Le Serpent et le Papillon (PV Zarbis et Oro)

Quelques jours plus tôt, quelque chose que je croyais perdu a jamais avait fait son grand retour dans ma vie. Porté par une brise, un message s’était faufilé par ma fenêtre ouverte. Le signe d’une vie meilleure qui commençait, d’une longue attente qui touchait à sa fin. Ma vie ne serait plus jamais la même et, déjà, les résultats de ce retour inespérés se faisaient sentir. Mon maquillage était différent. J’avais tout de même le fond de teint pour dissimuler mes marques de brûlures, mais ce matin je n’avais pas appliqué l’épais maquillage bleu autour de mes yeux. De plus, mes longs cheveux noirs comme l’encre étaient libres dans mon dos, dansant dans la brise du matin. Toutefois, j’étais toujours habillée en noir, n’ayant pas eu le temps de toucher à ma garde-robe. Je laissai mon aimé dormir et me faufilai hors de mon appartement sans bruit, de bonne heure. Je voulais lui préparer le meilleur déjeuner qu’il lui eut été donné de manger ces trois dernières années. Je devais donc faire des courses pour m’assurer d’avoir les produits les plus frais possibles.

Dans la rue, je gambadais presque. Un immense sourire avait pris la place de mon air d’enterrement habituel. Si bien que, partout sur mon passage, les gens se retournaient pour me regarder passer. Ils murmuraient à une vitesse effarante, multipliant les hypothèses. Dans tous les cas, ils étaient stupéfaits. Après trois années de regards hautains et de sourires exaspérés, le changement devait en effet être radical. Je m’approchai des étals de fruits frais. J’hésitais sur ce que je pourrais bien mettre au menu. Cela faisait si longtemps que je ne déjeunais plus le matin. En fait, que je ne mangeais presque plus tout court. Perdue dans mes pensées, je ne remarquai rien d’inhabituel autour de moi. J’étais sur mon petit nuage et je me fichais bien du regard des autres. Je n’avais qu’une seule envie, finir mes courses au plus tôt pour rentrer chez moi et retrouver mon aimé. Je fis donc volte face et m’apprêtai à partir vers une autre boutique lorsque je rencontrai violemment un individu qui se tenait derrière moi. Je reculai vivement, le repoussant de mes bras de femme. Puis, les habitudes meurent difficilement, m’adressai à lui d’un ton agressif et meurtrier.

« Poussez-vous de mon chemin. »

Mon regard d’azur se fit assassin, sans pitié. Cet individu me dérangeait au plus haut point et je n’avais pas l’intention de trainer avec lui longtemps.

Invité

Orochimaru s'amusait tranquillement à traquer ses proies à travers l'échiquier humain qu'était Konoha. Une fourmilière remplis de guerriers autant sanguinaire les un que les autres, que de médecins hors pair. Des monstres qui tueraient leur propre mère pour un biscuit et un verre de lait, que d'hommes qui donneraient leur vies pour sauver celle d'un inconnu. Dans les grandes lignes, un village de bâtard. Des imbéciles qui tueraient sans hésité pour leur propre bien, ou qui donneraient leur vie. C'est stupide, insensé. On ne tues pas pour le simple plaisir, on tues avec une raison, même si c'est une raison qui semble stupide, il en faut une. Orochimaru tuait pour la science, pour ses buts de grandeurs, pour ses buts si puissant, c'était la, les choses qu'il préférait par dessus tout. Mais dans un village, sur un échiquier, alors qu'Orochimaru occupe la place de Roi, il y a quand même des fou. À ses côtés, Zarbis se tenait debout. Assis en haut d'un des bâtiments du village, ils semblaient presque invisible aux yeux des gens qui ne levaient pas les yeux. C'est ça qui rendait les choses beaucoup, beaucoup plus intéressante. Enfin commençait le jeu. Il paraissait à travers le village, qu'une jeune femme possède une arme grandiose, une sorte de faux dans un sens, mais pas celle pour couper les récoltes, oh non, le genre pour tuer des gens. C'est simple tuer quelqu'un, mais possédé une arme spéciale, c'est beaucoup plus dure. D'où venait-elle? Quelles étaient les capacités?

