Bonsoir tous d'abord ceci est mon DC car Hashirama je l'ai quitté pour de bon je ne me connecterais plus jamais en tant que lui.
[HRP Donc voila la présentation de Khimair.Je post dans le BUT d'être le Kage de Kiri car l'actuel n'est pas actif voir inexistant .Si ce n'est vraiment pas possible je me contenterais d'être Genin.Cependant pensez-y bien.PS:Post avec mauvais compte au dessus.XP [/HRP]
Nom de votre personnage: Zampaku
Prénom de votre personnage: Khimair
Age: 24
Affinité:Suiton
Capacité Spé:(Edit apres y avoir pensé)
Nindô : Rester gravé à jamais dans les mémoires de tous.
Village souhaité:Kiri
Une bonne gueule. Un mec qu'on sent bien dès le premier regard, ou qu'on méprise mais qu'on ne parvient jamais à vraiment calculé, en partit à cause d'un sourire omniprésent et ses blagues ravageuses. Pour vos oreilles. Et puis bon, on en connaît certain souriant mais de mauvaise humeur, Khimair lui l'est toujours (de bonne humeur). Que voulez-vous faire à un gars comme ça ? Vous avez beau lui mettre des coups, il vous sourit à la gueule. Disons que le jeune nomade est un créateur de haine invétéré. Et rare sont les gens qui sont parvenu, qui parviennent et qui parviendront à découvrir ce qu'il est vraiment. Faisons même plus simple : à ce jour, personne n'a encore découvert ses véritables ambitions, malgré son nindo particulier, et personne ne sait de quoi il serait capable. N'en fait pas non plus une bête, même si il en a quelques airs !
Khimair est en effet assez distant concernant ses dispositions, qui s’obscurcissent de plus en plus avec le temps. Mais qui reste toujours tourné autour d'un seul et même objectif : que ce monde se souvienne de lui. Comme le nindo de ce village, il veut marquer ce monde de son empreinte, être reconnu en quelque sorte. Sombrer dans l'oubli est ce dont il a le plus peur, et est prêt à tout pour réaliser son nindo : même les pires actes de violences, ou de traîtrises. Il à déjà accompli énormément, mais sait qu'il pourrait le faire, en dernier recours évidemment. N'allait pas imaginer ou tirer la conclusion qu'il n'a aucun amour pour son village. C'est même la chose que l'ambitieux chérie le plus au monde. Et mourir pour KIRI en fait partit. C'est en effet très paradoxal : d'un côté il pourrait trahir KIRI si il se sentait trop utilisé comme un pion ; ou même si le village caché de la foudre l'empêchait d'exaucer son rêve, de l'autre, il se sent prêt à mourir pour ce village qui l'a accueillit, et qui en a fait aujourd'hui un Ninja au capacité extraordinaire. Mais son ascension lui prouve qu'à tout moment tout peut basculer, et qu'en crevant pour ce village, il serait au moins dans quelque mémoire, bien qu'il n'ait aucune famille.
La famille... c'est très important, non ? Oui, on préfère tous passer plus de temps avec ses amis plutôt qu'avec sa famille. C'est normal. Mais Khimair n'a pas connu ça, ses frères et soeurs étaient tout : Père et mère (pour les aînés de chaque sexe) ami (pour tous ses frères), confident (pour certaine de ses soeurs) et même ennemi (une rivalité puérile mais dans la bonne humeur). Ainsi, l'errant n'a pas la notion de famille et ami, ne sait pas distinguer les deux. Chaque nouvelle personne qui l'aide dans sa quête se trouve être un frère ou une soeur, pour le jeune homme. Il voit souvent en ses amis ses défunts frangin, et regrette ce temps. La vie est comme ça, elle te prend quand tu ne demandes rien, puis elle est prise par la mort sans ton accord à nouveau. C'est pour ça que Khimair souhaite absolument être reconnu dans ce monde corrompu : Il tient tous les espoirs de sa famille sur ses épaules et veut que son histoire serve d'exemple de réussite.
