Tu parles d’un travailleur... Depuis que tu es arrivé à Konoha tu n’as pas fait grand-chose pour le village je te le rappelle. Tu es censé accomplir un travail, gagner des Ryos pour pouvoir montrer au village que tu n’es pas qu’un blondinet bon à rien et mari de la Hokage... Oui c’est vrai, c’est moi qui ais rajouter le bon à rien, mais pour le reste c’est sérieux, quand les gens te croise, ils parlent de toi comme étant le mari de Rukia-sama pour reprendre leurs dires. Est-ce donc là cette image que tu veux donner de toi ? Quelqu’un qui se la coule douce parce que sa femme est Hokage ?... Ce n’est pas le cas ? Vraiment ? Laisses moi en douter, qu’à tu fais pour le village ? Rien ! Qu’à tu fais pour la nouvelle Hokage ? Rien ! Qu’à tu fais sur un plan personnel ? Rien ! En fait laisse moi te rappeler que tout ce que tu as fait à Konoha c’est trouver un appartement, emmener Rukia, te prendre le bec avec elle et te prendre une raclée par Lin et Ayane. Ah oui, tu as aussi demandé à intégrer une équipe de ninjas alors que tu sais pertinemment qu’elle ne vaudra jamais celle que tu avais avec Lin et Kokoro. Honnêtement, tu crois sérieusement que les villageois et les autres ninjas de Konoha te verront différemment avec tout ça ? Tu devrais sérieusement songer à te bouger le train arrière car à cette allure tu va devenir le fardeau de Rukia crois-moi... Je parle sans savoir ? Es-tu seulement sur de toi ? En tout cas si je peux me permettre, tu veux faire plaisir à Rukia ? Tu veux lui montrer qu’à ta façon tu la soutiens ? Que tu es avec elle malgré qu’elle pense le contraire ?... Très bien, alors premièrement rends-toi la tour du Hokage, secondement demande un travail. En voyant que tu t’impliques dans la vie de son village, elle comprendra aussitôt que tu la soutiens, d’un autre côté, tu ne seras plus juste son mari, tu seras aussi un ninja de Konoha en commencement, tu comprends ?

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Je vois très bien ce que tu veux dire oui, en fait, je te l’accorde, tu as peut-être bien raison aujourd’hui encore. Accepter un travail quelconque lui ferait certainement plaisir et elle est intelligente, elle comprendra que je le fait pour elle et non pour une raison quelconque, à moins qu’elle ne se monte encore la tête et qu’elle pense que je fais ça pour assurer son avenir, elle en serait capable. [Bon tu te décide quand à arrêter tes conneries ?] Euh... je ne sais pas désolé. Mais dans le fond est-ce si important ? M’enfin peu importe au final je pense que l’on s’en fou un peu non ? Voyons voir, attend que je regarde, il me faut ça, ça et enfin ça, parfait c’est bon. Ru-chan avait de moins en moins de temps pour elle, il lui fallait un temps fou pour s’occuper du village, au final il fallait que moi j’assure derrière n’est-ce pas ? Mais il est vrai que par fois ça me pèse, et puis cette saleté de dispute de la dernière était vraiment idiote, m’enfin j’ai vu à quel point je tenais à elle au moins, bien plus encore que ce à quoi je m’attendais et puis bon on a pu mettre certaines choses au point, ce n’est pas pour déplaire non plus. Je m’étais donc lever du bon pied ce matin quand à la porte on vient frapper, à cette heure ci ? [Euh fais gaffe tu es en caleçon.] En caleçon ? Oh merde merci de me l’avoir signalé, je sautais donc dans un pantalon en urgence et partit ouvrir la porte, il s’agissait là d’un homme assès grand mais plutôt gringalet, un tantinet roux même, ses parents ne l’ont clairement pas aider le pauvre, c’est ce jeune homme d’ailleurs qui me remit un parchemin sous ordre direct de l’Hokage apparemment. Je le remerciais et claquais la porte blindée derrière moi afin d’ouvrir cela. Je regardais et ô surprise, ô désespoir, [Quel bon acteur !] merci. Il s’agissait là d’un ordre de mission, mieux que d’aller le chercher, il venait à moi n’est-ce-pas merveilleux ? [Pas vraiment, c’est le Hokage qui l’envoie donc Rukia, tu fais le rapprochement ?] Oh merde non ? Ça veut dire que je ne vais pas pouvoir lui faire la surprise de bosser ? Ô ciel c’est impossible, que vais-je faire, que vais-je devenir si elle passe son temps à me prendre de cours ? [Tu as fini ? Je ne crois pas que ta mission te demande de faire du cinéma...] Hein !? Oh oui en effet, il faut que... j’aille à l’académie et que je parraine un élève ? Oh non quelle merde, pourquoi elle m’envoie faire ça ? Elle veut vraiment que je m’occupe d’un enfant ? [Et bien, s’il n’y a pas de sous-entendu là-dessous je ne m’y connais pas.] Bah tu dis n’importe quoi évites de trop l’ouvrir quand c’est pour dire ce genre de chose.

