Comment va Kiri?

Invité

Pendant cette petite période de calme et d'entrainement pour chaque villages. Kabuto décida de changer de pays.. L'aire des montagnes était le meilleur mais cela n'était pas une raison de ne plus y bouger..
Par un jour ensoleillé, le Raikage prit la décision de partir pour Kiri, village caché de la brume, pour rendre visite au Nidame Mizukame ainsi qu'à son village. Et voir son évolution depuis la mort du Shodaime.

*Kiri... Faut voir ce que c'est devenu..*

Changer d'aire et partir pour ce voyage n'était pas une si mauvaise idée pour le bien du Raikage. Il cria alors au garde devant les portes de son bureau!

-Gardes! Je pars pour Kiri.. Tu sais ce qu'il te reste à faire..

La minute qui suivait le Raikage avait déjà passer les portes de Kumo en direction du pays de l'eau..
Le voyage fut assez long et aucun incident particulier se produisit sur la route.

Arriver devant les portes de Kiri.. Kabuto se présenta, car il semblait que les gardiens des portes ne l'avait pas reconnu..

-Bonjours! Je suis le Shodaime Raikage, vous avez l'ordre de me laisser passer..

Les gardiens se regardèrent en même temps.. Puis l'un sorti

-Oui et moi je suis la princesse de Yuki! Tu me l'entend celui la sérieux?.. Décidément, on aura tous vu..

Pas convaincu, les gardiens rigolèrent pendant un moment, jusqu'au moment ou Kabuto leur ôta l'envie de jacasser.. En effet, il était vêtu de l'habit tradition de Raikage, et en écartant les bras vers eux, des serpents sortirent de ses manches et entoura le coup des gardiens du vitesse digne d'un Kage.. Étranglé sans pouvoir en placer une, le Yakushi les regardèrent sévèrement et leur déclara..

-N'oubliez surtout pas que c'est Kumo qui vous a libéré de la dictature Akarienne! Osez encore rigoler et vos familles pleureront!..

La pression de ligotage diminua autour du coup des gardiens, jusqu'à les laisser respirer car ils commençait à prendre des couleurs bizarres.. Après quelques instants le même reprit la parole.

-Nous sommes désolé Raikage-sama, mais nous devons rester attentif.. Je vous ouvre et je vous conduis jusqu'au Nidaime..

-Non merci, je n'ai pas besoin qu'on m'escorte jusqu'à son bureau..

Pendant cette petit période qui ne s'avérait pas calme pour tout le monde ; Kiri recevait encore quelques visite inopportune. Nazuki décida de se revigorer en allant s'asseoir, bien au frais sur la plus haute tour du village. D'ici il pouvait voir tout ce qu'il pouvait se tramer, dans chaque coins, chaque ruelle et chaque passage. C'était un jour ensoleillé, Nazuki regardait au bas les portes qui, s'entrouvait et se reférmé sans cesse afin de laisser passer tout voyageurs et marchand venu faire affaire dans ce si beau village. Nazuki avait une main posé sur son front, qui par semblant était aussi une main posé sur sa conscience. Il pensait beaucoup, seul, dans ce petit pôle de paradis, a l'abri de chaque regard et chaque regard, chaque corps, qui marchait sous le sien. Rien ne se passait sans sa surveillance.

C'est alors qu'un homme a l'allure évidente pénétra dans le village. Nazuki y arrêta ses yeux, l'homme marchait toujours le menton vers le sol, une démarche douteuse dont même les yeux les plus fin perché au sommet du plus grand de tout de tout cimes n'arrivait a percé le secret de l'étranger. Il le fixa puis attendant quelques instant, il vit que l'homme sortit deux serpent de son bras : Les deux meme arrivèrent au cou des deux gardes posté a la surveillance de l'entré. Nazuki sursauta, il se leva. Puis au moment il allait s'apprêter a agir, l'étranger sorti le chapeau du Kage de Kumo : C'était donc le Raikage. Et bien que, de ces actes louables Nazuki se devait de le tenir en son coeur, de quel droits, au monde sont t-il Idiot ! De quel droits se permettait t-il de toucher au cou encore si jeune d'un ninja de ce village ?

