J'aimerais pouvoir vous dire que tout est rose. J'aimerais pouvoir vous dire que la vie n'est qu'une belle expérience et qu'il n'y jamais de mauvaises passes, mais tout le monde le sais : Life is a bitch !
Je suis née dans les alentours de Yuki no Kuni là ou la neige tombe juste un peu plus que le profit que faisait mes parents. Ma mère était une très grande vendeuse de rose et mon père dirigeait une forge. Nous habitions dans un château non loin d'une mine, ou les employés de mon père passait leur vie. Ma mère, quand à elle, avait deux étage de sous-sol afin d'y faire pousser ses propres fleures. À Yuki no Kuni, c'étais assez rare que les fleurs poussait et il faut dire que ma mère les vendait aussi chère que de l'or.
Mais bon, je ne vais pas commencer à vous racontez l'histoire de mes parents hein ?! Ils se sont rencontrer lors d'une grande vente qui réunissait plusieurs pays, mais ça vous vous en foutez ! Leur regard s'étaient croiser et plus s'étais le coup de foudre, ils m'en parle tout le temps ! Bref, disons tout simplement que j'ai eu l'enfance d'une enfant roi. Gâter par mes parents qui n'avait d'yeux que pour moi, il était dure de ne pas avoir ce que je demandais. Je jouais la parfaite petite noble et mes parents écoutaient tout ce que je leur disais. S'est dans ce genre d'époque que je croyais que tout étais rose, que tout étais merveilleux. S'étais dans cette vie que j'aurais préférer mourir au lieu de connaître la triste réalité.
C'est à l'époque de l'adolescence que ma via changea, pas beaucoup, mais elle changea quand même. Toute mon enfant, j'étais aller à l'école, j'invitais mes amis à aller jouer et j'accompagnais mes parents dans leur sorti. Inutile de vous dire qu'il y a des choses qui change dans l’adolescence ! Mes parents passa plus de temps à m’enseigner leur métier ce qui me déplaisait, car je n'avais plus de temps à courir après les gamins du coins. Ils trouvaient que je perdais trop de temps avec mes entraînements aux capacités spéciales et me répétaient toujours que ce n'est pas le Suiton qui va me faire vivre plus tard.
C'est après avoir planter une vingtaine de rosiers et avoir observer les disciples de Katon imiter le soleil que je retourna à ma chambre. ¨
C'est assez les fleurs, c'est assez les minerais, moi j'me pousse !¨ Je pris de lourdes fourrures, remplis un sac d'aliments que j'aimais bien, un bouquet de roses ainsi qu'une fine lame. ¨
On est jamais trop prudente !¨ Mon voyage venait enfin de commencer !
Je quitta la maison tout en disant aux gardes que ma mère m'avait charger d'aller porter le bouquet de fleur à une famille qui habitait le quartier. La route jusqu'à la sortie du village fut assez facile, même si plusieurs inconnus me saluais de loin.
Je vais vous évitez les détails du trajets, disons que jours après jours ça se ressemblais. Je m'arrêtais regarder le paysage de moins en moins blanc, plaçais une fourrure par terre avant de m'asseoir dessus et d'avaler ce que j'avais pris la peine d'apporter. Ainsi de suite.
J'étais en train de marcher lorsqu'un groupe de ninja m'encercla. L'un d'eux, décidément pas leur chef, vue le corps maigrichon qu'il avait s'approcha de moi dégainant un kunnai.
