En voilà une belle chose de faite. Kiri, le village caché de la brume au cœur du pays de l’eau. En soit, le tyrannie de Nariamo avait fait de cet endroit un lieu craint puisque sanglant et dangereux, mais après la chute de Nariamo et la prise de pouvoir d’Hashirama, ce village est retomber dans l’ombre, redevenu calme et saint, le village capable de remonter et retombé aussi vite, nul doute qu’il ne vaut finalement rien de plus qu’une écurie de bas étage. Pour qu’ils comprennent, une seule solution s’imposait, prouver à tous la valeur décadente de la défense de ce village, c’est d’ailleurs en partit avec ce but là en tête que Makkura et moi, deux des hôtes de Kiri avons décidé de faire sauter un quartier de Kiri avant de finalement prendre la fuite sous une pluie de feu, un événement particulièrement jovial et pour le moins plaisant. Je pense que je me souviendrais à jamais de ce moment précis, mais l’heure n’est plus à la fête, on doit maintenant se décider, faire quelques chose de censé, de précis, on doit être au point rapidement, nous n’avons guère le choix après tout. Nous ne sommes que deux âmes égaré, mais il est hors de question que les choses restent ainsi ! Dans mon esprit, j’avais déjà une petite idée. Descendant de l’arbre sur lequel nous étions montés un peu plus tôt, c’est en direction de l’ouest que nous avancions, le but était simple, réquisitionner un bateau au plus vite. Le seul bateau sur le départ était un pauvre bateau de croisière pas entièrement plein, mais avec quand même un beau pactole de monde à l’intérieur, uniquement des proies sans valeur malheureusement. La nuit était déjà au rendez-vous, la lune était pleine et bientôt, elle sera rouge, le sang coulera cette nuit précisément !

C’est en passager clandestin que nous montions dans le bateau, pas très grand, surement une croisière bon prix pour des personnes qui n’ont pas de fort revenu. Le pont était vide, tout le monde devais déjà être en train de se reposer dans les cabines prévu à cet effet, parfait. Avançant alors délicatement, je restais discrète afin d’alarmer personne, chacun des passagers se devait de rester bien calme et surtout de mourir. A première vue, une vingtaine de cabine, parfait on s’en fait dix chacun. Ouvrant doucement la première cabine, une femme se tenait là, debout, me tournant le dos. Je dégainais rapidement mon katana et d’un geste rapide de la droite vers la gauche, je lui tranchais la tête qui roulait un peu par terre avant que le corps ne s’effondre d’un coup. Posant ma main dans le sang de la victime, je sortis et fermais la cabine avant d’y inscrire une croix avec ce même sang. Cabine numéro 1, terminé. Place maintenant à la seconde cabine, comme précédemment, j’entrais doucement, il faisait noir, je laissais la porte ouverte. Un vieux couple allongé, dormant profondément, quel dommage. Dégainant cette fois mes deux katana, je les leurs plantais directement dans la gorge puis les rangeais à nouveau, même principe, trempant ma main dans leurs sang, je fis une croix à l’extérieur de la porte après l’avoir fermé. Dans la troisième, je fus pour le moins surprise, une femme et deux enfants, intéressant cette fois-ci. On va faire les choses en simple, je crachais une boule de poil dont des milliers de pics enflammé sortir transperçant ainsi les trois personnages qui n’eurent pas la moindre chance. Sortant mon kunai, je tranchais la main de la mère et dessinais une croix sur la porte avant de balancer la main à l’intérieur et de fermer la porte, trois ! Crachant une nouvelle boule de poil, je fis apparaitre un clone qui prit mes deux katana, de mon côté, j’utilisais la technique de mon clan pour faire apparaitre deux haches de lumière. Nous étions prêt, moi à la porte quatre et mon clone à la cinq, nous avions toute deux une personne à abattre, nous entrons et tranchions tranquillement la tête de chacune de nos victimes puis, toujours de la même manière inscrivions une croix de leurs sang sur la porte.

