[Inscription]Makkura

Bonjour,

Je souhaiterais passer l'examen Juunin j'ai l'xp et les ryos o:

Citation :: Un grand chargement d’argent parcourt les terres du monde ninja pour être cacher dans une véritable forteresse. En tant que criminel, vous vous devez d’arrêter le chargement qui servira très probablement à financer une grande partie des fonds des milices et des chasseurs de déserteurs, par contre il est nécessaire que votre nom soit connu de vos assaillants, laisser votre signature, laisser des survivants qui pourront tout raconter ou tout autre chose qui vous viendrais en tête !

Montrer à tous que vous êtes un criminel qui mérite d’être connu.

La paix n’est rien d’autre qu’une illusion. La mort elle, est éternelle.

Aujourd’hui était le jour de mon couronnement, mon couronnement en tant que roi de la cruauté. Aujourd’hui sonnait le début de la fin du monde, le début de l’Apocalypse et le début de la création des plaines de sang. Aujourd’hui j’allais apparaître comme un vrai criminel aux yeux du monde entier, aujourd’hui les gens porteraient leurs attentions et leurs respects sur moi et ils apprendraient à me craindre.
Aujourd’hui en sortant de la salle de la tablette où j’avais passé la nuit au milieu des cadavres d’esclaves sacrifiés à Izanami j’avais l’étrange impression d’avoir changé, d’être plus fort comme si une main invisible me suivait dans mon dos. M’étirant lentement j’observais l’ancien escalier faiblement éclairé par des torches et je m’y à penser que bientôt je ne serais plus seul. Que j’aurais des hommes sous ma coupe et qu’ils m’aideraient à accomplir la prophétie de la pierre. J’avais ouïe dire par des informateurs qu’un convoi comportant une grosse somme de ryos destiné à financer la création d’une milice de chasseurs de déserteurs au sein de plusieurs pays. Cette cargaison d’argent était très précieuse et vitale à la création de l’unité et cet or allait aller dans ma poche et celle d’Izanami. Elle permettrait de financer pas mal d’armes et de recherches pour le compte de l’organisation nous permettant ainsi de s’allouer les services de mercenaires en tout genre pour créer des guerres factices ou des diversions. Comme on dit, l’homme ne voit pas la partie immergé d’un iceberg et il en était ainsi pour les batailles. Sortant de ma tour, je pris la direction du port.
Une fois sur celui-ci je pris le bateau que Kimary et moi avions volé dans le pays de Mizu no Kuni et où nous avions fomenté notre petit jeu sympathique, à savoir vingt cabines, dix chacun et le meurtre pour consigne. C’était d’ailleurs là que j’avais décapité un nouveau-né et que je l’avais accroché sur le mur. Si je visitais encire les cabines du bas je verrais sûrement plein de cadavres en putréfaction. Magnifique. Grandiose. Sublime. Je pris la direction du pays du thé où devait accoster le bateau chargé de la cargaison avant de prendre la route ou plutôt la mer pour la terre ferme et Hi no Kuni. Le pays du thé était deux petites îles séparées par la mer et c’est lors de ce passage entre les deux îles que je passerais à l’action. Je partis du pont et je pris quartier sur l’arrière du bateau où la nuit passa rapidement bien que j’étais excité à l’idée de tuer un nombre de gens remarquable. Au petit matin je fus réveillé par les rayons du soleil et je me levais. Tranquillement je me mis à observer le paysage et je discerner bientôt deux petites îles au loin. D’après mon informateur, le transport se ferait de nuit pour plus de sureté. De nuit hein ? Ils sont idiots car, c’est dans les ombres que les démons agissent. Estimant que la distance serait faite en quelques heures, je m’assis au sol et je pris quelques au kunai et un peu de fil. Faisant passer le fil dans le trou du manche des kunais je fis quelques nœuds solides pour préparer mon infiltration si je puis dire. Je ne comptais pas être discret et compagnie, seulement donner la mort à un ou deux histoire qu’ils partent rejoindre ma déesse sans comprendre le pourquoi du comment. Une fois mes préparatifs achevés je rangeais les armes dans ma sacoche et j’attendis doucement que la lumière décroisse. J’étais à environ cinq cents mètre de la zone de traversé. Prenant une chaloupe, je la descendis à l’eau et je pris la direction du passage en ramant puis une fois que je fus à moins de cent mètres et dans le noir je sautais dans l’eau.