___

Les deux gardiens s'intérogèrent ensemble, ils se regardaient, et l'on pouvait apercevoir, dans leur yeux agité un mélange de honte, de peur et d'incompréhension : La chose la plus normale quand on est ammenait a comprendre que meme celui qui se revendique le plus fièdlle ami peut être ; en un jour, devenu le plus vil voyageur, et le plus grand ennemi du cœur le plus aimant !

-Nous sommes désolé Raikage-sama, mais nous devons rester attentif.. Je vous ouvre et je vous conduis jusqu'au Nidaime..

Le Raikage ne souriait, mais étant un très mauvais menteur et comédien ( :p), l'on pouvait discerner au travers de chacune de ces rides, une once de sévérité dans un ficelage de joie : L'ombrage fondé d'un homme qui aimerait soumettre !

-Non merci, je n'ai pas besoin qu'on m'escorte jusqu'à son bureau...

Quand on pu entendre, a la surprise la plus totale, une voix d'honneur pour les uns une voix quelconque pour l'autre qui se retourna étrangement. Une main sur son épaule vains néanmoins l'emepcher de se tourner un peu plus.

- M'a ton appelait ? Désirer, Provoquer ? Ou bien toute sortes de mot qui peuvent faire ma reconnaissance; je suis ici ...

C'était Nazuki: Il prit une des lames tranchante et l'apposa contre le dos du Raikage.

- Certes nous vous devons des choses et des reconnaissance et des mot qui font rire sauter ou même d'autre choses qui font pleurer. Mais il bien sentit que, autant que l'organisation vous essayer de nous les soumettre. Je vous donne néanmoins un conseil Raikage, entre homme respectable ... une sorte de guide de survies ... N'effleurer plus un cheveux de mon peuple ... Vous ne pouvez savoir a quel point je vous suit supérieur ....

Invité

Quelques temps après avoir passer les portes, Kabuto se déplaça lentement dans le village, sous sa tenue traditionnelle de Kage, l'aire tout à fait zen.. Soudain, quelque chose intrigua le Raikage.. Il allait se passer quelques choses ici même, l'odeur de l'affrontement se fessait sentir.

En en effet, le nouveau Mizukage venait d'apparaître derrière Kabuto, en le menaçant d'une lame tranchante.. De la sorte, le Raikage ne pouvait pas se retourner. Nazuki déclara alors..

- M'a ton appelait ? Désirer, Provoquer ? Ou bien toute sortes de mot qui peuvent faire ma reconnaissance; je suis ici ...

-
Certes nous vous devons des choses et des reconnaissance et des mot qui
font rire sauter ou même d'autre choses qui font pleurer. Mais il bien
sentit que, autant que l'organisation vous essayer de nous les
soumettre. Je vous donne néanmoins un conseil Raikage, entre homme
respectable ... une sorte de guide de survies ... N'effleurer plus un
cheveux de mon peuple ... Vous ne pouvez savoir a quel point je vous
suit supérieur ....

C'était une jolie preuve de loyauté, et de la même manière une preuve d'infériorité.. Et puis, s'exposer aussi pret du Raikage n'était pas un risque?.. Même avec une lame, cela était un véritable danger pour Nazuki.. Apparemment, il en avait encore beaucoup à apprendre et surement que ce nouveau grade lui avait monté à la tête..
Kabuto commença à prendre la parole pour occuper l'esprit du Mizukage.

-Hahaha.. Supérieur?... Je dirais plutôt que tu te sens tellement inférieur que tu t'es sentis obliger de m'attaquer par derrière pour avoir un avantage.. N'es ce pas?

Le chef de Kumo parlait les yeux fermés pour un maximum de concentration car la vue n'était pas d'une grande aide à ce moment précis.. Venir de dos est une arme à double tranchant, en effet, Nazuki ne pouvait pas non plus voir les fins gestes du Raikage sous sa cape, même de face il n'aurait rien put voir..
Pendant qu'il prononçait les premières syllabes, la série de geste très vite exécuter.. La tactique de ce dernier allait être d'invoquer ses deux serpents qui surgiront du bas de sa cape, et à cette distance, le chef de Kiri pouvait être immobiliser.. Voilà pourquoi Nidame Nazuki n'était pas en sécurité, même avec sa lame.