Les choses semblaient avancer plutôt rapidement pour moi, place à la sixième chambre, je réfléchissais tranquillement puis entrait et bien dites-moi, voilà un homme et une femme entrain de faire joujou, vous ne voyez pas ? Très bien, si vous préférez ils étaient clairement en train de baiser. Du plat de mon katana, j’assommais l’homme, le tirais vers l’arrière et mis ma main sur la bouche de la femme avant de la bâillonner avec un morceau du drap du lit. Un sourire sadique, je m’asseyais sur ses jambes passant mon kunai sur son visage en lui faisant signe de rester calme, puis j’approchais mes doigts de son vagin quand soudain... je lui insérais à l’intérieur de se dernier un violent coup de kunai avant d’y faire des mouvements brusque, elle hurlait de douleur, hurlement comblé par la bâillon, mais rien de mortel dans tout cela, quand soudain, j’eu une nouvelle idée grandiose. Sortant mon fil ninja, j’attachais chacun des membres de la femme au lit puis me dirigeais vers l’homme et lui coupais le pénis d’un violent coup de kunai, vu l’allure à laquelle il se vidait de son sang, je ne lui donnais pas une grande survie. M’approchant maintenant de la femme en pleur, je lui insérais le pénis dans la bouche puis lui remit le bâillon, mourir étouffer de cette manière, quel dommage vous ne trouvez pas ? Après quelques minutes et une survie toujours là, je lui pinçais le nez et la laissa suffoquer voyants ainsi toute la terreur et la tristesse dans ses yeux. Et hop une nouvelle croix, sixième cabine ok.

Entrant maintenant dans la septième cabine, je ne pu m’empêcher de donner un violent coup de sabre faisant activement gicler le sang, tachant cette fois encore mon joli vêtement ainsi que mon visage angélique, je sortis avant de dessiner une nouvelle croix. Huitième cabine, cette fois ci, seulement des enfants, c’est tellement dommage qu’ils n’aient que si peu vécu... Je m’approchais tout en grandissant mes ongles alors qu’ils dormaient profondément et les transperçais la gorge, pas le temps de souffrir, c’étais pour ainsi dire mieux pour eux. Même principe de croix puis je me dirigeais vers la neuvième et avant-dernière chambre, ici un vieil homme, seul, en train de se changer. Il me tournait le dos, je sortis mon katana, lui tranchais la tête puis balançais cette dernière par le hublot histoire de laissé à cette belle mer bleu un petit souvenir de mon passage ici. Une croix sur la porte et c’est maintenant la dixième porte que je regardais, je me léchais les lèvres, j’avais déjà mon idée merveilleuse en tête. Entrant dans la pièce, un homme était là en train de dormir, parfait. Coupant un bout de drap, je le bâillonnais avant de m’assoir sur lui pour le retenir au mieux. Je finis par lui attacher chaque membre à un barreau du lit puis me relevais, je lui arrachai l’entière totalité de ses vêtements, le laissant ainsi complètement nu. Je laissais glisser ma main sur son corps histoire de lui donner des idées saugrenue, mais la vue du sang sur moi emplissait ses yeux de peur, décidemment, aucun défi intéressant sur ce bateau. Sortant un de mes katana, je devais faire les choses rapidement pour mon plaisir personnel. Je lui tranchais donc un premier bras, les larmes aux yeux il tentait de me supplier d’arrêter, mais non, je lui sectionnais maintenant la jambe opposé qui le fit crier d’autant plus, je le voyais se vider de son sang, je lui sectionnais donc la seconde jambe, son rythme diminuait, ses yeux se fermèrent, connaissance il perdait, mais non, je sectionnais son deuxième bras suffisamment tôt pour qu’il puisse pousser un dernier hurlement avant de s’effondrer. Lui tranchant maintenant la tête, je rangeais mon katana pour sortir un kunai. Je lui sectionnais les doigts ainsi que les orteils un par un et les disséminait un peu partout dans la cabine. Elevant le bâillon, je fis pareil avec la langue et les oreilles ainsi que son appareil génital. On peut dire qu’ici, je n’ai pas fait dans la dentelle, cette chambre me plait vraiment. La six et la dix seront dès maintenant mes chefs d’œuvres. Sortant de la cabine et dessinant donc ma dixième croix, j’attendais Makkura avant d’aller rendre une petite visite au capitaine. La croisière s’amuse ce soir !

