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 Fiche du Kyojin.

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MessageSujet: Fiche du Kyojin.   Fiche du Kyojin. Icon_minitime1Jeu 22 Sep - 19:04







Fiche du Kyojin. 110924085836561834




Fiche du Kyojin. 110924090551298264✘ Nom: Musha.

✘ Prénom: Akio.

✘ Age: 21ans.

✘ Nindo: Suivre la vois de la Justice.

✘ Village désiré: Suna

Rang désiré: Genin.

Élément désiré: Le Son.




Description psychologique





Il est de ses personnes symbolisant à perfection une forme clair de caractère. Dans son cas, son caractère personnalise et exprime au mieux les conflits. Par chance et de vécu, notre jeune homme est personne sensée, capable de contrôle, sinon même dominé ses instincts. Né sous le signe du Scorpion et du Cheval, poussé par ses deux signes, il est quelqu’un de très loyal. Tout autant sinon plus qu’il est direct dans ses actes comme dans ses propos. Cette nature ‘offensives’ de nature le rend passionné et débordant d’une fantastique bonne volonté dans tout ce qu’il entreprend. Volontaire de nature donc ; et profondément bon, avec une vision partant bien souvent dans les extrême. Kyo' est idéaliste. Tout est blanc, tout est noir, difficile de voir du gris en ce bas monde… Son idéalisme exacerbé fait que la possibilité de ‘s’oublier, ou de faire le sacrifice de sois ont des choses naturellement faisable pour lui. Et si ses choses devaient arrivée, comme elles ce sont déjà produites par le passé ; La dernière chose à laquelle il pensera serait sa propre personne. Bien sûr, pour ce faire, il faudrait que ses choses concernent des gens, ou des faits, qui lui tiennent à cœur et sont capable du coup d’attirer son attention. Ses modes de pensées extrêmes sont de sa personnalité, un condensé de force : Jamais il ne donnera l’occasion à quelqu’un de le tenir sous ca coupe, comme jamais il ne ce laisseras marcher sur les pieds inutilement, ceci serait comme accepter la défaite. La symbolisation d’un énorme manque d’ambition, l’image même du pathétisme. Synonyme de beaucoup trop de shinobis aujourd’hui… En conclusion de ses premiers faits, on peut le décrire comme quelqu’un de courageux et de ferme. Ferme par ses convictions aussi fortes que son caractère. Courageux pour ses mêmes raisons…

A contrario, bien qu’avec logique. Kyo' est homme sensible, possessif et entier. Ceci expliquant une bonne partie de cette facette ombragée. Une zone cachée de son mental par plusieurs autres facettes, façonnées, habilement construites au fil du temps. Ainsi il peut s’avérer, tantôt, très dur. Presque méchant, sinon même clairement mauvais. Une face détestable et détestée de son être visant uniquement à cacher, par fierté, ou par simple honte, sa sensibilité. Celle-ci pouvant alors s’exprimer par moment par une facette de personnalité qui fut un temps fausse mais qui devint elle naturelle avec le temps, tendant à le libérer de cette fausse méchanceté : La gaminerie, l’infantile puérilité qui peux envahis chacun à tous moment, semble être son quotidien, avant ce que les autres n’appellent des sautes d’humeurs… vers cette fameuses partie de lui, mauvaise. Parfois, sinon souvent soupe au lait pour ce qui ne l’intéresse pas, ou pas assez. Il ce fait passer des tendances égocentrique voir opportuniste dans sa folle excentrie. Des fausses facettes de lui encore une fois. Toujours aussi difficile à cerner dans cette trop grande sincérité d’expression. Ceci cachant un bon nombre de bons sentiments comme déjà évoqué plus haut, mais, aussi quelques autres, moins glorieux : L’Iwajin s’avère être quelqu’un à la jalousie très prononcée et à l’égoïsme tout aussi fort en ce qui concerne l’intimité.

