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 Découverte. [PV Deidara.]

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MessageSujet: Découverte. [PV Deidara.]   Découverte. [PV Deidara.] Icon_minitime1Mer 2 Fév - 17:59

Découverte. [PV Deidara.] 110202070200298507
A New Place.


Sensations.

Le voyage avait duré plusieurs jours. Plusieurs jours à entendre geindre sans arrêt cet idiot sur les détails du trajet. Soucieux de ses pauvres pieds endoloris. Fatigué par la route. Pleurant les ressentis exprimés par son estomac. Manifestant son dégoût du silence. Râlant après ses paumes de mains sans aucunes raisons valables. Hurlant son avis sur les diverses températures. Commentant chaque éléments du décor, ce, pour tous les décors traversés. S'arrêtant très, trop, régulièrement pour satisfaire ses plus bas besoins. Suppliant, littéralement à genoux, un nouveau souffle de vie vicieux. De temps à autres, un évènement notable. L'élaboration d'un bouquet de fleurs des champs, par exemple. Lassitude commune, ils s'étaient vu offrir une plaine parfaitement isolée, reclue, verdoyante et fleurie. Du temps à tuer. Tandis qu'il rêvassait, l'artificier se donnait à coeur joie dans la composition florale. L'amas putride de pollen le faisait éternuer. Il était éreinté au possible. Ses cheveux se mêlaient au zéphyr calme et chaud. Il hurla que le soleil lui tapait sur les nerfs, mot pour mot. L'homme du Sable s'enticha de l'herbe verte et ne fit plus attention un seul instant aux gémissements et cris stridents de son compagnon de voyage. Plus tard, ils s'arrêtèrent dans un restaurant. Le grand blond désirait se distraire. Ainsi, le marionnettiste usa de ses talents pour détourner les regards indiscrets du plat de nouilles qui attendait sagement d'être servi et le sculpteur en profita pour dissimuler à l'intérieur du bouillon quelques insectes de sa composition. Ce dernier voyageur éclata de rire à l'écoute des abois du client, visiblement irrité. Ils continuèrent jusqu'à nouvel état de fatigue commun. Le Scorpion, le faciès enveloppé dans ses voiles fins, absorbait les rayons solaires en consumant sa cendre nocive, pendant que le fougueux s'exhaltait du paysage désertique du pays du Vent en créant toutes sortes d'oiseaux enchantés, d'araignées crapahutantes ou de serpents rampants contre l'ardeur du sol embrasé. Quelques arbres leur offrant de l'ombre le long d'un chemin illuminaient le visage clair d'un jeune homme plein d'entrain. En parallèle, les longues cataractes mélancoliques du ciel nébuleux d'Ame grisait sans précédant cet esprit jovial, incappable de démarrer le feu au bout de ses lèvres, au grand damne du jeune homme étrangement flegmatique à ses côtés. Autrement, complément des images, des sons. Comptine ludique et attrayante, un son délicieux qui s'échappait dès l'entrée dans certaines contrées. Des visages souriants, vivants, qui laissaient passer, s'écartaient, évitaient ou jugeaient les étrangers à leurs yeux passifs, abolis ou désenchantés. Le blond inspirait confiance avec rire et sarcasme. L'aspirant à la paisibilité restait de marbre face aux messe-basses et aux pourparlers. Des murmures, des dialogues, des onomatopées et des interjections. Banalités qui les surpassaient. Ils quittaient les lieux les plus fréquentés au plus vite. Le temps d'un repas, de quelques achats et d'une cigarette. Des souvenirs encrés dans une mémoire à forfiori défaillante. Jungle animale, contrée marécageuse, lac gelé, armée des cieux blanche et dédale fantômatique d'un nouveau monde. Arpentant les terres, les aventuriers découvrirent des beautés sans nom. Dans un village désert, des bains chauds. Ils s'y jetèrent à corps perdus, laissés pour morts dans cet environnement à la fois rocheux, perdu entre deux falaises, et volcanique à souhait. Face aux ruines du château de Tanzaku, ils soumirent leur art respectif. Devant les remparts des forteresses, ils s'inclinèrent et laissant s'écrouler les frontières. Souffles entrecoupés et marques le long de l'échine, sur les genoux, les poignets. Le voyage n'avait été, au final, qu'une découverte culturelle, et bientôt, la véritable destination se laissait entrevoir. Pourtant, ni l'un ni l'autre n'avait eu à se plaindre du manque du pays. Le savoir n'était qu'imprécis. Bientôt, les chaînes épineuses allaient apparaître sous les pupilles endolories. Et cette phrase sans cesse remémorée en était devenue inssuportable.
Il était, généralement, à la traîne. Et lorsqu'il ne l'était pas, il s'essoufflait et demandait un arrêt. Le Scorpion l'avait laissé faire un moment, jusqu'à ce qu'il dépasse les limites imposées. Là, il fut condamné à rester derrière, quoiqu'il arrivait. Alors qu'il était à l'agonie, le jeune homme aux cheveux rouge ne l'attendait pas. Il devait courir pour rejoindre ses côtés. L'épuisement était la clé. L'Artiste ne voulait surtout pas se retrouver seul. Les deux se murèrent dans un mutisme inviolable. L'un, émerveillé par la nature, les paysages, la découverte du monde, l'autre, impartial et froid, les yeux rivés vers leur destination. Le voyage avait duré quelques jours, plusieurs longues journées. Semaines, mois. Le temps n'avait plus d'impact. Réduit à néant. Mais envers et contre tout, ces levers et couchers de soleil n'avaient été que trop courts.