J’avais donc rapidement sauté dans mes vêtements après avoir pris une bonne douche bien chaude, je pris mon petit déjeuner tranquillement, seul, comme souvent d’ailleurs et je me mis en route. Un avantage conséquent c’est que notre appartement se trouvait non loin du centre ville, une rue parallèle et que l’académie se trouve dans le même bâtiment que le bureau du conseil et du Hokage. Cohabiter avec la Hokage n’a pas que des inconvénients, on arrive même à apprendre certains secret, enfin secret, faut le dire vite hein !? Bref arrêtons donc de divaguer, je marchais donc tranquillement dans la rue, la porte avait été parfaitement bien clôturé à dole tour même, j’avançais tranquillement passant dans les rues du village sans même faire trop attention à quoi que ce soit, il faut bien l’admettre, moins j’écoutais les gens parler et mieux je portais, qu’on se le tienne pour dit, entendre des gens rappeler à chaque fois c’est le mari de la Hokage regardez ! Non mais vous croyez quoi bordel ? Je suis une attraction ou quoi ? Bon sang ça m’énerve ça aussi, s’il y a bien une chose qui me fait chier dans le fait que Ru-chan ait été nommé c’est ça, bon sang ils ne peuvent pas m’oublier deux minutes et faire comme ci je n’existais pas ? Ce serait tellement mieux vivable pour tout le monde et surtout pour moi. Ah si, autre fait marquant, les hommes qui vous abordent par moment en vous félicitant que vous ayez une telle femme à vos côtés et patati et patata, ceux là ? Je les écoute encore moins, j’ai promis à Ru-chan de ne pas faire de vague pour la bonne santé de son mandat, il n’est donc pas encore arrivé le temps de taper sur la gueule de tout ceux qui me font ces remarques, manquerait plus que quelqu’un veuille me faire la peau pour espérer récupérer Ru-chan tient... Après tout, j’aurais peut-être plus de chance de trouver des gens correct à l’académie, c’est peut-être pour ça qu’elle m’a confié cette mission non ? [Ou pour autre chose...] Ah non ne recommence pas avec c’est tout simplement impossible ! Je te rappelle qu’elle a de grandes responsabilités désormais ! [L’un n’empêche pas l’autre, mais tu ne serais pas contre hein !?] Arrêtes bon sang, tu ne vois pas que tu me perturbe et que je ne la sens plus vraiment cette requête de Ru-chan. [Oh aller, une petite Rukia ça te dirais bien hein ?] Oh mais n’importe quoi, tu dis n’importe quoi... [Tu n’es pas convaincant, j’en déduis que j’ai raison !]... [Par soucis de bonne santé des uns et des autres, la réponse formulée par Yukio est donc cachée, désolé pour la gêne occasionné.] Merci, ça c’est le genre de chose qui me plait, je te revaudrais un jour. Évitons d’aborder le sujet à l’avenir. Tiens que vois-je droit devant ?