Nous en venons donc à sa vie en société, dans le vif et non dans l’idée : Nerveux vis-à-vis des autres (ceci engendrant cela, engendrant le texte ci-dessus) ; On pourrait le dire extrêmement méfiant et, à certains moments, sa fausse méchanceté pourras s’exprimer par une incapacité à cacher son agressivité envers ceux-là même le stressant ou l’énervant et ce, malgré sa haute capacité à ce contrôler. Mais, toujours est-il, qui c’est se montrer gentil, et généreux. Très exigent envers lui-même pour le bien des autres. Adaptable donc, puisque pour plaire et satisfaire aux besoins de ceux qu’il pense apprécier, il pourra faire d’énormes concession dans ses activités et différentes missions. Ou dans la vie de tous les jours… En effet, ce que l’on peut à nouveau conclure sur lui, c’est qu’il présente bien. Une allure claire, et une aura se dégageant de son être tout entier. Il sait s’habiller, pas toujours de manière conventionnelle amis de sortes à en jeter. A faire planer l’ombre de quelque-chose d’impressionnant et ce, dans tous les styles auxquels il s’essaie. Amoureux des spectacles, du théâtre, des concerts, ou des meetings (y compris politique, principalement interne au village.) en somme, tous ce qui de la scène. Ou de la démonstration. En fait, on peut même conclure que c’est cette adoration qui le conduit à cette impressionnante présence vestimentaire, mais aussi physique : Les plus grands sportifs sont souvent des monstres de scènes par ce qu’ils dégagent et, en ce jeu, il s’avère assez doué. Ainsi, et, s’il passe le cap de la nervosité ; Akio sera quelqu’un de très agréable à vivre ou à rencontrer. Ses efforts sur lui-même tendent d’ailleurs à le rendre le plus souvent ainsi, mais avec les gens de son village principalement et presque uniquement. Devenant ainsi Gai, Bavard, voir même quelqu’un de populaire. Excellent en discours. Il possède une certaine faciliter à manier les foules… Faisant de lui l’un des prétendants à la succession du géant, Onoki.

L’esprit rapide, (temps de réaction s’élevant à 75ms de moyenne, dans la moyenne des sportif donc doublement supérieurs aux non Pugilistes), et depuis toujours tourné vers les autres. Kyojin sait déchiffrer une pensée avant qu’on ne la lui exprime. Ceci lui permet de devancer, pour contredire ou approuver. Juste d’un regard, une discussion non entamée peut donc être close. Cette facilité et vivacité, effraie et repousse les possibles interlocuteurs ayant connaissance de ses avantages dans le domaine. Oui, il est doué, et vif d’esprit. Pourtant, il se sait plus douer de ses mains que de son esprit et donc, malgré son apparente facilitée : car rappelons le, Akio est quelqu’un de sûr de lui d’apparence. Bref, malgré cela, il manque de confiance en lui et ce considère sans l’avouer ni même le montrer, comme un faible. D’où sa quête de puissance et de domination qui lui est très importante. De peur de recevoir critique, il en devient très indépendant et n’en feras donc qu’à sa tête. On note cependant à son avantage aux yeux des autres, un certain amour des traditions et des bonnes manières. Choses qu’il maitrise certes, assez mal, mais qu’il n’hésitera pas à pratiquer ou à reprocher à ceux ne les exécutant pas ne fut-ce qu’au minimum vital.



Description physiologique





Pour commencer ; Nous allons partir sur une vision globale de la physionomie du jeune homme : De taille normale ; Ni trop grand, ni trop petit, pour un civil. On pourrait le dire un peu petit pour un Shinobi. Et ce, d’autant plus pour son style de combat principalement rapproché : Détrompez-vous alors, car ceci est en fait un énorme avantage, de par son unicité notamment mais pas uniquement. (Environ un mètre soixante-seize) D’apparence svelte, ses épaules sont assez large, enfin, tout juste un peu plus que de normale pour un homme sans être au niveau de certains. Il possède donc des avantages corporels certains : Ni trop fin, ni trop large et un point de gravité 'bas'. Permettant des styles brutaux et vifs avec des appuis plus stables que chez les personnes de grandes tailles. Vif par sa taille et des épaules pas trop carrée ni trop peu permettant force et rapidité conjointe une fois le corps développé comme il se doit. Si l’on passe rapidement sur ses muscles, ils sont assez épais, bien dessinés. Assez secs en fait mais tous de même assez développé pour que l’on puisse hésiter à employer le terme de sec (et pour comparaison donc, plus que Gaï Maito mais largement moins que Aa). Les muscles de ses jambes sont forts mais développé pour des extensions, un peu comme les nageurs : Propulsion. Ceux de ses bras sont plus solides ; pour des frappes de masse rapide sans se tasser pour autant (1500kilo de pression dans le bras gauche (celui-là même ou-il à de tatouer un gros Tigre sur le haut du biceps et du Deltoïde Antérieur et Latéral) 1850 dans le droit). Ses poignets, ses épaules, ses pieds sont forts. Solides. Son ossature bien entretenue par une forte consommation de lactose n’en est pas moins assez légère, un peu plus lourdes que la normale mais supportée par de plus puissants muscles, sa rapidité est bien celle d’un combattant au corps à corps d'une catégorie 'parfaite'. En effet, son poids est entretenu pour être toujours au plus proche de son 'poids de forme'. Celui qui n'entrave ni sa force, ni sa vivacités. Quelque chose de délaissé part les arts martiaux ou de trop employée par les autres styles (tel qu'Aa): la musculation. Il est donc toujours très proche de son poids idéal ce situant vers les soixante-cinq kilos de muscles.

