninja. Chose qui ne me prit qu’une minute, mais que malgré un visage assez impassible, j’étais au fond de moi en peine. C’est jamais évident de donné la mort à une personne pour qu’il ne souffre plus, mais c’est aussi le devoir d’un ninja médecin. Ensuite le plan allait être d’observer les ennemies et de mettre en place diverse trajets pour sortir de cet endroit lors de l’arrivée de Konoha. Une fois tous en tête, il ne me restait plus qu’à faire une chose expliquer mon plan à Okido avant de le mettre en place... J’avais passé tout une journée à réfléchir à cela, entre temps évidemment j’observais mes patients pour voir si certaines de mes opérations évoluait bien. Une fois rassurée et le plan en tête, il ne restait plus que trois jours avant l’arrivée de Konoha Et donc devant Okido et un plan que j’avais dessiné un peu maladroitement je l’avoue, je lui expliqua mon plan.
Trois jours plus tard, l’heure n’allait bientôt plus tarder, pour sauver les compagnons Konoha allait sans doute aller en force et vers 12h environs on eut rapidement la preuve. Plus de la moitié des ennemis partir en direction des ninjas des renforts. Le combat fessait rage et c’était le moment pour nous d’intervenir. Avec Okido et 4 autres hommes j’allais faire une sortie pour rejoindre les renforts. En avait fait en sorte que chaque ninja de front soit complémentaire avec les autres. Il y avait donc un spécialité de Doton et repousserait les ennemis, un spécialité du Katon qui enverrait les premiers assauts de front, Celui du Fuuton qui balayerait les gêneur qui viendrait de côté. Celui de Suiton qui protègerait les flancs et un Raiton qui foudroierait chaque ennemi qu’il verrait. Moi j’étais légèrement en retrait, de cette façon je pouvais surveiller l’avancer de l’équipe d’assaut et intervenir du côté des blessés en cas de besoin. Le plan était d’avancer sans s’arrêter, mais de façon prudente. Inutile de prendre trop de risque, mais il fallait toujours avancer.
Jusqu'à l’arriver le plan marcha à merveille. Je devais de temps en temps aider les avant ou les arrière, mais en rapidement, les renforts pouvait voir notre percés et nous aidèrent rapidement à sortir de là. Mais alors que nous étions tout sur le point d’arriver, un des ennemis tenta d’attaque un des blessés, je réussi à l’empêche de le toucher en me sacrifiant. Je fus gravement blesser, mais avec chance j’avais mon bouclier qui avait légèrement dévié l’attaque et évité qu’un de mes points vitaux ne soit toucher. Mais j’étais mal en point et c’est grâce à Okido qui envoya une partie de son équipe et lui-même m’aider à sortir du front que je réussi à m’en sortir. Je sais que comme ça cela semble rien, mais durant la percé nous avons dut affronter des ennemis redoutable, des adversaires au niveau Anbu sans nul doute et si on n’avait pas travaillé en équipe jamais nous nous en serions sortis. Au final nous n’avons perdu qu’un homme et c’est quand même beaucoup mieux que trente... Cette mission était finie, j’allais pouvoir me soigner et faire mon rapport. Mais cette mission fut sans nul doute la plus difficile que j’ai eu à mener, car cette fois j’ai dut affronter une véritable petit guerre.
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Sujet: Grande bataille 
Lun 30 Juil - 17:50