Entrainement avec des nouveaux arrivant (Pv : Deidara et Sasori)

Invité

L'entrainement pour deux nouveaux ninjas.

Une nouvelle journée commençait pour le village de Kumo. Celui ci était calme ces temps ci, rien de bien important ne s'y déroulait. Sasuke avait récemment acquis de la puissance, notamment par l'acquisition de son épée légendaire : Kusanagi, une épée incassable donnée par le Raikage Kabuto. Le jeune Uchiha admirait vraiment cette épée. Elle était extrêmement tranchante, il y avait de quoi tuer des gens avec ceci. Il la prit dans ses mains après s'être habillé. Il la rangea normalement dans son fourreau, et il laissa sa compagne dormir pendant que celui ci partait en direction de la salle d'entrainement. Il prit la salle numéro vingt cinq, et lorsqu'il y pénétra, il vit deux ninjas. L'un d'eux avait les cheveux rouge, et était d'une taille moyenne, tandis que l'autre ressemblait vaguement à une fille, mais à son visage, il ressemblait plus à un homme. Physique particulier ou non, il fallait voir leur puissance à eux deux.

Bonjour à vous deux. Je me nomme Sasuke Uchiha, bras droit du Raikage. J'étais venu pour m'entrainer seul, mais je vois que vous êtes là tous les deux ensemble. Vous voulez de l'aide pour votre entrainement j'imagine, je vous propose donc un combat et en même temps un entrainement. Je jouerai spécialement sur la défensive, bien que j'attaquerai quelque fois pour voir vos capacités de défense, mais je vous rassure, ce ne seront pas de grosses attaques pouvant entrainer votre mort. Je vous laisse débuter comme vous le voulez, je n'attends que la première offensive. Bon courage à vous deux !

Ainsi, l'Uchiha se prépara au combat contre Deidara et Sasori. Il ne connaissait même pas leur affinité et ce dont ils étaient capables, mais en activant le sharingan à trois pupilles, peut-être que cela allait pouvoir leur en dire plus. Ils semblaient être une grande puissance pour Kumo, mais cet entrainement allait pouvoir informer Sasuke sur leur vrai capacités !

HRP
26lignes disponible

L'ordre du RP n'est pas fixé. Si un de vous deux n'est pas là et qu'il a prévenu pour une durée assez longue, le RP continue avec la personne présente, et dès que l'absent revient, nous reprenons l'ordre normal. Bon RP à vous deux

Invité

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Unexpected.

Gêne.