Une marche après l'autre, les sacs sur le dos. Derrière, il s'épuisait. Comme toujours. Une main lasse sur son front humide, glissant lentement vers son cuir cheveulu, retirant les mèches trop encombrantes de ses yeux sanguins. Au-dessus, un tableau cosmique d'argent. La fumée impériale dominant le royaume. Les pierres composaient ce chemin désastreux, courbé sans raisons, haut et droit. Le Scorpion cherchait à faire abstraction de sa douleur musculaire. Le blond avait bien proposé de volet jusqu'au sommet, cependant, il n'avait pas pensé à la brume qui couvrirait les monts. De plus, il avait déjà usé la grande majorité de ses résèrves de chakra à soutenir ses pieds navrés. Il fallait gravir cette pente à pieds. Voilà tout.
L'agonie fut aussi bien physique que morale. L'artificier n'était plus derrière. Sans doute s'était-il créé quelque compagnie céramique à qui conter ses malheurs. La Fleur du Sable ne chercha pas de distraction. Il avançait, sans guère plus de motivation. Cambré, droit sur ses pieds, il respirait mal. Puis il détourna le regard de l'épaisse brumaille qui lui embrochait les globes occulaires. À sa gauche, une fougère, mourrante. Sans trop connaître la raison de son geste, il s'arrêta, net. S'accroupit près de la plante, caressa quelques instants son feuillage rongé par la maladie. Veines assèchées. Elle avait néanmoins gardé sa couleur d'origine. Une peinture tilleul, juvénile. En soit, elle n'était pas laide. Sans doute fascinante, envoûtante. Puis elle le captura et le condamna à la passion. Pour se venger, il l'arracha d'un coup sec. Elle se fana instantanément.
La rétine gravé entre les artères végétales, le corps à l'apogée d'une falaise immense. Sous sa main cerceuil, le vide. La vision réaliste du monde souterrain. L'arrêt de l'envol. Il releva le nez, plongea ses iris écarlates entre les fissures des murs d'en face. Le brouillard englobait l'intégralité de la zone, obstruait la perception physique. Se laissa emporter, les paupières closes. Calme. La plante glissa de son linceuil, s'enfonça dans les ténèbres mirages. Et derrière, le hurlement immoral d'un abruti sans cervelle qui courrait à s'en démettre les os et qui passait, comme par hasard, derrière l'ermite. Désillusionné, l'enfant du désert quitta son berceau narcotique et se mit à courir pour rejoindre la tornade blonde, déjà bien éloignée.