J’allais aller rendre visite à une charmante créature sous-marine enfermée en moi par des moines trop idiots pour voir le mal que je pouvais représenter. Pénétrant dans mon sanctuaire intérieur, un charmant territoire abyssal, sous l’eau, ornait d’une porte japonaise qui indique une direction, Nord, Sud, Est ou Ouest. Là, derrière cette sorte de porte se trouvait une cage avec un sceau dessus et dans cette cage une étrange tortue dormait ou du moins faisait semblant. M’approchant doucement, presque avec tendresse je passais la main à travers la grille et je lui attrapais une dent en la fixant avec mes sharingans. Voyant que celle –ci ouvrait son œil je souris sadiquement et j’aspirais son chakra d’un coup.

-Misérable…Un jour je te tuerais pour ce que tu m’as fait.
-Ta gueule pleurnichard, dis-je en riant.
-Tu m’avais promis de l’amour…Je ne vois que de la haine…J’aurais presque pitié de toi.

Mettant fin à la conversation je revins parmi les vivants sous la forme d’une grosse tortue de mer avec trois queues dans son dos. D’un coup je sentis l’onde l’eau changé et je compris rapidement qu’un bateau nageait sur mon territoire. Remontant à la surface, j’utilisais le genjutsu de Sanbi pour créer une grande diversion et ainsi neutraliser quelques hommes présents sur le pont et d’autres dans le bateau même. Une brume se relâcha de mon corps et vint engloutir toute la zone maritime, plongeant des gens dans leurs pires cauchemars, leurs pires ennemis ou leurs meilleurs amis les combattre. Une fois la cible touché, je me mis à nager rapidement sortant de l’eau dans un grand rugissement. J’étais Makkura le roi des mers, j’étais le grand démon à trois queues. Une fois que je fus à porter du bateau je pris repris forme humaine en revêtant le manteau du bijuu et trois queues de Sanbi. Attrapant les kunais reliés de fil je les lançais sur le haut bu bateau. Avec ma force accrut, ils n’eurent aucun mal à se planter dans la coque du bâtiment marin. Me hissant à l’extérieur de l’eau, je courais sur la paroi de fer et je montais sur le pont central de l’embarcation. La brume du démon ne s’était pas encore dissipée et quelques hommes étaient déjà à terre, de la bave coulant de leurs lèvres ou de la mousse se formant dans leurs bouches. Certains commençaient à se relever difficilement, aussi je saisis le sabre à ma ceinture et je tranchais la tête du premier devant moi, tournoyant vers le second à qui j’ouvris le ventre comme on tranche une motte de beurre. Le troisième qui avait entamé un mouvement pour saisir son arme eut le bras coupé en une demi-seconde et la demi-seconde d’après une partie de son crâne roulait au sol. Saisissant sa cervelle je la lançais sur un quatrième qui la reçu en pleine figure. Jetant mon sabre sur lui, il vint se ficher droit dans son torse, pendant que je composais des mudras pour une boule de feu et qui partit en direction de quelques corps au sol et d’autres en courses, lames à la main. Ils commencèrent à crier, procurant une douce mélodie sur l’embarcation de métal, d’ailleurs l’écho de leurs voix créa une résonnance sur le métal provoquant presque l’effet d’un orchestre de hurlements. C’était beau.
Me retournant je vis trois hommes tentant de me prendre à revers. Le premier sans armes arriva sur moi et je l’accueillis à bras ouvert, lui laissant le plaisir de se brûler au contact du chakra du démon tortue. Saisissant un kunai je courais sur le second armé d’une hachette puis, je lui enfonçais mon couteau dans l’œil en sautant par-dessus lui grâce au développement physique apporté par le manteau du bijuu. Me mettant en face du troisième je le regardais fixement. Il hésita une seconde puis passa à l’attaque, un long katana au poing. Agrippant la lame à une main, elle perfora le tissu qu’était ma peau mais, me permettant de bloquer le coup de katana. Lui mettant un coup de kunai de la main droite, celle libre, je lui perforais la gorge puis saisis le muscle pendant et je tirais d’un bon coup lui arrachant la langue d’un coup. Prenant un senbon, j’enfonçais la langue arraché et la pointe dans ses bourses et il essaya de gémir. Le laissant ainsi j’avançais vers la soute, non sans avoir récupérer mon sabre fiché dans les boyaux d’un pauvre type.