Démangeaison dans tout le bras. Passe une main glacée par-dessus l'épiderme blafard. Les yeux dans le vide, le zéphyr calme s'enroulant entre ses mèches cuivre. Un temps splendide. Pas un seul cumulonimbus à l'horizon. Lumière éblouissante. De trop. Le nuage s'élevant doucereusement en direction du toit lapis-lazuli, presque neigeux. Désorganisation et simplicité. Le paquet jeté au sol, écrasé sous un soulier trop lourd pour infliger de bénignes meurtrissures. Oubli du savoir. Ouverture d'esprit sur un paysage encore inconnu. Si le ciel luisait d'une pureté d'albâtre, les pieds voguaient dans une mer brumeuse au quotidien. Toiser d'un regard le souffle despotique de ses milliards d'enfants liquides, les mépriser. Marcher, en quelque sorte, sur l'eau. Voler, un temps soit peu. Apprécier les courbes généreuses des vagues possédées par les dieux des vents. Sur les sommets, se rire des marcheurs au creux du défilé. Combattre l'ennui, cruel et statique ennemi, en allant se terrer au fin font des rochers. Sensations de plénitude accablante. Recherche immatérielle florissante, croissante. Ses phalanges tremblants, son souffle demeurait des plus nonchalants. N'avalait aucunement sa sève nourricière. Son élixir de jouvence. Le dispersait au gré des voiles filamenteux, véniels et étourdis qui s'emparait du lieu béni. Corps de brume, livide. Gracil, éthéré. Addiction soustractive. Un ajout parfait, une résultat négatif. Erroné. Ascension incompréhensible. Adhésion marquée. À regarder ce paradis inanimé, en attrape une plaie assassine dissimulée en plein dans la tempe. Brouillard dynamite. Refus d'obéissance. Pirate débauché, matelot irresponsable. Tangue, adossé à son mur rêche. Inspire l'ultime bouffée, la libère, lâche la terminaison malsaine l'écrase sans remords. Attention porté en face de soi. Perles rubis plongées dans l'océan anecdotique. Vapeur. Soif inlassable de fumée. Fumée omniprésente. Les cieux se ternirent. Le Scorpion ne daigna rien voir. Sa jambe balançait d'avant en arrière sans but concret. Il avança de quelques pas, et s'assit au bord du gouffre. Il ne voyait plus ses pieds. Fumée épaisse ou paupières closes. Plongea la Sphère au sein de l'abîme repue de mousse argentée. Fumée noire, opaque. Révélation existentielle, perte de temps indéniable. Toutefois, rien n'avait changé à ses habitudes. Il continuait à rêver, il continuait à lire entre les remous débonnaires. Spiritualité envolée. Âme à des milliers d"années lumière. Atterrissage cosmique. Plongée en plein coeur de l'espace intersidéral, inconnu alléchant. Ouverture d'esprit, hydrolique à étudier. Ses paumes contre son torse, penché en avant. Imaginaire chimérique, traumatisme du néant terrestre nul et non avenu. Fantôme vacant et solitaire, errant sur les rives du Styx désert. Abolition de la peine capitale. Hors d'état de nuire. Déblocage renversant. Retournement de situation affriolant. Désir indésirable, explication inextricable. Puissance inavouée. Attirance sans réciprocité, corrélation indésirable. Sentiment envahisseur, duquel il fallait se délester. Penser à autre chose. Attentat à la personne. Oublier tout cela. Tentative de meurtre. Plongeon suicidaire. Décès mystique. Sauvegarde rapide. Derniers ajouts. Sauvetage.
Il perdit le contact avec l'adrénaline. Rompit l'osmose entre l'altitude zéro et le mont Kumo. Sans aucun a priori, sans aucun goût ni arrière pensée, il quitta son trône maritime, délaissa le pont du navire, et gagna sa place au creux de la coque.

Et il était là, et il attendait, sans dire un mot. Sans soupirer. La Fleur du Désert savait bien entendu qu'il ne pensait pas moins d'horribles médisances à ce sujet tabou. Quinze marins sur l'bahut du mort. Deux étrangers visitant la tour la plus haute d'un monde bossu. Erreur clandestine. Yop' la hop, une b'teille de rhum. Ivres de liberté. Transfigurés par la péninsule promise. Hantés pas le lieu à explorer. Aventuriers poignardant leur coeur. Langue disgracieuse l'irritant profondément. Il venait de les recoudre en cachette. Le marionnettiste, par respect, s'éloignait à chaque fois. Atteinte à la pudeur d'autrui, fuite. Saignait. Il saignait un peu. Toujours un léger, mince, filet d'hémoglobine après la tâche fastidieuse de les faire taire. Dépendre de pareilles atrocités le répugnait. Cela n'était pas négociable. Alors il les censurait. Chaque jour. Plusieurs fois. Rien pour essuyer le carmin. Champ de coquelicots dispersées sur le sol en goutte à goutte. Torture mentale que de voir se répandre le contenu de ses propres veines ailleurs sans rien pouvoir y faire. L'androgyne lui tournait le dos. Candeur absolue, impérialisme ténébreux. Il aurait dû exhaler la plante infectieuse à en pourrir l'oxygène, à en contaminer l'air encore respirable. Agent pathogène indélébile. Pourtant, il ne sentait rien de plus que sa placidité et son impassibilité habituelle. Peau synthétique, chevelure de nylon et vêtements en polystyrène. Rentré à l'intérieur de ce qui semblait s'apparenter à un terrain d'entraînement bredouille. Tabac disparu, mêlé à ces ondulations sibyllines. Elysée vaseux, embrumé. Ciel bas et lourd. Atmosphère aérienne. Tentative de lancer le débat avec le discret prince d'argile.

