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 Konan a un nouveau message à faire passer

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MessageSujet: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 14:15



Nom : Washi (mais elle ne le sait que plus tard dans mes future Rp ^^)

Prénom : Konan

Age : 27 ans

Nindo : Le monde est rempli de haine à éradiquer

Village : Akatsuki si possible, sinon Kiri

Description Psychologique :

Froide : D’un passé des plus triste elle a perdu toutes les personnes qui lui son cher à ses yeux, ne souriant jamais elle peut paraitre sans émotion ni sentiment, une chose qui lui est très utile pour que personnes ne puissent lire dans son jeu et savoir de quelle mijote vraiment. Malgré cela, les personnes ne la connaissant pas peuvent être surprises par le visage froid et calme de Konan qui ne montre aucune émotion de sympathie, mais elle ne montre pas non plus un visage menassent.

Sombre : Elle ne vit que pour donner à ce monde une paix que beaucoup d’hommes s’forcent à éviter, prête à tuer n’importe quelle personne pouvant nuire ou même seulement donner une possibilité d’accomplir plus facilement son projet. Elle n’a plus aucune pitre pour qui que ce soit, enfant, bébé, mère en sainte, elle est même prête à tuer la moitié des personnes vivant sur cette terre pour que la paix puisse régner éternellement. Elle peu même s’il le faut manipuler une personne pour quelle puisse avancer dans son Nido.

Réservé : personne ne connait vraiment les raisons de cette ambition surdimensionnée, Konan qui est peut bavarde parle très peu et seulement pour dire des choses qu’elle semble essentiel. L’intérêt qu’elle porte au passé étant bien plus fort que se quelle peut maintenant subir lui fait prendre très peu d’attachement envers les gens. Restant sympathique avec les personnes qui l’entoure elle n’en reste quand même asses éloigner niveau des sentiments ce qui lui permet de trahir sans le moindre remord n’importe qui. Dès qu’une personne commence à parler de son passé la Kushiose se met à éviter la discussion en quittant la sale ou de manière plus subtile et cela dépend bien sûr du concept.

Artiste: Konan à une très grande passion, l’origami, un art qui demande beaucoup d’agilité et de maitrise, Konan sait faire cette ars depuis sa plus jeune enfance, un art qui lui sert aussi d’armes pour les combats, cette enfant adore cette arc qui lui ressemble beaucoup, froide t’elle la couleur du papier et sombre comme les images qu’elle peut lui donner, un ars n’ayant pas fini d’évoluer pour atteindre un but qui ne peut s’achever entièrement. Certain la surnomme « Ange messager » grâce a son ars.

Conquête : Etant artiste dans l’âme elle aime ce qui est beau et aime donc se faire belle, ayant vécue une petite partie chez une famille de noble, Konan aime avoir des postures noble et artistique, ayant tout le temps l’apparence d’une fille asses mignon, sans non plus paraitre potiche.

Description Physiologique :

Konan, est une fille dont l’apparence est asses jolie, même si elle n’est pas la fille qui passerait dans les podiums pour son apparence. Des cheveux qui s’arrête aux niveaux de ses épaules, des cheuveux de couleur violet, et droit. Elle porte une fleur au côté droit dans ses cheveux, une rose blanche faite en papier il y a de cela bien longtemps, mais malgré cela elle semble comme neuve, un visage ne montrant jamais d’expression, elle ne sourit jamais. Un simplement maquillage autour de ses yeux, elle porte un rouge à lèvre qui blanchie le rouge de ses lèvres. Elle a aussi des yeux bleu claire montrant aucune émotion non plus. Un petit piercing métallique sort en dessous de sa bouche. Son visage montre une apparence froide. Vétue d’une longue cape entourent tout son corps, cette cape d’un noir sombre est sinistre laisse voguer dessus des dessin de nuage rouges entourer d’une lignes blanche, l’intérieure de cette verste semble entièrement rouge, cette veste a une grand colle qui cache son coup. Pouvant se décomposer, en de millier de papier, elle peut prendre de millier de forme, malgré cela elle a des préférences pour certaine, sa favorite et c’est d’un ange, d’où son surnom d’ange messager. Dissipant ses jambes elle laisse apparaitre des ailes faite en papiers, avec ces ailles elle peut envoyer un grand nombre de papier sur son adversaire en faisant seulement un battement d’aile. Ça lui arrive très souvent aussi de se dissiper dans un amas de papier qui se disperse de toute pars. Elle aime aussi donner la forme d’arme a ses papier ce qui lui permet de trancher ou embrocher ses ennemies. Konan fait aussi souvent pas mal d’apparition sortant de ses nombreuses feuilles de papier. Dans un combat elle est souvent une attaquant prenant de la distance ce qui la fait paraitre comme une seconde plutôt qu’à une meneuse.



Histoire :

T-elle une fleur que le temps fait fleurir, mon histoire m’a épanouie. Retenue par les ténèbres et attirée par la lumière, mon histoire des plus tristes, se trouve seulement à mi-chemin d’une suite dont la fin reste encore à écrire. Une histoire qui m’a emmenée là où je suis maintenant, un nouveau membre de l’Akatsuki j’ai encore plain de chose à faire, mais mon texte ne parle pas de moi en t’en que membre, mais de comment j’en suis venus à choisir d’entrer dans cette organisation. Ma naissance fut en plain milieux d’un conflit entre deux clans, l’un des clans maitrisant le Sharingan et l’autres est un clan bien moins connue, se clan a pour kekkei genkai le papier, il se nomme le clan washi, cette attaque est orchestré, par le clan Ushiwa, car le clan Washi a repris un otage que les possesseurs du Sharingan ont fait. Cette otage est ma mère qui est en ceinte de moi depuis huit mois. Au retour dans leur pays qui est Kiri, le Clan Washi se réfugie pour la nuit dans un grand bâtiment abandonné proche du village des brumes. Ce bâtiment est peu sécurisant proche de l’effondrement, la poussière et les débris y règne. Ne sachant pas qu’ils sont poursuivi les Ushiwa en ont profités pour encercler le bâtiment afin de les attaquer, Je ne vous cache pas que c’est un bain de sang peu d’homme du clan Washi ont survécus, oui le nombre de poursuivant et l’attaque surprise ont eu raison d’eux. Ma mère fut aussi attaquée, accompagné d’un ninja qui doit la protéger, elle a vu de ses propres yeux l’homme mourir devant lui, elle sait sa fin proche, mais par un élan de survie pendant que l’assaillant tue son protecteur elle prend un Kunai par terre et vient d’une geste déterminé égorger le pauvre Ushiwa, du moins c’est ce qu’elle a voulu faire, mais par malheur je voulais faire mon apparition dans ce monde néfaste au mauvais moment, oui les premières contactions de l’accouchement viennent d’apparaitre juste avant que l’action puisse aboutir, le Ninja qui a eu de la chance de rester en vie se met à se retourner avec un katana tenus bien fermement dans la main droite, près à tuer ma mère en plain milieux de son accouchement, ma mère entre deux crie se met à dire :

Si mon enfant ne t’avait pas sauvé tu serais mort à l’heure qu’il, laisse lui au moins une chance de survie.