Et bien, les choses avaient l’air de se préciser petit à petit. Nous venions de faire notre petit jeu chacun de notre côté tuant certaines personnes, en faisant souffrir d’autre et pour d’autre, je ne saurais même pas comment le qualifier tellement la torture dû être insupportable. Je le vois dans vos yeux, vous êtes certainement en train de vous demander si par hasard nous prenions un malin plaisir à faire cela, et bien non, je prends carrément mon pied moi ! Enfin, peut-être que je m’égare du sujet là... Je regardais mes portes d’assès loin, ma décoration était parfaite, une croix par porte, c’est mieux que dans les récits de Moïse, il ne suffit pas de marquer pour être sauver, non, vos portes sont marqués quand l’ange est passé, c’est bien différents. Porte non marqué je ne suis pas rentré et donc forcément des personnes susceptible de survivre, mais en face, il y avait Makkura, il avait l’air d’avoir pris des cours de sadisme le petit, intéressant. Suivait de ce fier aux quelques cris à peine audibles qui sortaient des pièces les uns après les autres. Il finit par me rejoindre, nous nous trouvions là, devant l’escalier montant dans la cabine du capitaine. Passants devant la salle des machine, j’ai pris la permission d’entrée, mais personne, la pièce était complètement vide, très bien alors autant continuer. Il ne nous fallut que très peu de temps avant d’arriver devant la cabine du capitaine, Makkura décida de me laisser m’occuper de cela, parfait. Entrant la première je mis directement ma main sur la bouche de l’homme histoire de l’empêcher de parler de crier ou quoi que ce soit d’autre, la vue du sang sur moi lui fit écarquiller les yeux, doucement la peur s’emparait de lui, il comprenait ce qui lui arrivait dirait-on. Je le regardais avec toujours ce même sadisme et cette soif de sang grandissant à vu d’œil, je déposais ma main sur son appareil génital avant de me lécher les lèvres pour préparer mon discours.

« Je suis sure que tu sais t’en servir correctement n’est-ce-pas ? Alors écoutes moi bien ! Tu vas diriger ce bateau vers le sud, des îles jusque lors inhabités y sont répertorié, tu vas nous déposer là-bas. Inutile de hurler personne ne pourra t’aider, au moindre signe qui ne me plaise pas ou si jamais tu essaies de nous fausser compagnie, tu vois ma main, et bien elle te les brisera en tellement de morceaux que même un puzzle ne comprendrait pas autant de pièce ! »

Je pense avoir été suffisamment clair avec lui, il se leva alors que je le lâchais et marchait doucement jusqu’à la barre, ne faisait aucun geste superflus. Il saisit le gouvernail et dirigeait le bateau là où je venais de le lui demander, parfait. Restant à la barre, il jeta l’ancre au port et moi je l’assommais d’un lourd coup dans la nuque puis d’un kunai je lui ouvrais l’estomac. La douleur étant telle, qu’il ne pu s’empêcher de se réveiller, ai-je oublié de préciser que je suis avant tout médecin ? Toujours avec mon kunai, je lui sectionnais l’estomac, compressait le cœur et les poumons, je m’amusais clairement avec ses organes internes jusqu’à ce que par accident je ne compresse trop fort le cœur, tellement fort qu’il céda en ce brisant, dire que j’aurais pu encore m’amuser quelque minutes. Je crois que je n’avais jusqu’à présent jamais entendu quelqu’un hurler autant, ce fut divertissant. Dommage, l’éclatement du cœur provoqua une nouvelle giclée de sang qui vint repeindre à nouveau ma robe et une partit de mon visage, tant pis. Me relevant, je regardais activement Makkura qui dû me comprendre presque aussitôt, à nous la recherche d’une terre ténébreuse !