Mise à part ça, un dragueur auto-proclamé de génie, qui aime tout ce qui touche à la sensualité et le charme, l'élégance et les relations ambiguës, tout en aimant rester soft. Il aime draguer les demoiselles qu'il trouve belle, et fera tout pour parvenir à les séduire : mais il déteste aller plus loin. En fait, c'est plus ce sentiment bizarre dans cette relation dragueur-draguée. Bien qu'ayant souvent prit des " Stop " comme on dit de nos jours pour ses manières et pour son rang (bah oui, les petites femmes ont peur que leur maries meurt...), Hira de nom estime tout de même avoir un talent exceptionnel. C'est vrai, Khimair ne mange pas que des râteaux et a tout de même un tableau de chasse. Mais il arrive qu'il se concentre plus sur une demoiselle, car son caractère lui plaît. Vraiment compliqué celui-là.
Tout ceci concernait son aspect intérieur, passons maintenant à l'extérieur : l'un sans l'autre se fait difficilement. Un homme de bonne taille, un bon mètre quatre vingt-dix disons, un poids qui ne paraît pas excessif car Khimair est du genre sportif : non pas athlète mais depuis son enfance, il doit porter des choses lourdes et s'entraîner à supporter des heures de pousser. Ainsi, il s'est taillé au fil du temps un bien beau physique, avec une peau assez clair pour un homme qui vit depuis plus de 7 ans dans le pays de la foudre. Il a une cicatrice en forme de " x " sur la joue gauche, mais ne se souvient plus comment il se l'ai faite.. Que dire ? Des yeux magnifique. De couleur bleu, ils sont perçants mais pas agressif, et conviennent parfaitement au visage du dragueur. Un visage enfantin, une boucle d'oreille à gauche et une coupe de cheveux avec du gel. Portant continuellement son petit ninja-tô dans le dos, on peut qu'il n'est pas vraiment le genre d'homme qui viendrait faire chier. Pourtant, il reste très agile pour une taille aussi importante...
Histoire : Tu n'auras pas eu de chance. Une vie de merde doublée d'une gueule de con.
Un connard, en voyant Khimair[/i]
...
Il fait froid...
Pourquoi ai-je froid ?
Il fait sombre...
Pourquoi ne vois-je rien ?
Quelle est donc cette lumière qui semble m'appeler et me repousser à la fois ? A chaque fois que je semble pouvoir enfin la toucher, elle réapparaît un peu plus loin. Ce " flash " me procure une sensation plaisante, et je voudrais enfin pouvoir fusionner mon corps avec. Seulement, lorsque je parviens enfin à la toucher, tout était finit. Comme une porte qui s'entrebâillerait sur la mort, j'étais curieux à savoir ce qui se cachait dans cette lumière. Sauf que d'un coup, je fus réveillé par un jet d'eau sur mon visage. Tout ceci n'était qu'un rêve...
Je vois mes sœurs, toujours aussi somptueuses, et mes frères, toujours aussi joueurs. Ils ont formés une sorte de coalition pour me réveiller ce matin, de la manière qui énerve le plus. C'est vrai, beaucoup aurait poussé un coup de gueule. Mais moi non. J'étais tout simplement heureux de vivre avec eux, dans cette habituelle bonne humeur. Seuls les deux plus grands n'avaient pas fait la blague, s'occupant de faire les tâches ménagères ou la cuisine. J'ai perdu mes parents jeune, à l'âge de 4 ou 5 ans. J'ai toujours vécu avec cette impression qu'ils n'étaient pas morts mais plutôt quelque part, dans le monde. Une utopie d'enfant.
Nous formions une grande famille composée de 5 sœurs et 7 garçons, moi compris. J'étais, vous vous en doutez, le plus jeune. Nous n'avions pas de village, aucun logement fixe. Constamment en déplacement avec nos 3 roulottes d'infortune. De pays en pays, nous vagabondions, à la recherche d'un abri l'histoire d'une ou deux semaines. Notre vie n'était pas facile, mais je l'aimais, et eux aussi. Comment dire... ça avait quelque chose de spéciale. Des liens spéciaux s'étaient créés, car on ne pouvait se permettre les tensions inutiles. Bref, une vie pas commune mais dont on s'accommodait bien, et que l'on ne quitterait pour rien au monde. Chacun ses choix de vie.