- Il serait dommage d'abîmer un si jolie corps...Les autres riaient à l'arrière. Moi, j'étais bouche-bée et mes pommettes se faisaient de plus en plus rouge. Je gloussa avant de dire faiblement :
- Dois-je vous laissez la totalité de mes ressources, honorable ?- Tu n'as pas à savoir mon nom ! Et puis, tes vêtements serait parfait avant qu'on te passe tous sur le corps les uns après les autres !Les autres éclatèrent de rire de plus belle, moi devenue rouge, étant par colère que de malaise. C'étais la première fois que j'entendais ce genre de... de... de choses qui ne se disent, mais surtout pense pas !? Je put apercevoir un homme à l'arrière faire le signe. Serpent, mouton, singe, cochon... Ça y est, j'allais être condamner à mourir brûler pour ensuite être remplis par des psychopathes ! L'homme placer en avant de moi me regarda dans les yeux avant d'envoyer son kunnai dans le direction de mon ventre. Je ferma les yeux, plus par réflexe que de peur. Une chaleur vint s'emparer de mon corps. C'est donc ça la mort ? Une douce chaleur venant flatter ton corps ? Ouin, les cris de douleur sont un peu de trop par exemple. Ahah, et les bruits des lames s'entre choquer. Attend... QUOI ?!
J'ouvra les yeux et j'aperçut l'homme qui faisais il n'y a pas si longtemps les signes. Il brandissait son katana en l'air et vint le fusionner contre le crâne d'un homme. Il retira sa lame pour l'envoyer ensuite contre la gorge du dernier sur deux pattes. Il soupira et rangea ça lame dans son fourreau. Il me regarda et soupira.
- Ces hommes étaient rechercher. 230 Ryos pour leur chef vivant et 180 pour mort. C'étais donc mon sauveur ? Je le fixa un moment. Je pouvais enfin le contempler pour l'être qui l'était et non qu'un parmi d'autres... choses ! Il se passa une mains dans les cheveux avant de me dire :
- Désoler beauté, mais tu me dois 50Ryos. J'avais bien l'intention de l'apporter vivant.- Oh ! Raccompagnez moi jusqu'à ma demeure et mes parents vous en récompenserons le triple !On marcha alors en direction de mon chez moi. Quel gaffe de sortir de mon chez moi ! Les gens à l'extérieur de Yuki no Kuni on tous de sérieux problèmes ! Le début de la marche fut assez lourd. Il me suivait tout en regardant le sol, mâchouillant des bouts d'étrange boule rouge ainsi que ses supers soupires qui ne faisant qu'empirer la situation. Moi, j'essai de lui poser des questions de temps en temps, histoire de tuer le temps. Regarder le paysage, c'est plaisant une fois, mais lorsque tu l'as déjà vue, c'est un peu moins magistral !
On devait être à mi chemin lorsque le soleil se coucha. J'installa une couche de fourrure par terre de j'y déposa mon sac. L'homme s'installa au pied de l'arbre et me dévisagea. Il devait avoir 17ans, du moins que quelques années de plus que moi. Des cheveux noir arrêtant tout juste avant de lui toucher les épaules. Des yeux d'un bleu ciel ainsi qu'un arsenal qui me rappelait qu'à tout moment, il pourrait me sauter dessus. Cette nuit, on a décider de dormir. Il resta là, au pied de son arbre et moi je faisais semblant de dormir. Je ferma les yeux lorsque j'aperçut le soleil se relever et qu'il était toujours rester là. Peut-être attendait-il le bon moment ? Oh et puis, ça m’apprendra à quitte la maison !
Je me réveilla et je dirigea mon regard directement sur le fameux arbre. L'homme n'était plus là. Je regarde mon sac et il étant grandement ouvert. ¨
Géniale Kimi, t'es aller dormir sous le regard d'un voleur ! Décidément, t'es une championne !¨ Je me leva, d'une humeur morose et je ferma le sac. Je l'envoya dans mon dos et m'apprêta à partir lorsque mes pieds alla se cogner à un petit tas de branches et bûches préalablement placer pour faire un feu. J'arqua un sourcil lorsque l'homme revint.