Avec le peu d'information qu'il avait trouvé, il se mit à fouillé les recoins de la ville, pour finalement tomber sur la personne qui lui ressemblait le plus. Elle ne semblait pas l'avoir sur elle, c'était bien normal. Personne ne veut attiré l'attention, mais malheureusement pour elle, les murs ont des oreilles, et parfois même des yeux. Elle avait été repéré en l'utilisant, et ça lui avait coûter bien plus qu'elle ne l'aurait imaginer. Orochimaru se lécha les lèvres et fit signe à Zarbis de rester sur place, il l’emmènerait, et s'arrangerait pour qu'elle ne puisse pas s'enfuir.

Orochimaru : « Je prendrai son corps et l'apporterai ici, elle ne pourra pas se débattre. Lorsqu'elle seras ici, si elle bouge, utilise ton ombre et prends possession de ses mouvements, pour qu'elle ne puisse pas s'enfuir, Ça te va? »

Orochimaru n'attendit pas le signe de son coéquipier pour partir, Si celui-ci était contre, le serpent s'arrangerait pour qu'il suive ses instructions, même si Zarbis le genre à faire le contraire de ce qu'on lui disait, il comprendrait qu'il fallait suivre les instructions cette fois-ci. Orochimaru se mit à avancer normalement à travers la ville, comme l'ANBU du village qu'il était. Lorsque la Kunoichi passa près de lui, il l'accrocha de son épaule, pour attiré son attention. Sans succès. Elle finit tout de même par se tourner, sans savoir pourquoi, pour fixer Orochimaru, l'analysant. Le jeu commençait.

Megumi : « Poussez-vous de mon chemin. »

Orochimaru : « C'est impoli de donner des ordres aux inconnus. »

D'un regard, il immobilisa son adversaire. Elle avait fait l'erreur de le regarder, et il avait chercher l'occasion regarder ses yeux pour l'envoyer dans un Genjutsu. Orochimaru se lécha les lèvres et attrapa le corps immobiliser de la femme qui commençait à tomber, se crispant, la peur devait déjà commencer à l'envahir. Orochimaru, d'une vitesse ahurissante se propulsa dans les airs, le corps dans les bras, sautant de bâtiments en bâtiments, pour retrouver Zarbis. Il déposa la jeune dame, assise, dos au mur, et regarda Zarbis.

Orochimaru : « La voilà. Nous lui poserons des questions lorsqu'elle se réveillera de mon Genjutsu. Ce seras amusant, n'oubli pas ta partie. »

Orochimaru tira sur ses manches un peu. Il les avait laver depuis la dernière rencontre avec son acolyte. Celui-ci avait oser écrire sur ses bras, et ça avait un peu énervé le serpent. Au moins, maintenant, il était propre, et avait réussit, du moins pour l'instant à ce qu'il croyait, à mettre Zarbis de son côté. Un allié hors pair, avec qui il pourrait faire de grand changement dans le monde. Commençant par cette jeune dame, sur le mur. Il fallait bien commencer à quelque part... Qui sait, peut-être ferait-il de cette femme sa nouvelle allié, ou une ennemi. Peut-être la tuerait-il, ou s'amuserait-il avec son corps. Du moment qu'il apprenait un minimum, le reste ne l'importait pas. Les informations sont bien plus forte que les techniques si on sait s'en servir.

55 + 50 + 10 = 115 lignes dispo.

Technique utilisé :

Spoiler:

Technique apprise :

Spoiler:

115 - 80 = 35 lignes dispo

Invité

Zarbis avait re-rencontrer le serpent dans le village. Il l'avait mit aux nouvelles mais sans plus. Un véritable ninja ne dit jamais tout et c'était bien comme ça. Zarbis mit son capuchon sur sa tête et attendit Orochimaru a l'endroit qui avait été donner. L'un des problèmes de Zarbis était ça ponctualité. Il arrive toujours trop en avance ou trop tard. Dans ce cas ci, il ne pouvait se permettre d'arriver en retard. Il était donc sur le toit depuis trop longtemps, coucher un bouquin a la main. Il arracha quelques pages de celui ci et les déchira en petit, très petit morceaux. Il en laissa aussi dans ses poches. Le vent allait bientôt les emporter. Au même moment que les morceaux s'envola, le serpent arriva.