L’Ushiwa fit un signe positif à la femme essoufflée puis lui trancha une main pour lui laisser juste le temps pour qu’elle accouche et cela avant de mourir par manque de sang dans le corps, un autre homme se met à crier en demandant si la zone est sécurisée, mettant un torchon dans la bouche de ma mère le ninja se met à crier « rien à signaler tout le monde est mort ici ». Puis partit sans demander son reste. Après une bonne heure je montre le bous de mon nez ma mère qui tient sa blessure pour avoir le plus de temps pour pouvoir me sortir, lâche prise pour pouvoir me voir une seule fois ,me prenant avec la seul main quelle a, elle m’attrape avec sa main rouge de son propre sang, un sourire et une larme coule le long de sa joue quand elle voit pour la premier et dernière fois mon visage, après cela elle me pose juste à côté d’elle écrivant juste à côté de moi avec le sang qu’elle a sur sa main le mot « Konan ». Ce mot, se nom, a-t-il une signification particulière pour ma mère, je ne le sais pas comment puis-je le savoir ? Enfin, des questions qui resteront sans réponse, comme c’elle de savoir si je ressemble plus à mon père ou à ma mère, quelle parfum ils aiment, les loisirs, leurs attentes, je ne sais même pas si les choix que je fais en ce moment leur plaisent, si ils sont fières ou pas de moi. Malgré ses questions ma vie qui vient juste de commencer est toujours relier à un seul fil. Seul sans aucun moyen de me nourrir, sans même pouvoir bouger, seul mes cries qui sortent de ma petite bouche peuvent monter que je suis là, j’entends ma propre voix pour la première fois, criant de toutes mes forces pour survivre, y a-t-il personne pour moi, après une demie journée dans ce grand bâtiment, un bruis qui m’est encore inconnue se fait entendre. M’entend-il et s’il m’entend, viendra-t-il m’aider moi un petit être qui n’a même pas la possibilité de pouvoir manger seul, d’un coup je vois une tête puis un corps, l’homme me regarde et me prend. Habillé d’un costume, il parle de chose dont je ne comprends pas, le ton de sa voix me semble rassurante, son corps chaud m’abrite d’un froid dont je n’ai pas l’habitude de subire, enfin une chose habituel, une chaleur que j’ai déjà sentie quand j’étais dans le ventre de ma mère, et juste avant de m’endormir j’entent quelque chose qui me rappel quelque-chose « Konan » Oui je l’ai déjà entendu le dire de la bouche de ma mère, puis le sommeil vient et je m’endors pour la première fois sur cette terre qui a volée ma mère dans mes premières minutes de ma naissance. A mon réveille je me suis réveillé, dans un magnifique landau où là, plusieurs têtes me regardent pendant mon réveille, me parlant comme si j’étais un chat ou un chien répètent toujours la même chose du genre « Ho qu’il est mimi le bébé » ou « Ho, mais elle a fait un gros dodo », cela me fait beaucoup rire (quelque bande d’idiot °O° non je déconne ^^), je me sens bien ici, un endroit où j’ai vécu cinq belle année, ma nouvel famille est composée d’un père un grand homme d’affaire, fabriquant des trousses à pharmacie pour les Ninjas de Kiri, ma mère avait du sang noble aillant de la famille ayant beaucoup de terre elle ne manque pas de moyen financier, j’ai maintenant six frères et aucune sœur, mon père m’a expliqué très jeune comment je suis arrivé chez eux sans non plus approfondir dans les détails. Il m’a dit qu’Alfred notre major d’homme qui l’est toujours m’a retrouvé dans un bâtiment abandonné avec mon nom écris au sol et que ma mère a malheureusement décédé, il n’est pas rentré dans les détails de la morts de mes parents. Je ne sais que ça sur mes racines autant dire pas grand-chose. Je vie donc avec une famille riche vivant dans une grande bâtisse éloigné du village, à cette époque la grande guerre n’a pas encore éclatée seul des petits conflits faisaient combattre quelques Ninjas, moi mes parents m’apprennent en avance, la lecture, l’écriture et tout autre chose utile dans la vie, enfin d’après ce que disent mes parent. C’est aussi à cette époque que je me trouve un don pour l’ars, dessinant, au feutre, au crayon, avec de la gouache, de la peinture, sur du papier, des toiles, sur mes mains. J’adore dessiner et mes parents en sont très fières, mais j’ai vite trouvé ça ennuyant et sans forme, je dois donner une forme à mes dessins, un art qui me convient en tout point, quelque chose où je peux faire ressortir toutes mes envies, toutes ses formes que je veux ressortir de ma tête, un art qui sans conteste, me ressemble. Noir et triste comme mon apparition dans ce monde et ayant l’apparence d’une création inachevée comme le manque que je ressens en moi en ne connaissant pas ma vrais famille comme une feuille blanche dont personne ne se souci d’écrire ou de dessiner dessus. Je mets à lire de grand nombre de livre parlant de différent, manière de pratiquer l’ars dans la grande bibliothèque des ancêtres de mes parents, en vain aucun livre ne m’inspire dans mon projet, puis notre majors d’homme, Alfred vient me donner mon repars disant que mes parents sont mécomptent de ne pas avoir eu la joie de ma présence à leurs tables, regardant la grande pendule, de la bibliothèque je m’excuse et dit que ce malheureux incident ne se reproduira plus. Déçut dans ma recherche d’inspiration qui n’a abouti à rien, je descends l’échelle, ayant atteint le sol je prends mon plateau repas les yeux regardant le sol, je pars m’assoir sur une pile de bouquin que j’ai lu. Alfred ce met à côté de moi et plie ses jambes pour s’accroupir et être à ma taille me disant tout en prenant un livre :

L’ars et toutes ses facettes, vous êtes en manque d’inspiration maitresse? Si je peux me permettre vous me rappelez une cousine éloignée, qui fait de l’origami. Elle est très douée.

D’un coup je me mets à lui couper la parole, d’un ton étonné :

L’origami jamais entendu parler, vous pouvez me dire ce que c’est ?

Bien sûr. C’est l’ars de plier le papier pour en donner la forme désiré, une chose un peu saugrenue et peu connue, je vous l’accorde et je ne pense pas que vous trouverez de livre parlant de cela ici maitresse.

Mon visage se met à radier de joie j’ai enfin trouvé l’ars que je convoite tant, un art qui me ressemble beaucoup. Un ars peu connue dont personne ne se soucie donnant la forme que l’on désire, avec cette touche imparfaite qui manque de couleur, d’un blanc sortant d’une création ne touchant jamais la finition totale. Ma joie me pousse dans les bras de mon major d’homme qui est maintenant bien âgé, je sens encore cette chaleur que je n’oublierais jamais, malgré que je ne me rappel pas d’où je connais cette chaleur et cette attache que je ressent près de lui, je considère cette homme comme mon protecteur, sa chaleur et sa gentillesse, oui je peux dire que cette homme et la personne qui m’a rendu la plus heureuse depuis ma naissance, maintenant dans ses bras je lui glisse quelques mots entremêlés dans mes larmes de joie :

Merci Alfred, vous serez dans mon cœur éternellement.