- J'ai regarder dans ton sac et j'me suis dit que tu devais être tanner de toujours manger la même chose. Je suis aller nous pêcher du poisson.Il parlait toujours avec le même ton d'homme sans émotion. Décidément, ce jeune homme piquait de plus en plus ma curiosité ! En plus d'être assez beau, il restait cacher derrière un masque psychologique lui créant un gros bouclier anti-sympathie ! Le reste du voyage se passa comme la précédente partie. Route, manger, dodo et route !
On devait être à une vingtaine de minute lorsqu'on tomba sur un groupe d'engagées. Mon père et ma mère, sans nouvelle de moi, avait envoyer des hommes à ma recherche. Disons que je me sentais beaucoup plus en sécurité, malgré que je commençais à apprécier le malaise entre lui et moi. Nous arrivions à mon château, je fit un câlin à mon père et une bise à ma mère. Ceux-ci donna la récompense aux hommes qui m'avait apporter et proposa à mon sauveur de souper avec nous. Celui-ci accepta, beaucoup plus par politesse que par envie.
Je monta à ma chambre aller changer d'habits. Décidément, ma place était ici ! J'aimais bien l'aventure, mais rien ne bat le confort de notre maison non ? Je m'installa dans des pantelons en soie ainsi qu'une veste en satin recouvrant une simple chemise. J'alla rejoindre notre inviter spéciale et ensemble nous allions discuter dans le salon. Je ne sais pas si c'est la gêne qui venait enfin de lui passer ou le fait qu'il savait que j'étais de sang noble, mais il était tout d'un coup beaucoup plus bavard.
La soirée se passa assez bien, mes parents ne me pausa aucune question gênante et notre inviter semblais s'y plaire. Mes parents, qui semblait définitivement l'apprécier l'invitèrent même à rester coucher. Lorsque j'allais parler de notre petite dette, il me coupa afin de manifestez la saveur qu'il y avait dans son assiette. Il me regarda et me fit un clin d'oeil. Décidément, les gars, vous êtes compliqués !
La nuit tomba et j'alla me mettre en tenue de nuit. Yukia ( un petit surnom affectif que je lui est attribuer dût à son amour pour le blanc ) était coucher par dessus les draps lorsque je passa en avant de la chambre des invités. Je lui dit un bref bonne nuit et j'alla dans mon bon gros lit confortable, du moins, bien plus qu'un sol rocheux !
Je me réveilla au beau milieu de la nuit lorsque j'entendis des pas. C'étais Yukia qui se dirigeais vers la porte. Je le laissa sortir, mais continua de le suivre. Je laissais quelques mètres entre lui et moi sachant très bien que tôt ou tard il allait se retourner. Je le suivis maximum 2 minutes avant qu'il se retourne et qu'il m'embrassa. Je resta en piquet, lui mordant les lèvres avec les miennes. Mes yeux qui s'était ouvert assez grand était maintenant fermer, profitant du moment présent. Il pris mes mains et recula de peu ça tête. Il déposa une pierre rouge entre mes doigts et me souffla :
-
Viens ou est-ce qu'on s'est rencontrer la première fois, dans 7 jours et n'oublie pas t'apporter cette pierre.Je gloussa, sans mot et je le regarda me tourner le dos. Heureuse de l'invitation ? Oui. Heureuse de son départ ? Non. J'aurais préférer qu'il reste chez moi pour l'éternité et qu'on puisse se rouler un commerce comme mes parents savent si bien le faire. Je retourna dans mon lit, qui était bien plus chaud que la neige dehors et je ne ferma pas l'oeil de la nuit. Yukia... quel étrange phénomène !
J'en parla à mes parents et étrangement ils me proposèrent d'aller le rencontrer accompagné bien sur ! Les 7 jours ma parurent extrêmement long, mais me donna le temps de me préparer psychologiquement.
Ça y est, c'étais le jour J ! J'avais préparer mes bagages la veille et mon père s'était assurer que j'aille trois hommes de confiance. Leur envoyer une lettre à chaque jour était le seul réel prérequis afin de quitter la maison pour un long voyage. L'un des hommes transporta un cage avec des faucons voyageurs ( on a déjà essayer les pigeons, mais ils résistent moins bien au froid ! ).