Ces actions se déroulèrent au milieu de ses paroles.. Un des serpents avait percuter pour projeter l'adversaire au sol un peu plus loin, l'autre servait de couvrir le dos du Raikage.. Et ces actions ne pouvait être que inévitable..

Après cela, Kabuto reprit la parole..

-Et puis, s'approcher d'aussi prêt d'un ninja sans avoir aucune information sur lui est aussi une preuve de ton infériorité! M'attaquer? C'est donc cela que tu veux?.. Eh bien entraîne toi encore un ou deux ans! Hahaha.. Je voulais avoir une idée de ce que tu as dans la tête et maintenant je le sais..

C'était les derniers mots de Kabuto, le voilà qui se retourna une nouvelle foie à la même allure pour quitter Kiri.. Nazuki pouvait tenter une nouvelle foie de l'attaquer par derrière, à ses risques et périls.. Voilà que le Raikage traversa les portes et commença à prendre la route avec Sasuke qui était lui aussi Venu à Kiri pour d'autre raison. Et ils rentrèrent enfin à Kumo.

Spoiler:

-Hahaha.. Supérieur?... Je dirais plutôt que tu te sens tellement inférieur que tu t'es sentis obliger de m'attaquer par derrière pour avoir un avantage..

Le Mizukage n'attendit pas qu'il termine sa phrase et, tout en éclatant de fureur, il empoigna l'épaule du Raikage lui fendent rudement son être tout entier. La lame avait perforer le haut du dos, elle avait trancher sur son chemin, quelques veines dont le cœur avait besoin pour fonctionner. Elle ne fit qu'un léger passage au milieu du cœur et finit sa course de l'autre coté du corps : a travers le plexus. S'en était finis, le Mizukage contemplais les lèvres béantes de sa victime qui semblait encore sourire. Le raikage , trop fière, tenter encore de vivre, mais Nazuki dans un élan de rage, prit dans son dos son autre lame, et pour le garder toujours aussi fier, il lui trancha la tete en pétrifiant par effet tout ces mouvements. Il garderais a jamais cette allure fière et a la fois pathétique. Le Mizukage ajouta après s'être calmer un instant.

Si je t'ai surpris par derrière c'était pour que ton coeur soit le plus facilement pénétrable.

______________

Raikage is Dead ...
Sasuke n'est pas a Kiri. C'est terminer ...

Invité

/
xD Tu rêves mec!^^ T'aurais du mettre que tu me butes avec un kunai non? -_-

Et puis mets ta fiche technique dans ninjas de Kiri.. Tu es le Mizukage je ne devrais pas te le dire tu devrais le savoir!
\

Le combat n'était donc pas terminé.. Apparemment, ce que voulais Nazuki, c'était la mort! Au lieu d'en finir comme cela, le Mizukage voulait la mort du Raikage.. C'était maintenant clair..

Sans savoir par quel miracle, Nazuki passa à travers la défense du serpent..(tu explique même pas) .. Le serpent qui recouvrait le dos de Kabuto se prit le coup de lame et fut presque entièrement coupé.. A ce moment même le second serpent surgit pour ligoter et immobiliser le Nidame, vu qu'il était tout prêt.. (Tu peux pas esquiver t'es trop prêt et tu tentes coup de sabre à ce moment)..

Comment va Kiri? Kabuto_orochimaru_serpent

L'étreinte était à son maximum, donc les deux bras du Mizukage était inutilisable. Il ne pouvait pas faire de signe, donc pas de ninjutsu.. Ses pieds ne touchaient maintenant plus le sol.. A cause de la pression exercée sur le corps de Nazuki, sa tête changea de couleur.. Il était donc à la merci de la prochaine attaque de Kabuto..

Spoiler:

Les mains du Raikage venait de s'entourer d'un chakra bleuté.. Les scalpels de chakra.. Et sans perdre une seconde, il découpa tous les ligaments et artères autour du cœur du Mizukage en un clin d'œil, le laissant pour mort, toujours sous l'étreinte de son serpent...

