Je dois encore vous comptez une partie des plus incroyable de ma vie, quelque chose qui a finalement change le cours de ma vie en un instant, l’histoire de l’ange au chat. Encore un nom des plus étranges, mais laissé moi vous donner la signification de cela avant de ne jugez quoi que ce soit. L’ange fait donc référence à ma tenue, ça on ne peut plus vous le cacher vous devez certainement le savoir, mais le chat, à quoi peut-il bien faire référence n’est ce pas ? La réponse est simple, un démon à deux queue, un chat gigantesque, le Nibi. Un gros chat sombre entouré de flammes bleuté, en soit un monstre pour le moins terrifiant, mais il n’en est pas moins un adorable petit chaton après tout. Suffit de savoir le brosser dans le sens des flammes. Certains me demanderont pourquoi je vous explique cela, la réponse est simple, pour mieux vous aider à comprendre l’histoire que je vais vous compter. Car en effet, il m’est arrivé quelque d’asses extraordinaire, mais ça personne n’est au courant, en tout cas pas à ma connaissance. Les seules personnes au courant de cette histoire sont Nibi lui-même, moi et bien évident Hayate ainsi que Etsu, les deux personne à l’origine de ce pouvoir assès impressionnant que j’ai réussi à acquérir. Pouvoir impressionnant mais pour le moins terrifiant aussi, laissez moi donc vous comptez cette fabuleuse histoire.

Cela à commencer alors que j’étais à l’époque âgée de huit ans. Vous vous souvenez, j’ai dis avoir mis plus d’un an à trouvé la route jusqu’à Kiri prétextant des arrêts en auberges et le mauvais sens de l’orientation causé par mon âge, et bien cela était faux. La réalité n’est autre que celle-ci, j’ai en fait été détournée de ma route par ce couple de personne assès étranges. Hayate et Etsu. Tout deux âgés à l’époque de vingt et dix-neuf ans, ils n’étaient rien de plus qu’un couple peureux ou du moins c’est ce qu’ils me laissaient penser. Ils étaient tout deux des ninjas appartenant au pays du feu mais n’ayant d’affiliation à aucun village quels qu’ils soient, ils restaient des ninjas solitaire, n’ayant confiance qu’en l’un et l’autre, des gens pour le moins étrange, mais l’aura qu’ils dégageaient était puissante, suffisamment pour me rassurer, mais avec mon caractère, aucune chance que je ne les suive bêtement et surtout sans rester sur mes gardes. Après avoir échangé quelque mot ensemble, ils me dirent connaitre le chemin parfait pour me rendre à Kiri dans le pays de l’eau et qu’ils avaient même un bateau pour que je puisse m’y rendre, mais pour ce faire, il fallait que je les suive et que je les aide, service pour service après tout. Forcément j’acceptais de les aider, après tout si je suis apte à aller ensuite à Kiri avec la plus grande facilitée, pourquoi je m’en serais privé n’est ce pas ? Les suivants au travers des forêts du pays du feu, nous arrivions rapidement devant une grande maison, seule au milieu de nulle part, on aurait dit un vrai château. Trois étages, une clôture entourant un terrain d’au moins quatre hectare, un terrain d’entrainement sur un côté de celui là sans compter qu’il y a un sous-sol que je n’avais alors pas encore vu à ce moment là. Apparemment c’est ici que tout les deux vivaient et s’entrainaient, mais le plus important n’était pas pourquoi ils m’avaient emmené ici mais plutôt quel est ce service que je serais en mesure de leurs rendre, je rappelle que je n’avais que huit ans à cette époque, une jeune fille comme moi ne peux pas grand-chose pour aider des ninjas confirmer. Du moins c’est ce qu’ils me laissaient penser à ce moment précis.

