Une bonne nuit de sommeil, une grasse matinée.. Quoi de plus magnifique pour commencer une journée. C’est sur cette pensée que Mukuro sortit de son lit les yeux encore mi-clos. Comme à son habitude il se dirigea vers sa fenêtre, sortit une cigarette de son paquet pour l’allumer et commença à se réveiller tout en observant la vie du village. Bon ok il regardait en fait les jolies filles passé, m’enfin tout le monde à ses petits défauts. Mais contrairement aux autres matins il remarqua une affiche placardé sur la maison d’en face. Il la lu par curiosité et la première réaction qu’il eut fut la suivante :
*Imbécile*
Il continua sa petite vie matinale si l’on peut dire. Douche, repas, entrainement basique. Une fois qu’il eut fini ses activités et qu’il n’avait plus rien à faire Mukuro songea de nouveau à cet évènement, la rencontre entre samourai. Même s’il n’est pas très sociable il décida d’y aller, pour passer le temps. C’est ainsi que notre jeune homme s’habilla et claqua la porte derrière lui tout en se mettant en route pour la forêt.
Le ciel était dégagé et l’ont pouvaient admirer le soleil commençait à disparaitre à l’horizon. Le yukan plaça son casque sur ses oreilles, alluma sa musique et se grilla une clope tout en quittant le village. Il ne fit pas attention aux gardes, de toute façon ils avaient l’habitude il ne précisait jamais quand il partait ni quand il revenait d’ailleurs. L’homme aux cheveux bleu commença à disparaitre dans la brume de Kiri, et personne ne savait quand il allait réapparaitre. Peut-être jamais qui sait..
Une journée, c’est le temps qu’il fallut à Mukuro pour se rendre au lieu indiqué. Une fois sur place il vit un homme au loin ou plutôt une silhouette. Il s’en approcha puis se stoppa quand il aperçut le fourreau de son arme. Ainsi comme un signe de paix il glissa ses doigts au niveau de la nuque et dans un léger nuage de fumée blanc, la belle, la resplendissante Mugen apparu dans son dos. Il l’empoigna comme à son habitude de la main droite et la retira d’un geste habile et assuré de sa prison métallique. C’était comme une bouffée d’air fraîche pour le Yukan, ainsi que pour l’entité empoigner, une partie de son âme..
Il resta droit en face de l’individu sans dire un mot, son arme pointée vers le bas..