Droit devant moi se dessinait le plus grand bâtiment du village caché de la feuille, ce même bâtiment dans lequel travail Rukia, j’ai levé la tête instinctivement, mais non, elle ne regardait pas dehors, surement trop occupé à faire je ne sais trop quel genre de paperasse en ce jour. Alors que je m’avançais un peu plus encore, l’ordre de mission dans les mains, un homme semblait attendre devant les portes qui donnait accès à l’académie, m’approchant de lui comme un gentleman pour une raison qui m’est encore complètement inconnu, je lui déroulais ce merveilleux rouleau qui sentait si bon après être passé dans les mains de ma Ru-chan et je pu entrer, une femme cette fois me conduisit là où j’étais censé aller. A première vue cet endroit était des plus calme, mais que n’avais pas pensé, cette simple lueur d’espoir était sur le point de disparaitre alors que la femme ouvrit une porte, devant moi c’était la cohue la plus totale, jamais de ma vie je n’avais vu pareil chantier. D’autres personnes comme moi attendais là, eux aussi semblait avoir été convoqué pour cette petite réunion digne de la vente à domicile, mais cette fois les acheteurs, c’était les enfants. Certains étaient calme, d’autre hyper agités alors que certains semblaient avoir un peu trop fait la fête ce soir. Après moi, cinq autres personnes firent leurs entrer dans la salle, j’avais l’impression d’étouffer, nous étions clairement à l’étroit ici, mais que voulez-vous c’est ainsi que les choses doivent se passer. Le professeur ou plutôt l’un des professeurs présents se mit entre les deux camps et prit la parole.

Prof – « Mesdames, Messieurs. Vous avez tous été réunis ici par le nouvel hokage sur notre demande afin de mettre en place pour la première fois la journée ninjas-élèves. Chaque ninja partira avec l’un des enfants, celui qui l’aura choisi. Quand aux enfants, j’ai vu que certains avaient leurs parents ici, interdit de partir avec eux, il faudra partir avec quelqu’un d’autre, seconde règle, réfléchissez bien, je vous appellerais par ordre alphabétique, vous n’avez qu’un choix possible, retour estimé ce soir à dix-neuf heures. Commençons dans l’ordre, de la fenêtre vers la porte, madame nous vous écoutons, petite présentation rapide et nous passerons au suivant. »

Nous étions donc une trentaine à passer et j’étais le vingt-cinquième, autant dire que j’avais le temps de faire une bonne et grosse sieste, mais non, j’étais bien trop curieux de les écouter, il y avait donc genin, chûnin et jônin pas beaucoup de la dernière catégorie je tiens à le préciser en passant d’ailleurs, un ou deux pas plus surement les premiers qui seront choisis, logique ils sont tout de même censé être les meilleurs d’entre nous non ? Certains voulait devenir Hokage, d’autre de grands ninjas ou même de grands médecins, ils avaient tous des buts qui avaient du sens, beaucoup de sens, chaque but était tout ce que l’on a de plus logique non ? Dans le fond ça me donnais envie de rire, ils semblaient tous si pathétiques, surtout ceux qui espèrent devenir Hokage, ils pensent sincèrement pouvoir prendre la place de ma Ru-chan ? Personnes ne lui arriverait à la cheville, ses prédispositions familiales font d’elle la meilleure personne que le village pouvait avoir en ce poste, ni plus ni moins. C’était au tour de la vingt-quatrième personne de se présenter puis viendrais mon tour à moi, que faire, que dire ? Mentir ou dire vrai ? Tout le monde ici me considère déjà comme le mari de l’hokage donc à quoi bon dire une ânerie dans le fond, finalement ce travail m’emmerde plus que prévu, mais je dois le faire n’est-ce-pas ? Il finit et un enfant se mit à rire quand il dit qu’il voulait devenir Hokage, c’est vrai que vu la tronche du type il y avait peu de chance qu’il y arrive, même pas sur qu’il arrive à me battre le pauvre gars. Puis le voilà enfin, mon tour à moi.