J’en suis honoré, mais sachiez qu’il n’est pas noble d’entrelacer un homme de cette manière et cela même à votre jeune âge et ce n’est pas pour vous décourager, mais comme je l’ai dit, vous ne trouverez aucun livre parlant de cette ars ici. Ce qui vous oblige à l’apprendre par vos propre moyens, en seriez-vous capable ? Bon mangez maintenant, je ne voudrais pas que vous tombez d’épuisement à cause de mes paroles, je dois me hâter vos parents m’attendent.

Je me mets à sécher mes larmes, déterminé à maitriser cette ars à la perfection, une perfection qui comme je l’ai expliqué, ne peut pas être atteint. Depuis ce jour toute la journée on me voit avec plusieurs papiers dans les mains, trainant en même temps mon jolie cartable rose, remplie de papiers aussi, je mets beaucoup de temps à comprendre la subtilité de cette ars, un ars qui plait guère à mes parents et cela pour une raison simple. Obnubilé par la réussite de cet ars toujours pas acquis, j’oublie souvent de ramasser mes essayes ratés et malgré le grand nombre de réprimande que j’ai eu et le nombre d’essaye raté, tel le chiendent, une fleur ressemblant beaucoup à l’épi de maïs, je persévère aux obstacles qui jonchent la route que j’ai choisie. Mon premier essayes à peu près réussit est la tête d’une fleur, une rose de couleur blanche comme le papier que j’ai utilisé. Heureuse, je la cache pour que personne ne la voie, la regardant avec fierté je tente de la reproduire une seconde fois. Deux jours s’écoulent avant que je n’arrive enfin à la refaire et je l’ai même réussi d’une manière bien plus réussite que la première fois. Toujours à l’abri du regard de mes parents, je file dans la cuisine où doit être Alfred pour préparer le repas du soir, toute joyeuse de ma réussite je lui chuchoté accroupis tentant d’être caché de toute autres personnes, je lui dis de me suivre discrètement. Une chose qui le fit bien rire. Toujours accroupie, tenant la main de mon major d’homme, je vais jusqu’à ma planque, compte au majors d’homme qui ne peut pas rester totalement droit à cause de ma position et du fait que je tien sa main, il se voit marcher avec le dos recroquevillé, nous voilà là où j’ai plaqué mes belles roses de papier, je prends une rose dans chacune de mes mains et les montre à Alfred et je lui dit :

Regarde, regarde comme elles sont belles. Tien je t’en donne une prend la plus jolie elle est pour toi.

Alfred se met à regarder les deux fleures, et prend sel qui est la moins réussite et bien entendu, la première que j’ai faite. Je le regarde avec étonnement et lui me fait un grand sourire, je lui demande pourquoi il a pris cette fleur et pas comme je lui ai dit, Mon majors d’homme qui est mon meilleur amie, me regarde avec un sourire et limite en train de pleurer de joue et c’est avec une petite voie mielleuse qu’il se met à dire :

C’est pourtant évidant, maitresse, nous n’avons seulement pas les mêmes gouts, moi je préfère cette fleur, car il est évident que c’est ta première création et j’ai envie d’exhiber cette merveille qui entame le début de ton magnifique don. Maintenant je te fais une promesse, je vais garder ta fleure toujours près de moi, à la vue de tout le monde, pour leurs montrer quelle œuvre mon amie m’a fait l’honneur de me donner.

Apres les paroles qu’il a prononcé, il sortit de la laque de sa poche et l’imbiba pour que ça fleure garde cette forme beaucoup plus longtemps, puis il l’a fait tenir dans sa poche extérieur de son costars, grâce à une épingle à nourrice. Moi je fais de même, prenant la laque le mon major d’homme pour imbiber ma fleure et suite à ça je la fait tenir sur mes cheveux, je fais la promesse de garder cette fleure pour toujours à la vue de tout le monde, en signe de mon amitié envers toi Alfred, mon amie. Du plus loin que je me rappel, c’est bien la première fois que mon major d’homme me tutoies une chose anodine à notre époque, mais sachiez qu’à l’époque le tutoiement n’est pas une chose courante dans la noblesse. Ce signe qu’il m’a donné signifie que je compte énormément pour lui. Alfred sortit en disant qu’il faut maintenant qu’ils finissent le repas avant d’avoir du retard, je lui fais une bref signe de la tête lui disant d’accords. Pendant ce temps, je refais une autre rose, une rose que je veux donner à l’un de mes parent, puis après j’en referais une pour celui qui en aura pas eux et à mes six frères je leurs feraient surement des animaux, mais j’espère qu’ils seront patient, car se sera mes premiers croquis d’animaux. Après une bonne heure dans ma cachette je sors de mon trou, prenant dans ma main, la fleure que j’ai faite qui est tout aussi réussite que celle que j’ai dans mes cheveux, par malchance j’ai un peu de retard pour le repart, courant vers la tables tous en m’excusant de mon retard, j’aperçois le major d’homme la fleure dans sa poche se faire engueuler, c’est bien la première fois que je le vois se faire crier dessus, d’habitude c’est toujours moi qui reçoit les punitions et les fessés. La dispute concerne la fleure qu’il a dans sa poche. Mon père cris en disant qu’il pousse sa fille sur une mauvaise voie, une voie de souillonne et qu’avec cette hobby elle met la maison sans dessus dessous. Maintenant mon ars est une réussite, je sais moi que maintenant les croquis ne seront plus au sol, mon père dit à son majors d’homme de retirer cette fleure. Je les regarde tous les deux sans la force de pouvoir bouger j’attends. Oui, j’attends surement la réponse de mon amie, une réponse qu’il n’a pas mis longtemps à répondre, il l’a dit d’une façon net et crue à mon père :

Maitre j’ai eu l’honneur de vous servir pendant de longue année, mais s’il faut que je choisi entre enlever cette fleur de mon costars ou de démissionner, je démissionnerais.