Orochimaru : « Je prendrai son corps et l'apporterai ici, elle ne pourra pas se débattre. Lorsqu'elle seras ici, si elle bouge, utilise ton ombre et prends possession de ses mouvements, pour qu'elle ne puisse pas s'enfuir, Ça te va? »

Puis il laissa le Nara a l'arrière. Zarbis eu un petit sourire. Que faisait il ici avec le serpent ? Ce n'était pas de son genre mais bon il était encore une fois trop tard pour revenir dans le passé. Il avait besoin d'Orochimaru et c'était probablement, il espérait, réciproque. Zarbis ne voulait quand même pas laisser de traces. Il éviterait de parler pour rien et s'inventerais probablement des caractéristiques. On est jamais trop prudent. Zarbis pris son crayon et se créa un éventail bien visible. Il coupa le cercle du haut avec un demi rond puis pris un marqueur rouge et déssina le haut de l'éventail. C'était une réplique du clan Uchiha. Il rangea ces crayons et les invitées arriva.

Orochimaru : « La voilà. Nous lui poserons des questions lorsqu'elle se réveillera de mon Genjutsu. Ce seras amusant, n'oubli pas ta partie. »

Zarbis se plaça dans l'angle mort de la fille. Il avait beau avoir un costume improviser, il ne voulait risquer de se faire prendre. Son ombre alla rejoindre celui de la fille. Il pensait déjà aux nombreuses tentatives que la fille pourrait essayer. Il était probablement prêt a tout. Il s'installa confortablement et attendit que l'histoire s'écrive.

¨Je ne suis que figurant présentement... en espérant que ça reste comme ça ! ¨ Pensa Zarbis.

Rouge =
Spoiler:

Lorsque je me retournai, ce fut pour tomber nez à nez avec des yeux jaunes. Je sursautai, et pas qu’un peu. En fait, je sursautai tellement que je ne l’entendis même pas me parler et que, d’un seul coup, je sentis tout mon corps se raidir. Il devint lourd et je n’arrivais plus à bouger. Mes yeux d’azurs s’agrandirent sous l’effet de la surprise alors que l’inconnu me saisit avant de gagner les toits. Le tout avait pris moins de trente secondes. Étrangement, je n’étais pas apeurée. La réputation de cet homme le précéda et j’avais tout de suite su qu’il s’agissait d’un ninja de Konoha. J’interprétai cela comme une bonne nouvelle et un sentiment de colère se forma en moi. Je devais rentrer et préparer le déjeuner pour Gai-kun, pas me faire kidnapper comme un vulgaire sac de riz en pleine rue. Nous arrivâmes, il semblait, à notre destination, car il me déposa, m’appuyant contre un mur. Mon regard azuré lançait déjà des éclairs alors que je découvrais son acolyte qui cachait son visage sous une capuche. J’aurais pu me demander qui il était si son ombre ne s’était pas approchée de la mienne de cette façon. Un Nara. Puis, graduellement, je sentis mes membres s’engourdirent et je pu de nouveau bouger. Peu au début. On aurait dit que j’avais passé une semaine entière à courir ou à faire une autre activité physique intense. Lentement, je me relevai, gardant le dos appuyé au mur. Pas besoin qu’on me le dise pour savoir que, si je faisais le moindre mouvement suspect, l’ombre du Nara m’immobiliserait. Je levai lentement les mains pour qu’ils puissent les voir et comprendre que je ne tenterais rien.

« Est-ce une façon de traiter vos collègues de Konoha, Orochimaru? J’espère que vous avez une bonne explication pour ceci. »

Mon regard d’azur était provocateur, comme à l’habitude dans ce genre de situations. Je savais qu’il pourrait s’en servir pour me faire subir d’autres genjutsus, mais ça m’était bien égal. Ce genre de choses n’était pas permis entre ninjas de même village et c’est lui qui aurait de problèmes s’il ne commençait pas à me traiter différemment. Je me tournai ensuite vers son acolyte masqué.

