Invité Invité
| Sujet: One-Eyed Demon Jeu 27 Sep - 18:42 | |
|
† Omei Kyofu †
◊ Prénom: Omei
◊ Nom: Kyofu
◊ Age: 24 ans
◊ Taille: 186 cm
◊ Village désiré : Kiri
◊ Nindo: « Les gens qui ont un destin se réincarnent tous un jour. »
† Ce que l'oeil voit †
L'oeil peut parfois être trompeur. Ce n'est pas ce qu'on semble apercevoir qui importe, c'est ce qui est invisible à l'oeil nue. C'est quelque chose de puissant que personne ne pourra jamais dénié. Peut-on vraiment juger un homme par son style, par sa façon de s'habiller, par sa taille ou même ses muscles? Ce sont les gens qui semblent le plus normal, ceux qu'on s'attend le moins. Mais est-ce que c'est vraiment une mauvaise chose. Le fait qu'on s'intéresse principalement à ceux qui sortent du lot ne leur donne aucun super pouvoir. Il ne sont pas des monstres, mais des gens comme les autres. Ça, c'est pour la plupart. Lors de son ancienne vie, Omei était un monstre d'Iwa. Un monstre gigantesque, bourré de muscle, et était horriblement puissant. Il faisait trembler le village à lui seul. Il est mort pourtant. Il a tenter d'assimilé plus d'un seul Bijuu dans son corps et est mort. Le combat entre les deux Bijuu pour savoir lequel des deux garderait l'espace était trop dure. Malheureusement, aucun être sur terre ne peut atteindre une telle puissance. Iwa par contre, était dans un sens bien content que ce tyran ne soit mort de cette façon stupide.
Mais la réincarnation est une chose magnifique. Dans un sens, un nombre restreint de gens y croient. Ils ne sont pas nombreux, mais on-il raison? Il y a de cela vingt deux ans déjà, le clan des Kyofu, ce clan d'animaux un peu farfelu se mit à tenter une nouvelle expérience pour recréer le fléau que les Kyofu attendaient depuis tant d'année. Certains Kyofu avaient eu la chance d'appartenir à des lignées magistrales, leur donnant certains pouvoirs, et c'est en mixant deux de ces personnes et en suivant les règles qu'on donna vie à la nouvelle Apocalypse, qui errait dans le nouveau monde. Ça fut essayé partout sur la planète à la seconde ou la nouvelle de la mort du dernier fléau partis. Mais une seule personne en naît, et beaucoup de gens de ces lignés furent exterminé pour avoir manqué à leur tâche.
Mon corps actuel n'est pas comme les anciens. Mes parents n'étaient ni fort physiquement, ni faible. Ils étaient simplement normal, et je me suis entraîner de cette façon. Je voulais apprendre sur autre chose, et non basé toute ma vie sur mes muscles. Mes cheveux étaient brun comme la terre sous mes pieds, représentant que j'étais l'envoyé de mère nature sur ce monde impur. Ils sont long, pas trop, mais bien assez pour me donner un style différent. Mon oeil est gris, presque sans vie, mais toujours autant actif. L'autre par contre, caché sous mon bandeau, peut-on vraiment dire la couleur, ou même ce qu'il fait? C'est quelque chose que je cacherai tant et aussi longtemps que je le pourrai. Je suis grand, je l'admet. Environ 186 centimètres.
Mon armure est une armure un peu hors du commun. J'ai appris à utilisé ce genre d'armure pour ne pas être trop faible au combat, me rajouté des chances de survivre dans les grandes lignes. Mon casque orne le long signe de la demi-lune asymétrique, moi, fils de la lune, je montrai avec toute ma force ce que je vaut. Par dessus mon armure lorsque celle-ci seras complète, mon habit bleu, montrant les couleurs de la mer, qui permet la vie partout sur la terre. Je ne porte souvent pas cette armure, je n'ai pas peur de me battre sans, mais ça, c'est à vous de le voir. Elle seras plus facilement visible en vrai, et ce seras à vous d'en juger. Passons à autre chose que mon physique.
