[*]( Suite du rp au portes de Suna + Rp de 100 lignes pour Gobi le Bijuu )
Chapitre un :Que du fraie dans cet air si matinal soit-il ! Un long sourire accrocher au visage, la jeune demoiselle marchait à pas joyeux dans les terres de son enfances. Du moin, de ce qu'elle croit être son enfance. Que de mémoires lui revenait. Sècher les cours à l'académie accompagnée de ses amies. Et même de ce fait qu'elle n'y soit allée que deux ou trois fois, cette chipie avait tout de même réussis à passer les examens et devenir Gennin, quel ironie que de lui avoir accordé ce qu'elle ne mérite pratiquement pas. Ses pas, enfait, ses pieds trainaient dans le sable doux et délica piètiné par les centaines, non, les milliers de paysans, voir villageois qui vivait dans les terres sec, arides et desert du Pays du vent. Là s'y trouvait Suna, petit village caché ou Lumina avait vécu la majeur partie de son enfance, après son départ de Oto après un incidant, enfant batarde et impure, que voulez-vous de mieux ? Sifflotant en observant les changement, et en ce remémorant du plus loin qu'elle le pouvait, la fillette continuais d'avancer à pas lent mais sure dans ce désert ou les gens se lançaient de gauche à droite comme des poules dénudées de tête pour atteindre leurs quelquonque objectif, si banal soit-il que d'aller au marcher chercher quelques pommes pour le désert, tsheuf, et le repas lui ? 'Fallait y pensé. Tanpis.
Un long soupire émana de la petite bouche qui flanquait maintenant un air désespéré et fatiguer sur le visage nonchalant de Lumina. On aurait presque pu entrevoir un air à la Shikamaru, sur un visage de fillette, imaginé le résultat ? Elle plaça ses mains sur ses hanches, comme fait un peu plus tôt alors que ces stupides gardes l'avaient laissé entré, comme ça, sans raison apparante. Il 'faudra en parler au Kazekage, qu'aurait-il arrivé si ça aurait été quelqu'un d'autre avec un même visage innocent qu'orne Lumina jours après jours ? Ça aurait très bien pu être un espion, ou pire encore, un assassin, qui viendrait vous égorger pendant votre doux et paisible someille. Cette pensé décrocha un rictus amusé sur ses magnifiques lèvres poupres et délicates. Elle s'étira puis tenta de trouver la direction de son ancienne demeure. Il fallait' pratiquement les compters, essayer de deviner combiens de maisons à eût Lumina au cours de ses trois dernières années, si elle voyageait tout le temps, et n'était jamais au même endroit. À vrai dire, laissez-moi vous donner un indice, on ne pourrait même pas les compter sur nos doigts. Bon et bien retournons à nos moutons, Lumi entâma un chemin au hasard qu'elle croyait reconnaître, de ce simple fait, voilà ou nous en sommes, voilà ou tout à commencé.
Après quelques pas, Lumi se fracassa contre une surface de type inconu. On aurait pu qualifier cela d'une surface dure et délicate en même temps. Peut être étais-ce un tissu ? Elle leva la tête. Non, ce n'était pas qu'un tissu, certes, il en ornait, mais non. C'était le garde de tout à l'heure, ses prunelles étaient sévèrement plantées dans les petites améthystes toutes douces mignonnes de la fillette si innofensive, en apparance, soit-elle. Il la pris par l'épaule, une seconde fois, puis sourie de façon machiavélique. Ce qui lui donnait un air très, extrêmement con, et Lumina ne pu s'empêcher d'échapper un petit rire narquois. Cet acte remplie de banalité et de stupidité ne fit que mettre plus en rogne le Ninja qui serra son étreinte, alors que l'autre plissa un oeil en mépris elle se dégagea. Quelques pas de reculons et elle se fracassa contre le deuxième garde qui souriait encore de son fou rire plus tôt. Un sourcil s'arqua, qu'est-ce qu'ils voulaient ces deux là de toute façon ? Elle fixa le premier des deux imbéciles, et lui lâcha tout bonnement, à la fois portant un air hautain et arrogant qu'un ton de voix frustrer et intrigué.