J'avais aujourd'hui quatorze ans. Beaucoup d'enfant de mon âge passait des examens ninja à cet âge, et je ne dérogeais pas à la règle. Seulement, l'examen que j'accomplissais était un peu spécial. Ce n'était pas pour un village, ce n'était pas avec des Jonins reconnu ou quoi que ce soit. Comme à la base, les ninjas étaient de pauvres paysans qui utilisaient ce qu'ils avaient pour se défendre des samouraïs. C'est pour ça que comme à chaque fois que l'un d'entre nous avait 14 ans, nous nous rendions dans le cœur du pays de la brume. Des vieux sages avaient enseignés les bases à mes frères, ne préférant pas étaler leur savoir pour éviter des représailles du village de Kiri. Ainsi, je savais simplement maîtrisé le Kunai, le shuriken, les bases quoi. Malgré tout, j'avais reçu un autre enseignement, interdit normalement. L'art du ninja-tô. Ces petits katana de 90 cm en moyenne. Le vieux m'avait appris qu'il valait mieux avoir une petite lame rapide à dégainer plutôt qu'une longue et lente. La plus grande force du ninja réside dans sa vitesse, m'avait-il dit. Et pour un homme de son âge, j'étais surpris par sa dextérité. A chaque test, il avait réussit à me prendre de vitesse. Impressionnant.
A la fin de cet enseignement, je savais dégainer un ninja-tô, créer des " œufs noirs " et plein de principes de base. C'était bien. Seulement, à mon retour, tout avait changé. Du feu ? Non. Des meurtres ? Non. Une maladie. Seul un de mes frères en avait réchappé, à l'instar de deux de mes sœurs. Tout était donc terminé. Ces années de bonheur intense venaient d'être gâché. J'étais parti un petit mois et à mon retour, tout avait changé. Et maintenant, notre destination était simple : Le village caché du pays de la brume : Kiri. Sauf que comme son nom l'indique, il est caché ce village. A nous quatre, nous avions de quoi survivre deux semaines, tout au plus. Le chrono était enclenché, nous étions maintenant sur un point de non-retour. Et même si nous parvenions à entrer dans ce village, je ne savais pas si nous avions la moindre chance d'être accepté par les habitants. La vie était passé de magnifique à une vie calamiteuse. Je ne savais même pas si je voulais continuer. Il le fallait pourtant. Nous nous mettions en route, dans un silence totale.
* 10 jours plus tard *
Déjà 10 jours... et surtout 9 nuits désastreuses. Chaque nuit, ce même cauchemar me hantait. Notre famille réunit, autour d'un repas pour une fête traditionnelle.Le rêve de chacun : partir de rien pour arriver tout.Je n'ai jamais aimé la banalité. Je ne veux pas être Monsieur Tout le monde. Non. Si je suis intégré à un quelconque village, je veux devenir une personnalité à part entière. Me créer une place de choix. C'est pour ça que chaque jour, je perfectionnais les acquis que j'avais, répétant les mêmes mouvements pour avoir un timing parfait, et une maîtrise l'étant aussi. Nos commencions à manquer de vivre.
Cette nuit-là serait... spéciale. Je ne le savais pas encore, je pensais que ça allait être une nuit à l'auberge, comme ce qu'il y a de plus normal. Seulement ce soir, tout allait changer. Je serais le seul. A la manière d'un élu; mais il faut le vivre pour voir à quel point c'est difficile à tenir, comme rôle. Tout repose sur vos épaules, et tout le monde vous attend au tournant. Cette situation m'insupporte, mais rien que pour eux, je suis obligé de la vivre. Je m'égare, alors je vais en venir au pourquoi, plutôt que de me perdre dans la description du seul mal aise qui existe en moi. Alors...
Arrivé à l'auberge, tout paraissait normal. Rien qui paraisse irréel. Comme à mon habitude, je me couchais en dernier. J'avais ce surnom " Enfant de la Nuit ", car je dormais très peu la nuit, compensant la journée, si je le pouvais. Bref, tout le monde dormait, et je me sentais compressé dans une petite pièce avec mes frères et mes sœurs. Sortant dehors, je pouvais clairement observer les différences de températures entre le jour et la nuit, dans le pays de la brume. Trouvé le village... c'était l'objectif principal de notre quête. Seulement, il me semblait impossible de l'atteindre. Je prenais un peu l'air, l'esprit léger. Souriant, je n'avais plus peur de l'avenir l'espace de quelques minutes. Je n'avais plus aucun souci, tout semblait si beau. Je m'éloignais quelque peu de l'auberge, et me posais sur une dune,regardant le ciel et son infinité d'étoile. Jusqu'au moment où je me sentais un peu fatigué. Ne voulant pas être trop gourmand, je retournais à l'auberge. Resté plus n'était pas intéressant, à cause de ce sentiment qu'il faut que je fasse quelque chose. L'aube allait se lever. Arriver à l'auberge, tout changea... Du sourire, je passais aux larmes.
