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 Débarquement sanglant [Aquisition sabre]

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MessageSujet: Débarquement sanglant [Aquisition sabre]   Débarquement sanglant [Aquisition sabre] Icon_minitime1Dim 5 Aoû - 23:06

    Aujourd’hui, une journée classique était censée commencer, et j’ai bien dit censé. En effet, j’étais une simple genin ayant tiré un trait sur ma vie de ninja, je travaillais donc actuellement pour un petit marchant d’arme de Kiri, je devais me contenter de transporter mon chariot d’arme à travers le pays histoire d’en vendre par ci et là, j’étais d’ailleurs payé en fonction de ce que je vendais, mais aujourd’hui il était pour moi l’heure de rentrer à Kiri. Cela faisais déjà quelque mois que j’avais quitté le village et je me demandais franchement si je ne devrais pas reprendre ma route, me remettre en chemin sur la voix qui m’étais donné et finir ma formation de ninja, devenir une kunoichi renommé comme l’a été ma mère avant moi, me battre de toutes mes forces comme l’a si bien fait mon père par le passé. Aujourd’hui si mes parents me voyaient, je n’ose même pas imaginer ce à quoi ils pourraient penser, quelle honte, ce ne peut-être notre fille, et j’en passe. Comment de tels ninjas ont pu avoir une fille comme moi, une ratée comme dirait certains garçons de l’académie à l’époque, finalement ils avaient raison, je ne suis peut-être pas faite pour cette vie de ninja et je devrais simplement me contenter de cette vie de marchande d’arme. Je trainais donc mon chariot sous une pluie diluvienne, il n’est pas rare d’avoir un tel temps dans notre pays, mais on peut clairement dire qu’aujourd’hui c’est un grand abus, ce n’est pas un temps à coucher dehors en tout cas. Le boulot c’est le boulot, quand vous êtes payé pour traverser le pays sous le pluie je vous promet que vous le faites, après tout il faut bien payer le loyer de la maisonnette que mon laisser mes parents, il faut aussi acheter à manger, compter l’entretien et tout le reste à côté, en clair, pas le temps de rêvasser, plus vite je rentre plus vite je serais payer. Alors que je continuais de trainer mon chariot sur les routes à moitié boueuses sans même en connaitre le contenu, c’est dans un petit coin tranquille que je fini par m’arrêter, il faut reconnaitre que mon estomac commençait à crier famine et que le repas que m’a laisser la dernière aubergiste qui m’a accueilli semble vraiment très appétissant. Je m’asseyais donc tranquillement et commençait cette belle et agréable dégustation, un vrai festin, je ne sais même pas si mon estomac arrivera à tout ingurgiter, mais peu importe, il faut que je sois rapidement rassasiée. C’est après un petit quart d’heure à manger patiemment que je me posais au pied d’un arbre et commençait gentiment à fermer les yeux, il me faudrait pouvoir entrer jusqu’à Kiri d’un seul coup, ce serait parfait, on verra bien si j’en suis capable. Rapidement, mes paupières deviennent lourdes et Morphée vint m’emporter avec elle, mais jamais et je dis bien jamais je n’aurais du me laisser couler ainsi. Je ne suis pas vraiment en mesure de me défendre contre qui que se soit et je m’endors aux côtés de mon chariot sans même essayer de voir si je ne trouvais pas un coin un peu plus agréable et surtout plus serein, car il faut bien le reconnaitre, ce coin est bien loin de respirer la sérénité, mais que voulez-vous, on ne réfléchi pas toujours à ce que l’on fait.