- J'peux savoir c'est quoi votre problème, débil de ces terres ? Le premier garde répondit, du tac au tac.
- Vous croyez que nous vous aurions pas reconnu, Lumina, vous êtes en état d'arrêstation.-... Umh, et pourquoi ?Le deuxième des deux pris enfin un air sérieux.
- Les déserteurs son concidéré comme traitre, nous devons les juger et décider de leurs sentences.- Stupid, tsheuf.Elle roula les yeux à nouveau alors que les gardes l'amennait à la tour principale. Cette tour qui, au Sunéen équivalait à la huitième merveille du monde, ne vallait qu'uns imple grain de sable aux yeux de cette enfant nonchalant, qui de façon décontractée et blasée, suivait les deux gardes en observant le paysage. Elle se disait que si la population de Suna était aussi stupide, via imbécile il la condamnerai. Et vous savez quoi, Lumi n'en serait même pas un tant dit net surprise. Elle ne portait pas Suna dans son coeur, pour une raison quelquonque, inutile de s'éterniser sur un sujet de ce banalisme. Voilà, il pénétrait dans la salle de jugement, elle pris place sur un banc, un petit carnet et un crayon devant elle. Le juge se mis à parler d'une voix autoritaire. Et alors ? Lumina brandit le petit crayon sous le regards suspicieux de tous, puis se mis tout simplement à dessiner dans le carnet. L'autre balourd tappa de son poing sur son piedestal, et ordonna à la fillette de cèsser ces conneries. Elle répondit.
- Nous sommes dans une salle d'audience, cèsser ces conneries, petite !- Ohé, du calme le vieux, vous allez faire des rides !Elle sourit, son toujours et éternel sourire de satisfaction. Frustrer, le juge décida lui-même de punie Lumi, il lui lança sa sentance carrément sans même en discuter avec les autres membres du conseil. Le kazekage était-il présent ? Uhm, et alors, un haussement d'épaule fut la réaction de Lumi. Il la condamna à servir de chair à paté lors d'une mission d'Anbu. C'est tout ? C'est tout comme sentence, hé hé, un rire machiavélique émana discrèttement de l'adolescante. Elle n'aurait qu'à s'enfuir entre-temps, c'était aussi simple que ça, elle était certaine que ces Anbu n'était que des inconscient de Ninja, comme tout le reste de Suna à l'égard hautain et ventard de la tignasse violette. Elle se leva et partit, laissant le juge là, accompagner d'une magnifique doigt d'honneur qui le fit bouillir de rage. Les Anbus se levèrent et accompagnèrent leurs hameçons. Ils étaient trois, plus une demi-portion, donc 3 et demi si vous préférez.
Chapitre deux :Il était maintenant midi, tout était prêt. Les trois Anbu n'avaient pas encore dit un mot et Lumina était sagement assise sur un rocher non loin de l'endroit ou la troupe se préparait avec harde. Elle observait le ciel, les nuages, et se demandait comment c'était, de voler comme un oiseau, libre, sans avoir de baton dans les pattes, ou bien des imbécils comme ce juge à la noix qui venait tout juste de lui couper les ailes, de lui brimer son air, de gâcher son pure et si simple plaisir de voyager sans avoir à respecter ses stupides mais surtout inutiles bornes, selon elle. Elle ne savait même pas en quoi cette... "mission" consistait. Probablement à ce débarasser de cet misérable envelope charnelle qui composait Lumina. Mais pourquoi se harder à laisser des Anbus faire cela, pourquoi ne pas simplement laissez un bûcher faire son boulot ? Tout ça était étrange, trop étrange, louche, certainement qu'un truc, une attrape se cache dérière ce masque. Et cet arnaque, devait être énorme. En effet, la jeune fille ne le savait pas encore, mais elle se dirigeait tout droit vers la geule du loup, et ce, au sens non-figuré, croyez-moi. Et voilà, les trois se retounèrent, et portèrent leurs regard vide de masque aux alures animales sur le corps entrein de se faire doré au soleil de notre future Jinchuriki. Voyant qu'elle ne réagissait pas, c'est l'un du trio qui l'élança et la pris par la taille, pour l'embobiner en sac à patates sur son épaule. Bien, au moin, elle n'aura pas à marcher et à fatiguer ses pauvres petite jambes de jeune demoiselle.