† Entends-tu mon âme résonner? †
Les mots continuent de tourner à l'intérieur de la tête de n'importe quel fou de cette planète. Peut-on vraiment décrire l'esprit d'une personne avec quelques mots qui ne veulent rien dire? Les Kyofu ont compris que le monde tel qu'il est, n'est pas descriptible. On ne peut pas qualifié quelqu'un sur un bout de papier. C'est simplement impossible, mais qui se préoccupe vraiment de ce qui est possible et impossible n'est qu'un pessimiste dans la vie. Je suis maniaque. Je ne le fais pas exprès. J'aime la mort, j'aime le sang, j'aime sentir la chaire putride sur mon corps. Est-ce que c'est une bonne chose? J'en doute. J'en douterai toujours, mais je ne peux plus m'en passé. C'est simple, la vie n'est pas si simple, elle ne l'a jamais été. Je suis à un tel point maniaque que sa se montre dans toutes mes actions. Ce sourire si large que j'affiche sur mon visage, les yeux qui semble presque sortir de leurs orbites à quel point j'attends le bon moment pour frapper, ma langue presque exacte à celle d'un serpent qui descend si bas pour que je puisse goûter le bonheur du sang de mon adversaire, toutes ces petites sensations si magnifique, ça me rend maniaque. Maniaque... J'en suis fou, j'en suis totalement fou, et je ne vous mentirai point, j'ai besoin de ce goût de mort pour me sentir bien. Tout le monde à sa façon.
Ensuite vient la tristesse. Je suis triste, dans mon ensemble. Je ne suis qu'une des larmes de mère nature verser sur le monde pour exterminer ces infâmes choses. C'est le destin qu'on m'a confié à moi, la larme des Dieux. Alors que le monde semble toujours aussi amusant à traverser, je suis encrer dans un village que je ne tarderai point a quitter. Ça me rends tristes de voir toutes ces personnes vivantes, marcher et se sentir comme s'ils ne faisaient rien de mal. alors qu'ils détruisent chaque jour leur propre planète pour un bien qu'ils n'ont même pas de besoin. Alors que la terre offre tout ce qui est nécessaire, ils en demandent plus en tuant la planète elle même. À creuser jusqu'à son coeur et à détruire son âme. J'en suis triste. Lorsque la larme noire d'Omei Kyofu aura tomber sur le sol, alors la planète elle même refleurira comme dans son temps passé. La destruction de ce monde emmènera la création d'un nouveau, et c'est mon travail de faire sure que le nouveau seras bien mieux que le précédent. Omei tenterait de son mieux de s'assurer que ça arrive, même s'il devait en mourir.
Fort, ce n'est pas un mot que je considère comme étant présent dans mon corps, dans mon esprit. Je ne suis pas fort, je suis faible. Pour quelqu'un qui a le fardeau d'être le tueur de ce monde, je ne suis qu'un grain de sable dans le désert. J'ai eu le don de mes parents, leur lignées coule à travers mes veines et mes pouvoirs sont encore plus puissant que ceux de n'importe quel humain, mais pourtant, je suis faible. Si quelqu'un touchait les cordes sensible de mon âme, je fondrait telle un sablier qu'on a casser, et personne n'y pourrait rien, pas même moi. Je ne suis que le tronc d'un arbre qui devient trop dure à supporté. Est-ce qu'être l'Apocalypse, le démon à un oeil, en vaut vraiment la peine? Suis-je maître de mon destin, ou dois-je suivre celui qu'on ma donner? C'est une décision dure à prendre, qui le seras toujours, peut-être un jour aurai-je ce qu'il faut pour connaître la vérité. Peut-être un jour serai-je maître de mon propre destin. Jusque la, je devrai rencontrer des hommes de mon clan, qui me permettront de grandir et de devenir plus fort. Je deviendrai l'arme que les Kyofu ont toujours demandé. Jusqu'au jour ou celui qui m'utiliseras me diras la vérité sur qui je suis, et sur ce que je dois faire de ma vie. Est-ce que ça vaut la peine d'essayé de changer sa vie?