Pour notre plus grand plaisir, le bateau entier vient d’être vidé, c’est décider, il sera maintenant mon moyen de transport entre nos terres et les autres lieux. Alors que nous étions arrivé à destination, j’attrapais le capitaine dépecé et le jetais par-dessus bord installant ainsi un début de mer rouge. Vous aurez donc compris pour quoi a appeler la mer rouge ainsi, petite parenthèse sadique à refermer. Descendant ainsi de notre prise, Makkura planta son bâton dans le sol tel un piquet de tente puis s’engouffra rapidement dans l’océan. Il laissa échapper la toute puissance du Sanbi laissant par la même occasion apparaitre un lourd brouillard grisâtre, un sourire morbide apparut sur mon visage quand il laissa échapper un cri terrifiant, les villageois d’ici n’allait pas s’en sortir vivant cela est sur. Me craquant les doigts, j’avançais sagement avant qu’une idée brillante ne me passe par la tête. Je courais comme une folle vers le village, je faisais mine d’être apeuré et mal à l’aise, j’avais mes katana en main et je fus regardé de loin par certains, d’autres mettaient fin à leurs jours en sautant par les fenêtres quel spectacle ridicule.

« Au secours, venez m’aider, mon bateau a été attaquer par un monstre, mes hommes se battent là-bas mais ils risquent de rapidement perdre la vie, aidez moi je vous en pries ! »

Stratégie payante à première vue, des hommes armé de katana, kunai et autres armes en tout genre se rassemblèrent vers moi, certains voulurent même savoir ce qu’il se passait exactement par là-bas. C’est alors, qu’avec un sourire des plus sadiques, je me levais et sans même perdre une minute regardais chacun des hommes présents ici, autour de moi.

« Oops, j’ai oublier de vous dire, le monstre, c’est moi ! »

Sans même laisser le temps de comprendre les choses, je tranchais la tête des deux premiers hommes sans trop me fatiguer, laissant alors sortir quatre bras de lumière dû à ma capacité de clan, je ramassais les deux katana et entamais la suite, perforant maintenant quatre hommes en une fois, la plupart apeuré reculèrent sans trop comprendre ce qui était en train de se passer, nous sommes des monstres et nous le vivons bien ! Je tailladais rapidement les chevilles d’un pauvre homme puis lançais sur les côtés les deux katana ne m’appartenant pas, je rangeais les miens et fit disparaitre mes quatre bras supplémentaire, une nouvelle idée venait de me traverser l’esprit, j’allais bien me marrer en tout cas. Sautant sur le premier, je lui attrapais la tête et lui fracturais la nuque d’un coup sec tel un animal enragé, voyant un courageux s’avancer, je fit sortir mes ongles et lui transperçait aussitôt l’abdomen avant d’y planter ma seconde main et de tout arracher en poussant sur les côtés droit et gauche pour y faire sortir mes ongles. Me retournant maintenant, je plantais mes doigts dans les yeux du plus proche, le mis à genou puis lui ouvris la bouche, y insérant mes doigt, je laissais sortir un peu de la puissance du Nibi afin de me donner la force nécessaire pour lui arracher la mâchoire. Du sang, il y en avait de partout, certains mettait fin à leurs jour par eux-mêmes pour ne pas avoir à souffrir, mais c’est peine perdu. J’en vit se trancher les veines, c’est alors que je m’approchais avec un grand sourire et appliquait un soin pour refermer sa blessure, je pris mon kunai et lui ouvris l’estomac avant de lui mettre son tube digestif dans la bouche, il étoufferait avec ou mourra vider de son sang, à voir... Je me levais à nouveau et c’est d’un coup de poing que je fracturais le nez d’un autre homme qui s’effondra au sol en criant, peu m’importe le nombre de mort ou de cris, plus il y a de sang et plus je veux du sang ! M’asseyant sur lui, je lui déboutonnais le pantalon, saisis son sexe et l’arrachais avec les dents avant de le recracher et de l’enfourner dans la bouche de celui qui approchais. En l’enfonçant suffisamment, il fini par s’étouffer avec, je ne suis pas sure qu’il y ais une mort plus honteuse au monde. Mon sourire ne cessait de s’accroitre au fur et à mesure que je me recouvrais du sang de mes victimes, pauvre Makkura, il loupe quelque chose d’exceptionnel. Il ne semblait pas rester grand monde, et tout ceux étant dehors avait déjà les genoux qui claquaient, faible, seulement des hommes faibles, j’ai perdu mon temps ici moi ! Tss faisons leurs comprendre un peu les choses. Étant maintenant tous rouges à causes des giclures de sang, je ne comptais pas déjà m’arrêter en si bon chemin, il n’y avait ici que des villageois, pas le moindre ninja, logique que cela ai-été aussi simple finalement.

