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Je sortis de là prison et ré ouvrant mon cahier de notes. Un combat... intéressant ! J'allais peut-être pouvoir arriver à temps et me battre enfin moi aussi ! Il suffirait pas la suite de dire qu'ils n'avaient pas encore terminer le combat, qu'ils avaient été agressifs envers moi et que je me suis que défendu ! L'idée ne me déplaisant aucunement, me dégourdir un peu, ramasser la besogne et aller tout porter au marchand ! Malheureusement, ce ne s'est pas passer comme je l'avais prévue. Je suis arriver sur les lieux... trop tard. Des goûtes de sang un peu partout, des shurikens planter dans les arbres, des kunnais planter dans l'herbe, en gros, tout ce qu'il fallait pour que je joue le rôle d'une femme de ménage.

Je commença par ramasser tout les armes qui me passais sous la main. Je me plaça sur une roche au beau milieu du terrain qui a jadis servi à faire le guerre. Je fit un tour sur moi même avant de m’apercevoir que j'avais pas mal tout ramasser ce qui était de métallique. Il me restait à fouiller à travers le gazon choses plutôt demandant pour mes yeux. Je décida d'y aller en ligne droite, me tasser de 2mêtres et recommencer mes lignes. Je passa tout le terrain comme ça et je tomba sur des clochettes, de fil en fer, makibishi et des bombes miniatures. À regarder l’environnement, ils ne devaient pas être des experts ! Je fit tomber quelques arbres qui avaient été touchés. Je lança un dernier coup d'oeil : le résultat était concluant : Madame Hidan, femme de ménage service cinq étoiles ! Je devrais en prendre notes...

J'arriva aux portes du villages lorsque je vue la magasin du village. La boutique d'armement était tout juste à ma gauche. Il ne me restait plus qu'aller les porter. Mais, si je les gardais pour moi ? Ils ne sont pas tous dans de bon états, mais après avoir passer sur des pierres à aiguiser, je pourrais les utiliser. Je resta immobile au beau milieu du centre ville. L'idée était quand même bonne. J'en avais plus en équipements qu'en ryos. La récompense... les grades... RAH ! Je continua à avancer vers la boutique, où un vieux ¨singe¨ était prêt à recevoir mes cadeaux. Il n'est pas très très jeunes, mais on peut facilement voir qu'il adore ce qu'il fait. J'arriva devant lui, il me regarda avec cette passion dans les yeux. Pas une passion pour moi, une passion pour les objets qu'il avait à me vendre. Je sortie de ma ¨cape¨ tout les objets que j'avais trouver sur les lieux de l'ancien crime. Il me regarda, bouche-bée. Je lui fit un sourire forcer puis je repartis direction contraire. L'Hokage aura au moins fait un heureux aujourd'hui !

Selon le compteur de ligne j'en ai 31