Cela coupa net, les paroles de mon père qui, je vous le confirme est très rare. C’est dans ce lapse temps de silence que je suis entrés en scène, devant ma mère et mes six frères qui sont à table en train de regarder la pièce jouée devant eux, je me mets à m’excuser d’être venue en retard et d’avoir mis tant de bordel (manque d’inspiration pour se mot °O°) dans la maison pendant cette longue période. Je tends mes deux mains qui cachent la fleur, tout en lui disant que ce que j’ai fait a bien un but précis. Ouvrant tout doucement les mains, je dévoile ma rose et lui dit de la prendre, juste après un cours silence je me met à dire que j’en ferais une autre pour maman puis que je tenterais des animaux pour mes frères, quand mon père prend la rose je lui saute dessus pour lui faire un câlin. La dispute a bien l’aire d’être terminée, depuis ce jour je n’ai jamais eux un seul retard pour les repas et aucun papier ne traine par terre et comme je les dis, j’ai fait une rose pour ma mère, ce qui m’a pris très peu de temps à faire et des animaux à mes frères, ce qui m’a pris bien plus de temps que la rose. Éprise de cet ars je ne m’en lasse pas, mes parents commencent à être fière de ce que je fais, le temps passe et les fleurs que j’ai donné à mes parents et les animaux de mes frères se sont abimés, seul sel d’Alfred et la mienne ont tenus contre le fils du temps. Pui un jour qui commence comme les autres, il arrive un drame, la grande guerre a commencée, des Ninjas du village de Konoha ont lancés un assaut sur les terres de Kiri, un assaut qui croise la route de notre maison, nous avions compris que nous étions attaqués seulement quand on entendit quatre parchemins explosifs exploser aux quatre coins de la maison, suite à ces explosions j’entends plusieurs hommes entrer dans la maison, se fut un grand nombre de Ninja. Alfred me prend par la main et me fait rentrer dans ma planque et me dit :

Ne bougez pas vous avez compris maitresse ? Quoi qu’il arrive ne bouger pas et ne faites pas de bruis, votre vie en dépend.

Ses paroles dite, le major d’homme se met à partir, regardant par un petit trous que j’ai fait je voix, un homme transpercer Alfred avec une lame invisible, le corps inerte, l’assassin dépose le corps par terre et me dévoile en même temps son visage, le visage d’un homme avec une cicatrise en forme de croix sur le menton et des cheveux noir, j’ai déjà entendu parler des Ninjas et d’après ce que je voix il a l’aire de maitriser le Fuuton, l’homme se met à dire :

Eliminons les tousses, il ne faut pas laisser une chance de se faire repérer, s’ils nous dénoncent on peut dire que la mission est un échec.