« A compté de ce jour, je fais de ce village mon lieu de résidence ! Je n’ai guère besoin de faiblard dans votre genre, à votre place je ferais mes dernières prières ! »

Je ne pensais pas si bien dire, un homme ce mit à genou devant moi la tête en avant et me priait de l’épargner, je m’approchais doucement, passais ma main sous son menton pour qu’il me regarde une dernière fois puis je lui fit un sourire lumineux et sympathique histoire qu’il pense que je pourrai avoir de la pitié, c’est alors qui me fit lui aussi un sourire se sentant surement hors de danger. Je lui saisis le crane et l’écrasais violemment contre le sol avant de sauter dessus à pieds joint à plusieurs reprises jusqu’à ce que le crane n’explose complètement, d’autres amateurs ? Je ne pu m’empêcher de laisser échapper un rire après cela, j’étais vraiment machiavélique et j’aimais ça, ce village n’est plus, à compter de ce jour, il est à nous ! Regardant les trois derniers hommes debout, je me léchais les lèvres, ils reculèrent doucement, mais pour eux, ce n’était qu’une question de minutes. Prenant un katana au sol, je fonçais et tranchais la tête du premier, je plantais le katana au sol et mis la tête par-dessus tel un trophée, encore deux. Je sautais sur le second, lui mordit une oreille jusqu’à le la lui arraché et fit de même avec la seconde, il hurlait de dégout alors que le troisième s’asseyait au sol la tête entre les jambes tant il était apeuré. Continuant avec le mien, je lui attachais les jambes ensemble avec du fil solide et m’asseyais sur son entre jambe avant de lui prendre une première main et d’utiliser toute la puissance du Nibi pour lui arracher les doigts un par un avec les dents, je fit cela sur les deux mains, ses cris de douleurs résonnais de plus en plus, me procurant d’ailleurs un réel plaisir à continuer. Il souffrait et saignait abondamment, pas sur que je puisse finir avant qu’il ne soit entièrement vidé. Je lui ouvris finalement la bouche et approcha ma bouche jouant ainsi avec ma langue dans cette dernière pour qu’il fasse exactement ce que j’attendais. Il tentait au mieux de ne pas toucher la mienne, mais fini par la pousser trop loin, rentrant ma langue dans ma bouche, je mis un nouveau coup de dent des plus puissant et lui arrachais la langue que je lui crachais finalement à la figure. Malheureusement il semblerait que le jeu soit terminé, les yeux fermer il ne répondait plus à rien, il s’était étouffé avec son sang ou déjà vider ? Vraiment pas de chance moi... Regardant le dernier homme, je ne pu m’empêcher de rire.

« Qu’est ce que tu attends ? Par, cours, je te laisse tranquille estimes toi heureux ! »

L’homme écarquilla les yeux puis, sans un mot, sans un bruit il se leva, se tourna et se mit à courir... En fait non, il s’écrasait complètement à même le sol hurlant de douleur. Je me relevais et alla m’assoir sur son dos.