    Alors que je dormais, deux personnes débarquèrent, bien entendu je ne les ai ni vu ni entendu étant donné mon état de sommeil, mais une erreur me fit ouvrir les yeux, un des deux hommes fit tomber une des armes que contenais le chariot et le bruit de fer sur la roche ne pu que me faire sursauter, du moins aurais du me faire sursauter. J’étais là, comme une idiote, attaché avec du fil ninja à l’arbre auquel je m’étais adossé, en réalité, je venais clairement de me mettre dans la situation la plus catastrophique que j’aurais pu imaginer, que pouvait-il m’arriver de pire désormais ? Voilà la question que je n’aurais jamais dû me poser. L’homme à côté du chariot saisit un des katana s’y trouvant et me le passa délicatement sous la gorge en murmurant quelques mots à peine audible que je n’eu pas la chance de pouvoir entendre correctement. Le second quand à lui se baissa devant moi et posais ses mains sur mes chevilles avant de les plaquer fermement au sol comme s’il ne voulait plus que je puisse bouger, que comptent-ils faire ces deux là ? J’avalais rapidement ma salive, mon cœur commençait à battre à cent à l’heure, je ne sais pas ce qu’il allait désormais m’arriver, mais une seule chose est sure, je ne suis pas dans une situation très confortable malheureusement. L’homme avec le katana s’approcha délicatement de moi et positionna sa bouche au côté de mon oreille droite histoire de me donner quelques mots qui ne sont pas forcément des plus sympathiques. Apparemment il pense que j’ai besoin de quelque chose et que ce quelque chose il allait me l’apporter lui-même, mais de quoi peut-il bien parler cet apôtre ? Que veut-il dire par là ? Je ferais mieux d’arrêter de me poser des questions puisqu’à chaque questions la situation ne fait qu’empire, quelle poisse. Il se mit à me dégrafer la ceinture, mais il y a une chose que j’avais oublié, comment donner un coup de pied à quelqu’un alors que l’on nous empêche de nous servir de nos jambes ? Une belle question à laquelle je n’ai malheureusement pas de réponse. Je fermais les yeux et priait silencieusement pour qu’il n’aille pas plus loin, que quelqu’un arrive ou quoi que se soit d’autre, mais tout ce que je veux c’est qu’il me laisse en paix maintenant et tout de suite. Pourquoi faut-il toujours que la poisse s’abatte sur moi ? Il ne lui fallut que quelque secondes pour enlevé ma ceinture, mais pour moi c’étais déjà une éternité qui venait de s’écouler, j’aurais voulu me débattre, me défendre, mais je ne peux rien faire, cette brute sur mes chevilles est bien plus fort que moi, je ne parviens pas à me libérer, que faire ? Souffrir et ne rien dire ? Non, je dois absolument trouver une solution rationnelle à se problème, et rapidement ! A droite, à gauche, en haut en bas mais rien, il n’y a rien qui puisse m’aider, rien ni porter à porter de bras que je ne peux pas utiliser, pourquoi me suis-je arrêter ici ? Pourquoi avoir fait cette petite sieste ? Bien trop de pourquoi pour finalement une seule et unique raison, le bon dieu ne me sauveras pas, il ne pourra rien pour moi, au final mes parents n’ont fait que me rabâcher des choses fausses du genre dieu te garderas pendant notre absences, ils ne sont pas la et je ne suis pas aidé pour autant ! Toute cette histoire n’étais qu’un tissu de mensonge pour me rassurer, mais aujourd’hui que j’ai besoin d’aide, il n’y a personne pour m’aidé ! Il venait à l’instant d’enlever mon pantalon, plus qu’un petit bout de tissu avant de n’arriver au drame. J’essayais tant bien que mal de forcer sur mes jambes afin de les resserrer, mais ce fut vain puisque l’homme n’eu pas un grand effort à faire pour me les écarter de nouveau. Je fermais les yeux et attendais une quelconque aide divine, mais elle ne venait pas, je ne la verrais peut-être finalement jamais qui sait. Suis-je donc condamné à souffrir honteusement ici, sans même pouvoir me défendre d’une quelconque manière ? Suis-je destiné à subir un tel supplice ? Mes dessous sautais désormais et me voici totalement nue, à la merci de deux brute pas commodes qui ne m’auront pas laissé la moindre chance et cela à cause d’une erreur banale de ma part, un repos que je n’aurais pas du prendre. Ce n’étais plus qu’une question de temps désormais, je le savais pertinemment et je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher, voilà maintenant cinquante année de passer alors qu’en réalité ça ne faisait que deux petites minutes, une éternité pour moi, quelques secondes pour lui, la différence est grande, la souffrance ne devrais plus tarder à venir, mais que puis-je faire ? Subir et ne rien dire ? Ce n’est pas dans ma nature de me laisser faire sans rien dire, j’essayais de nouveau de resserrée mes jambe, mais rien y fait, ils parviennent malgré tout à me tenir les jambes écarté. Je devais me dépêcher de trouver une solution car bientôt il serait trop tard, et cela n’a pas loupé. Une larme coulais de mon œil quand je me rendis compte que c’étais terminé, il venait seulement d’insérer un doigt en moi que je compris, c’étais fini, j’avais perdu. Mon second œil se mit à couler et je fermais les yeux quand soudain quelque chose d’étrange se produisit.