Passons donc à une version plus précise et généralement plus apprécié des rôllistes et gens qui vous observent et passons par sa tête. Celle-ci est surmontée d’une crinière brune comme écorce fraiche ; mais parfois oscillant sans la moindre raison vers une tignasse plus sombre, un sorte de noir scintillant d’un millier de reflets dans les même intonations ténébreuses et ce, de jour comme de nuit. Cette belle tignasse parfois hirsute est considérée comme un petit miracle par ses changements de couleur ; d’origine brun vers le noir, et le symbole, celons les anciens de son village village, du passage vers la maturité et la sagesse. Cette chevelure encadre avec charme un visage à la teinte assez banale, cette fois-ci. On peut la catégorier blanche. On pourrait la décrire plus précisément.. Mais, cela n'aurait que peu d'intérêt. Clairement, elle est blanche, légèrement ambrée par un bronzage non excessif. Rien de bien exceptionnel, du coup. Peu de grains de beauté, pas de tache de rousseur, faible pilosité sur son corps. Pas de boutons, à moins d'avoir été piqué par une bestiole, bref... Vraiment rien à en dire. Ce même visage est plutôt bien dessiné, aux trais fins et agréables. Ce visage et pourvus de jolis yeux légèrement en amande et revêtant une folle bi-colorerie. Symbolisant une tendance caractérielle changeante ainsi que les bizarreries multiples du jeune homme, ses yeux vont de l’obsidienne envoutant au vert mi-sombre, semi ambré de rage et cependant incapable de retransmettre la moindre image. Décoré de sourcils asses délicatement dessiné et de cils assez fin pour un homme quoi qu’épais s’il avait été une femme.

Sur ce petit faciès sympathique trône un nez bien proportionné et droit, assez délicat et jamais brisé encore en combat rapproché. Vous me direz qu’il est rare de casser un nez dans un manga… Oui.. Pas faux ! Des pommettes bien dessinées une mâchoire légèrement cadrée masculine elle aussi. Bref, il est bien normal, des oreilles proportionnées normalement, placées comme il se doit et souvent cachées par ses cheveux, ce qui n’empêche pas son ouïe bien développée d’entendre tous sons, tous bruits. Car celle-ci possèdes des canaux supplémentaires, permettant une ouïe légèrement plus développée. Tout ceci allant dans le but, dans le sens démontrant l’avantage et la faiblesse de Akio dans ce monde qu’est celui des shinobis. Son ossature comme son corps est légèrement différent. Son squelette lui est inversable à bon vouloir, créant une certaine instabilité osseuse ; Cette instabilité créer des croisements entre canaux de chakra et os. Lorsque le jeune homme utilise du chakra dans la création de jutsus élémentaux ou pas ; Les os provoque des fractionnements de particules en croisant le chakra à pleine vitesse donnant une nature sonore aux jutsus. Et faisant de ceux-ci des jutsus utilisable par gestuelles pour leurs créations. Cette particularité physique l'incapacité donc à utiliser tout Ninjutsu autre supérieur au rang E, ainsi que les Fuinjutsu, Kuchiyose, Genjutsu… Aussi et sans doute, n’est-il pas très rassure de ce fait. Enfin bref, Qu’y a-t-il à en dire d’autres ? Un Tatouage au niveau des pectoraux, côté droit.

D’un point de vus vestimentaire ; Kyojin à un style assez varié. Non, il n'est pas de ses personnages à porter constamment la même tenue: Pourtant, certains sont récurrentes chez lui et il m'est donc important de les y décrire. La première est sa tenue d'entrainement, voire de mission... celle-ci est en réalité assez simpliste ce constituant d'un haut simple, débardeur couleur ébène. Un short de même couleur, parfois un Jean. Et des chaussures en cuir, montante et lacée (avec chaussettes), semelles de cuir épais. Décorativement ainsi qu'en guise de protection, des bandes bleu sombre recouvrent ses poings est on genou droit. Peu orthodoxe, il và sans dire que dans les limites du monde shinobi, elle symbolise un style jamais employé jusqu'à présent. Ayant la flemme de décrire d'autres tenues qui de toutes manières elles ne seraient pas intéressantes... Je stop le physique après un court paragraphe.

Nota : Tout ce qui est dit sur le squelette du Kyojin concerne son clan d‘origine aussi, ou tout du moins, quelques personnes. Le clan, rejetant ses origines, considèrent ceux différant comme des monstres et les abandonnes à la naissance, il n’existe donc que très peu de membres de ce clan originaire d’iwa. J’aurai tendance à proposer trois places disponibles uniquement. A noté que la création de la nature sonore expliquée plus haute, empêche l’exécution de tout ninjutsu, fuinjutsu, genjutsu autre que sonore supérieur au rang E. Les membres du clan peuvent voir grâce à un système écholocatif lié à leur chakra. Souvent la bouche légèrement entre-ouverte. c'est ainsi que les fréquences de repérage sortent d'eux. Un système qui ne vois le jour que très tard dans leur vie. (8/10ans en moyenne).