- Tu ne veux plus...

À boire et l'diable avait réglé leur sort. Illusion d'optique où il voyait un jeune garçon aux allures sombres tout droit sorti des jupons de sa noble génitrice s'avancer d'un pas décidé vers eux. Mirage où il le percevait comme un ennemi potentiel. Où chacun était un ennemi. Le sculpteur frissonna. De peur, peut-être. De froid, sans doute. D'exaspération, de fortes chances. Le prodige du Désert resta de marbre face à la silhouette. Celle d'un enfant chaste au regard méprisant. Celle d'un imbécile innocent et teigneux. Il leur adressa la parole, le mirant avec intérêt. Il n'écouta pas un traître mot de ce qu'il déclarait aussi solennellement. Cependant, nul doute qu'il commandait un combat. Sans doute un adversaire pacifiste, partisan du village. Une moindre menace, en somme. Et un gamin ridicule, par-dessus la mise. Difficulté inexistante. Mépris à peine déchiffrable dans son pli de bouche discret. Il s'approcha du cou frêle de l'artiste, lui sussura quelque secret alléchant au creux de l'oreille tandis qu'en face, il continuait à remuer les lèvres.

- Écarte-toi un instant.

Timbre étrange. Voix unanime, slogan de publicité gravé dans le crâne comme un bon produit. Mélodie abstraite qui fait vibrer les particules. Murmure désarticulé, hélas vrai. Distille les rimes avec la passion qui l'anime. Ni plume ni touches. Partition créative. Le blond obéit, après un temps. Le pertubateur n'en avait toujours pas fini. À partir de cet instant de trop, il fut considéré comme un envahisseur.

- Tu parles trop.

Il l'interrompit sans aucun remords. À son tour de goûter à l'amertume de l'imprévu. À l'arrière, le tintemment aiguë d'un grelot. Destabilisation. Et autour de sa nuque, par l'on ne sait quel procédé, deux mains articulées apparues à l'instant. Pantin terrifiant léchant son épiderme blanc et délectable. Proie facile.

- Ne sois donc pas surpris par mes attaques.

Illusionniste ayant plus d'un tour dans son sac. Artiste déluré. Yop'la hop, un' bouteill' de rhum. À lui de jouer.
Appel au combat, larguez les amarres.

Ecume.

Invité

Il se tenait droit, posture élégante, maintient altier et arrogance dans les yeux. Une main opaline était posée sur son katana. La peau de sa main était lisse, sans aucune imperfection. Un rictus mauvais passa sur mon visage. Je devais le détester rien que pour cela. Rien que pour cette main. Il nous a parlé, on aurait dit qu’il nous attendait. S’entrainer seul… hum, inutile à mon gout. Son air présomptueux m’a donné un frisson de mépris. S’entrainer, avec nous? Contre nous? Inconnu, tu es bien téméraire. Tu ne sais rien de ce dont je suis capable. Tu ne connais même pas mon art. Tu n’as même pas l’air de t’en soucier. Prétentieux, tu m’as bien énervé. Qui penses-tu être pour nous juger, étranger? Des attaques pouvant entrainer notre mort..? Laisses moi rire, tu ne saurai même pas me casser un doigt. Tu n’es qu’un gamin. Et tu te prends pour le Père. Tu es franchement ridicule, mais aujourd’hui, aujourd’hui je n’ai pas envie de rire. Vraiment pas. Les points cèdent. Un par un. Et le fil se découd, lentement. J’ai encore pris la peine de faire ça pour rien.

- Ecarte-toi un instant.