    Un rêve, un cauchemar ? Je veux me réveiller, mais je veux aussi rester ici, je ne les vois plus faire ce qu’ils veulent me faire subir, un soulagement ? Pas vraiment, mais que voulez-vous, que puis-je réellement faire ? Soudain, devant moi trois silhouettes apparurent, un homme, une femme et une sorte de monstre je dirais ? Je reconnu rapidement deux des trois silhouette d’ailleurs, mon père d’un côté et de l’autre ma mère, tout deux me dirent de me battre du mieux possible, je ne devais pas baisser les bras. Facile à dire mais à faire c’est une autre paire de manche. Soudain ce fut à la troisième silhouette de s’avancer et de me faire face, il semblait très cruel et loin d’être coopératif, il n’est pas du genre à vous aider à mon avis. Mais il finit par prendre la parole face à moi.

    « Asami, fille de Gray et de Melody, comment oses-tu ainsi salir l’image qu’ils ont laissé ? Eux mes plus grands guerriers que l’ère est connu ? Ressaisit toi donc mon enfant, tu ne peux pas laisser de tel personnage s’en prendre à toi ! »

    « Je suis désolé, mais... »

    « Stop ! Je ne veux pas entendre le moindre mais ! Tu penses que tu es où là ? Tu va reprendre tes esprits et affronter ces deux clochard qui te font tant de mal, je ne veux plus les voir en vie ! Écoutes-moi, sur le chariot que tu transportes se trouve Hadès l’arme porter par ton père puis ta mère, cette même arme qui t’aideras. Crois en moi, crois en eux, crois en l’enfer et tu vaincras. Cette arme ne viendra à toi qu’à une seule condition, que tu me vendes ton âme, le jour où tu meurs tu m’appartiendras, mais tant que tu vis, tu te battras en l’honneur du royaume des ténèbres comme tes parents l’ont fait avant toi, suis-je clair ? Es tu prête à me vendre ton âme ? »

    En temps normal j’aurais réfléchi et tourner le problème dans tout les sens, mais là je n’ai plus le choix ! J’acquiesçai d’un signe de tête et pu enfin ré-ouvrir les yeux. Mon regard avait changé, des yeux violâtres ne présageant rien de beau alors que l’homme venait d’insérer un second doigt dans mon orifice. La haine et la colère montèrent et l’arme situé sur le chariot vint se planter dans le fil me tenant enfermé. Je récupérais à la suite de cela l’arme et tranchais la tête de chacun des deux hommes sans la moindre hésitation. Leur sang à gicler, suffisamment pour que je me retrouve salement taché, je prendrais ma douche en rentrant tout à l’heure. Je me rhabillais et m’assaillais vers l’arbre avant de reprendre mes esprits. Mes membres se mettait maintenant à trembler de toute part et je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher, que c’est il réellement passer ? N’est ce qu’un cauchemar finalement ? Soudain cette voix apparut de nouveau dans ma tête.

    « Bravo jeune fille, tu es aussi prometteuse que tes parents, maintenant réveilles toi, reprend ce pour quoi tu es née, fait honneur à tes parents et à ton seigneur, bats toi pour nous, en échange nous te protégerons tant que nous le pourrons. Maintenant va, rentre à Kiri ramène ce chariot et commence ta nouvelle vie ! Tes parents seront fiers de toi Asami ! »

    C’est ainsi que j’attachais cette arme dans mon dos, pris mon chariot et repris ma route vers Kiri, c’est donc ça l’arme que cachait mes parents tout ce temps ? Mais pourquoi ne pas me l’avoir montré plus tôt, j’aurais peut-être pu éviter cela ? Et si d’autre homme comme ces deux là reviennent, qu’est ce que je ferais cette fois ci ? Je me souviens même pas les avoir attaqué, que c’est-il donc passer ? Il va vraiment falloir que je travaille cela moi ! Pour le moment, le plus important est que je rentre à Kiri, que je reprenne ma formation laissé à l'abandon, que j'égale le niveau de mes parents, et qui sait, peut-être qu'un jour j'accomplirai leurs propre rêve, prendre la place la plus importante au village, ils l'ont tout les deux souhaiter, mais aucun d'eux n'a pu l'obtenir, c'est donc à moi de relever le défi désormais !



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Dernière édition par Asami Naïto le Mar 7 Aoû - 13:24, édité 1 fois
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Daisuke

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MessageSujet: Re: Débarquement sanglant [Aquisition sabre]   Débarquement sanglant [Aquisition sabre] Icon_minitime1Mar 7 Aoû - 7:08

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MessageSujet: Re: Débarquement sanglant [Aquisition sabre]   Débarquement sanglant [Aquisition sabre] Icon_minitime1Mar 7 Aoû - 13:24

merci Dai Wink
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MessageSujet: Re: Débarquement sanglant [Aquisition sabre]   Débarquement sanglant [Aquisition sabre] Icon_minitime1

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