† Toute histoire à son premier chapitre. †
Le premier chapitre de chaque histoire est un chapitre banale qu'on ignore la plupart du temps. Pourquoi? Parce qu'il ne met pas l'emphase sur presque rien. Ce n'est qu'un premier chapitre pour ouvrir au deuxième, qui seras déjà plus intéressant. Mon histoire à moi commence par ma ligné. Et non, même si vous trouvez ça puissant, ce ne l'est pas vraiment. Ma mère vient d'une contré lointaine de la nature, ou ils vivaient en harmonie. C'était la chamane de leur tribu, la seule femme à pouvoir manipuler la nature. Le chakra du Mokuton. Dans ses gènes coulaient la nature à l'état pure, c'est la raison pour laquelle elle a été emmené à donner sa vie. Le premier Kekkai Genkai qui coule dans mes veines vient de ma mère, elle, une Kyofu hors du commun qui permettait à notre clan de grandir en force. Mon père lui, était aussi spécial. Dans le fond d'un volcan en fusion, une armée de Kyofu utilisant le Doton et le Katon se formaient sous le commandement d'un homme sachant manier le Yoton. Celui-ci, c'était l'homme qui avait inséré son sperme dans l'utérus de ma mère. Mon père. Ces deux sang spéciaux coulaient dans mes veines, et malheureusement, m'empêchaient d'apprendre des techniques reliés aux cinq affinités originelle. J'étais pour le restant de ma vie coincé avec des affinités presque inconnu de tous, qui semblaient forte, mais avaient beaucoup de mauvais point. Mon père était puissant en son genre. C'était un monstre de guerre, et il maîtrisait parfaitement son élément. Ma mère elle était une guérisseuse qui utilisait la nature à son avantage, aussi très puissante, mais l'enfant que ça à donner, même si le titre qu'on lui donna fut le titre de l'Apocalypse, n'était pas aussi fort qu'on l'aurait voulu. Même si le sang qui coulait dans ses veines était de loin l'un des plus puissant qu'on ait vue, son esprit ne lui permettait pas vraiment de bien contrôler ses choses. Le sang de gens forts ne sert à rien si c'est pour un esprit faible.
Mes parents se sont rencontré pour la première fois en mariage arrangé. Pour que la prophétie soit faisable, il fallait un mariage. Partout à travers le monde, à la mort de la dernière Apocalypse, des mariages arrangés se produisaient entre gens de lignées différente. Que ce soit pour donner le Hyoton à la progéniture, ou seulement un Sharingan. Mixer un Uchiha et un Kyofu, c'était littéralement stupide. Ce corps impure n'aurait jamais pu gagner le titre de l'Apocalypse, même si les fou qui avaient tenter de les mixer l'auraient cru. Il eut même des croisades entre tribu sur d'autres membres du clan pour la simple et bonne raison qu'ils voulaient s'assurer que la progéniture de leur tribu soit bel et bien l'Apocalypse, et non celle d'une autre tribu. C'était là, la première grande guerre des Kyofu. Plusieurs sont mort, il y a vingt-trois ans. Mais peu s'en préoccupaient vraiment. Moi, je suis né, par accident. Mon père et ma mère firent l'amour a leur lune de miel et ensuite ne se reparlèrent jamais avant neuf mois. Elle était tombé enceinte, c'était littéralement un miracle pour quelqu'un qui venait de se faire dévirginer.