D’après ses mots, j’en ais déduit qu’il est leur leader et donc un homme haut placé à Konoha, mais comment en vouloir à un seul homme, qui plus est n’obéi qu’à un autre homme encore plus haut gradé que lui. Malgré ça, une haine profonde envahie mon cœur, la rose blanche qui est sur le costar de mon amie est tombée, elle roule au sol, tachée de son sang, une de mes créations imbibée du sang d’une personne que je chéris, il me faut être forte, aucun bruit ne doit sortir de ma bouche qui veut en dire pourtant tant, je veux crier, oui crier pour ressortir toute la haine que j’ai envers cette homme, avers se monde qui me prive pour la seconde fois des êtres qui mon chéries. Non vous ne méritez pas ça, pourquoi ça m’arrive à moi, pourquoi une seconde fois, dieux m’en veux de vouloir vivre heureuse ? Pendant que je retiens ma haine et que je la cumule dans mon corps, j’entends d’autre cries, celui de mon père et de ma mère, après quelques secondes ses cries s’arrêtent et une phrase commence à s’entendre : « Ils sont mots, mais il y a des enfants que faisons-nous d’eux ? » la voie de l’homme qui a tuer mon major d’homme répond à cette question en disant « nous ne devons laisser aucune personnes vivants ». Suivi de ses paroles les cris des enfants se mettent à raisonner dans mes oreilles, je croie que c’est à ce moment-là que j’ai posé un petit crie. Juste après mes frères ont arrêtez de crier et un des hommes se met à dire : « j’ai cru entendre un bruis », les hommes se mettent à fouiller de fond en comble les pièces en vain. Suite à ça, tous les ninjas se mettent à partir, je reste dans ma planque attendant que les hommes partant plus loin jusqu’au moment où j’entends un bruis de fracas comme si un vent très violent coupe en deux la grande maison où j’habite, suite à cela toute la maison se met à tomber sur moi. Plusieurs heures après je me réveil croyant que toutes cette histoire est un mauvais rêve, j’appelle mon père disant que j’ai fait un cauchemar sans réponse, de la poussière entre dans mes narines ce qui me fait tousser et ouvrir les yeux, seul une petite lumière sortant d’un petit trou illumine le lieux où je suis enseveli, une grosse planche au-dessus de moi tenus sur un gros morceau de roche, à première vu je pense que c’est un pilier, ce n’est donc pas un cauchemar, je me met à crier, à crier de toutes mes forces espérant que les ninjas ayant fait se massacre reviennent dans ses lieux pour m’achever. Je veux tant voir leur visage, le visage de ses personnes qui me son cher. Personne ne vient, personne ne veut donc finir le travail qu’ils ont bâclé. A côté de moi il y a la petite rose tachée du sang d’Alfred, comment elle est arrivée là ? Ca je ne sais pas, elle est là c’est tout, je la prend et après j’enlève la mienne de mes cheveux, regardant si elle est toujours intacte, ouf elle l’est encore, je la remet dans mes cheveux et pose dehors l’autre rose de papier, mon pied me fait mal je la regarde et vois qu’une pierre est posé dessus me bloquant dans ses lieux, je prends la plus grosse planche à côté de moi et je l’enfonce juste en dessous du gros morceau de rochet qui bloque ma jambe, une chose qui parait simple en le disant, mais pour le faire j’ai dû enfoncer se morceau de boit juste à côté de ma jambe déjà endolorie par les débris qui lui sont tombés dessus. Prenant ce morceau de boit je dois l’enfoncer dans une grande quantité de grave et le seul moyen efficace que j’ai trouvé est en appuyant fortement avec l’extrémité du morceau de boit sur la peau où la chaire enfonçant de plus en plus loin le morceau de boit faisant bouger ainsi en même temps les grava touchant ma jambes, la douleur que je dois supporter est insoutenable, après avoir enfoncé asses profondément se monceaux de boit j’entrepose un caillou juste à côté de moi pour faire un support pour pouvoir ainsi extraire cette roche qui bloque ma jambe, trois, deux, un « HHAAAAAaaaaa », un crie sortie de ma bouche il ne faut pourtant pas que cette pierre ne retombe sur ma jambe, il faut que je tienne se morceau de boit et que j’enlève en même temps cette jambe que je ne peux plus bouger à cause de la douleur, tenant de mon corps le morceau de boit soulevant le rochet j’enlève ma jambe grâce à mes deux mains fiou je ne suis plus gêné par ce maudit rochet. Sortant en rampant de ma cachette qui est maintenant démolie, je me trouve sur les grava de mon ancienne maison. Je regarde de droite à gauche, il ne reste quasiment rien. Par chance je peux voir un peu plus loin une trousse de secoure, prenant le désinfectant j’arrose la plaie de ma jambe, la couvrant ensuite avec un bandage et deux planches de bois pour tenir ma jambe droite. Après avoir fait ça, je prends quelques secondes pour me reposer et je remarque qu’un grand nombre de mes créations de papiers sont intactes, posé dessus sans bouger. La pluie commence à tomber et il me faut trouver un abri, je rampe jusqu’au tronc où là la pluie n’arrive pas à m’atteindre. Je regarde la pluie tomber, ma tête dans mes pensées, j’imagine ma famille me sourire, je me rappel des moments passés à m’amuser avec mes frères qui souvent m’enquiquinait et malgré ça, je revenais toujours les revoir. Je me rappel des roustes que mon papa me donnait, il faut dire que je les méritais, enfin la plupart du temps et aussi des câlins de ma maman quelle me faisait pour me rassurer et aussi d’Alfred qui m’a toujours soutenue et aimé. Une chose dont je ne peux plus profiter, la fatigue a eu raison de moi et me fait m’endormir. Je me réveil le lendemain matin avec une grande douleur à la jambe, je dois bouger, il me faut me nourrir, par malheur je ne connais pas la direction de Kiri et de toute manière les eaux l’entourant ne me permet pas de prendre sa direction, hasardeusement je mets à marcher, regardant tout autour de moi voire si je trouve quelque chose à manger, regardant dans un buisson je trouve des baies, des cassis, elles sont donc comestibles. C’est peu nourrissant, mais ma faim m’oblige de me hâter à les manger, cela ne comble pas la faim qui fait gronder mon ventre, plus loin je voie deux personnes manger dans un coin de la forée. Deux énormes sandwiches, bien garnie et qui ont l’aires très apetissant dépassent de leur sac, je ne sais pas si l’attaque de ses maudits Ninjas ont commencés, mais je sais que cette attaque présage une guerre entre plusieurs nation et donc ça c’est une mauvaise chose pour moi qui est maintenant seul dans un endroit qui m’est inconnue. Je ne sais même pas si je m’éloigne de la future zone de combat ou au contraire que je m’approche de l’épie centre. En voyant ses sandwiches je ne me soucie guère de cette futilité, oui en ce moment une seule chose me trotte dans la tête, manger et vite. Je n’ai quasiment plus de force à cause de ma faim. Tempi la force qu’il me reste ne me laisse qu’une solution, venir vers eux pour profiter de leur gentillesse en espérant qu’ils ais pitié de moi. Espérons que les retenties d’une future guerre n’est pas arrivée jusqu’à leurs oreilles. Je m’avance donc vers eux en leurs disant que je n’ai pas mangé depuis des jours, les deux personnes me regardent en voyant mes vêtements en lambo et ma jambe qui est tenue par deux morceaux de bois. L’homme regarde dans le sac et sort l’un des deux sandwiches et me dit de le prendre, je me mets à courir en boitant d’une jambe pour prendre au plus vite le sandwiche tant convoité, j’en more une bonne boucher. Que ça fait du bien de pouvoir manger. Je sens dès le premier morceau mes forces revenir. Continuant de manger je ne fais pas attention d’un grand bruis se faisant entendre, délectant mon repas je sens une personne m’empoigner le bras, mais je ne bouge pas, trop envieux de la nourriture que l’on m’a donné. Ce qui c’est passe et donc de ce que je ne me suis pas rendu compte est une bombe qui a explosée pas loin de notre position ce qui a fait que la femme a voulu me dire de venir se qu’elle a fait en vain, pendant ce temps le garçon lui prend la main de ce que je suppose est son épouse, l’attrape pour partir au plus vite. C’est seulement quand j’ai fini mon délicieux repas que je vois que je suis de nouveau seul et que j’entends le bruit des bombes. J’ai peur, que dois-je faire ? Je regarde autour de moi en voyant les affaires que ses inconnus ont laissées par terre, je prends leur sac où est déposée une trousse de soin et le second sandwiche. Un signe des dieux ? Ils veulent donc que je reste en vie ? Si c’est le cas je vais le rester, je prends le sac et me met à partir de cette endroit le plus vite possible. Après quelques heures plus de bruit, l’attaque est donc stoppée ? Une demie heure après l’arrêt du bruis je me mets à voir une petite rue. Si je longe cette petite route je vais surement tomber sur un village ou une ville, un endroit civilisé où je vais surement trouver des personnes pouvant m’accueillir. Je continue donc ma route en la longeant attendant d’avoir beaucoup faim pour manger mon autre sandwiche. Après plusieurs heures de marche je vois un village, heureuse je continue ma route pour y arriver, arrivant au niveau des premières maisons je vois des Ninjas, ils ont des bandeaux frontale avec le signe de Kiri. La peur d’être de nouveau attaqué me terrifie et je me cache dans la cave de la première maison que je vois, d’après les bruits les villageois quittes les lieux. Pourquoi ? Où ils vont ? Je ne sais pas et je n’ai pas envie de le savoir. J’entends des bruits de pas entrer dans la maison à l’étage au-dessus. Un homme se met à demander s’il reste encore du monde, je me fais toute petite recroquevillée dans un coin de la cave, attendant sagement que l’homme part. Je regarde mon sandwiche et le mange pour éviter que mon estomac ne crie famine et ne me fasse repérer. La peur au ventre je mange le gros sandwiche, ma faim est rassasier et l’homme se met à quitter la pièce sans m’avoir vue ni entendue. Enfin ils sont partit. Je me mets à regarder maintenant la trousse à pharmacie et mon ancien bandage. Il me faut le changer. Pas un bruis, bon je me mets à le faire en attendant que tout le monde soit partit du village. Mordant mon sac j’enlève mon ancien bandage. La blessure n’a pas l’aire moche, à mon avis ma jambe va bien guérir si je continue ainsi. Toujours avec mon sac entre les dents je fais couler le désinfectant sur la plaie. Un petit crie se fait entendre, je vois entre le bois de l’entrée de la cave une ombre, qui se met juste après à ouvrir la trappe laissant un peu plus de lumière entrer dans la pièce. L’homme, l’arme à la main se met à demander s’il y a quelqu’un. Pas un bruis, cacher au coin de la cave, l’ombre cache encore ma présence, j’ai peur, je suis prête à me défendre avec l’un des deux morceaux de boit qui tenait ma jambe droit. Après quelques minutes le Ninja se met à refermer la trappe. Il en a fallu de peu pour que je me fasse voir. Je me mets à continuer mon bandage avec le plus grand des silences. Après une demi-journée passée dans la cave sombre et humide j’aperçois les dernier villageois accompagnés des Ninjas partir du village. Je suis donc sauvé. J’attends encore une petite heure pour être sûr qu’il ne reste personne et suite à cela je prends mon courage à deux mains et part en direction de la première maison. Un lit quel pied je vais pouvoir dormir dans un vrais lit, ma jambe me fait encore mal et il me faut la faire reposer. Je me mets à me faire mon petit coin douillet dans l’une des nombreuses maisons, à un endroit où personne ne peut penser me chercher. On ne sait jamais si d’autre reviennent. Après deux jours entiers à rassembler le plus de vivre, de pansement et de feuille de papier, je me mets à me reposer et à m’occuper à mon passe-temps favori l’origami, plusieurs jours passe, sans trop de Soussi, plusieurs fois les bombes retentissent asses prêt et plusieurs hommes de Kiri ou de Konoha sont venus dans le village fouillant les maisons, sans succès. La jambe guérie et les vivres qui commencent à manquer, il me faut partir si je ne veux pas mourir de faim, je mets dans mon sac le reste de nourriture qui est encore comestible. Je regarde par la fenêtre pour voir s’il n’y a personne dehors. Rien je me mets à descendre les escaliers pour sortir par la porte de derrière. Personne, je me mets à courir un peu pour m’éloigner de la zone qui est de temps en temps fréquenté, suite à cela je me mets à marcher vers le nord, m’enfonçant sans le savoir plus profondément dans la zone de combat. Un autre village par chance la journée de marche que j’ai faite n’a pas rencontré le chemin de ninja. M’approchant cette fois discrètement en direction du village, je peux remarquer que certaine maison sont encore habités. Mes vivres commençant à manquer je me mets à taper à une porte, demandant s’ils ont quelque-chose à manger, en vain. Je fais toutes les maisons sans succès, personne ne veut me donner de quoi me nourrir. Mon ventre se met à grogner, demandant toujours et encore son due. A un moment je me mets à voir un autre enfant. Lui aussi il a des vêtements déchiré, des cheveux roux, il a l’aire plain de vie, il ne souffre pas de faim à première vue. Je le regarde passant dans les rues, regardant de droite à gauche, il se met à passer dans une rue ou plusieurs commerces c’est établie. Discrètement l’enfant se met à passer derrière les marchants pour prendre de la nourriture avant de prendre la fuite. L’enfant cour vite et je n’arrive pas à le suivre, suite à cette exploit je me mets le lendemain à le rechercher et je le revois à un autre endroit, mais ayant toujours le même projet en tête, enfin c’est mon avis. Cet avis fut vite approuvé, mais cette fois il s’est fait prendre. Utilisant l’occasion que l’enfant se fasse gronder par les marchand j’ouvre mon sac et derrière leurs dos et donc en face de l’enfant je remplie mon sac de diverse nourriture, fermant ensuite mon sac je me mets à marcher juste à côté de lui et interpelle les marchants en leurs disant.