J'arriva à l'endroit désigner avec mes gardes lorsqu'on aperçut un homme de couleur noir. Il me dévisagea et me demanda ma pierre. Je lui montra et il me sourit. Il nous a fait signe de le suivre et quelques minutes plus tard, nous étions rendu dans un petit village. Il devait faire 1 kilomètres de diamètre et les cartiers étaient plus des rassemblements de petites cabane. Au centre, il y avait une arène digne des plus grande régions. Quelques gens était assis dans les estrades et mangeait des nutritions tout fraîchement livrer dans les gradins.
L'homme m'apporta dans un cartier et j'ai pu enfin voir Yukia, un grand sourire au visage. Je donna quelques Ryos à l'homme noir et il se retira, laissant place à Yukia qui venait me donner l'une de ses bises !
- C'est ici que je m'entraîne, qu'on se fait informer des têtes mises à prix et qu'on place des paries dans les arènes. Ça peut peut-être te paraître barbare, mais lorsque tu m'as parler de tes combats amicales, je me suis dit que tu allais te plaire ici !J'ordonna à mes gardes de me laisser tout en leur laissant ma bourse. Le fait de n'avoir plus aucun Ryos allait peut-être me motiver à apprendre à me battre ! La journée passa et il me fit faire le tour du village, prennent le temps de me présenter les meilleurs combattants, artisans, soigneurs ainsi que les meilleurs endroit pour la nourriture.
( ATTENTION ! LA PROCHAINE SCÈNE POURRAIT ÊTRE OFFENSANTE POUR CERTAINS )
Le soir arriva et il me présenta notre chambre. Ça allait faire bizarre de dormir à deux dans le même lit, mais écoutez, qui ne voudrais pas dormir coller coller avec son sauveur ? J'alla me changer pendant que lui m'attendait déjà dans le lit. J'arriva et il me regarda tout en se mordant les lèvres. Je bondit dans le lit tout en poussant un petit rire. J'alla m'installer contre lui. Les deux étions placés sur le coter. Quel positon confortable ! Sentir la chaleur de l'autre venir mouler contre ton corps. Il m'embrassa dans le cou et passa sa main tout doucement sous ma camisole de nuit. Elle commença son chemin sur mon ventre et glissa lentement vers ma poitrine. C'est alors qu'il m'agrippa un sein. Dans une lenteur et une précision de maître, il commença à me masser le sein. Je ne pouvais que rougir. Il continua de m'embrasser tout en passant son autre bras sous mes côtes. Il alla rejoindre l'autre bosse et continua de les masser tendrement. Je ferma les yeux, profitant du moment, jusqu'au moment ou ses doigts s'approcha du bout de mes seins. Il fit des cercles avec ses pouces venant chatouiller le bout. C'est alors que je sentis une bosse contre mes fesses. Je me contracta aussitôt. Le plaisir et le soulagement que j'éprouvais auparavant était parti laissant place au stress et à la peur. J'avais déjà eu mes premiers sangs et je ne voulais surtout pas me retrouver avec un enfant, du moins, pas maintenant. Il me lâcha les seins, sorti son engin de ses pantelons et me plaça sur le dos. Il vint se placer par dessus et m'embrasse. Moi, je resta crisper comme du cristal tout en essayant faiblement de lui murmurer :
- Non.. n... non.. je.. je ne veux... je ne suis.. suis pas... pas prête...C'est alors qu'il vient baisser mon bas de pyjama pour venir frotter son sex contre le mien. J'essaya de le pousser, de me retirer en douceur, mais c'est à se moment qu'il l'entra en moi. Au lieux d'y aller délicatement ou d'entreprendre des préliminaires, il y alla d'un coup sec. Inutile de vous partager la douleur. Il y a des moments ou on aurait envie de mourir et celui-là en faisait parti. Je me contenta de me mordre les lèvres, laissant tomber des goûtes silencieusement. Il devait s'y prendre beaucoup de plaisir du au son qu'il faisait ; soit tout le contraire de moi. Après une dizaine de pénible minute, il vient enfin en moi. Il trembla légèrement avant de se laisser tomber sur le dos, juste à coter de moi. Moi, j'étais encore dans la même position. Jambe écarter, sentant le fluide me couler de l'entrejambe. Je me répéta pendant une bonne heure que tout cela n'était qu'un rêve, mais la douleur encore présente ma rappelais que c'étais bien la réalité.