Votre Histoire



Cette histoire est un condensé de petits texte hybride entre le RP et le résumé (j'insiste sur le sens du mot résumé, condensé.). Pour faire le tour des moments importants de sa vie sans me fermer trop de portes d'invention dans l'avenir.


I. Il fait sombre, l'horizon n'est pourtant pas noir mais, encore légèrement rougeoyante... Parsemée des derniers rayons mordorés craché par un soleil mourant dans l'horizon. L'air est frais, fouettant le visage du vieil homme. Il est seul ; sur la corniche par-dessus les eaux. Il est là, tout en haut de la falaise sur ce monticule de terre ; Lui aussi est seul... depuis plus de cent années il est le dernier montant de falaise autant pointant d'aussi prêt l'horizon... Tous les autres sont tombés depuis la grande guerre ; et ses remous sur le paysage. Pour l'homme aussi, tous les autres sont tombés... Il est là, le regard perdu sur l'horizon ; Seul... Les siens ne sont plus. Cela fait quarante ans, il était jeune à l'époque... Jeune Epéiste à la solde du Kage des brumes. La guerre faisait rage et, il était entouré d'amis avant la guerre... Après deux ans de lutte et deux jours acharnés de combats dans la bataille du bord de mer... Il ne restât rapidement plus que lui. Il n'y avait plus reposé les pieds depuis quarante ans ; Aujourd'hui, le voilà qu'il y retournait. Missouri était une île paisible aujourd'hui ; la vie avait repris son court normal et seule une tombe indiquait qu'ici avait eu lieu un carnage qui avait coûté la vie d'une centaine de Shinobis... De jeunes hommes venus défendre la liberté de l'archipel et assurer leur protection sous l'égide de Kiri. Si peu de reconnaissance ; Et pourtant... C'était ici qu'il avait décidé de vivre sa retraite.

Une larme mouilla l'un de ses yeux... Puis, ce firent bien d'autres qui emplirent ses yeux. Ils étaient pleins de larmes mais, sans qu'aucune ne puissent en couler. Non, pas une seule ne roula pas sur ses joues ; et aucune n'accepta de faire le saut de la mort... Lui pourtant, y pensais sérieusement. Torturé par toutes ses vies prises et celles de ses amis perdus. Il s'était sentit toutes ses années redevables, obligé de vivre pour eux. Maintenant qu'il était en retraite, aucun de ses bras n'étant plus capable de tenir son épée... il ne s'estimait plus capable de payer sa dette. Il devait donc finir par prendre sa propre vie et ne le pourrait pas de sa propre main. Doucement il se redressa, s'aidant du peu de force restante dans son bras gauche, regarda longuement le vide, au lieu de l'horizon... Quelques larmes par effet de pesanteur furent contraint à partir se mêlait à l'eau salée en contre bas... Quoi qu'il était difficile de penser qu'une seule ai été assez consistante pour résister à une chute déjà bien longue pour un être humain. Un léger sourire scarifias son visage ridé par trop d'hiver... une lueur semblât luire dans ses yeux alors qu'il se retourna vers celle qui lui avait permis de survivre toutes ses années, de batailles en batailles, de missions en missions... Bel, l'épée du troisième démon sabreur ; son épée... A lui !

Ses yeux s'écarquillèrent comme jamais à cet instant, Bel, l'une des seuls épées de sabreur de tailles quasi normal pour ne pas dire la seule, était entre les mains d'un nourrisson, d'un bébé, de tout juste un an et qui, à quatre pattes, jouait sans mot faire avec le manche de la lame, le mâchant sans parvenir à soulever a plus de quelques centimètres du sol ne fut-ce que la garde de l'épée : Oui... Il resterait encore un peu sur ce monde. Oui, il obéirait une dernière fois à son Kage et oui, la tradition des épéistes, pour son épée, ne serait pas stoppée aujourd'hui. Il avait eu sa révélation. Par cet enfant passerait sa rédemption, par cet enfant, il payerait sa dette une bonne fois pour toutes. Le garnement visiblement sans parents ; serait son apprenti, son écuyer. Ses nouveaux bras...