Les pas furtifs des ninjas étaient insonore tellements ils étaient léger. Lumi parcontre, elle, ne l'était pas du tout, même pas pour deux cent. Toujours sur l'épaule de son, ô si noble destrier, elle chantonnait nonchelament, alors qu'eux s'époumonaient à courir comme des fou tout en restant le plus silencieux possible. Le trois quart du temps, les autres lui lançaient un regard meutrirer, et elle, souriait inocement en guise de réponse. Mais pourquoi ils ne l'avaient simplement pas laisser marcher de son gré. De toute façon, à quoi bon s'échapper, elle voulait savoir quel étaitle but de la mission. Vous savez, on dit que la jeunesse apporte souvent avec elle la curiosité, n'êtes-vous pas d'accord ? Mais sachez, que la curiosité est un pêcher, et chaques pêcher est puni. La punition de celui-ci ne sera que plus grande. Si grande, qu'elle hantera la jolie petite fille pour les reste de ses jours. Le loup n'attends que sa proie, tels étaient les pensées que les Anbus se répétait en boucle dans leurs tête afin de réussir à endurer cette chipie qui hurlait sur les toits des chansons qui déchirait les tempans malgré sa voix mélodieuse, harmonieuse, et mièlleuse. Ils accèlèrent le pas, voyant que le Zénith ne se faisait plus aussi puissant que plus tôt. L'un des trois, le porteure, était vachement écoeurer, cela pouvait se voir dans sa façon de courir, et dans son expression, sans oublier ces geindres de plus en plus fréquant. Il prit de l'avant, pour finalement être seule avec la fille. Il la débarqua de son épaule, et la plaqua contre un arbe, furibond.
- Ah ! On est déjà arrivé ? Quel plaie ce voyage !- À qui le dis-tu ? Ça t'arrive de la fermer, non ?!Elle sourit, puis ajouta que non, ce qui lui en couta une baffe dans la tronche. Frustrer, elle usa de son charme, et perla quelques fausse larmes sur ses joues. Après tout, elle n'était qu'une enfant, pas mentalement, ni particulièrement physiquement, mais son visage, portait à confusion. Usons de cet atout non ? Qui sait, cela pourrait rapporter un jour ou l'autre, cela pourrait nous sortir d'une quelquequonque situation, grave ou pas, tanpis. Lumina est du genre à jouer toutes ses cartes avant d'abandoner. Le Anbu eut un léger mouvement de recule. Et réalisa qu'elle était innofensive, du moin, c'est ce que Lumi tentait de démontrer, avec un franc succès puisque celui-ci s'excusa aussitôt et l'enlaça dans ses bras comme une petite peluche toute délicate. Elle fit de même, puis lorsque personne n'observait, elle souria, de façon machiavélique, manipulatrice. Elle ajouta aussi qu'elle pouvait marche, que ça ne poserait aucun problème, ce qui engendra un longue marche vers un lieu inconnu, accompagnée d'une équipe d'élite qui ne désirai qu'atteindre leurs buts, mais quels étaient ceux-ci ? Luminouche' n'en savait rien, mais elle suivait comme un petit chien de poche. La pauvre, elle paira le prix d'un acte aussi inconscient.