Les deux premiers jours, il ne se passa rien, rien n’a été dit, nous parlions de tout et de rien, d’où je venais, pourquoi ils vivaient aussi à l’étroit du reste de la civilisation, ce que représentait cette marque sur mon épaule. Pourquoi je suis seule, mes parents et j’en passe des questions inutile. En simple on a un peu appris à ce connaitre, mais au moment précis où je leurs dévoilais mon nindo, leurs yeux ce sont écarquillés, une lueur impressionnante rayonnait dans leurs yeux, pendant un instant j’avais l’impression de leurs avoir décroché la lune, mais c’est après que la situation devient un peu plus troublante. Etsu fut celle qui semblait le plus intéressée à moi, elle me demanda d’ailleurs comment je comptais rendre la justice puisque je voulais le faire à ma manière. Question pour le moins intelligente quand on y réfléchit, mais la réponse l’était tout autant. En tuant mon père et ma sœur, la première justice de ce monde serait rendu, mais dans le fond, en suis-je réellement capable ? Rien n’est moins sur malheureusement. Mais ce fut au tour d’Hayate de prendre la parole, il me dit à ce moment précis que je n’avais que huit et que mes envies étaient déjà louable, mais pour se faire je devrais m’entrainer fort, trouver mon style, et acquérir de la force et qu’il allait d’ailleurs m’aider pour cela, il avait un an pour m’aider histoire que je puisse ensuite me rendre tranquillement à Kiri, comment refuser une telle offre ? Je lui fis aussitôt un signe de tête avec un sourire puis il m’annonça que le début de l’entrainement serait pour le lendemain.

Le lendemain fut le grand jour, mon premier réel entrainement, en tout cas depuis que mère nous a quitter. Hayate se tenait devant moi et me donna un katana en main, il me dit que si le capricorne peut manier les armes alors je devais aujourd’hui lui montrer la force du capricorne. Je pris donc la katana en main fermait les yeux afin de me calmer et me concentrer puis les réouvrit pour passer à l’action, Hayate contre moi, un match qui se déroulera uniquement au katana, intéressant dans le fond. Je me lançais à l’attaque et lui en fit de même. L’acier de nos lames se frappèrent, se frottèrent, le chant proposer était de loin l’un des plus merveilleux à mes oreilles, puis il me dit de me trouver mon style, il fallait maintenant que je prenne mon envol tel l’ange qui sommeil en moi, c’est à se moment que j’eu comme un flash. Je mit ma lame en opposition à la sienne et la retenais au maximum avant qu’une lumière ne m’envahisse, ma robe bleu devint blanche couverte de plume, mes ailes se mirent à battre et d’un pas extrêmement rapide je me dégageai et mis du chakra dans ma lame avant de ne passer à l’attaque et d’arrêter mon acier à un millimètre du cou d’Hayate, j’ai gagné ! Un large sourire sur ses lèvres, c’est heureux qu’il m’annonça que j’étais prête à devenir puissante, qu’il fallait aussi que je reste sur cette voix que je venais d’emprunter, j’avais toute les chances de devenir un jour une grande kunoichi, mais pour cela il faut se battre avec cœur, ce cœur même que j’ai perdu en même temps que ma mère, bien trop difficile pour une enfant comme moi, mais peu importe, je devais maintenant partir avec eux et trouver cette dites puissance.