Neuf mois plus tard, ma mère ne voulait pas mourir. Elle avait changer d'avis, mais fut forcé. Je ne le pardonnai jamais à mon père. L'accouchement se fit dans les règles, dans une grotte isolée, entouré du prêtre des Kyofu, et des quatre piliers de la tribu dans laquelle je serais élevé. Lorsque l'enfant sortit sa tête et commença à pleurer, on entendit le son du katana de mon père se fracassant sur la pierre, et le dernier cri de ma mère voulant voir son enfant. La tête roula sur le sol, et son nom fût oublié dans les abysses. Enfin mon père pouvait être fier d'avoir accomplit quelque chose. Pas une seule larme dans ses yeux, il avait tué sa femme, même s'il ne la connaissait que peu. Et son fils naissait. Partout à travers le monde, le même jour, des dizaines de femmes mourraient de la même façon, car tel était demandé chez les Kyofu. Était-ce une bonne nouvelle que de tenter de créer l'Apocalypse?
Les premiers cri de l'enfant furent douloureux, remplis de tristesse, mais aucune des personnes présente ne s'en préoccupait. Ils prirent l'enfant et le lavèrent, le laissèrent respiré un peu et ensuite se calmer, et partirent vers le village ou il serait élevé. C'est là, que commençait mon destin.
† Deuxième chapitre : L'art du destin †
Je n'étais qu'un enfant comme les autres, dans un monde comme les autres, vivant comme les autres. C'était littéralement banal. Je n'ai pas pu entrer à l'académie comme tous les autres, je n'arrivais pas à utiliser aucun Ninjutsu. Aucun. C'en était littéralement stupide, de se rendre compte à quel point moi, avec des parents extraordinaire, je n'arrivais à rien. Mon père n'osait même pas m'en parler, lorsqu'on était a table, il ne faisait que regarder son assiette. Je l'ai entendu une fois ou deux dire en se chuchotant à lui-même qu'il avait laissé sa place de général pour moi. Il ne s'attendait pas à tomber sur un fils incompétent. Un fils qui n'avait rien de plus qu'un destin stupide. Comment pourrait-il simplement exterminer la race humaine sans aucun don, ni aucune techniques? C'est là que l'idée lui passa par la tête. On soupait, c'était le gros silence. Et soudainement, la flamme s'est réanimer dans ses yeux. Il frappa ses deux poings sur la table et se leva, la propulsant sur le sol, m'entraînant dans le chemin, et il se mit à hurler.
Il avait l'air d'un fou sans tête. Simplement, il n'arrivait à rien faire de plus que crier. Il était heureux. Très heureux, pour quelle raison l'était-il? Je n'y comprenais rien et c'en était littéralement chiant. Je passai ma nuit à stresser et me demander ce qui se passerait le lendemain. Lui, enfermer dans sa cabane hors de la maison, faisait quelques petites choses dont je n'aurais jamais cru faisable de sa part. Le lendemain, mon destin commençait. Le lendemain, je ne serais plus du tout la même personne.
Le lendemain arriva encore plus rapidement que je ne l'aurais espéré. Mon père ne voyait rien en moi. Je n'étais rien du tout pour lui, mais soudainement une simple petite idée allait changer toute sa vision pour moi pour le restant de sa vie jusqu'à sa mort. Ce ne serait pas une entraînement physique. Ce ne serait des cours. Des classes. Cette chose stupide que je haïssais de tout mon coeur. Pourquoi? Parce qu'il savait que je n'avais rien dans mes bras, il voudrait me transformer en stratège. Si mon destin était vraiment de diriger mon clan, alors il s'arrangerait pour que je le dirige, puissant ou non. Ce serait intéressant, certes, mais je haïrais chaque moment passé avec mon "père" jusqu'au jour ou il mourrait de mes mains. Ce serait la, le moment le plus heureux de ma vie. Jours après jours, il s'amusait à m'apprendre de nouvelles stratégies. Oui, s'amuser à me bourrer le crâne de choses que je n'ai jamais voulu apprendre. Qui voudrait passé sa vie à diriger des hommes? Les gens veulent se battre comme tout le monde, avoir une femme, des enfants, vivre une belle vie. Personne ne veut devenir stratège, c'est une job d'imbécile. Et c'est là ou j'ai trouver ma motivation. S'entraîner toutes les nuits à modeler son chakra dans toutes les façons possible. Je devais apprendre, toutes les façons possible de tué mon père. Les idées commençaient à se mixer à l'intérieur de mon esprit, c'en était littéralement fou, je n'y comprenais rien, pourquoi ma haine envers mon père, l'homme qui m'a donner la vie, était si grande que je ferais des efforts pour le tué. J'avais quatorze ans. Je n'étais rien, ni personne. Je n'existais même pas pour aucun village. Je n'étais personne, et je ne le serais jamais. Je deviendrais stratège et je perdrais ma vie à faire un destin qui n'aurait jamais du être le mien.