II. Le bleu Azur du ciel d’été s’estompe dans le lointain. Les beaux jours sont passés et l’hiver se rapproche un peu plus. Les belles années aussi. Le vieil homme n’à pas retrouvé sa jeunesse et ses espoirs, ce sont endormis. Cet enfant, son élève, sa succession… n’a pas fait ses espoirs. C’est un soir de fin d’été, un soir pluvieux, que nous le retrouvions, bouteille à la main, a demi vide, entouré d’une foule d’abrutis dans une de ses vieilles ruelles, sales et délabrées. Le genre d’endroits qu’on en fréquente qu’en tant que pauvre, malfrat ou sans abris. Sortant tout juste de la foule, il observe comme les autres, gueulant des insanités et des insultes. Au centre de cette masse est libre un petit espace. L’air est lourd, malgré sa fraicheur. Quelque-chose ne va vraiment pas ici. L’infâme odeur de la pourriture rependue dans les rues, l’étroitesse de celles-ci ? La réunion de trop de monde sale en un trop petit endroit ? Ou bien les carcasses de poisson dont la date serait dépassées depuis des mois encore en vente sur le marché de ce matin ? Allez savoir. Toujours est-il que tout ceci ne dérange en rien la foule attroupée pour regarder deux jeunes enfants, comme l’ont parierait sur tel ou tel coq dans un combat à mort entre ses deux même animaux. « UNE DROITE » hurle le vieux maitre, « UNE DROITE BORDEL » répète-t-il de son air absent et à la fois sérieux, certainement effet d’une surdose d’alcool. L’enfant décoche en effets à droite, mais celle-ci n’atteint pas ça cible. Deux pas en avant, entrainé par son propre coup, le déstabilisent et le second décalé en profite pour lui décoché un magnifique crochet dans la mâchoire le propulsant au sol. La plupart des gens semblent éclater de joie, visiblement celui toujours debout était leur favori.

Dans un coin, un peu en retrait de la foule, c’est un troisième enfant qui reste là, les yeux semblant porté vers le sol. Le visage amoché, encore en sang, la main déformée et tout juste soigné par de vieux bandages salis. La moitié d’un sabre de bois brisé en deux par terre devant ses pieds, l’autre sur ses jambes, reposant sous sa main encore plus ou moins intacte. Le bout de ses doigts l’effleurant à peine et gigotant légèrement sur sa surface encore lisse. Des larmes ce formant au niveau de ses yeux. Le combat là-bas n’est pas terminé. Les foules s’acharnent à gindre ses encouragements avec une vigueur renouvelée. L’autre combattant c’est relevé. Ils n’en ont donc pas fini de ce combat. L’enfant dans son coin laisse son regard ce perdre vers l’horizon pourtant restreint. Laissant ses larmes débordées de ses yeux. Son attention toute portée par l’ouïe sur la foule, les coups, le combat qu’il aurait dû faire après la victoire qu’il aurait dû acquérir… S’il avait été digne de son maitre, par malheur il ne l’était pas. Lui le pauvre aveugle, avait appris tout ce qu’il y avait à savoir sur le maniement d’une épée, quel que soit sa taille, sa forme, son poids… Quel que soit sa qualité et bien d‘autres critères encore et pourtant, il était toujours aussi incapable. Incapable de briller dans le domaine qui faisait sa vie, le combat. Incapable de doré son image aux yeux de sa seule et unique famille : Son Sensei.

Les larmes, plus abondement encore, glissaient sur son visage. Formant bientôt de très fin ruisselet le long de chacune de ses deux joues. Pourtant, il appliquait tout, tout ce qu’il savait, pas trop mauvais sur ses appuis compte tenu de son handicap. Ses membres étaient solides, seul le maniement technique de son arme lui faisait défaut… « Quel Nul, il ferait mieux de lâcher son arme. MINABLE » tel avait été le commentaire qui l’avait le plus blessé lors de son trop court combat. Un commentaire qui n’avait de cesse de ce répéter dans son esprit, répercutant l’écho encore inconscient, d’une révolution ; Agé de seulement sept ans, son apprentissage durai déjà depuis longtemps et… S’il devait adopter un nouveau style, pour s’épanouir et enfin montrer ce qu’il pensait réellement valoir ? Après ce jour, cette idée lui vint petit à petit. Il lui fallut en fait quelques mois et d’autres déceptions, en combat et venant de son maitre. Quoi n’avaient de cesse de le rabroué. Lorsqu’il comprit qu’il devait envisager son style sous un autre angle le vieil homme refusa. Il fut alors certain de ce qu’il devait faire, et partit.

III. Le plus grand évènement de sa vie, suite à son départ… Ce fut certainement, celui qu’il eut ce matin d’été. Le soleil était revenu déjà par deux fois depuis son départ, âgé de neuf ans, presque dix. Le jeune enfant ce laissait maintenant bercé par les aléas de ses allées. Déterminé un temps à en apprendre plus sur le combat sans arme, et voir s’il pouvait y être bon. Sa cécité l’avait entrainé de pitié en rejet. Pas plus de sentiments louables que venant de son maitre de pouvait aller envers quelqu’un de différent. Aussi petit aie pus être la différence. Après tout, il se débrouillait assez bien pour vivre. Bien qu’il se trouva rapidement obligé de mendié et de resté dans la même zone géographique. Ca survie passa par le camouflage ; les rues ne sont pas sûr, même pour un adulte, et un voyant. Ses deux années, ne lui avaient donc rien apprit sur l’art du combat… Juste sur la fuite et le camouflage. Aussi qu’il commençait à toucher du doigt le vol ; Toujours dans l’unique but de manger à sa faim. Soudain, il bondit d’au travers un nuage de suie, retombant quelques mètres plus loin, la pointe de ses pieds dans la gouttière mise en branle sur l’instant. Il souffla avec difficulté son soulagement, tenant fermement entre ses dents une belle grosse cuisse d’un animal proche du poulet… Mais allez savoir, vus la taille de la cuisse, ce que pouvait être ce volatil dans sa vie… Il ne le savait pas, et s’en fichait assez royalement. Reculant d‘un pas lent et précis pour ne pas effondré la rigole ; qui se brisa malgré tout, l’entrainant dans une chute de la valeur de six étages. Que faire alors ? Fermé les yeux ? Bien inutile pour un aveugle… Son dos ce mit en premier très rapidement, ses yeux portant vers le ciel. Et quelque chose le retint par le col, stoppant sa chute dans une posture normale. Pendant, en face d’une fenêtre :