La vitesse le propulsait suffisamment pour doubler l'exténué. Au final, il tomba droit vers les dernières marches. Dix. Aller. Neuf. Plus vite. Huit. Presque arrivé. Sept. Presque fini. Six. Rien à faire. Cinq. Quelques marches. Quatre. Inutile. Trois. Rapide. Deux. Fini. Un. FINI!
Il attendit quelques secondes, avant d'attraper son paquet à moitié vide et de porter le cylindre venimeux à ses lèvres. La nuque relevée, il contempla le décor. Et une voûte. Un arc, qui lui redonna le goût de vivre. Quelques calligraphies qu'il ignorait, seulement, ce passage à franchir. Dans son dos, une présence. Simplement, une phrase à son égard.

- Deidara, bienvenue à Kumo.

Evasion.
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MessageSujet: Re: Découverte. [PV Deidara.]   Découverte. [PV Deidara.] Icon_minitime1Sam 5 Fév - 21:17

Depuis ce matin on marchait de la sorte, au beau milieu de nulle part, perdu entre deux grains de sable, et franchement… j’en pouvais plus. Il était fait en quoi, l’marionnettiste, hein? En carton-pâte? En bois? En plastique? En caoutchouc? A croire qu’il ne transpirait même pas! Alors que… alors que… Rah mais Sasori, attends moi quoi! Fais pas ton… hum! Je rattrape mon retard en deux secondes (dix mètres dans l’pif) et me place devant le rouge, l‘air fier et digne. Je suis trop fort. Pas essoufflé le moins du monde, j’attrape d’une main ma gourde d’eau accrochée à la ceinture et la place juste au dessus de mes lèvres, la bouche grande ouverte… Hum…? Une goutte. Tu vas aller loin comme ça, Deidara.

- ‘Fait vraiment trop chaud à Suna…

Aucune réaction. Un peu d’eau peut-être…? Non, rien, il garde sa gourde pour lui. Je vois, hum!

- Hé mais… c’est de l’herbe, ce que je vois…?! Hum! Sasori-sama, t’as vu? Y’a de l’herbe!

Il ne s’arrête même pas. Mais… putain… Il comprend pas la joie que j’éprouve, là? De l’HERBE bordel. Je marche sur quelque chose de… VERT. Et pas marron, hum! Finis l’sable! Adieu, Suna de malheur et ses températures accablantes! Même mes explosions dégagent moins de chaleur que ce foutu village… Que ce foutu pays tout entier, hum! Enfin de la fraicheur… Dans quelques kilomètres je pourrai enfin respirer convena…



C’est quoi… toute cette flotte? Seigneur, les bras m’en tombent. Les bras m’en tombent et ce n’est pas une image pour faire joli.
J’vais craquer. Et l’autre qui continue d’avancer comme s’il ne remarquait rien! Je vais… j’vais l’faire sauter. Hum! Je vais l’explo… Ma main glisse lentement vers la sacoche d’argile lorsque…

- Un village.

Je m’arrête net. Que…quoi? Un village…? Un abris…? A manger…?

- On se rejoint là bas, hum!

Il me mire de son air le plus hautain. J’ai l’air ridicule c’est ça? Pfff! Tu vas voir, attends que je malaxe un peu de mon… Non… c’est pas possible… j’ai pas pu tout liqui… Ah! Il m’en reste, il m’en reste!! Mais…avec ce véritable torrent, je n’en aurais jamais assez pour faire garder à mon argile la forme que je lui aurai donnée. C’est tout juste si j’arriverai à lui donner vie… Et, une fois de plus, c’est le dos du rouge que j’ai sous les yeux. Ouais, j’en ai… vraiment marre. Il ne retourne même pas la tête, mais je l’entends clairement:

- Alors, on se rejoint toujours là bas, Deidara?

J’ai resserré les poings, une longue mèche est tombé lourdement devant mes yeux, je ne le voyais plus. Et je n’avais qu’un mot en tête… Ordure.