« Hum, vous me connaissez déjà non ? Yukio Dia Oerba. Je n’aime pas perdre mon temps avec les détails, je veux juste que l’on me foute la paix et que l’on me voit comme je suis réellement. »

Les professeurs ne semblaient pas vraiment ravis de ce que je venais dire, mais les derniers prirent à leurs tours la parole, peu de chance que l’on me choisisse au moins avec un tel discours et c’était tant mieux, je ne suis pas franchement rassuré de devoir faire cela moi. Nourrice ne fait pas partie de mes attributions bon sang. [Tu verras, garder un enfant c’est assès facile, et puis ceux-là savent déjà se débrouiller tout seul, j’espère que tu en auras un de bien !]Oui j’espère aussi. Le choix pouvait donc commencer, il y a une gamine que je ne sentais pas, depuis que j’avais pris la parole elle n’arrêtait pas de me regarder et en plus c’est bientôt l’heure de manger qu’elle angoisse je vous jure. Enfin une gamine, elle semblait bien plus vieille que les autres je dois bien le reconnaitre. Et le professeur était là en train de faire l’appel encore et encore sans s’arrêter, c’est quand il veut que ça se fini, puis il arriva sur elle, cette fameuse jeune fille que je vois m’observer depuis tout à l’heure, Mikazuki Maeda, tient un nom que je n’avais encore jamais entendu de mon vivant.

Mikazuki - « Moi je voudrais partir avec Yukio Dia Oerba si possible ? »

Prof – « Tu es bien sur de ton choix Mikazuki ? »

Mika – « Pourquoi ? Vous croyez encore pouvoir décider pour moi ? Oui j’en suis sur ! »

C’est avec un léger sourire que je lui fis un signe d’approbation de la tête, bien sur que je l’acceptais et encore plus maintenant que j’ai eu droit à cette merveilleuse scène. Je n’avais pas réussi à saisir pourquoi le professeur de la jeune fille était si opposé à cela, mais peu importe, je partirais avec elle, c’est décidé. Elle est rousse, dire que je m’étais moqué du type qui m’a porter le parchemin tout à l’heure, m’enfin pas grave. Pas très grande, je dirais deux têtes et demie de moins que moi approximativement. Coiffée de deux couettes tombant sur chacune de ses épaules, ses vêtements n’étaient pas non plus coutumiers de la région, son regard était perçant et d’un vert profond, autant le dire, elle était plutôt charmante pour une jeune fille de son âge. [Fais gaffe à ce que tu dis quand même.] Non, mais ça va, faut arrêter de me faire des flans pour rien, tu crois vraiment que j’irais m’amuser à aller voir ailleurs ? J’aime Ru-chan et je ne me vois pas avec qui que ce soit d’autre, et encore moins une enfant cela dit en passant. Mikazuki et moi passions donc la porte de la classe et traversions à présent les couloirs, j’en avais d’ailleurs profité pour regarder rapidement l’heure sur l’une des nombreuses horloges que l’on avait croisé, et c’est directement vers le centre-ville que nous partions. Direction le seul, l’unique, le grand et l’imposant, Ichiraku ! Il ne nous fallut que quelques minutes pour nous y rendre et nous avions aussitôt commandé deux grands bols de ramen à consommer sur place. Parrainage ? Je suis sensé faire quoi ? Ça me gonfle déjà ça.