Excusez mon frère il ne recommencera plus. Vous savez on n’a pas d’argent et nos parents sont morts, nous avons très faim il cherche qu’à nous nourrir.

Les marchands reste sans rien dire face à la jeune fille qui se voit à la limite de demander de la nourriture après l’acte de son soit disant frère. Après les paroles plutôt osées quand l’on sait ce qu’elle a fait juste avant. Les marchands se mettent à leurs dire de partir et qu’ils ne les reprennent plus à voler. Suite à cela je me mets à marcher à côté de lui qui attend un petit temps pour me parler, surement pour être sûr que les marchands n’entendent pas ce qu’il veut me dire. Des mots d’un ton asses haut se met à sortir de sa bouche :

Tu crois quoi. Que je vais te remercier ? Il en n’est pas question, puis pourquoi tu m’as aidé je ne t’ai rien demandé.

Ben dans un sens toi aussi tu m’as aidé. Pui il me faut te donner t’a pars du butin, car si tu n’aurais pas eu l’idée de faire diversion je n’aurais jamais pu faire mes courses, mais dit moi pourquoi tu m’as aidé.

HHAAAaaaa n’inverse pas les rôles, je veux bien des vivres que tu veux me donner, mais ne dit pas que j’ai voulu t’aider tu sais très bien que c’est faux.

Ok, alors tu me dois encore un service si j’en conclue et un vrai homme ne doit jamais laisser un service sans le rendre à son tour.

HHAaaa tu m’as bien eu et c’est quoi ton service dit moi ?

Je ne sais pas, il va te falloir attendre et supporter ma présence, mais en attendant je te ferais le repas, ça ne doit pas être si compliqué. Au fait c’est quoi ton prénom ?

Yahiko et toi

Konan

Je me mets à sourire, un sourire que j’ai perdu depuis un petit moment maintenant, Yahiko se met aussi à sourire, me voilà de nouveau un compagnon, une personne avec qui j’accompagne mes pas, après une joie immense une grande peur trouble mes pensées. Et s’il finit comme tous les autres, si lui aussi fini par mourir je deviens quoi après moi. Je laisse paraitre un air triste qui fait réagir Yahiko. Il me dit d’une voit autoritaire :

Nous sommes en guerre si tu veux que notre condition change ce n’est pas la peine de te lamenter sur ton sort, réagie et deviens forte. Oui, c’est bien ce que j’ai dit deviens forte intérieurement et extérieurement et c’est seulement quand tu seras forte que tu changeras ton destin. Moi je sais que je deviendrais fort, je serais le maitre du monde et tu verras, j’aurais tous ce que je veux, et même des gâteaux au chocolat. La paix régnera sur ce monde tu verras se sera un monde magnifique.

Ses paroles me réchauffent le cœur, je prends ses paroles pour des réalités, une réalité qui me fait tenir sur mes deux jambes, ce qui me fait marcher de l’avant. Les journées se ressemblent. Volant la nourriture à différent marchand nous réussissons à manger à notre faim, nous faisions un vrais travail d’équipe, ils nous arrivent des fois de nous faire prendre, mais à chaque fois les marchands nous laissent partir avec seulement des remontrances et des fessés. Un traitement qui est plutôt sympathique, plusieurs jours après nous avions gardés un chien que j’ai ramené, cela n’a pas beaucoup plu à mon ami, mais à force d’usé d’obstination il a fini par accepter de le garder à une condition qu’ils remplissent sa part de nourriture. A trois nous formions maintenant une vraie petite famille, nous vivions avec le minimum. Un jour nous voyons un autre enfant nous faire concurrence, cela ne nous embête pas surtout que nous en profitions pour récolter encore plus de nourriture. Un beau jour nous décidons de le voir, sachant où est sa planque à force de le croiser, on se met à marcher avec prudence, nous allions chez lui. Arrivé là-bas nous entrions dans la maison. On le voit recroqueviller sur lui-même en train de pleurer, une triste image d’un autre orphelin. Devant lui il y a deux cadavres de Ninjas de Kiri, que s’est-il passé ? Un enfant avec de drôle d’yeux, je m’apprête à avancer, qu’alors une bombe se met à exploser au-dessus de la maison ce qui nous a propulsé en arrière, nous n’avions rien, mais la maison elle fut totalement détruite. Suite à ça, Yahiko se met à me prendre mon bras, et je me mets à le suivre. Regardant derrière moi, le spectacle d’une maison détruite dont les débris sont en feu. C’est donc un autre mort sans raison valable, pourquoi le sort s’acharne sur des personnes ne voulant rien de mal ? Aucun corps d’enfant ne fut retrouvé dans les débris. Malgré ça je ne peux pas croire qu’il est encore vivant, même après le passé qui m’incombe, moi pendant l’effondrement de mon ancienne demeure j’ai eu la chance d’avoir eu une planche qui m’a protégé des gravats. Les bombes qui tombent apeurent tout le monde dans le village et nous, nous partons nous mettre à l’abri dans notre planque. Arrivé là-bas, je me met à pleurer prenant mon chien dans mes bras. Yahiko se met à crier et à dire en hurlent :

C’est bon maintenant je vais devenir le roi de cette planète et je me mets ce projet à exécution dès maintenant. Konan tu viens avec moi ou pas.