« Et toi le Nara, pourquoi cacher ton visage? Vous n’êtes pas tant que ça dans ce village, et avec ton gabarit, retrouver ton identité ne sera pas difficile. »

Mon ton était, encore une fois, provocateur et il y avait deux issues possibles. Soit ils s’enfonçaient d’avantage dans le chemin qu’ils avaient emprunté, soit ils feraient marche arrière et redeviendraient civilisés. Plus qu’à voir leur réaction. J’espérais être fixée au plus tôt, j’avais encore des courses à faire après tout.

Invité

Le serpent se tenait là simplement. Il fixait la jeune dame qui commençait à dire ses folies. Elle le connaissait, et même un peu plus. Elle pourrait parler. Fallait-il la tué? Ou serait-elle utile? En la tuant et en utilisant l'Edo Tensei, Orochimaru pourrait retiré toutes les informations qu'il avait de besoin, mais ce serait moins intéressant. Orochimaru se préparait à inscrire dans son carnet, l'histoire du monde. Il sourit d'un sourire macabre, et se lécha les lèvres d'une façon menaçante. Si elle n'avait pas peur de lui en ce moment, il s'arrangerait pour qu'elle ait peur de lui. Elle ne pouvait pas bouger. Pourquoi ne pas en profité?

« Tu connais mon nom. C'est parfait, passons par dessus les formalités. J'ai entendu dire que tu possédait une arme étrange, inconnue des autres. Une faux plus exactement, et j'ai besoin de la voir, et d'apprendre sur elle. Veux-tu m'aider, ou faudra-t'il que je l'extirpe de ton corps? »

Orochimaru s'approcha tranquillement et passa sa main sous le menton de la jeune dame pour le relever et la fixer dans les yeux. C'était drôle à voir à quel point un Nara pouvait être horriblement trop puissant. La plupart des gens les considéraient comme une sorte de support, comme un médical, mais dans une équipe, le Nara est le ninja le plus utile, et probablement le plus puissant. C'était là, la raison pour laquelle le serpent n'avait pas hésité une seule seconde à l'enrôler.

Orochimaru s'éloigna de la jeune dame, dos à elle, et attendit tranquillement sa réponse. Oserait-elle répondre, ou faudrait-il qu'il la torture?

Le serpent s’approcha de moi et sa vile main se pausa sur mon visage pour me forcer à le regarder. Il entra dans le vif du sujet, c’était pas trop tôt. Je n’avais pas que ça à faire moi, me faire intimider sur un toit. Ma faux? Il voulait me pauser des questions sur Hisshi no Kyouki? C’était tout? Il me fixait dans les yeux, voulant m’effrayer sans doute. J’étais une ninja de formation, Juunin qui plus est. J’avais appris à ne pas laisser la peur paraître sur mon visage, surtout parce que j’étais une femme. Je ne ferais jamais cette faveur à un assaillant. Mais je devais avouer que c’était une situation particulière. Comment réagirait-il lorsqu’il apprendrait que je ne pouvais plus l’invoquer?

Puis, une sensation étrange. Toute la pression qui maintenait mon corps dans la même position que le Nara se relâcha. Je respirai un bon coup et replaçai mes vêtements ainsi que mes cheveux pour me redonner une contenance avant que l’ombre ne fonde sur moi de nouveau à la vitesse de l’éclair. Intéressant, mais pas maintenant. Les pertes de contrôles de son larbin ne m’intéressaient guère.