« Alors c’est toi, gamin, qui a volé une partie de notre repas ? » Akio secoua vivement la tête, et ce, négativement. L’homme rigola doucement avant de reprendre, interrogatif dans son intonation : « Alors, que fait cette cuisse de mon repas, dans ta bouche ? » Grosse goutte de sueur au coin du front. Il resta sans bouger Sans desserrer non plus, quitte à mourir, autant mourir avec de la viande à manger. Quitte à se faire prendre, autant se faire prendre avec de la viande ! Pas très logique, en effet… Mais affamé et biens plus maigre que de l’époque où il était avec son maitre ; C’était ainsi qu’il pensait. Enfin bref… Plein de bonté, ou non trop remplit de sadisme ; il ramena le gamin à l’intérieur, toujours d’un seul bras d’ailleurs. Le gardant en hauteur, fermant la fenêtre de son autre bras : « Tu es sale, va te doucher. Passé par la cheminée, tu t’es pris pour le père kyuubi ou quoi ? Dépêche, et reviens en suite me voir. » Rien ne se passa. « Qu’attends-tu au juste ? » L’enfant, nourriture en bouche, indiqua de la main ses pieds, qui ne touchaient toujours pas le sol mais l’autre devait le regarder dans les yeux. Il gigota un instant, sans résultats. Gigota à nouveau… Toujours rien. Attrapa le poignet de l’homme qui réagis alors : « OHH, je te tiens toujours, excuse moi, j’avais oublié, Héhéhé ! » Lâché il détala aussitôt : « Si tu pars, je te rattrape et t’emmènerai devant les soldats pour expliquer ce que tu as fait de mal, Gamin. Fait ce que je t’ai dit, lave-toi, et reviens en suite. »

L’enfant s’exécuta. La morale… Son maitre la lui faisait souvent quand il se battait mal. Allait-il l’avoir pour son vol ? « J’ai pu te voir, plusieurs vois dans les rues, à mendié. Depuis plus d’un an déjà. Je te propose de rester. A la condition que tu ne vol plus jamais, de ta vie. » L’enfant venait de terminé sa viande et l’os posé sur la table à côté, ils ‘inclina légèrement : « je suis désolé, monsieur, mais je cherche avant tout quelqu’un pour m’apprendre à me battre et qui accepterai un élève aveugle. » « Alors je serais cet homme. Si tu ne le sais pas, tu es dans le dojo du Touzai Quan bien que, le combat ne soit pas pour les aveugles… Nous tacherons de trouver une alternative ensemble ; si tu me fais la promesse que je t’ai demandé, Gamin »

« Je vous le promet, sensei, plus jamais je ne volerais »

IV. Le poing semblât volé, plus rapide qu’un boulet de canon. Fendant l’air de sa toute puissance, il percuta la figure de la montagne de muscles. Le pauvre homme recula de plusieurs pas, trébuchant et s’écrasant sur les fesses. L’instant d’après le voilà qu’il était encore quelques mètres plus loin, un violent coup de tibia dans la figure ‘lavait de nouveau fait décollé du sol pour qu’il ne s’écrase quelques mètres plus loin. Le vieil homme ce mit alors à rire. Sombrement il s’avança vers sa victime : « Trop faible » dit-il dans un premier temps puis au niveau de son adversaire évanouis il dit en suite « Et c’est ce genre de maitres, que tu as choisi à ma place, Kiojin. Tu m’as trahis, tu as trahis Kiri, tu dois mourir maintenant ; » Un instant passa sans qu’aucun son ne sorte de nulle part dans la salle. Les sourcils froncé, les traits marqué et visiblement énervé il hurla alors « -SORT DE TA CACHETTE VERMISSEAU ! » La main du géant assommé enserra la cheville du vieillard ce qui n’eut pour seul effet que de le faire rire. Son pied vint s’écraser sur le nez de sa victime une première fois, puis une seconde. La troisième termina de l’achevé. Ce fut à cet instant, alors que le sang dégorgé du corps du Maitre au sol par la plupart de ses orifices, que la porte coulissante de la salle d’entrainement s’ouvrit. Le regard vide et l’air las, le jeune adolescent de treize ans, porta son regard dans le coin opposé d’où ce trouvai son ancien maitre qui reprenait son tire hystérique et visiblement ravis cette fois-ci.