« Dites, ça vous dérange que je vous appelle juste Yukio ? Parce que Yukio Di Oerba ça fait long et franchement je n’ai pas envie de vous appeler le mari de Rukia-sama, c’est comme ça que vous appel mes parents mais je suis sur que vous n’êtes pas que ça ! »

« Ça me va par contre moi je t’appellerais juste Mika c’est plus cours. Et autre chose, la politesse c’est beau, mais tu peux me tutoyer, on ne va pas se prendre la tête avec des politesses inutiles pour une journée. Dis-moi, pourquoi tu m’as choisi plutôt qu’un autre ? »

« D’accord, marché conclu. Ben je t’ai choisi parce que tu veux la même chose que moi, que l’on te regarde comme tu es réellement. En fait avec mes parents on est pas de Konoha, on vient du pays de la roche et on est arrivé cette année, j’ai quinze ans du coup je suis bien plus vieille que tout les autres élèves, mais j’ai dû commencer ma formation ninja comme tout le monde bien que cela m’embête un peu. Du coup tout le monde m’embête et m’appelle la vieille, l’incapable et j’en passe, mais personne ne comprend ce que je suis réellement. »

« Ah oui ? Tu es un peu comme moi alors en effet, moi je suis le mari de l’Hokage pour tout le monde, c’est bien on devrait arriver à s’entendre du coup tout les deux. Mangeons, bon appétit Mika. »

Nous mangions donc rapidement notre bol de ramens puis nous partions d’ici après que je n’ai payer mon dû. Au départ j’étais là en mission sur ordre de Ru-chan, mais finalement il semblerait que j’ai le droit à quelque chose de particulièrement intéressant et ça me plait bien. La jeune fille et moi devrions arriver à bien nous entendre, je le sens, nous sommes un peu pareil après tout non ? Nous marchions donc tranquillement à travers les rues de Konoha, beaucoup se sont surement déjà rués sur les terrains d’entrainements, mais pas nous, nous avions mieux à faire que cela n’est-ce-pas ? Pourquoi perdre du temps à un entrainement, à des cours ? Non, le principal pour ces jeunes serait peut-être d’en savoir plus sur la vie d’un ninja non ? En fait je n’en sais trop rien, alors que nous marchions et nous discutions un peu de tout et de rien y compris d’où elle venait, de là ou moi je venais et de nos capacités respective, nous finissions par nous arrêter sur un banc non loin de l’académie histoire de ne pas être en retard tout à l’heure pour finir cette journée en beauté, oui nous avions lambiner tout le temps, oui nous avions fait une promenade et rien de plus et oui dans le fond nous nous ressemblions étrangement. La fille de la roche, la raté, et le mari de la Hokage, l’homme de la cascade, que des noms mais jamais le notre, Mika et Yukio était-ce si dur à prononcer ? Étions-nous à ce point des rejetons de la société ? Sur le chemin nous nous étions arrêter, j’avais pris un bouquet de fleur pour Rukia et à Mika je lui avais pris un simple collier de perle que je lui remettais à présent.

« Ça va être l’heure pour toi d’y aller, prend ce collier, ce n’est pas grand-chose, mais quand on t’embêtera à l’académie ou à l’extérieur et qu’ils te donneront encore toute sorte de nom, alors à ce moment là souvient toi de moi par ce collier et montre leurs qui est là véritable Mikazuki Maeda. Si j’ai des missions pas trop dangereuses à faire dans le passé, je passerais te chercher, comme ça on deviendra enfin quelqu’un pour tous ces gens ensemble, ça te dis ? »

« Oh oui super idée, j’adore ! Ce n’est peut-être pas la journée que je m’attendais à passer, mais elle est bien mieux encore, merci Yukio-kun ! »

Un dernier sourire et nous nous levions de notre banc, elle franchi la porte de l’académie et moi celle pour monter dans le bureau de Ru-chan, fleur en main. Arriver en haut je frappais à la porte et entrais après avoir reçu son autorisation caché derrière mon bouquet. J’espère ne pas me faire engueuler pour ne rien avoir fait avec la petite, mais vu l’état de ma main droite, je n’aurais jamais pu m’entrainer avec elle moi...