La peine des pertes que l’on perd, les risques que l’on nous fait prendre alors que l’on n’a rien demandé. Voilà pourquoi nous voulions réussir ce projet surdimensionné. Personne ne mérite de vivre la peur au ventre, le fait de savoir que l’on peut mourir d’un moment à l’autre à cause d’une bombe qui peut nous tomber sur la tête. Je lui hoche la tête d’un signe déterminé à changer cette maudite planète ayant tué tant de personne que j’aime. Nous voilà partit à la recherche de puissance, ce que nous cherchions. Une personne capable de nous enseigner comment nous battre et nous défendre, pour après toujours nous améliorer pour qu’un jour nous puissions réaliser notre rêve surdimensionné. Nous passions des forêts empoisonnées, des lacs piégés, des villages abandonnés et bien d’autres paysages toussent tout aussi désolant les unes que les autres. Quand nous voyons arriver des Ninjas nous nous cachions pour trouver le bon, un dont la force nous surprendra. Un jour où nous longeant une grand plaine nous tombons en pleine zone de combat, des bombes explosent de partout, des éclairs et du feu peuvent se voir monter dans le ciel. L’un des éclairs astérie sur la roche qui est sous nos pieds. Le sol se met à s’effondrer et nous tombions encore plus près. Nous pouvons maintenant voir qu’il s’agit d’un combat entre trois Ninjas, un combat dont l’un est très connue, c’est le chef de Kiri, un dénommé Hanzo. Un homme sans pitié, deux hommes sont en face de cette force de la nature. Un combat qui finit quasiment par un match nul, Hanzo qui a pris le dessus de très peu se met à partir laissant en agonie les deux fiers combattants. On est resté figé à voir le combat. Quand la menace fut partit nous nous mettons à courir en direction des deux hommes en agoni et nous tentons de les soigner du mieux que l’on peut, après un petit quarts d’heure les deux hommes se réveils. Un peu apeuré nous leurs disons qu’on les a soignés et moi je me mets à offrir aux deux hommes une rose en papier Yahiko quant à lui, il entre directement dans le vif du sujet et se met à dire :

Nous vous avons sauvés. Vous nous devez une dette et les vrais hommes, ne partent jamais sans avoir rendu une dette, donc maintenant je vous demande de nous entrainer pour que nous puissions nous défendre et avoir une chance de rester en vie dans ses lieux hostiles, c’est donc deux vies contres deux vies c’est équitable non ?

Les ninjas ont acceptés de les entrainer, mais avant cela ils nous ont posés beaucoup de question du genre. Qui sont vos parents, quelles sont vos origines, si l’on sait se battre, comment on a survécus aussi longtemps dans ses lieux. Des questions surement utiles à en savoir plus sur nous, nous répondions aux questions que nous connaissions sans réticence. Une fois fini nous trouvons une usine abandonné où nous faisons de cette usine notre domicile, nos maitres nous enseignent les ars du combat et la maitrise de notre chakra, nous avions tous les deux des dons exceptionnels pour cette ars, moi qui fait de mon ars une arme pouvant me défendre et attaquer, Yahiko quand à lui maitrise à la perfection son chakra d’élément du vent. Plusieurs mois défilent avec nos maitres la guerre devient de plus en plus forte et cruel. Nos maitres nous donnes d’autre astuces pour rester en vie et nous les écoutons avec beaucoup d’attention, mais un jour nos Senseis ont dû partir, nous étions près, nous maitrisons notre ars avec beaucoup d’agilité. Nos maitres partirent avec beaucoup d’espoir pour nôtres avenirs. Nous on continue à survivre dans cette guerre cruelle toute en nous perfectionnant de jours en jours. Pendant la nuit quand nous dormions un ninja se met à entrer dans l’usine ou nous avions élus domicile, notre chien fait un crie et s’arrête net, se crie nous à tous les deux réveillés, un crie présagant rien de bon. Discrètement nous passions les sales jusqu’à la porte d’entrés. Yahiko n’a pas pu s’empêcher de crie le nom de notre chien qui fait arriver le Ninja à toute allure sur lui. Moi aussi je suis en colère, une colère ne pouvant pas être atténué par de simple mot d’excuse. Dans une colère noir et à la vue de cette homme ayant tué l’un des deux dernier être encore vivant est que je chéris, je n’ai pas pu me retenir de tuer cette homme, je lance un nombre indénombrable de papiers coupant comme de l’acier sur lui, ce qui le transperce de tous les côtés de son corps, je ne peux plus m’arrêter, la colère envahi mon corps qui est maintenant dicté par mes sombres pensés. Yahiko se met à me prendre mon bras me criant d’arrêter qu’il est maintenant mort que tout est fini et que je ne peux plus rien faire de plus. Dans ma tête être roi ne suffit plus. Oui, un roi peut-être désobéie, un dieu non. Jusqu’à se jours Yahiko ne m’a plus jamais vue sourire, me plongeant de plus en plus dans les abysses, ma conception de la vie n’est plus du tout la même qu’avant. Il faut à tout prix arrêter ses guerres quitte à tuer la moitié des gens qui peuplent cette terre. Yahiko ne peut rien dire sur ces paroles qu’il ne peut que comprendre, il est même en partit du même avis que moi. Le voilà le seul être vivant qui m’est encore cher, la seul personne sur terre qui mérite encore de vivre. Les années passent et notre chemin continue, nous étions bien plus grand et beaucoup plus puissant, maintenant il nous faut répandre les graines pour amener se monde à fleurir, une fleur pure et sans mauvaise graine ma colère sur ce monde c’est amoindrie même si elle est encore cachée au plus profond de mon âme. Nous marchons l’un à côté de l’autre pour rependre nos bonnes paroles au ninja qui font la guerre tuant les pauvres fou voulant continuer à nous attaquer après notre discours, laissant le choix aux autres de partir ou de nous suivre dans notre quête de paix, Pendant nos pas nous avions vue, un groupe asses nombreux en pèlerinage, une dizaine d’hommes se mettent à les attaquer sans aucune raison, mais même avant que l’on bouge le petit doit ses hommes se sont défendu et ont tuer les dix ninjas avec une facilité déconcertante. Nous nous regardions Yahiko et moi, puis nous descendions sans montrer la moindre once d’envie d’attaquer. Le groupe nous accueillent avec une hospitalité et une générosité sans égale, comme quoi il y a des gens bon (de porc jambon de porc) dans ce monde, en parlant avec eu nous avons su qu’en réalité se sont les membres d’un même clan. Un clan voyageant dans le monde donnant service à toute personne ayant besoin d’eux. Nous leurs demandions s’ils veulent rejoindre notre groupe qui est encore composées seulement de quatre personnes, mais ils se mettent à refuser poliment disant que leur groupe est leur famille et donc qu’ils ne peuvent pas les rejoindre. Nous les saluons poliment et nous repartons sur notre chemin, je regarde en même temps se groupe et vois plusieurs enfants dans le tas, l’un d’eux me regarde fixement, un petit blond avec un long manteau noir et il lève la main pour me dire au revoir, aucun sourire ne sortit de ma bouche, je pris un objet de ma poche et le jette en sa direction. Une rose de papier, je me mets à regarder devant moi en disant dans ma tête « bonne chance et bonne route ». Plus les jours passent et plus le nombre d’hommes viennent se rallier à notre cause, nous sommes maintenant une trentaine d’hommes expérimenter et très fort. A sa tête Yahiko et moi, malheureusement nous sommes maintenant une menace pour les grandes puissances, une menace pouvant salir leurs images de grand village Ninja. Un jour où nous étions dans notre repaire qui est creusé sous terre nous et nos troupes étions en train de s’entrainer, jusqu’aux moments où un bruis qui maintenant commence à être habituelle, une grande explosion tentant de nous enterrer. Yahiko se met à nous protéger en faisant un grand bouclier qui ensuite envoit les débris au loin. Moi pendant ce temps je me suis dissous en une grande masse de papier regardant ce qui se passe dehors. Konoha, Kumo et Suna nous ont encerclés avec un nombre phénoménal de Ninja. C’est donc trois des cinq grandes forces qui sont ennemies à la base qui ont fait un pacte pour nous abattre. Nous ne savions pas comment le prendre, mais cette histoire semble mal commencer pour nous, nous qui ne voulons seulement un monde en paix. Je me vois maintenant sombrer dans une colère noir tirant un grand nombre de mes kunais en papier, jusqu’au moment où je me fais capturer par l’ennemie, je vois très rapidement tous mes alliés mourir un par un, il ne reste plus que Yahiko et moi. Je suis donc prise dans les bras de l’adversaire, Yahiko se met à crier « fuis, fuis je te rejoins. » suite à ses paroles il lance une vague sur moi et sur l’homme qui me prend en hottage, suite à cette attaque je me mets à me dissiper en un grand nombre de papier pour pouvoir réapparaitre, plusieurs kilomètres plus loin, je suis sauvé espérons qu’il en va de même pour mon seul amie. Calme j’attends un petit temps avant de revenir aux lieux dit, il n’y a plus personne. Là où j’ai vue pour la dernière fois Yahiko , il y a son cadavre transpercé par plusieurs Kunai. Il n’a donc pas réussi à fuir. Ils ont encore réussi à prendre les gens que j’aime. Non je ne peux pas le croire, c’est impossible, les larmes coules sur mon visage pour tomber sur le corps de mon amie maintenant inerte. C’est impossible il n’est pas mort, je ne peux pas le croire, je me mets à crier son nom de toute mes forces, je sens les vibrations de ma voie raisonner dans mon cœur qui est maintenant en miette. Suite à ses cries endolories, je me mets à dire une phrase :