Je voyais un de mes frères, marchant tant bien que mal vers moi. Courant automatiquement à sa rencontre, je ne voulais pas croire à ce que je voyais. Recouvert de sang, il avait de multiple blessure, et semblait être sur le poids d'y laisser la vie. S'écroulant dans les bras, cette pensée dégueulasse et censé à la fois fit apparition dans mon cerveau. Vous savez, ces histoires où la famille se fait déchirer et que vous essayez de vous venger toute votre vie... les clichés, les impressions de déjà vu refaisait apparition. Mais, ils furent chassés en même temps que mon aîné parvint à prendre la parole, visiblement à bout de force. Il avait dut faire une bonne cinquantaine de mètre. Tous mes rêves, ceux qui avaient naquît de pouvoir recréer quelque chose avec mes frères et mes sœurs restants venaient de s'éteindre, en même temps que ses paroles me frappais de plein fouet...
" Je ne suis pas du genre à faire ces discours de fin de vie remplie de clicher. Pourtant, il faut le vivre pour comprendre à quel point c'est réel finalement. Tu es un peu la dernière chose de notre famille, Khimair. Tu n'as jamais eu de nom, en voici un. Tu seras notre chimère... chacun des rêves de nos sœurs et de nos frères reposent en toi, maintenant. Il faut que tu trouves Kiri, que tu t'y intègres et que tu fondes à nouveau une famille... pour nous. Papa et maman sont partit tôt, et maintenant ce qu'il te reste de la famille vient de s'envoler. Nous serons toujours dans ta tête. Souviens-toi de ces années de bonheur... N'ai pas la haine. Sois un homme normal. Même avec ces horreurs dans la tête... à un de ces jours. You're Pretty Good !"
" ... Adieu... mon frère. "
Il venait de me livrer ses adieux. En même temps que ce dicton, propre à notre famille, il avait rendu son dernier souffle. Je voyais son sang tâché mes mains, et je me mettais maintenant à leur créer des tombe digne de ce nom. Enveloppant leurs corps dans des draps, je les enterrais. Puis je leurs tournais le dos, larme aux yeux. En pleine figure. La phrase qu'un jour mon frère m'avait énoncé : " Les enfants pleurent. Les adultes prennent sur eux et restent droit. " Je n'étais toujours qu'un enfant, et faire le deuil serait une chose très difficile pour moi. Je voulais devenir un homme, un vrai. Je prenais maintenant sur moi pour m'efforcer de ne jamais tomber, et de ne jamais perdre le sourire. Je m'adaptais très rapidement à cette situation, rigolant nerveusement sans raison apparente. Je savais cacher ces maux au fond de moi. Ces mêmes maux qui ne ressortirait dans aucun dossier. A partir de là, je me rendais compte que nous n'étions que des grains de sable dans un univers infini. A partir de là, je découvrais mon objectif : Marquer le monde de mon empreinte. Qu'on se souvienne de moi. Avoir une position, même si c'était pour passer de simple grain de sable à un banal caillou. Je veux exister, et prouver que j'existe.
* 4 jours plus tard *
Ce jour-là paraissait aussi chiant que les autres, à première vue. A peine réveillé, je ne pouvais continuer mon voyage à cause d'une tempête. Pour se faire pardonner, le patron m'avait offert 3 repas, ce qui était un luxe pour moi qui n'en mangeais qu'un par jour. Et ce serait pendant le repas du soir que tout se chamboulerait pour moi. Alors que je mangeais seul, le patron se ramena. Pour la première fois, j'aurais une discussion seul à seul avec lui. Comme la plupart de ses compères, il était imposant. Mais ne paraissait en aucun cas méchant. Je le trouvais même attachant. Et la conversation à venir allait me donner un sentiment bizarre envers lui... comme si tout ce que je possédais, et bien je lui devais. Par la suite bien sûr. Explication.