Toujours à la traine, toujours la même rengaine, toujours le même air dédaigneux peint sur le visage de mon compagnon de voyage, toujours la même grimace exposée sur le mien… mais cette fois-ci, j’avais mes raisons. Sasori, jusqu’à preuve du contraire, n’avait pas à mener une guerre acharnée et inlassable contre ses propres paumes de mains. Hum, je devais me stopper chaque dix minutes pour les calmer, et parfois même les coudre! Une vrai plaie ces deux là… Epuisé de tout, je traine les pieds, ils frottent le sol avec un bruit lent et régulier. Alors, bien évidemment, monsieur Sasori Le Scorpion Du Désert, soupire. Il en a marre d’attendre, il en a toujours eu marre de toute façon. J’ai ramassé une fleur, puis, plusieurs, qui rampaient sur les arbres, sur le sol, ou qui, au contraire, s‘élevaient vers le ciel. Il avait depuis longtemps arrêté de pleuvoir. Je ne sais pas quel genre de fleur c’est, -pourquoi m’y connaitrais-je en fleur, hein?- mais elles sont jolies en tout cas. J’en ai fait tout un bouquet, j’en ai rassemblé beaucoup, des différentes. On aurait dit une véritable explosion de couleur. Puis, les yeux rougi par le pollen, je l’ai tendu à Sasori… en lui éternuant dessus. Nous ne nous sommes pas attardé bien longtemps sur le sujet.
Plus tard -beaucoup plus tard- on arrivait dans un village… en tout point désert. Pas un seul commerçant pour vous accueillir, personne pour vous conseiller ce restaurant, pas un seul regard, ni même un murmure, ou alors, celui du vent… J’ai regardé Sasori, cela n’avait pas l’air de le gêner, ça avait… même l’air de le ravir. Pfff, espèce d’associable introverti. Je l’ai suivit d‘un air septique, et on a donc continué notre chemin, en traversant le dit village. C’est bien le seul moment où je n’ai pas râlé. J’examinai la moindre petite chose pouvant s’avérer suspecte. Je ne faisais pas le moindre bruit, je… trouvais ça bizarre. Ce silence était… choquant, hm. Irrespectueux pour mes oreilles… assourdissant, pourtant il bourdonnait au fond de ma cochlée. Je n’étais pas rassuré. Du tout, hum! On était, Sasori et moi, plongés, pris au piège dans une bulle insonorisée. Plus loin, on est tombé sur des sources chaudes, on s’est regardé de nouveau. Rubis dans Saphir, puis j’ai sourit, j’ai commencé à me déshabiller tout en marchant et j’ai même couru…

- Aller Sasori viens! Elle est trop… hummmm…

Au début, il a fait semblant de m’ignorer -tout lui ça- puis après, il s’est détendu, et il m’a rejoint dans les bains.

Cette fois-ci, Sasori n’attendait pas, Sasori n’attendait plus. Je me suis arrêté, quelques minutes, et j‘me suis jeté par terre, exténué, je me suis retourné, mes bras tendu à la perpendiculaire de mon corps. Au dessus, le ciel était gris, nuageux, de coté, la route était pentu, beaucoup trop raide, contre ma joue, l‘herbe était bien trop moelleuse à mon goût. Je devais refaire le plein car cela ne rimerait à rien de continuer ainsi puis, quand j’ai jugé mes réserves de chakra convenables, j’ai foncé. J’ai couru, couru et couru encore, un cri de guerre pour m’encourager résonna au loin, et je n’ai pas trébuché une seule fois! Et j’ai rattrapé -parce que ouais, je suis trop puissant- le marionnettiste avec qui je faisais voyage. Il a dû mettre; hum, dix minutes à me passer devant de nouveau. Ça a eu pour effet de me démotiver, je voulais être le premier… mais je n’ai pas réussi à le rattraper, hum! Sans m’en rendre compte, j’ai ralentit l’allure, pour ne presque plus arriver à marcher. Ma tête me faisait mal, comme si je venais de la cogner. Mon cœur battait trop fort, comme s’il désirait rattraper le nombre inconsidérable de battements qu’il aurait produit en toute une vie et qui à cet instant ne pensait certainement pas pouvoir réaliser. Pensait-il que j’allais lâcher?? Hum! Je crachais et toussais au lieu de respirer. Les deux mains sur mes genoux fléchis, je me suis repris, et j’ai marché, en faisant de grands pas. Il me restait quelques marches lorsque…

- Deidara, bienvenue à Kumo.
- Hum!