« Vous parlez d’Hisshi no kyouki, l’arme de la mort certaine. Certains maîtrisent les ombres, d’autres les armes. La légende dit que l’un des ancêtres commun à tous ceux de ma famille à forgé dix armes de grande puissance. Toutefois, pour éviter qu’elles ne tombent entre de mauvaises mains, il les aurait scellées dans une autre dimension, un peu tiré par les cheveux quand on y pense. Et le pouvoir d’invoquer l’une des armes se passerait de générations en générations. Toutefois, Hisshi-chan est difficile et a un très mauvais caractère et, malheureusement depuis quelques temps déjà, je ne satisfais plus ses critères, elle ne me laisse plus l’invoquer. C’est tout ce que je sais, malheureusement je crains que ce ne vous soit guère utile. Essayez de m’offrir un thé la prochaine fois. De telles pratiques ne sont pas nécessaires entre gens de même village.»

Invité

Trop d’erreurs d'amateur... j'allait probablement mal dormir pendant le restant de la semaine. Quel Nara serait assez distrait pour perdre le contrôle de son jutsu ? C'est sur que si elle fait des enquêtes, mon nom risque de ressortir. C'est évident, qui d'autre est assez fou pour se promener avec le serpent ?

Je les regardais parler. Personne ne se souciait de moi et c'étais probablement mieux ainsi. J'aurais pu m'ouvrir un bouquin et lire durant leur blabla. M'enfin, je décida d'écouter de ce qu'il parlait tout en maintenant mon jutsu. La matinée alla bientôt laisser place au midi. Bien que ceci était importe, j'avais quand même un petit rendez-vous avec un dame Uchiha. Rien de très sérieux pour l'instant mais je serais probablement mieux qu'ici a jouer les gardes du corps !

...Hisshi no kyouki, l’arme de la mort...

Tien... un autre arme aux pouvoirs étrange. Ça me rappel la vieil légende que j'avais entendu dans mon cartier de Nara. M'enfin... si elle est comme celles donc j'ai entendu parler : Bonne chance pour la retrouver Oro !

Essayez de m’offrir un thé la prochaine fois. De telles pratiques ne sont pas nécessaires entre gens de même village.

Donc morale de cette histoire ; les femmes aime les têtes-à-têtes qui inclus du thé ! J'en prendrais notes. C'est sur qu'Orochimaru aurait pu y aller moin fort... mais en même temps, nos résultats sont tellement rapide ! J'en prendrais notes aussi ! Le bon et le mauvais marche dans les films, le thé et les biscuits seulement dans la tête des femmes et la peur est l'option la plus efficaces jusqu'à présent !

Mais bon, perdu a travers ma caboche, je décida de me rapprocher d'eux. Oups... la fille était maintenant nez a nez avec le serpent. Un pas de plus et s'était des bisoux ! Ahh mais... je ne lui ferais pas cette honneur ! Du moins... pas maintenant !

22lignes : Désoler, j'ai fait vite ! Et puis... l’envie de parler a la première personne était trop forte !

Invité

Orochimaru se mit simplement à écouter la jeune dame parler. Dans sa position, elle ne pouvait pas faire grand chose, il était en position de pouvoir. Ce Nara semblait horriblement trop utile, comment avait-il pu s'en passé aussi longtemps? Les Nara étaient en faite l'une des armes les plus puissante que le village de Konoha n'ait jamais pu possédé. Il ne les exploitait pas assez. Les sautes d'humeurs du Juunin au Kekkai Genkai étaient assez amusante. Maintenant, il apprendrait bien plus sur sa marque.

« Relâche la un peu, elle semble être prête à parler. Au juste, pourquoi ne peux-tu plus l'invoquer? »

Orochimaru commençait à faire marcher ses neurones. Il devait absolument comprendre. Mais c'était plus dure que ce que l'on aurait pu croire. Malheureusement, il ne comprenait pas. Pourquoi est-ce qu'elle parlait de son arme comme une personne? Il s'assit en indien devant elle et la fixa, se caressant le menton.

« Donc cette Hisshi-chan...Elle vient de ou? Est-ce que c'est un Kekkai Genkai de possédé une telle arme? Une arme de clan, une arme de légende? Ou est-ce seulement toi sur cette planète qui a la chance de possédé une telle arme? »

Orochimaru continua de se gratter le menton, attendant tranquillement que Zarbis relâche son emprise. Il préférait la mettre de son côté maintenant qu'elle parlait, plutôt que de la mettre contre lui encore plus qu'elle ne l'était.