" Hum... bonjour monsieur. Merci pour ces repas ! "
" Ne t'inquiète pas, après tout à cause de cette tempête, on te doit bien ça ! "
" C'est très gentil de votre part. Et je dois avouer que j'ai rarement goûté d'aussi bon plat. "
" Tu te doutes bien que c'est ma femme qui a cuisiné. Enfin bon... que fais-tu par ici ? C'est rare de voir des voyageurs de ton âge seul ! "
" Et bien, je pense que c'est incroyable, mais je recherche le village de Kiri. J'ai perdu ma famille, et aujourd'hui, je dois intégrer ce village au plus vite si je veux survivre. Aujourd'hui, ça fait deux semaines que je le cherche. "
" Ah mon petit gars... t'as bien de la chance. Je t'aime bien. Alors, je vais te donner cette carte pour aller à Kiri... "
C'est tout excité que je le regardais, les yeux remplies d'une affection et d'un remerciement sans borne. Il me tourna le dos quelque seconde, chercha dans une commode puis en ressortit un parchemin. Dessus se trouvaient les indications pour trouver le village caché. Et il mit son doigt là où je me trouvais. Le village était ... juste à côté. Une vingtaine de kilomètres, tout au plus. Je n'avais plus aucun problème. Trouver le village serait une chose facile, mais l'intégrer... je me devais de lui poser la question. A quoi bon faire ce chemin restant si je ne serais accepté ? C'est paradoxal, car même si il me dit qu'il ne sait pas j'irais. Et si on me refuse, je parviendrais à me faire accepter !
" Et c'est un village plutôt... accueillant avec les inconnus ? "
" Oui. C'est un village tu sais. Je pense que tu y seras très bien accueillit. "
" Je vous remercie du fond du cœur, tout s'éclaircit enfin pour moi ! "
" Content d'avoir put t'aider jeune homme. "
M'inclinant plusieurs fois à la suite de ce geste, je partais de suite dans ma modeste chambre et préparait la fin de mon voyage. Tout prenait fin, et j'avais un bonheur immense. Mon seul regret était que je ne pouvais faire part à personne de cette joie, je ne pouvais la communiquer qu'à moi même et au patron, comme je me plaisais à le dénommer. Rangeant mon ninja-tô dans mon dos et mes quelques autres armes dans mes sacoches, je me préparais à partir lorsqu'il m'arrêta, prétextant que la tempête était trop intense. Ainsi, il me proposa un petit entraînement, rien que nous deux. Je sortais tout de suite l'arsenal qui m'était permis, laissant donc le ninja-tô bien camouflé. Lui par contre, avec un kusagirama, n'allait pas se gêner pour utiliser tout ce qu'il connaissait. Dégainant un Kunaï, je lui fonçai dessus. Tandis que je lui lançais un shuriken, je tentais une approche sur son flanc gauche. Malheureusement, le boulet vint éclater mon arme à distance qui s'écrasa non loin de ma tête. Quant à mon attaque frontale, elle fut repoussé grâce à de puissant coup. Je ne pouvais approcher sous peine de me faire éclater.
" Ceci sera un combat à mort, mon enfant. J'ai reçu un ordre d'exécution pour ta gueule. Tu n'auras pas eu de chance. Une vie de merde doublée d'une gueule de con. "
Sa chaîne s'enroula autour de mes jambes et me ramena vers lui, tandis qu'il sortait un petit couteau pour me le planter. Mon dernier espoir résidait dans mon arme cachée. Plus le choix. Alors que je me rapprochais de plus en plus de lui, je mettais ma main dans mon dos. Il ne se rendit compte trop tard de ce que j'allais faire. J'étais maintenant trop près, et je dégainai d'un coup, blessant son corps à la diagonale. Le sang s'échappa de la profonde entaille crée, puis il s'écroula sur le sol, quelques secondes après. La chaîne était toujours accrochée à mes jambes, mais je parvenais à m'en sortir maintenant que plus personne ne pouvait la tenir. Pourquoi avait-il tenté de me tuer ? Qui lui avait donné cet ordre ? Et... le pire... j'avais tué un homme. Sur le coup, je n'avais rien ressentis de spécial. Mais... je l'avais tué. Lui avait ôté la vie. Son avenir, ses rêves, ses ambitions... j'avais détruis sa vie !