__-__C'est! Ok __-__
Il me réveilla le lendemain matin avec des crêpes flottant dans un sirop somptueux. Il me regarda droit dans les yeux tout en s'excusant. Il me répétait sans cesse qu'il était stupide et qu'il ne recommencerait plus sans mon autorisation. Il trouva les paroles pour me remettre le sourire au visage et continuer de lui parler, continuer à vivre et surtout manger ses merveilleuses crêpes !
J'ai dut passer une semaine à vivre chaque jour de la même manière. Je me faisais réveiller avec de la nourriture, on allait faire un petit tour de ville, différent entraînement de mon Suiton, des paries, un souper en tête à tête et le dodo. Pour ce qui est du dodo, Yukia n'a pas sut tenir promesse. Il semblait adorer cette routine. Petit à petit j'ai appris à m'y faire... et parfois moi même être sur le dessus !
Notre relation est devenu de plus en plus forte, tout comme les entraînements qui était de plus en plus difficile. On dirait presque qu'ils essayaient de me faire atteindre mon point de rupture ! Yukia faisait des combats en arène et moi je pariais sur lui. On se faisait assez d'argent afin de survenir à nos besoin. Je crois même que j'ai trop manger ces derniers temps, car une bedaine est apparut. Étrangement, ma poitrine se faisait de plus en plus sensible.
Les jours passèrent , Yukia vint me voir et me fit l'annonce qui se fait à genoux. Je suis rester bouche-bée avant de lui sauter dans les bras. Il avait déjà envoyer une lettre à mes parents et ils s'étaient arranger afin d'avoir de quoi pouvoir fêter ça. Mon père me jura qu'il avait tout préparer et que tout était dans ma chambre, attendant simplement d'être vêtu.
On fit le voyage à la marche ce qui était plutôt pénible. Aussitôt arriver dans mon quartier, j'ai eu une vague impression que tout avait changer. Lorsque j'étais jeune, ce quartier était grand et vaste, peupler et animer. Maintenant ? Il froid et sombre. Seul ma demeure était allumer et ça c'étais à cause de mes parents ! J'entra dans le château et j'aperçut plein d'inconnus. Des hommes à l'allure pas très net qui se promenait, tout en touchant le moindre petit objets qui jonchait la pièce. Mise à part leur amour envers le décor, certains avait déjà commencer à consommer... il faut dire qu'il y en avait un peu partout. Je n'avais pas encore vue mes parents, n'y les anciennes femmes de ménage. Yukia m'avait laisser, me disant que la marier ne devait pas voir le marier, éviter la malchance ! Ah bon, pourquoi pas ?
Je monta à ma chambre et ouvrit la porte. Je la referma derrière moi et tout le vacarme s'arrêta quelques secondes. Il y avait une fine armure sur le lit. C'étais dans les courûmes de mon père. Il m'avait raconter souvent que son père et sont grand-père s'était marier avec une armure fait pas le père en question. M'enfin bref, ma beauté était là placer devant moi. Je l'enfila et entra de justesse. Elle m'aurait probablement fait moins mal au ventre si je n'aurais pas passer un long séjour avec Yukia. J'alla pars la suite sur mon balcon, regarder la douce mers. J'ai toujours aimer regarder la mers, si calme avec ses reflets qui nous font rêver. La porte cogna simultanément à une crampe au ventre. Je me plaça sur les genoux et gerba un coup. Ça devait être le stress, c'est pas à tout les jours qu'on se marie ! L'homme à la porte me dit que tout le monde était prêt et qu'on m'attendait. J'alla me rincer le visage et je descendit les marches. Un orchestre jouait une très belle mélodie tandis que je descendais les marches aussi gracieuse qu'un félin. Du haut des marches, je pouvais voir l'ensemble de la foule, mais surtout Yukia, dans ses beaux habits blancs.