« C’est donc toi, Happosai sensei, qui a tué tous mes précédents Maitres… » Dit-il assez froidement, sans changer la moindre intonation dans sa voix et reportant son regard d’aveugle sur son premier maitre sans pourtant afficher la moindre vie. « C’est donc toi que j’ai juré de tuer. Mon maitre de Budo n’auras pas eu le temps de m’apprendre la profondeur de son style mais, j’ai assez apprit pour te vaincre, Happosai sensei » Doucement et tout en prononçant es derniers mots, il se mit à dansé doucement sur ses pieds… Ou plus, à suivre un Legé rythme, se posant alternativement sur pointes des pieds ou sur talon. Ses poings remontèrent assez haut, l’un deux protégeant sa mâchoire, l’autre plus en avant mais protégeant aussi sa mâchoire par son épaule cette fois-ci. Une légère inspiration, fermant ses paupières. Sans perturber son ancien maitre, qui semblait plutôt amuser par son inutile élève. Le gamin qui avais monopolisé son temps et l’avait ensuite trahis. Son petit esclave… Lui aussi était déterminé à le tuer. Il ouvrit la bouche, pour se moquer de son ancien élève, à l’instant précis ou Akio disparu. Surprenant son sensei ; le gamin de quinze ans reparus devant celui-ci son poing bien armé, un magnifique Cross du gauche heurta le menton de celui qui l’avais élevé. Le faisant disparaitre dans un petit nuage de fumée ; une dalle de tatami apparue à sa place. Le pied arrière d’Araki glissa en arc de cercle entrainât son corps a ce retourné à 360 degré. Lui permettant l’esquive de l’attaque de son ancien maitre et ce replaçant en face de lui. Le second coup manqua de le percuté mais reprenant son petit jeu de jambe, il bondit de quelques centimètres juste, assez pour esquiver l’assaut. Dès que le bras adverse fut tendu au maximum ses pieds retouchèrent le sol duquel ils étaient séparés de seulement quelques millimètres. Il enchaina par un second Cross que son maitre dévia sans réel soucis, l’effet de surprise était passé. Le jeune homme bondit plusieurs fois sans perdre son jeu de jambes.

Apparurent sur chacun de ses côtés des copies de son maitre, il dévia le premier coup d’une patte de chat, esquiva le second et le troisième cependant le quatrième percuta son flanc. Le second coup du premier, fut encaissé de plein fouet, ainsi que des autres, chacune des copies s’acharnant sur lui comme on le ferait sur un sac de frappe. Rapidement certaines zones de son corps devinrent douloureuse, sa respiration ce coupa, son visage ce cabossa. Le sang cola en deux jolis petits ruisseaux de son nez et de sa bouche. Pourtant il tint debout, comme insensible à la douleur du corps et de l’esprit. Doucement, rassemblant toutes ses capacités combatives, il releva sa garde ce courbant sur ses appuis. Abaissé son centre de gravité. Garder des appuis stables. D’une vois affaiblie et entrecoupée il ce força tout de même à gronder : « Sensei. » « Vous êtes… Vieux.. » Il impulsa sur ses appuis, bousculant le premier des quatre clones de son sensei déjà âgé de plus de quatre-vingt-dix ans. Ce défaisant de la prison de coups. Il releva son poing, fit un petit mouvement de pattes pour crocher les jambes du clone en perte d’équilibre et l’enfonça dans le sol d’un crochet vers le bas dans la joue. Détruisant au passage les dalles de tatami. Poussé vers l’avant il ce courba accompagnant la chute du clone pour éviter deux attaques trop haut et donna une nouvelle impulsion pour ce projeter plus loin ce retournant pour se retrouver de face aux trois. Ses yeux ne voyaient pas mais son cœur lui voyait et surtout, une chose que son maître ne connaissait pas avait développé son chakra au point de révéler ce qui avait fait de lui un orphelin. Remplaçant ses yeux, surpassant des yeux… Mais nécessitant aussi d’être plus ou moins de face. Une esquive restant en garde, une esquive plié sur ses genoux suivis d’une remontée avec uppercut abatant encore un clone mais ce prenant les poings des deux autres… Qu’est-ce qu’un ado pouvait bien faire face à un homme aussi expérimenté et plein de techniques ? Cette fois-ci les coups le projetèrent au sol, à côté de son dernié maitre, maintenant décédé. Pouvait-il abandonné ainsi, sans le venger ?

Ce ne fut que bien plus tard, que guidé par un sens de l’orientation presque légendaire, Kiojin parvint au plus profond des désert de Suna, il avait Vingt an tout juste. Sa vie, dans le monde shinobi, allait commencée concrètement. Il allait oublier son passé en tant que Kiojin et devenir, Akyo. Le Colosse du Désert. Sabaku no Akyo.