Je n’aimais pas du tout cette conversation, mais de toute façon le peu d’informations que j’avais à lui donner ne lui servirait pas à grand-chose. Je fus soulagée lorsque le Nara relâcha enfin sa prise sur moi. Il n’était pas trop tôt. Je m’assis face au serpent qui continua à m’interroger comme s’il était le plus naturel du monde que je lui livrai toutes ces informations gratuitement. Il me demanda d’abord pourquoi je ne pouvais plus l’invoquer. Je le savais parfaitement, mais cette information était sans doute la seule qui avait une importance et que je ne pouvais tout simplement pas lui divulguer.

« Je l’ignore, elle ne m’a rien dit. Elle désire que je le trouve par moi-même. Pour ce qui est du reste, je ne sais rien de plus. Je n’ai pas connu mes parents, j’ai été adoptée. Selon la légende qu’Hisshi m’a dite, il y en aurait d’autres, mais les légendes demeurent des légendes. Ces informations ne valent malheureusement pas grand-chose. »

Pour ma part, le personnage que représentait Orochimaru m’intriguait beaucoup. On disait qu’il avait de grandes connaissances et, surtout, une grande puissance. Ce n’était pas des choses dont j’avais besoin dans l’immédiat, mais dans l’avenir, j’aurais peut-être besoin d’un échange de bons procédés et une bonne relation, même si ce n’était pas une amitié à toutes épreuves, pourrait s’avérer utile. J’attendis donc la suite des choses, il allait sans doute être déçu par ma courte réponse. Malheureusement, il était vrai que je n’en connaissais pas énormément sur la provenance de ces armes. D’ailleurs, la prochaine fois qu’Hisshi entrerait en contact avec moi, je lui pauserais sans doute une ou deux questions sur le sujet.

Invité

Suite aux demandes du serpent, Zarbis décida d'aller voir ailleurs. Il fit le tour du bâtiment, en prennant toujours soin de regarder la discussion qui continuait entre Oro et Megu. Il pris une pause et regarda les minuscules fourmis. Ces citoyens de konoha continuaient leur routine, sans se poser de question sur ce qui allait se passer. Travailleur, vendeur, acheteur : ils agissaient tous pareil. Tous étaient la pour se mettre quelque ryos en poche.

Zarbis retourna voir les 2 sujets du pourquoi il était là. Il se placa dans le dos a la fille, donc face a Orochimaru. Il la regarda puis leva les yeux vers le ciel. Le serpent compris le message subliminal du Nara. ¨c'est une perte de temps¨. Il resorti un bouquin vierge de sa sacoche. Il commença à dessiner la silouete de la femme. Il n'était pas un expert dans le domaine du dessin, mais il s'avait se débrouiller. N'importe qui voyant le dessin aurait très bien pu voir de qui il s'agit. Il commença son dessin a partire de la tête. Petit à petit il descendait. Un coup de crayon, un coup d'oeil sur le corp de la femme. Multiplier cette phrase une bonne vingtaine de fois. Il dessina ensuite l'image qu'il avait de la faux. Non pas une faux ordinaire. Il la voyait comme l'arme d'un certain faucheur. Il s'imaginait une arme capable de réduire en sendre n'importe qui. Si c'était vraiment d'une arme comme celle-ci qu'elle avait, Zarbis aurait mieux fait d'écouter, mais pour l'instant : Il perdait royalement son temps. Le nara ferma son livre. Il fit un sourrir forcer puis alla s'asseoir. ¨Mais qu'est-ce-que je fais ici ?¨ pensa t'il.

Il attendit que les 2 êtres eux fini leur conversation avant d'aller vers le serpent. Il lui expliqua qu'il devait le quitter pour aujourd'hui, qu'il avait de quoi de beaucoup plus important que de parler a une fille qui ne semblait même pas être capable de faire les propres techniques de son clan. Il lui fit un signe de tête et alla sur le bord du toit. Il était prêt a se jetter en bas et retourner à ça vie de fourmis.

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Le Serpent et le Papillon (PV Zarbis et Oro)

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