La brume qui deviendra notre quotidien est bien là, cette atmosphère pesante et humide que donne se brouillard. Je pensais à toutes ses choses qui a bien due se passer dans cette brume, les meurtres, le sang qu’a dus verser se village. Enfin le passé est un livre déjà écris. Il me faut aller de l’avant, regarder au travers de cette brume et trouver ma propre voie, j’ai quitté mon village pour des raisons qui semblent bien futile. La première étant celle de trouver ma propre destiner qui me semble pas être malheureusement prêt des miens, et une sorte de voix qui me disait qu’une personne m’attendait, cette voix j’ai pu l’entendre, elle venait en direction d’une femme que j’ai vue il y a peu de temps, je lui confis un objet précieux pour moi afin que sceller comme une confidence entre nous et voilà le moment attendu, viendra t’elle ou partirai-t-elle avec l’objet sans aucun scrupule. Je ne pense pas qu’elle me fasse un tel coup. J’attendis donc dans la ville, en haut d’un grand building, l’espace que donnait le toit nous laissait une centaine de mètres de terrain et les autres buildings étaient bien trop petit pour tenter de sauter dessus.
J’arrivais avec une vingtaine de minutes d’avance. La pluie ne tombait pas, mais elle nous menacait de le faire dans peu de temps, une chose qui fera surement disparaitre la brume. Bonne chose ou mauvaise je ne le sais pas, mais ce que je sais c’est que ce climat n’est pas mon préféré. Je prit mon épée dans ma main gauche et regarda mes deux lames, je sus depuis peu que l’épée que j’ai depuis mon enfance est l’une de ses sept épées si légendaire, je regardais les lames, puis je la laissa fendre l’aire de deux coups posés dans le vide, je me mis a rigoler en repensant au nombreuses attaques foirés que j’ai pu faire en voulant la maitriser, puis je me remémora ma toute jeunesse quand je m’amusais a tenter de prendre cette arme sans l’accord de mon père.
Enfin j’arrêta de rêvasser puis je marchais jusqu’à un angle du building puis m’accroupie regardant au loin, même si la brume m’empêchait de voir quoi que ce soit cela m’apaisa. L’heure tourne et j’entendis comme un bruis