Le marionnettiste avait parlé de son ton habituel et calme, calme et serin, mais, cela ne présageait rien de bon. Je le connaissais bien, ce ton. Il ne faisait aucun doutes que je ne devais pas discuter. Hum! J’ai hésité, puis, j’ai pensé, qu’après tout, cela pourrait s'avérer marrant, de voir l’autre misérable réduit à l’état de jouet par Sasori. Ou peut-être que Sasori se prendrait une raclée. Ça s’rait délectable, ça aussi.

- Tu parles trop.

Et ton discours est bien trop pompeux surtout, hum!

- Ne sois donc pas surpris par mes attaques.

Hum… Sasori a l’air en forme. Je vais regarder ça… Héhé. Sasori m’a dit de m’écarter, trop fier, il ne me demandera pas de l’aider. Pour l’instant, c’est son combat. Je respecte. Je fais quelques pas sur le coté et je ne dis rien. Je croise les bras et j’admire. J’vais pas faire la pompom girl non plus pour l’encourager. -victory…! victrory… SASORI!-. Enfin, Tronche de Gay ne se souci pas de moi. Il a bien compris qu’il avait affaire à Sasori et que je ne bougerai pas le p‘tit doigt -ni le gros-. Du moins pour l’instant, car… si je trouve qu’il n’y a pas assez de « peps » dans tout ça… j’y rajouterai un peu de ma sauce…

Invité

Continuons donc cet entrainement !

Les deux nouveaux ninjas semblaient être assez puissant. Ceux ci, en effet, regardaient Sasuke avec un air plutôt supérieur. Peut-être pensaient-ils que l'Uchiha était un ninja impuissant face à eux deux. Ils ne devaient pas connaitre ses pouvoirs, ses techniques, ainsi que son don. Il activa son sharingan à trois pupilles, le laissant bien visible pour les deux Genin. Que pouvait-il faire contre ces deux ninjas ? Surtout que maintenant, le rouquin avait sortit deux mains articulées de derrière son cou. Un pantin ? Qu'est ce que cela était ? Peu importait, une petite attaque suffirait pour tester les capacités de ces deux ninjas. Le blondinet semblait ne pas vouloir bouger. Sasuke fit donc des mudras, et avant de faire sa technique, il lui dit :

Allons bon, je vais vous faire bouger tous les deux. Ce ne sera pas de tout repos, je vous l'assure. Nous allons commencer comme ceci. Chidori Senbon !

Une vingtaine de senbons électrisé serait bien pour commencer. Dix allaient en direction de Sasori, et dix en direction de Deidara. Il fallait bien les faire bouger pour commencer un bon entrainement, ils ne pouvaient pas rester sans rien faire. Juste après ce lancé de petits projectiles, il fit un saut en arrière de deux mètres environ, dérapant sur le sol, laissant dégager un peu de fumée naturelle. Il fallait garder ses distances, on ne savait pas encore de quoi ils étaient capables !

HRP
45lignes dispo.

Invité

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Deliver us.

Protection.