Faisons plus court maintenant. La nuit passa, la demoiselle ne ferma pas l'oeil de celle-ci. Elle n'était pas fatiguée, ne ressentait pas le besoin de dormir, et un des Anbus devait absolument monter la garde, alors elle ne profita pour socialisé avec le dire homme. Il y avait une autre fille dans l'équipe, mais celle-ci dormait paisiblement. L'énergumène en question avait retiré son masque, comme ses deux coéquipier. Enfin ses visages animaux cèssaient de la fixer, laissant place aux visage normaux des ninjas. Hors des missions, ceux-ci pouvaient s'avèrer très sociable, mais malgrés les vains efforts de la jeunesse, aucun ne parvenait à avouer le but de la mission. C'était lourd, très lourd comme secret, autant pour elle que pour les Anbus de le garder. Des jours passèrent, des nuits, ils étaient loin, très éloigné du village. Combiens de temps encore comptiaent-ils languire comme cela ? Après un très long moment, ils vinrent au terminus de cette longue promenade. L'apogé de celle-ci se trouvait droit devant eux, mais la plus jeune de la troupe, elle, n'apercevait qu'un imense chaine de montage. Que pouvaient-ils vouloir fait dans un chaine de montagne pareille, je vous le demande. Les trois échnagère des regards complice, puis ils se mirent en position, en triangle. Qui était au millieu, Lumina, et d'ailleurs, elle leurs acordait à chacun un étrange regard qui disait clairement " Uhm, vous voulez bien me dire ce que vous faites". Mais personne ne le remarqua, concentré sur leurs étrange thecniques. Les yeux de la future hôte s'équarquillèrent lorsqu'un immense halo de lumière jaillis sous ses pieds. Par pure reflex, elle porta un bras devant ses yeux, aveuglit. Ceux-ci devinrent gris ayant pour cause la luminausité. Enfin, après un long laps de temps, le sol se mis soudainement à trembler, alors qu'une immense silouhette noir déscandait du ciel qui s'était voilé de nuages ébènes qui pleuraient leurs corps tandit que les éclaires retentissaient de partout. La silouhette toucha le sol, puis pris une forme bestiale. Ses deux topazes fixaient la petite fillette au millieu du halo. Elle s'approchait lentement, chacuns de ses pas faisant trembler de sol.
La grosse bête maintenant complètement matérialisée posa sa tête sur le sol déclanchant presqu'un tremblement de terre. Lumina voulu s'échapper, mais de cette lumière sous elle jaillis des espèces de cordes lumineuses très chaudes, voir bouillantes qui virevoletairent près de son être pour finalement venir se flanquer sur elle pour la clouer au sol. Le contacte brulant lui arracha un cri féminin, un hurlement de douleur alors qu'elle se débatait comme un diable dans l'eau bénite. La truffe du Bijuu s'approchait de plus en plus, mais Lumi n'arrivait même pas à la moitié de celle-ci. Finalement, la lumière s'endursissa, se dirigeant vers le démon. Les espèces de.... chaines lumineuse l'entourèrent lui aussi. Les deux furent pris de panique alors que peu à peu le démon s'éffritait en petites étoiles de poussière, qui vinrent se loger à l'intérieur de la demoiselle. Plus précisément, dans son médaillon. Car les Anbus n'étaient pas dupe, il ne voulaient pas nécéssairement tuer la petite, elle serait un arme crussiale au village par la suite. De plus, s'ils scèllaient le bijju uniquement dans le médaillon, n'importe qui pourait l'utiliser. Mais ce qu'ils ne savaient pas, c'est que le bijoux répondait uniquement au chakra de Lumina, puisqu'elle l'avait trouver. Les inconscient, ne se rendaient pas compte de l'erreure qu'il venaient de faire. Mais il était trop tard maintenant. La lumière se dissipait, et le corps frêle de notre amie retomba sur le sol comme un vulgaire pentin désarticuler. Quel acte ironique.
- Spoiler:
(c) Helen