Je m'avança vers le prêtre et tout le monde se tût. Un silence impeccable. Je regarda autour de moi, asseyant de voir mes parents, mais rien. Je me plaça aux coter de Yukia et il me regarda avec un très large sourire. Le prêtre commença à parler. Blablabla, réunis ici, blablabla... roh... mais c'étais long à la fin ! OH ! Il le dit !
- Alors, Monsieur, arhm ¨Yukia¨ . Voulez-vous prendre Kimi, fille des Keikos comme épouse ?C'est à se moment que nos regards se sont croiser. Il me regardait avec la même passion qu'aux derniers jours. Il sourit et dit d'une voix haute et forte :
- Non.Mes yeux ont recroqueviller et mon coeur craqua. Après avoir prononcer ses mots, Yukia dégaina une dague en cristal et alla la planter au sol avant de se retourner vers une femme vêtue de blanc et l'embrasser. Tout le monde regarda la scène et certains se sont même permis de rire. Des chuchotements se faisait entendre et moi, je n'entendais que mon coeur battre, oubliant tout ce qu'il y avait autour de moi.
La dame lui remit une rose avec une alliance sur la tige. Il se retourna alors face à moi et me la lança.
- Tu dois reconnaître l'anneau ! C'est elle à ton père. D'ailleurs, ne t'es tu pas demander ou ils étaient ?Il monta les marches tout en ricanants. En haut des marches, il y avait une corde qui était relier à une trappe au plafond. Jamais que mes parents s'en servait, mais elle semblait être le point d'attention à Yukia. Il s'approcha de la corde, dégaina son katana et coupa la corde d'un coup vif.
- TADAM !La trappe s'ouvra et deux bout de corde tomba... avec des gens pendus au bout... bien sûr. Je me retourna, regardant la scène. Je ferma les yeux et les ouvrit plusieurs fois. Je tomba à genoux tout en fondant en larme. Je gerba une autre fois avant de relever les yeux sur le cadavres de mes parents. Un autre jet de gerbe allait sortir, mais ce coup-ci aucun ingrédients ne sorti de ma bouche. Il n'y avait que de l'air et des contractions le tout mélanger avec de l'eau salée qui coulait de mes yeux.
Sans plus attendre, je prix la dague en cristal et courut vers Yukia. La vengeance semblait la meilleur option. Je sauta les escaliers 5 marches à la fois, mais une fois rendu en haut, Yukia me pris par la gorge et me lança en bas complètement. Il cria un :
- Comment ose tu ! Avant de un saut périlleux en ma direction. Il fracassa son talon contre mon abdomen avant de déposer son autre pied au sol. Son coup avais dût perforer quelque chose, car je pouvais sentir du liquide me coulant ses les cuisses.
- Tu veux savoir pourquoi on a fait ça ? Ta famille vivait comme des rois ! Ils esclavageaient les notres tout ça à leur propre profit. Regarde dans quoi tu vivais ! UN CHÂTEAU ! Il y avait des rumeurs qui disait que ta mère maniait le Shoton. Ahahahaha, pourtant, elle n'a pas eu le temps de l'utiliser lorsqu'on l'avions mise au plancher !Il continua à parler, mais je ne l'écoutais plus. Coucher sur le dos, regard au plafond, je ne pouvais qu'essayer de chercher ma respiration. Mes yeux se fermèrent tout seul et j'essayais de combattre pour les laisser ouverts. Malheureusement, ce combat aussi je le perdit. Je le perdit juste après avoir entendu :
- Oh mon dieu, je crois qu'elle perd ses eaux !Je me réveilla dans une petite cabane. J'étais dans un lit, serviette contre le front et une dame m'observa.