Le soleil tapait avec ardeur, sa haine semblait portée sur tout le pays qui pourtant le louait, lui, comme l’air qui soufflait en de brulantes bourrasques par endroits. Mais aussi la pluie qui venait à sauver ce royaume perdu par certaines nuits ou le ciel semblait n’attendre que cette accalmie pour déverser les tonnes d’eau accumulée par la sueur des habitants dans la journée. Le désert infini, des rares villages, ses quelques villes aux murs hauts et épais, protégeant du vent. Aux rues étroites et souvent couvertes d’ombre par la hauteur des bâtisses ; pour protéger du soleil… Et au système d’irrigation et de stockage d’eau extrêmement pointu. De véritables petites merveilles au centre des dunes. Mais moi, je ne vivais pas là-dedans. J’avais bonne réputation auprès des gens. Depuis mon arrivée, j’avais commis quelques actes répréhensibles d’ovation. Et je vous rassure, je ne suis pas de ses gens venir et tout casser pour être le plus beau, le plus fringuant. Je m’étais juste contenté de rencontré des gens qui portaient en période sombre dans une certaine région du pays, la voie de la justice alors que le village protecteur et le daimyo semblaient sourd aux appels de détresse de cette partie du peuple. Et bien que ma réputation avait été en grandissant, je n’étais ni le plus connu, ni le plus apprécié. Nous étions le Kaizoku Tokusentai. Ce jour-là et comme les autres auparavant… le soleil m’avait obligé à retirer mon haut. Ne me restais qu’un pantalon sombre de toile, un caleçon en dessous, forcément. Et des mitaines de maintien, et de protection. Les pieds à même le sable brulant et le regard perdu dans le lointain horizon… celui dont on parlait si souvent chez les voyants. La ceinture maintenant mon bas était une sorte de tissus blanc, un foulard ou autre, d’une une partie dépassant du nœud flottait celons les aléas du vent. Bras croisé, je contemplais avec ma propre vue intérieur, ce que j’avais bâti sur à peine plus d’un an. J’avais des connaissances, des frères de combats, des gens qui m’appréciaient ou qui appréciaient mon nom et ce qu’il évoquait. Pourtant le doute avait étreint mon cœur. Le doute et la crainte, nos actes aussi louables fussent-ils entrainaient plus d’ennemis, plus puissants, de jour en jour. Suna n’intervenait pas et… cette mission que nous nous étions fixée ne devait être que temporaire. j’en voyait déjà la branche lassante du tunnel. Celle ou tout ce répète et où l’ennui combiné à cette forme incertaine de peur commence à vous envahir. Pouvez-vous comprendre ? Et puis, il y avait ce vide dans ma vie, cette absence de famille. Aurais-je dû être quelqu’un d’important auprès d’eux ou n’étais-je qu’un enfant non désiré, une engeance aveugle et démembrée aux compétences démoniaque ? 2tais-je un démon ? Si je l’étais alors les histoires sur ceux-ci étaient fausses, car je n’étais, sans aucun doute, pas quelqu’un de mauvais. L’horizon ce brouilla soudain. A ses pensées je me laissai aller au mal qui me rongeait depuis un moment déjà. L’ombre qui grandissait en moi et que j’assimilai petit à petit. Mon pied sur le visage d’un brigand s’enfonça démesurément dans son visage alors que je laissai un sourire sadique ce dessiné sur mon visage. Cette malinerie démoniaque, et pourtant si proche, comme une amie longtemps cherchée.

Vouivouivoui, j'aimerais rejoindre Suna in rp x)




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Lumina

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MessageSujet: Re: Fiche du Kyojin.   Fiche du Kyojin. Icon_minitime1Lun 26 Sep - 0:16

Tu tu, c'est mal de voler D:
Sinon, très belle présentation, tu es validé. Je trouve que ton personnage tiens un peu du parfaitisme, mais c'est pas grave, j'aime beaucoup, sérieusement.

Fiche validée, bonne continuaison =)
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MessageSujet: Re: Fiche du Kyojin.   Fiche du Kyojin. Icon_minitime1Lun 26 Sep - 0:34

Pourtant je parle d'un aveugle et looser dans le premier domaine qu'on lu à enseigner Rolling Eyes Qui ne deviens bon dans un domaine que vers quinze, seize ans (soit plus vieux que les neji, lee, tenten) Laughing

Merci en tous cas ^^
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MessageSujet: Re: Fiche du Kyojin.   Fiche du Kyojin. Icon_minitime1Mar 27 Sep - 9:02

Petit Up pour le Rang et, les 4 techniques offertes non ? xD
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Daisuke

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MessageSujet: Re: Fiche du Kyojin.   Fiche du Kyojin. Icon_minitime1Mar 27 Sep - 9:20

Validé --> Genin comme tu le demandes --> 4techniques offertes.
Bon rp à toi parmi nous.
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