Sur ce le chemin je croisais un ou deux gardes mais, je leur tranchais les entrailles et je les mis dans leurs bouches le temps qu’ils agonisent doucement. Une fois dans la salle des entrailles du bateau je vis une dizaine d’hommes lourdement armés. Des mercenaires. Saisissant quelques shurikens je les lançais vers mes cibles, mon sharingan sortit, je me mêlais dans la bataille, tranchant et esquivant autant de coup que je le pouvais. A un moment une nuée d’hommes se jetèrent sur moi et le chakra du démon me sauva la mise en les brûlants pendant que je les tranchais. Le temps était arrêté et je ne voyais que le sang de mes ennemis jusqu’à qu’il ne reste qu’une seule personne : le capitaine. Désactivant tous les pouvoirs de Sanbi, j’exhibais fièrement ma pupille héréditaire et je lui dis :

-Tu vas mourir de la main de Makkura Uchiha pauvre homme.

L’homme ria mais, repris son sérieux. Il jeta sur moi agitant sa masse d’arme. Analysant sa course du mieux possible avec mon sharingan je contrais son premier coup en le repoussant. Il rechargea et là je n’eux d’autre choix que me baisser contre le sol pour esquiver de coup. Amorçant un coup verticale montant vers le haut, il baissa son arme ainsi que je sa garde et je levais mon doigt. Cette technique Utakata envoyait mon adversaire dans les tourments de son passé. Au moment où je m’avençais vers lui pour le tuer, une voix arrêta mon geste.

-Papa !

Un enfant accourut près du corps inanimé et me regarda l’air maussade. Un sourire sadique s’afficha sur mes lèvre et je saisis le gamin de huit ans tout au plus par les cheveux. Il cria et se débattit comme un beau diable pendant que moi j’attrapais un senbon. Lui levant le t-shirt, je défis son pantalon et le castré d’un seul geste, l’organe de l’enfant tombant au sol. Il gémit très fort. Magnifique. Dévoilant ensuite son ventre je tailladais le symbole du clan Uchiha ainsi que les Kanjis de mon prénom. Sa chair était tendre et donc tout cela se fit avec facilité. Puis j’allais finir en beauté, prenant un autre senbon je les enfonçais dans les yeux du petit garçon qui du mourir sur le coup. En attrapant un troisième j’empalais la tête et le corps de l’enfant au mur du bateau puis, je me tournais vers l’homme encore insconcient. A son réveil parlerait moi et de mon sadisme. Tout le monde saurait ce qu’est le crime d’avoir maltraité un jinchuriki et tout le monde saurai ce qu’est que de perdre une parte de sa vie. Prenant le petit coffre remplit de pièce de métal sur le piédestal je repris la direction du pont et descendis une chaloupe regardant ma main blessé. J’avais fait fort cette nuit, et bientôt le monde entier le saurait. C’était palpitant et excitant. Bien entendu je n’avais pas laissé de traces de la possible existence d’Izanami, je passais juste pour un monstre assoiffé d’argent. Pour l’instant.

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