Les efforts continuaient de s'accumuler toujours et toujours. Je devais à tout prix réussir, est-ce que c'était si dure de s'entraîner? Mes muscles étaient faible, mes mouvements de mains pas assez rapide. Katon, Doton, Fuuton, Suiton, Raiton. Aucun. Aucune de ces affinités ne me convenait, je n'arrivais à rien. Rien du tout... Pourquoi c'était si dure, pourquoi tout le monde y arrivait, mais pas moi? Pourquoi... Pourquoi...
Cette sensation de douleur dans mon coeur, tous ces entraînements pour me rendre compte que je n'arrive à rien, même pas à diriger une simple petite flamme avec les mudras qu'on m'a appris. Katon et Doton, c'était les affinités de mon père. Doton et Suiton, de ma mère. Pourquoi est-ce que je n'arrivais même pas à utilisé une seule de ces affinités? Est-ce que j'étais si faible? Si oui, alors je devais m'entraîner encore plus jusqu'à devenir assez fort pour vaincre le monstre qu'était mon père. J'étais l'apocalypse, il était pire.
† Troisième chapitre : Descente en enfer †
Ça commença tranquillement, un jour mon père perdit son intérêt, se rendant compte que je n'arriverais à rien. Deux ans, mes seize ans arrivaient. C'était là ou il se sentait le plus mal. Il savait que ça approchait. Il fallait, à seize ans, dire la vérité à l'enfant qui gagnerait ce destin honteux. Et c'est là qu'on saurait s'il deviendrait ou non l'Apocalypse. S'il refusait son destin, il devait être tué. Même si mon père me trouvait inutile comme arme, il avait appris à m'aimé, à me chérir. J'étais sa progéniture, et il m'aimait. Je ne l'aurait jamais pris au sérieux. Jamais, et même s'il semblait me donner un minimum d'affection, je serais l'homme à lui planter la lame à la gorge. Même sans muscles, même sans techniques, je le tuerais, qu'il le veuille ou non. Mes seize ans approchaient, le jour arrivait. Le jour qui changerait toute ma vie.
Seize ans sonnèrent, le destin approchait. Mon père vint me voir, un livre à la main. Il n'avait pas un sourire, mais cette longue expression sur son visage qui ne semblait rien vouloir dire. C'était dure à prendre, dure à cacher. Il semblait triste, même si cet homme, jamais heureux, jamais triste, ne voulait pas montrer ses émotions. Seize ans. Il commença à me vomir toutes les informations du monde sur notre clan, des choses que je connaissait déjà. Des stupidités dans les grandes lignes, du destin de notre sauveur, l'Apocalypse, qui éradiquerait sur cette planète tous les humains impur. Je m'en foutait un peu, ça n'avait rien à voir avec moi. Une larme coula de sa joue. Il expliqua ensuite que pour créer cette apocalypse, il y avait un rituel précis. Quand j'étais plus jeune, il avait dit que ma mère était morte durant sa chasse infernale, mais il m'avoua la vérité. J'étais une tentative de création de l'Apocalypse. Il avait, de ses propres mains, sans aucune émotion, couper la tête de ma mère lors de son accouchement. La rage se mit à emplir mes poumons. Qui étais-je, quel était mon destin. Je serrai mes mains le plus fort possible et une goûte de sang se mit à couler le long de mon doigt alors qu'il s'excusait. La goûte, tranquillement, presque comme dans un film, coula le long de ma main pour heurter le sol. Le plancher sous mes pieds fendit, et mon père tomba. Le magma se mit à le brûler, et il fit forcé de tenter une de ses techniques, mais la lave se mit à devenir trop rapide, beaucoup trop. Elle monta et le brûla, et se mit à noyé les quelques kilomètres autour de moi, tuant tout sur son passage. Entouré du magma, j'étais la, dans une sorte de sphère ou le monde n'existait pas, la rage et la tristesse mélangé dans mes yeux. Une autre goûte de sang toucha le sol, et le magma retourna dans la craque, laissant sur deux kilomètres de rayon, une terre dévasté, brûler et détruite. Aucun cadavre, tous brûler aux cendres. La crevasse se referma peu de temps ensuite.