Hayate et Etsu me laissèrent exactement quatre jours pour prendre des forces, pas d’entrainement féroces, juste quelque maintien de forme, rien de plus car la mission qui nous attendait était des plus difficile, elle me demanderait beaucoup de force, de courage et de détermination pour réussir, mais mes deux ôtes m’accompagnerais pour la réussir quoi qu’il arrive. Le jour J la route fut longue pour mes jambes, mais je marchais sans ronchonner comme me l’avait appris mère. Jusqu’à ce que tout le monde s’arrête, y compris moi. Un ronronnement assourdissement se faisait entendre, je regardais de toute part, mais rien, il n’y avait rien, qu’est ce donc ce truc ? J’étais à la fois curieuse et anxieuse pour le coup, enfin jusqu’à ce que la jeune femme m’accompagnant ne mette sa main sur mon épaule. Le fait de me souvenir sa présence et celle d’Hayate me fit reprendre conscience de l’importance de rester concentrée, je ne devais pas diverger, impossible que je ne sois pas concentrée, ils comptent sur moi après tout. D’une série de mudras, Hayate fit apparaitre un hotel et m’expliqua qu’une fois que l’on aurait fini je devrais m’y installé pour recevoir la toute puissance, de quoi il parle je n’en ai pas la moindre idée, passons donc. Etsu à son tour fit un signe et une coulée de magma s’introduit aussitôt dans la grotte, un hurlement se fit entendre, puis cette chose apparut, une flamme bleu pour commencer, puis deux, puis de plus en plus jusqu’à ce chat, une énorme chat, gigantesque même. Je le fixais, mon corps entier ce figea, qu’est ce que c’est que cette chose ? Je n’avais jusqu’à présent jamais vu un chat aussi grand ! Son chakra était des plus froid, comment est-il possible qu’un tel monstre puisse exister ?

Mais le pire était à venir, quand il lança sa boule de feu sur moi, je le regardais, ne bougeant pas puis reprenant mes esprits je compris ce qu’il se passait, il ne nous laisserait pas vivre si l’on ne se débarrasse pas de lui ! Changeant mon haut en plus et faisant battre mes ailes, je me décalais le plus rapidement possible sur le côté afin d’éviter cette boule de feu, je vois, je suis donc dans l’obligation de me battre hein !? Je dégainais mon katana et y incorporais aussitôt mon chakra à l’intérieure histoire de grandir la lame autant que je le pouvais à mon âge. La force vient des sentiments, pas ceux de la haine non, les autres, pour réussir il faut sélectionner les bon sentiments et chasser les mauvais, je me devais donc de garder en tête ma mère et uniquement elle, chose que je fis plutôt bien d’ailleurs. Ma lame grandit de façon asses impressionnante, une lueur brillante apparut dans les yeux d’Hayate avant que son sourire ne soit visible de tous, au fond il l’avait compris, j’étais décider à me battre coute que coute. Etsu envoya une rapide boule de feu à laquelle j’emboitais le pas afin d’assener un grand coup de katana au chat, directement dans la patte, un hurlement de douleur se fit entendre puis Etsu continua avec une technique de terre afin de l’enfermer directement dans un grosse botte de terre, un cercueil apparemment d’après les dire d’Etsu. Hayate en profita à son tour pour planter trois katana dans le cercueil à des points précis et me demanda d’en faire autant avec le mien à un certains point, chose que je fis sans la moindre hésitation. Hayate m’invita à me placer sur l’autel puis d’une série de signe fit sortir des chaines de tout son corps en même temps qu’Etsu cessait sa technique du cercueil. Les chaines imprégnés de chakra enroulèrent le chat comme un saucisson sec et le bloquèrent de façon plutôt impressionnante, puis après un rituel de plusieurs longue minutes, le chat commençait doucement à disparaitre, il arrivait, vers moi. Je me mis à crier, de quoi réveillé les villageois de l’autre bout du monde, alors que le chat prenait place, la souffrance que j’endurais devenait de plus en plus insupportable, j’avais comme l’impression d’être morte et pourtant je ne cessais de vivre. Après pas loin d’une heure de souffrance interminable, le chat disparut et moi je m’écroulais aussitôt.

Le temps passait, je continuais de dormir, les yeux fermé, tout était sombre, je ne savais rien de ce qu’il s’étais passé et pourtant, au moment même où je me réveillais, elles se tenaient, droite, devant moi, les portes de Kiri. Etsu, Hayate, tout ceci n’était-il donc qu’un simple rêve ? Un cauchemar ? La suite ne devrait plus trop tarder à arriver. C’est donc ainsi que l’année passer entre le moment où j’ai quitté l’auberge et celle où j’ai rejoint Kiri c’est écoulée, une véritable aventure, mais aussi une aide des plus importantes, chaton comme je l’appelle, ce sera lui le tournant de mon existence, du moins je le pense.