« Tu ne pensais tout de même pas que j’étais sérieuse ? Je t’ai entaillé les chevilles tout à l’heure, à ton avis, pourquoi je n’ai pas mis fin à ton calvaire tout de suite ? Je voulais d’abord que tu souffres, puis que tu ai peur ensuite, que tu vois tes amis se faire détruire les uns après les autres sans rien pouvoir faire et pour finir, que tu sentes ton heure arriver juste après avoir eu un espoir infime. Si ça peut te rassurer, tu rejoindras tout le monde, et ensuite, j’irais m’occuper des femmes et des enfants qui se sont enfermé dans chacune des maisons ici présente, il n’y aura aucun survivant ! »

« Kimary, tu es démoniaque tu le sais ? Dommage que tu te sois allié à cette saleté de tortue ! »

Tss, faut toujours qu’il l’a ramène quand je m’amuse ce chat... Il le sait pourtant ! Mettant les mains sous le menton de l’homme au sol, je déposais mes genou en bas de son dos et tirais, tirais encore et tirais toujours jusqu’à ce qu’un hurlement suivit un craquement intense, voilà comment on détruit une colonne vertébrale. Là il souffrirait, cela est sur, mais moi ça ne me suffit pas, d’un coup de katana, je lui tranchais un pied puis le lui enfonçait dans la bouche encore et encore, une résistance ? Peu importe, je forçais encore et encore sans m’arrêter, plusieurs fois il fit mine de vomir puis fini par relâcher tout ses membres, c’est en le laissant tomber que je pu voir l’effet merveilleux, il venait de s’étouffer avec son propre vomis, n’est-ce-pas merveilleux ? Je me relevais et regardais vers l’eau.

« Dépêches-toi la tortue, on a encore du travail ici ! »

Makkura me rejoignit rapidement et enfila le manteau de l’un des hommes allongé au sol par ma main, la tortue était en train de jouer au pervers nudiste et ça na me plaisais guère, il valait mieux pour lui qu’il se cache s’il ne voulait pas que je la lui coup si vous voyez de quoi je veux parler... Sur le chemin, il semblerait que nous rencontrions enfin des personnes intéressantes, mais pas assès nombreuses pour que l’on s’amuse à deux à première vue. Makkura alla s’amuser un peu lui qui n’a fait que forcer les gens à mettre fin à leurs propres jours en se défenestrant par si et là. J’avais sagement gardé le bandeau de Kiri accroché en cas où un survivants est dans l’idée d’aller se plaindre, ils iront tous jeter leurs dévolu sur ce satané village de pourri, le plan va débuter surement plus rapidement que prévu. Alors que je passais maintenant au milieu des corps qui jonchait le corps, exploser par la main de Makkura, je sortis mon katana et plantais la gorge d’un type qui respirais encore, certes j’ai parlé de survivants, mais chaque personne que je croise se doit de mourir, c’est ainsi qu’on le veuille ou non je ne peux guère changer les choses. Entrant maintenant tranquillement dans le palais ou du moins ce qui semble en être un, nous tombions nez à nez avec une vingtaine de pauvres hommes armées d’épée, Makkura me fit un signe qui me plu particulièrement, dix chacun, cela me rappelait étrangement le bateau, avons-nous le temps ? Devons nous nous dépêcher, je vais voir. Makkura fut le premier à foncer en activant le manteau de bijuu, moi non, je gardais mon chaton bien au chaud volontairement, je ne voulais pas qu’il s’enrhume le pauvre petit, ou plutôt qu’il dise que c’est lui qui a tuer, entre lui et moi c’est aussi une petite guerre de celui qui en tuera le plus. Sortant mes deux katana, je partis immédiatement croiser le fer avec chacun des dix hommes présents. J’ai toujours été une manieuse d’armes exemplaires, ce ne sont pas les dix pauvres petits personnages présent qui me feront peur ! A plusieurs reprises on pu entendre l’acier se croiser mais à chaque fois le même cri de douleur s’en suivait. J’avais deux katana, ce n’est pas pour rien, surtout que je pouvais en faire apparaitre deux de plus à ma guise. Les hommes s’écroulaient les uns après les autres, je n’avais même pas envie de jouer avec eux, ils ne m’intéressaient guère pour dire vrai. Une fois les dix bonshommes tombés inertes au sol, je rejoignis Makkura et nous finissions notre ascension. Arrivé au sommet de la tour, la tortue engagea le combat contre le chef le premier allant même jusqu’à le bruler vif avant de me dire d’en finir, tss je ne suis pas une finisseuse moi ! Attrapant l’extincteur, j’éteignis le feu puis le soigna assès rapidement.