-La mort, c'est mon domaine.. Après moi c'est l'ange de la mort qui t'accueille...

/
moi :
1200 pv
1230 pc

toi :
0 pv (mort)
Tu ne peut pas esquiver l'immobilisation de L'envoutement du serpent puisque tu es tout prêt de moi et que tu ne t'y attend pas (vu que tu m'attaques avec ton sabre).. Et une fois immobiliser tu ne peux pas esquiver ma technique du scalpel.. Bienvenue en enfer^^
\

ah ah tu rêve aussi on dirait xDDD d'une tu n'a pas de défense dans ton dos x). Autrement moi je me met une plaque de titane sur le cou et c'est fini. xDD
PUIS je te découpe en morceau avant que tu puisse invoqué ton serpent x). Autrement dit tu est mort Raikage What a Face

.

Invité

Kabuto possède bien le serpent dans son dos et peut très bien s'en servir pour contrer ton attaque et ainsi donc te tuer.

Quand on tente de tuer quelqu'un d'un coup, autant penser à toutes les possibilités, sinon ca risque fort de se retourner contre soi. Maintenant on verra l'avis de Suigetsu et Pain.

Invité

C'est un peu le bordel avec les one shot intempestifs, ou alors vous faites un vrai combat ou alors on arrête tout parce qu'il y en a marre de perdre des persos genre Raikage ou Mizukage si facilement par un one shot.
Je propose que Kabuto ne soit jamais allé à Kiri pour faire simple
Ou bien qu'un vrai combat se déroule

Alors il n'est jamais venu Smile

Invité

NON NON ET NON !!!!

Trop facile ça!! Nazuki t'assume, t'as voulu m'attaquer voilà les conséquences! Ya pa de je suis jamais venu maintenant.. Il a essayé de me Oneshot avec une arme blanche, comme si j'étais un ninja de rang D, je lui ai montrer comment on Oneshot quelqu'un^^ x)

Sujet clos j'attends l'avis de Suigetsu...

Invité

Bien, Suigetsu donnera son avis sur le combat.
Mais sachez que vous ne pouvez empêcher Kabuto de dire qu'il est venu, si Suigetsu est contre le one shot alors un combat et un vrai se déroulera.

L'attaque de Kabuto est totalement valide.

Invité

Nazuki is dead... Je vais rp pour recherche d'un nouveau Mizukage..

Un tour vers la mort ? Ce n'est rien pour cela qu'une absence de vie ... L'espoir dont il avait tant était porté avait finis par le trahir ; ce propre espoir ; ce faux ami, ou celui qui prétendais l'être : Avait finis par l'achever ; une lueur funeste petite mais inébranlable, ôta progressivement la vue du Mizukage. Elle s'intensifait, plus il l'a fixait, plus elle grandissait. La gangrène de la mort était aux portes de la vie ; La maladie que tous redoute un jour était venu chercher. Mais elle n'obtiendra rien de lui, sa fierté était trop grande, comme l'arracheur de mot, elle n'aura rien ; La justice n'avait rien eu : A quoi bon les faveurs ? En cet instant entouré de clameurs, tout de même seul dans l'effet singulier, il pensa ...

*Ainsi ... ainsi je m'éteint comme le Nidaime Mizukage ... j'ai fait une erreur ... UNE SEUL ! La vie ne m'a pas pardonner ... ce blanc dans ma vue ... ce blanc est mon ennemi ! Dieu écoute moi ! J'arrive ! Réserve moi une place a tes côtés ! Je n'accepterais pas que ma mort soit aussi soumise que ma vie ! ... Je n'accepterais de te donner raison ... oui regarde moi bien ! Une fois la-haut je te demanderais pourquoi n'avoir rien fait ? ... Tu a laissé ce village se détruire et tu m'a envoyé ! Mais je n'ai rien fait ! Tes actes n'ont t-il aucune incidence ?... Qui-que tu soit ... notre création se termine toujours ... aucun d'entre nous n'est éternel ... ton art est donc aussi éphémère ! ...*

