Première mission

Aujourd'hui, je me suis rendu chez l'hokage pour recevoir ma première mission, et donc ma première contribution au village caché de la feuille. La mission semblait d'apparence fort simple, un dresseur qui désirait provoquer le plus de dégâts possible avec des animaux de toutes sortes. Mais je me demande bien si c'est mon apparence bestiale qui affecte le jugement de cette mission. Mais peu importait, j'acceptai la mission et me mit en route, emportant mon katana, un fil long de cinq mètre et une sacoche latérale.

Je suivis les traces laissé par les précédentes attaques de créatures, celles-ci me conduisaient en dehors du village, mais ne passait pas par la porte, un minuscule passage qui passait par le terrain d'entrainement. Les traces étaient encore fraiche lorsque je me baissa pour toucher le sable du terrain sur lequel reposait les empruntes. Pour plus de sécurité, je dégainai mon katana qui se trouvait attaché à mon dos, m'apprêtant à une attaque de la part de l'ennemi, mais pour le moment, rien ne vint, seulement le silence.
En m'engouffrant dans le mur, je découvrit une caverne, apparemment vide, au centre de la cavité se trouvait un feu de camp éteint. En m'approchant pour toucher les cendres, la froideur de celles-ci m'apprit que l'ennemi s'était déplacer depuis quelques temps déjà. Mais il avait éteint le feu précipitamment, la terre qui se mêlait aux cendres donnait l'information qu'il avait éteint le feu en jetant sur lui un seau de terre. Pourtant les traces étaient fraîche...
C'est en entendant un grognement que je me retournai, armes à la main. Face à moi, deux molosses. Des loups ou des chiens, cela je ne saurais le dire, mais ils étaient plutôt imposant dans cette lugubre caverne.
Les chiens se jetèrent sur moi, alors je plaçai mon katana en sens inverse le tenant lame vers le bas. Là je me mis en position de parade, alors que le chien tentait de me mordre au niveau du bras, le lame reposant contre celui-ci lui décapita le haut du crâne lorsque qu'elle s'élança d'un seul coup. Le second avait déjà commencer son attaque par derrière, mais je me servit de l'élan de mon arme pour la ramener vers mois, et l'empaler sur celle-ci de la gueule à l'arrière du crâne.

Mes ennemis défauts, je suivis les chaudes traces qu'ils avaient laissé derrière eux. Celles-ci prirent une direction différente du reste des races, ce que je n'avait pas remarquer auparavant. Ces traces continuait dans un dédale de la caverne et finalement sortait du village pour se rendre dans la forêt entourant le Konoha. Grimpant aux arbres, j'inspectais trouver des animaux de ce fameux dresseur. C'est au bout d'une dizaine de minutes que je vis les bêtes patrouiller au sol, jusqu'à ce qu'un horrible son m'agressant les oreilles ne les fasses rappeler. J'entrepris donc de suivre les animaux vers la source du son qui me brouillait légèrement l'esprit.
Les animaux s'arrêtèrent devant un homme de grande taille, encapuchonné.

-Ainsi donc, Konoha m'a envoyé ses propres bêtes de chasse.

Je réprimai un frisson lorsqu'il regarda dans ma direction, son sourire mauvais me rappelait de mauvais souvenir du temps où je vivais dans ce laboratoire, il porta à ses lèvres un sifflet et souffla dedans un grand coup. Le son me fit l'effet d'un coup de marteau en pleine tête, au point que ma vision se trouble.

-On dirait que cette chose te fait de l'effet.

Je sentais qu'il était satisfait, mais également son intention malsaine envers moi. Alors lançait mon katana dans sa directe, katana qu'il esquiva bien facilement et qui alla se planter derrière lui. Son rire devant ma maladresse ne provoqua aucune réaction chez moi. A vrai dire, mon intention première n'était pas de le toucher, j'avais bien autre chose en tête. Alors qu'il allait souffler une nouvelle fois dans son sifflet, d'un mouvement de poignet, je rompit l'objet en deux grâce à un fin fil raccordé au katana par la garde. Le tout enroulé autour de l'un de mes bracelet.
Le sifflet coupé, je tirai un grand coup sur le fil pour ramener à moi le Katana préalablement lancer, profitant de l'élan acquit par celui-ci, je découpa les trois bêtes protégeant leur maître alors que les autres fuyaient libéré de l'emprise du dresseur. En réaction à mon précédent assaut, il jeta vers moi trois kunaïs qui je m'empressai d'esquiver à l'aide d'un simple saut en hauteur, profitant de cet instant pour projeter de nouveau mon Katana et une foi celui-ci planté au sol, d'un mouvement de poignet je produisis trois cercles qui allèrent se serrer contre le corps du dresseur, l'immobilisant. Hors d'état de nuire, je m'approcha et fini de le ligoter avant de récupérer les trois kunaïs et de retourner au village avec ma prise.