J'avais trahis les règles de mon clan, et enfin découvert une force en moi. Le monde était fou, et ma rage brûlait d'une flamme littéralement magmatique. Je pris le contrôle de mon corps et tombai à genoux, ma vie ne valait plus rien. Tout ce pourquoi j'avais exister, avait brûler en entier, et je me retrouvais tout seul. Encore une fois. Seize ans. Seulement seize ans. J'acceptai mon destin, étant la dernière chose que j'avais. Si ma mère était morte pour cette raison, je prendrais mon destin en main et je l'accomplirais.
Omei se leva et avança tranquillement, de son oeil droit, une larme noire se mit à couler. Elle frappa le sol, ou un arbre se mit à pousser. Sans même le vouloir ,les racines se mirent à grossir et à avancer, créant un arbre gigantesque dans le milieu. Les kilomètres mort se mettant à se régénéré, créant une nouvelle forêt encore plus grandiose que la précédente, recréant la vie. L'Apocalypse, la controverse entre la destruction et la création. J'étais, le monstre que personne n'avait voulut voir arrivé. Le monstre que personne n'attendait. La controverse unique du monde des vivants. Est-ce que c'était une bonne chose? Était-ce une bonne chose de suivre un destin comme le mien? J'avançait alors que la forêt grandissait derrière moi. C'était un peu épique dans un sens, mais bon, je ne me vente pas trop. Prochaine étape, Kiri. Apprendre à contrôler mes nouveaux pouvoirs...
† Dernier chapitre : Le début d'une histoire †
J'ai commencer à créer mon histoire à partir de ce moment là. Je fut pris comme réfugié à Kiri alors que je n'avais plus nulle part à aller. Je cherchai refuge parmi les autres Kyofu de Kiri. Certains Kyofu avaient quitter les tribus de l'ouest pour se réfugié dans les villes, croyant s'intégré plus facilement dans la société du monde, alors qu'en faite ils sont resté un peu reclus dans leur coin, mais participant aux choses publiques. Ceux des tribu les appelaient des fou, parce qu'ils se mixaient aux humain normal, mais je m'en foutait en ce moment. Du moment qu'ils m'aidaient, ils survivraient. C'était là tout ce qu'il y avait à savoir. Mon destin commençait. Je vivais chez un forgeron. Un forgeron assez étrange en faites. Il était fou dans un sens, vraiment fou. C'était le genre d'homme à créer des pièces d'armes ou d'armure à partir de tout et de rien sans raison, et de les mettre un peu partout. Sa maison était un tout petit peu étrange, mais bon. J'ai passé quelques années là, jusqu'à vingt et un an, ou je quittai pour me trouver ma propre maison. Au grade de Juunin, j'avais un peu appris sur mes pouvoirs, et ma nouvelle histoire commençait. Juunin de Kiri. Mon père aurait été fier... Mon père aurait été fier...
Dernière édition par Omei Kyofu le Sam 29 Sep - 19:17, édité 33 fois |
|