Instantanément. Réflexes accrus. L'artiste en proie au manque d'inspiration le plus flagrant, destabilisation. Pupille disloquée, inexistante. Rouge carmin contre rouge sanguin. Particules noirâtres virevoltantes, décrivant l'orbite autour de la rétine. Techniques inconnues. Potentiellement redoutable. Il eut l'élégance de prévenir sa feinte. De tenir informé ses adversaires. Ses ennemis. Il parlait excessivement trop. Bien trop pour être sérieux lors de ses salves. Soupir négligé, neutralité sans appel. Puis, un jet. Vague contraire à repousser. Première attaque. Aiguilles. Un total égal. Telle somme en direction du soi, telle somme déviée vers l'échine pure du combattant à découvert. À découvert. Sans défense. À sa mercie. À découvert. Nuque balancée en sa direction. Chaste hérétique au coeur bercé par la vitesse des échardes dans l'air. Trois cent quarante mètres par seconde. Il allait être touché. Il allait être blessé. Blessé. Délivre-le de ces épines métalliques. Action-réaction.
Le bois leur coupa la route sans qu'ils n'eurent besoin de le voir arriver. Plantations douloureuses, position défensive. Le sculpteur n'avait rien. Rien du tout. Les dix armes étaient venues se loger contre le torse d'ébène du pantin articulé. Convulsé. Spasmes, le contenant après le choc au sol. Décharge. Les fils de chakra conduisaient à son constructeur. Un maître, qui en plus de l'invocation sur la position demandée, avait réussi à esquiver l'attaque. Pas suffisamment. Les saisons défavorables à son hymne. Saut et décalage vers la gauche, manipulation du jouet perfectionné, le tout nécéssitait trop d'application. Sa main, solide. Sa paume, transpercée. Une, une seule, l'ayant touché. En pleine douleur. Crise. Stoïcisme persistant. Comme si rien ne s'était produit. En plus du poing, le coeur. À peine plus haut. Si peu. Blessures de jet laissant entrevoir les pleurs éphemères de la sève artérielle. Elixir et transfusion. Soubresauts discrets. Electricité déversée dans le corps expérimental par le biais du chakra saint. Malaise commun. Faiblesse passagère. Egratinure bénine. Rien de grave. Peur superflue. Aucun regret. Son visage d'été était protégé. Intact. C'était tout ce qui importait.
Réponse instinctive. Le Scorpion les arracha violamment. Toutes les deux. Celle du torse, puis celle des phalanges. Plus de tremblements. Fatigue. Rappella à l'ordre la marionnette robuste. Porta à ses lèvres les deux épines. Liquide intra-veineux au coin de la bouche. Souillure sur sa peau d'opale. Détestable envie de le lècher. Goût âprement délectable. Péché mignon. Atteinte à l'intégrité. Retour à la réalité. Assaut. Course sylvestre, approche forestière. Claquement funèste sur le passage de l'accessoire meurtrier. Angoisse naissance, croissante. Poing tendu vers le faciès puéril de l'adversaire. Coup. Coup. Enchaînement. Le pantin distrait. Jeu de doigts. Index et majeur droit levé, secousse, rabaissement des membres supérieurs, élévation, bouculade. Notes esquissées à la surface du néant. Vide intersidéral traumatisant. Mélodie sourde et muette. Défense hostile endurante. Croire en soi. En l'autre. N'arrêtait pas de le fixer. Omnubilé, hypnotisé par ses yeux céruléens. Saphirs. Certain de son autonomie. Il ne voulait pas de sa souffrance. Rejet. Regard noir en direction du gamin. Nouvelle charge. Taijutsu théâtral prenant des dimensions plus intenses. Puissance développée. Chaleur étouffante. Poing dextre tiré vers l'arrière. Bras mécanique déclanchant une trappe secrète. Clous. Rangée d'épingles. Si peu redoutables. Destinées à la diversion. Membre ballant cherchant à cogner l'affilié au Raiton. Maintenant son intention sur l'arme proche. Pupilles magiques délocalisées, ouverture descellée. Course. Glissade avant gauche. Traînée poussièreuse à sa suite. Relevée à la droite de la cible. Marionnette toujours en mouvement. Destabilisation. Agression de chaque côté. Prise de soumission. Entre deux phalanges, légère ouverture, pince qui d'un geste rigide retira les deux aiguilles bucales. Tenue droite, port corporel aristocratique. Fier et droit. Supériorité. À l'oreille, glissée, murmure diurne et volage.

- Veux-tu bien te taire, à la fin.

Vive douleur dans le dos. Plantées sans aucun remords. Deux épines stridentes. Fines et vicieuses. Le pantin le saisit par le col, l'arracha à l'étreinte du maître. Ce dernier profita de la situation pour le pousser à l'aide du pied. Nouvelle provocation. Provocation face aux pupilles. Il était le dominant. Celui qui possédait les iris écarlates. Ces pupilles. L'artiste. Vision d'horreur. Horreur. Le mirer, de loin. Faites qu'il aille bien.

Stratège.

[Ce poste est atroce. Désolé, vraiment. Je me rattraperai sur le prochain.]

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