On avançait depuis quelques minutes dans le village des nuages quand j’ai ressorti d’une poche de mon pantalon la gazette dans laquelle nous avions déniché l’appartement. Bon d’accord la gazette dans laquelle Sasori avait déniché notre appartement. Il y avait une adresse inscrite en tout petit, juste en dessous de l’annonce.

- Tsss, j’ai jamais été bon en géographie…
- Fais voir.

Il n’a pas regardé la gazette plus de deux secondes et il s’est dirigé vers la gauche avant de me faire signe de suivre.

- C’est par là.

Il m’énerve. Quand il fait ça. Il m’énerve, c’est tout. On dirait qu’il connait tout. Comme si Kumo était son village d’origine, pff! M’énerve. M’énerve, m’énerve! Ah, et vous deux aussi vous commencez sérieux à me pomper! Chut, on se calme, j’ai pas d’argile à vous donner, pas maintenant. Même si j’crève d’envie de le plomber… huuum! Soudain, il a tapé du pied, je suis sorti de ma rêverie et je l’ai rejoins. Serrer les dents, mais surtout pas les poings, j’risquerai de me fouler une langue…

- Je n’ai qu’une chose à dire: magnifique. La déco. Franchement, hm!

J’ai jeté mes valises et mes sacs dans le vestibule. Au final, on était arrivé tard, et on n’avait pas eu le temps de manger en chemin. J’avais la tête qui allait bientôt exploser (et aussi étonnant soit-il, l’idée d’une telle explosion de ne m’enchantais guerre) et, en plus, cet appartement, il ne me plaisait pas. Pas une seule couleur vive aux murs rien que du gris, ou du blanc, très peu de meubles, juste le nécessaire, rien qui ne sorte de l‘ordinaire, vraiment rien du tout. Pas un tapis à l’entrée, et même pas de la peinture ou de la tapisserie pour égayer un peu toute cette sobriété. C’était terne, gris. Simple. Pas que je sois fan de papiers-peints et tout ça mais… Quand même. On aurait dit que cet appart était… « nu ». Vide. Et j’ai jamais aimé l’vide. C’est trop laid. Il… il fallait vraiment que j’arrange ça… Elles mâchouillaient déjà la patte lorsque…

- Quoi?
- …
- Okay okay! J’fais rien péter, mais alors, va falloir changer tout ça, hum!
- Viens plutôt voir la salle de bain.

Là, c’était toujours aussi « vide », aussi blanc, mais ça avait le mérite d’être grand. Il y avait une douche dans le coin, un grand miroir installé en face de deux éviers, et même une grande baignoire en dessous de la fenêtre fine et rectangulaire. Cette pièce, j’ai tout de suite su qu’elle allait me plaire, hum! Bon. Ce n’était pas tout de visiter l’appartement. Je me suis précipité avec un sac, direction cuisine. J’ai sortit ce qui se trouvait dans le dit sac, à savoir des légumes, et de la viande. Hum… Hum… Hum… Problème… Je ne savais pas cuisiner. J’ai soufflé. Je ne voulais pas lui demander de faire ça. J’ai tiré une chaise de sous la table et m’y suis assis, les deux poings contre la table. J’avais… faim. Huuuuuuuum… Les yeux plongés dans les mains, les coudes prenant appuis contre la table et la tête penchée vers le bois, j’ai senti quelque chose frôler mon bras. Il n’a rien dit, moi, à sa place, j’aurai sorti quelque chose du style « tu n’sais pas coupé une tomate…? ». Mais non, il n’a rien dit, et il s’est mis à faire la cuisine… et moi, je l’ai regardé… se débrouillait comme un chef. Comme si la cuisine était un art.
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MessageSujet: Re: Découverte. [PV Deidara.]   Découverte. [PV Deidara.] Icon_minitime1Dim 6 Fév - 18:19

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MessageSujet: Re: Découverte. [PV Deidara.]   Découverte. [PV Deidara.] Icon_minitime1Mar 8 Fév - 19:16

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