« Je suis vraiment désolé, mon ami à profiter du fait que vous ne craignez pas la douleur pour vous tester, il ne connait rien à l’art de la terreur. »

« Mais qui êtes vous ? Que voulez vous ? »

« Qui t’as autoriser à ouvrir ta grande gueule ? »

D’un coup de poing je le renvoyais au sol et me mis sur lui, frappant son visage à mainte et mainte reprise, pas un mot, pas un bruit, rien. Je ne pu m’empêcher de sourire devant cette scène merveilleuse, j’allais enfin pouvoir m’amuser tranquillement. Sortant mon kunai, je plaçais mes genoux sur se bras afin qu’il ne se débatte plus, puis lui sectionnais chacune des deux oreilles que j’envoyais derrière moi, il ferma les yeux oh comme c’est mignon, il ne dira donc pas qu’il souffre ? Très bien ! Tenant fermant ses bras avec mes mains, je me tournais, je fis ainsi de sa tête mon siège en lui lançant assès de place pour respirer, tant qu’il ne hurle pas je continue, je l’empêche de crier ? Oui et alors ? Sectionnant son habit sacré, je lui entaillais rapidement le corps usant de l’une de mes techniques pour calmer les saignements et être sure qu’il ne se vide pas. Je mis une main à l’intérieur ayant besoin de l’autre pour ma belle technique puis trifouillais un peu partout, avec quoi je peux jouer... Je lui enlevais presque aussitôt un rein, un seul devrait suffir, pas de bruit ? Dommage, mais quelque chose de mieux que des cris, j’avais le postérieur qui devenais légèrement humide, j’écartais les jambes et l’entendis enfin crier à l’aide et me supplier d’arrêter, oh mais non, je viens tout juste de commencer, il souhaite déjà mourir... Je resserrais les jambes histoires de faire cesser ce bruit et continuais à trifouiller, voyons voir... Je pris le tube digestif et le sortis de son corps, il me gêne, bien sur rattacher à l’estomac et tout le reste il en devenait gênant. Puis une idée me vint, si je sortais tout ? Je commençais par sectionner un peu de partout sortant le second rein puis un poumon suivis du second, le cœur... Non mais qu’elle conne je fais... Je me relevais, le bas de ma robe saleté trempé par les larmes du moine je n’aurais peut-être pas dû commencer par les organes vitaux moi. Ouvrant la fenêtre je balançais chaque chose découpée dans des directions différentes.

« La bénédiction de l’ancien chef ! A tous les survivants, bien qu’il n’y en ai plus, je vous saignerais de la même manière ! »

Peut-être étions nous des monstres, peut-être étions nous cruel, mais pour moi tout cela n’avait rien de cruel, chaque chose était désormais à sa place !

« A compté de ce jour nous établirons notre campement de base ici ! C’est à partir d’ici que nous agirons, nous avons déjà le bateau après tout, n’est-il pas magique ? Nous n’avons plus qu’à nous hâté de commencer désormais ! »

C’est ainsi qu’un toute nouvelle organisation vit le jour, mesdames et messieurs, laissez nous vous présenter Izanami !