- Shhh, repose toi, tu es en sécurité ici.Je me réveilla une seconde fois, toujours dans le même lit. Ce coup-ci la dame n'étais plus là. Un petit foyer faisait juste assez de lumière pour pouvoir éclairer le bout du lit. J'ai essayée de me retirer du lit, mais au premier mouvement, mon ventre se crispa et m'envoya à nouveau dans une douleur assez atroce. Je referma les yeux, mais ce coup-ci en restant consciente. J'entendis une porte s'ouvrir et une dame entra.
Elle avait une chevelure d'un noir assombris sous une capuche d'un rouge sang. Elle me regarda avec son teint blanchâtre ainsi qu'un sourire de mépris.
- Malheureusement, il est sortit mort.- Qu..quoi ? Qui ?- Oh... c'est mieux ainsi je crois.Elle pris une courte pause et ajouta du bois dans le foyer.
- Vous êtes une femme forte hein. Je le sais. Je vous est vue.Elle m'expliqua tout ce qui s'étais passer, dans les moindres détails. L'entendre faisait mal, très mal même, mais rien ne faisait plus mal que de savoir que Yukia était toujours vivant.
- Si ce que Yukia à dit était vrai, tu possède toi aussi le Shoton. Reste avec moi et je t'aiderais.Je me suis donc remis sur pieds, lentement mais surement. Chaque jours je m'entraînais avec Yfa. Elle manipulait le Doton et trouvais toujours les mots juste afin que donne le maximum de mes capacités. Je devais rester calme et garder le sang froid lorsque je serais face à Yukia.
Yfa avait des oreilles un peu partout et avais retrouver tout les petits copains à Yukia. Elle me dressa une liste. Ensemble nous allions exterminer ses enculés. Petit à petit, pas après pas, jours après jours, je me rapprochais de plus en plus de Yukia et sa femme. Pour cette mission, Yfa me laissa seul avec une carte. Tout était indiquer, ça planque, les dimensions, comment y aller, etc.
J'y alla, vêtue de la même manière que la journée ou il a exterminer les miens. Il avait quelques gardes que je cristallisa. Plus que j’avançais en direction de ça chambre, plus j'entendais les cris de jouissance. Décidément, ce mec n'étais qu'un vulgaire pervers. J'entra dans ça chambre tout en défonçant la porte, les prenant sur le fait. Surpris, ils se retournèrent les deux vers moi. Yukia poussa ça femme en bas de son lit et commença à chercher son arme. Je lui lança une rose pour ensuite faire tomber des cristaux contre le crâne de ça bien aimer.
- Je ne ferais pas l'erreur que tu as fais. Moi, je termine t'as vie à cet instant. Cheval, singe, mouton et agneau. Je vint toucher le sol avec ma peaume et des piques se dirigea vers lui. Il n'eu que le temps de crier.
Je retourna à la cabane ou était Yfa. Elle m'avait laisser une note :
merci d'avoir accomplis ma vengeance, il m'a fait la même chose. Oh, je te laisse cette cabane en guise de remerciement. On m'a confier une mission... en espérant peut-être te revoir ? J'enleva mon armure avant de la déposer dans un large coffre. Tuer tout ces hommes ne m'avait absolument rien apporter. Ce que j'avais perdu, je l'avais perdu pour toujours. Tuer n'es pas pour moi...
Travailler ? M'amuser ? Boaf... j'ai perdu pas mal tout envie de tout faire. Probablement que j'irais dans un village rendre service à ceux-ci. Qu'est-ce qui me reste hein ?
...Papa, Maman... vous me manquez...