Pourtant, mon sang-froid allait être au dessus de tout ce que j'aurais pu penser. Au lieu de rester figé, j'allais enroulé le corps dans un draps, souvenir ?, et je le jetais dehors ; à environ 2 kilomètres de l'auberge. Ce soir-là, la femme vint me demander où se trouvait son mari. Je répondis simplement qu'il était partit discuter de mon intégration au village. Elle était un obstacle pour que je puisse accomplir mes objectifs, car elle pourrait informer le village que son mari n'était jamais revenu... cette nuit-là, j'allais devoir la tuer. C'était bête mais je ne voulais pas que l'on puisse me barrer la route. Régler les problèmes maintenant était plus utile. Dommage pour elle, mais elle aurait mieux fait de ne pas être la femme de cet homme. Je devais me mettre vite en action, tout se réglerait en une fraction de seconde. Je ne devais pas penser à tout ce que sa mort pouvait apporter : c'était une obligation. Personne n'avait le droit de compromettre mes rêves, alors ce n'est pas elle, vulgaire cuisinière de bas étage, qui arrêterait Khimair.
En plein milieu de la nuit, je me levais et m'emparais d'un kunai. A la suite de cet homicide, prémédité celui-ci alors que le premier c'était plus de la « Légitime Défense », j'allais aussi devoir brûler la maison, pour donner un effet de style... et pour ne laisser aucune preuve, aussi. Mais l'effet de style passe avant ! Ce que je ne savais pas encore, c'est que ma route allait être barré. Alors que je faisais en sorte de ne pas faire chanter le parquet, la porte d'en bas s'ouvrit d'un coup. Sentant le danger approcher, je revenais dans mon lit en fusée et vit la femme descendre. J'entendis à demi-mot la conversation, et elle semblait liée au décès du mari. D'un coup, une pensée me vint à la tête : et si il fouillait ma chambre ? Bizarrement, je n'avais jamais connu cette situation mais je savais exactement comment réagir ! Prenant mon ninja-tô, je le jetais par ma fenêtre, puis j'appuyais plusieurs fois fortement sur mes yeux, pour donner l'impression que je venais d'être réveillé dans mon sommeil. Après un interrogatoire et une fouille, ils ne trouvèrent rien mais me demandèrent de les accompagner au village. Je récupérais discrètement mon ninja-tô pendant une pause, puis les accompagnait à Kiri... je ne fus pas fouillé car les gardes dirent que je l'avais déjà été. Quel coup de chance. Après deux semaines à errer, le conseil m'attribua une famille d'accueil. Début d'une longue ascension au pouvoir...
A l'aube de ma quinzième année, j'avais été recueillit par une famille de Kiri qui m'avait rebaptisé « Zampaku Khimaira » pour ma ressemblance à un Loup. J'étais passé Genin très rapidement, et j'accomplissais maintenant des missions que je jugeais dégradante pour un ninja avec tant d'ambition comme moi. Secourir des chats, faire traverser des mamies, sauver des clébards, récupérer les besoins de certains animaux... j'en avais juste rien à foutre de ces missions de merde, pour ainsi dire. Seul petite satisfaction pour moi : J'avais une équipe composé uniquement de belles femmes. Une jonin sexy pour mentor, et deux coéquipières pas trop moche. Je n'avais pas à me plaindre à ce niveau-là, et au fil du temps c'était noué une amitié paradoxal : d'un côté je draguais sans relâche, de l'autre je n'avais plus aucune envie de sortir avec l'une d'entre elle. Assez bizarre, mais je n'avais absolument pas envie d'en séduire une. Enfin bref, pour me rassurer, je me disais simplement que chacun des grands ninjas qui ont marqué l'histoire ont dut passer par ces moments ingrats.C'est donc en puisant dans mes rêves que je continuais, ne rechignant jamais à un ordre. Il fallait se fondre dans la masse, puis se démarquer le jour de l'examen des chuunins. C'est dans cet optique que je m'entraînais sans relâche pendant mes permissions, à l'art de certaines armes que je ne savais pas maîtriser.