Tu m’as promis de me rendre un service tu te rappel, hein ? Réveil toi, tu ne me l’as toujours pas rendu, il faut que tu te réveils. Tu ne veux pas hein, je vais te le dire mon service et tu seras bien obligés de le faire si t’es vraiment un homme réveil toi et embrasse-moi. Voilà c’est la seul chose que je te demande ce n’est pas dur non ?

D’un coup le corps de Yahiko se met à bouger puis, il se met à tousser et à cracher du sang, j’essuie ses lèvres et me mets à l’embrasser tout en pleurant, car je sais que c’est quand même ses derniers instants, Yahiko se met à dire :

N’en veux pas à l’homme, continue notre projet et trouve des compagnons forts pouvant t’aider dans cette tâche. Konan soit forte intérieurement et extérieurement, mais ne laisse pas ses actes de barbarie salir ton âme en t’enfonçant dans la noirceur la plus profonde.

Ses paroles finis sa lumière qui chauffe son corps s’éteint pour de bon, laissant maintenant de lui que des souvenir, t’elle l’Asphodèle, je me mets à penser au passer et à ses bon souvenir avec lui, ainsi qu’avec Alfred, papa, maman et mes six frères. Toutes ses personnes mortes dans des guerres qu’ils n’ont pas demandées. Je me mets à me lever les hommes ayant tué mon ami m’entourent de nouveau. Le jour de ma mort n’est pas encore arrivé, je ne vais pas mourir maintenant. Je les ignore et prend le corps de mon cher et tendre, me dissipant ensuite sous une masse de papier qui emmène le corps de mon amie vers les cieux.




Hrp : Bon je n’ai suivi que l’histoire de mon personnage sans rentrer dans les détails des autres personnages, même importante dans cette histoire. Du genre, le clan, la description précise de l’attaque contre ma mère, la raison pour l’auquel le majors d’homme m’a emmené cher ses maitres, l’histoire de mes nouveaux parents, et de leurs six enfants, comment aussi la guerre a commencée, et la raison de l’attaque de la troupe ninja, Pourquoi les marchand on cette réaction quand Yahiko et Konan vole leurs bien, le mystérieux accident avec ce mystérieux enfant aux yeux bizarres (enfin ça j’ai préféré le faire rapide pour éviter de converger sur son histoire a lui), aussi comment nous avons trouvég tous ses Ninjas, ou même ou j’ai déposé le corps de Yahiko

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Daisuke

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Daisuke

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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 14:59

Bienvenue à toi parmi nous

L'histoire est plus que convaincante pour te mettre le grade de Junin, et je n'ai pas d'objection pour te prendre à l'akatsuki.

Donc grade junin, tu obtiens 8techniques pour débuter.
Bon rp à toi parmi nous =)
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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 15:08

bienvenue parmi nous l'akarienne !

Konan quoi Konan a un nouveau message à faire passer C-ur-amoureux
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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 16:43

Je connais pas Konan, mais jolie présentation en tout cas. Mais où est Nagato >< (jviens de lire sur wikipédia Surprised)

Binevenu parmi nous, have fun !
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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 17:00

Bienvenue < toi Konan! ^^
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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 17:35

Merci, Nagato c'est Pain donc j'ai évité d'en mettre trop sur lui.

J'en parle quand même un peu dans la prez c'est l'enfant qui est dans la maison quand une bombe lui tombe dessus ^^ (l'enfant aux yeux bizarres^^)
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MessageSujet: Re: Konan a un nouveau message à faire passer   Konan a un nouveau message à faire passer Icon_minitime1

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