Quant au ninja-tô, j'avais un niveau de maîtrise relativement élevé depuis que ma « patronne » comme je me plaisais à l'appeler, ma mentor si vous préférez, acceptait de me donner des cours de maniements, empiétant sur son temps libre. Dans ma quête de pouvoir, j'avais ce sentiment d'être capable de détruire n'importe quel obstacle, ami ou pas. Malgré ce poison que m'avais légué mon frère en me demandant de porter leur ambition, ce fardeau qui me détruisait la vie, j'avais toujours un sentiment plus puissant pour Kiri, le village caché de la brume. Peu à peu, ce fardeau que j'avais toujours chéri, me remplissait de haine envers ce « reçu ». J'en avais un peu marre de devoir vivre pour eux plutôt que pour moi, malgré la fraternité et tout l'amour que je leur portais. Je plaquerais tout ça, bientôt, car déjà se présentais l'exament Chuunin...
…
Examen que je passais haut la main. La première épreuve n'avait été qu'une formalité. Quant à la seconde, j'avais réalisé des combats très difficiles pour finalement avoir l'examen. Les demi-finales avaient été abandonnées à cause du malaise de l'un des Kage. Parfois, j'avais éprouvé bien des difficultés à me défaire de mes concurrents : heureusement, je retrouvais cette malice que je ne contrôlais pas. Heureux d'avoir réussis, j'étais déjà projeté dans le futur, et l'examen des Jonins. Je ne pensais qu'à ça, et bientôt, je le réussirais, j'en étais sûr. Bon, après remise en question, je trouvais aller un peu vite en besogne, et que la route allait encore être longue pour devenir l'un des ninjas les plus forts du village. Si ce n'est le plus fort.
En y repensant, le nindo... vous savez, ce chemin que le ninja veut suivre. Et bien le hasard veut que le nindo du village, « Nous marquerons le monde de notre empreinte, balayant nos ennemis tel le vent balayant le sable que nous foulons humblement », soit en parfait accord avec ce que je veux accomplir. Marquer ce putain de monde de mon empreinte, ne pas être qu'un pion que l'on dirige sur l'échiquier du monde Ninja. Bien sûr, et avec tout l'amour que je portais à mon village, j'en serais un à un moment ou un autre. Seulement, mes ambitions avaient maintenant pris une toute autre tournure : si je me sentais utilisé... ok... mais au bout d'un certain point, ce sera une trahison pour moi. Et ce jour-là, je ne donne pas cher de ma place. Je partirais, très certainement. Devenir Nukenin ne me dérange pas : j'ai passé la plupart de ma vie en nomade. Pensé à ça était une mauvaise chose en soi, et ça ne me plaisais pas. Mieux vaut prévenir que guérir, et désormais j'étais du genre préventif (qui fait penser à un tout autre mot, mais passons). En attendant, je vais faire un peu d'ombre sur ce qui se passa ensuite... pour en venir à l'essentiel.
Ma vingt-quatrième année ! Oui ! Cette foutue année où j'allais enfin pouvoir passer Jônin ! Ma mentor avait réussit à m'introduire pour l'examen, et je me sentais maintenant prêt ! Je ne vous décrierai pas la chiantise de cet examen, mais plutôt ma rencontre avec le Kage. Un homme... … ou plutôt un jeune homme ! Il devait être plus jeune que moi, ou à peine plus âgé ! Malgré tout, il avait déjà ce charisme des grands dirigeants, ainsi qu'un sourire omniprésent. Plutôt « baraqué », comme nous autres jeune homme aimions appelé les gens musclés, il avait la même corpulence que moi mais avait ce petit chapeau merdique qui signifiait une chose simple : « Ici, c'est moi qui dirige. » Pourtant, de lui émanait une énergie positive, comme si la sécurité était constamment assurée. Comme si n'importe lequel des Nukennin aurait craint de tenter une attaque. Tour à tour, il félicita les promus, et lorsque fut arrivé mon tour, j'eus le droit à une autre forme de compliment : j'étais le plus jeune de la promotion.
Pourtant... alors que tous les autres étaient heureux et avaient l'impression d'avoir accomplis ce qu'ils pouvaient faire de mieux, je sentais que le Mizukage avait à me parler de quelque chose. Tout de suite, de folles idées traversèrent ma tête : unité spéciale, bras droit... ou même…ou même Kage ! bref, tous ces titres spéciaux. L'entretient allait débuté... et c'est maintenant que mon histoire se termine.
Parlez nous de vous:
Votre prénom:Euhh c’est quoi la question déjà ? xD
Votre âge:17
Vos loisirs:
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