C'est la qu'il vit difficilement, a tourner son regard ; Le nombre de personne et de bouche ouverte pour venir l'assister. Il savait que ces gens, son peuple, ne pouvait rien. Il ne leur en voulait pas. Après tout il allait s'effacer comme pour son commencement ; dans la nuit plus totale. Du côté de l'inverse, revit toujours la chance ! Il avait vécu sa vie du coté des jours et du soleil. Enfin la roue allait tourner, par sa mort il basculerait vers la nuit ; Vers l'inconnu et les initiatives, la ou tout chemin éteint, attend la torche pour l'éclaircis. Que réservais la mort ? Puis il croisa étrangement le regard d'un de ces ninjas.

*Vois ... Vois Dieu ! L'homme que tu as fait .... il guette ... il guette pour ne faire croire qu'il admire ... sa fausse main est posée sur son arme factice ... en vérité il n'attendait que ca ... ma mort le réjouit je sens en lui un traitre .... il n'attendait que ca ! Hein ? n'est ce pas ... Ton feu dévastateur s'est résorber de moi ... et tu l'a donné en me le prenant ... a celui-ci ! Je comprend désormais ... je comprend l'amertume que Mizukage doit ressentir pour moi ... Dieu tu as voulu me punir ? Je ressens la même haine pour celui qui me succédera ! Je ressens le Nidaime au travers de mon cœur qui se met a saigner ! Observe moi Kakuzu ! Observe moi !! Je m'excuse ! Je m'excuse de moi !!! Une fois la-haut je n'aurais plus de mot ... Pardonne-moi ... faites que dans la mort nous soyons joint ... je te donnerais plus raison qu'a moi si c'est pour que tu me pardonne !*

Un élan de vigueur ressurgit en son être, ou il cessa de ne penser qu'en ces erreurs ; mais a ses fiertés, ses joies ... et a l'emprunte fidèle qu'il avait pu laisser. La mort lui ferma ses paupière, sa vison ne marchait plus, le blanc l'avait épris ; la couleur la plus saine dans le plus mal effet. La totalité la plus pure, dans un fond de vilain. Le voleur de la vie est un marchand de cœur ! Il se tint tout en blanc, la mort le suit pourtant ...

*Shibazu ... tu était un vrai homme ... l'élu de tout les dieux ... qu'importe ! Tu a le peuple en ton cœur ... et le cœur du peuple t'a en son propre être ... Tu ira loin ... poussés par tes envies ... tes vengeance sont saines .... dieu ne t'a pas puni ! Mais ne te venge pas ... je t'en pris ! Et si tu le fait ... ne le fait pas pour moi. Je mérite ce qu'il m'arrive ... mon heure est venue ... mon temps s'est perdu ! La faucheuse est a mes pieds ... elle me supplie de la suivre ... je vais bientôt la rejoindre ... tu sais la vie n'a aucun sens ... c'est seulement la mort qui nous fait changé ... moi elle me fait mourir ... toi je ne sais pas quel choses elle pourra bien te faire. L'instinct de la mort ... est notre vie a tous ... on vie pour mourir avant de naitre pour vivre ...*

Il fit repasser sa vie en des quarts d'instant, comme-ci sa mémoire s'en aller, elle se jetait dans le précipice vide et sans fond de la mort. Il n'avait aucun avis sur les moments et lieux qu'il revoyait, out lui semblait aller si vite, une frustration cruel pour celui qui pensait que la vie était longue ... il revit ses mal années de prison, ses viols et aussi ses sentences porté a l'égard de son être alors que l'innocence même inonder seul son cœur. Il attendit que les choses se fasse, au dehors, sa tête s'était penché, ses bras et son dos courbé tenait en corps a la pression de l'air ; il ne voulait rien lâcher. Pas une onde de vie, pas une respiration, ni un souffle, ni une brise légère du vent qui tourne et va. Non, rien ne lui échapperais ... puis sa mémoire s'arrêta un moment elle lui retranscrit un endroit oublier mais qui était le plus important peut-être : l'existence d'un fils et sa lettre pour lui écrire.

FLASHBACK:

Sur son bureau assis, l'encre est pesant sur le bout de la plume. Mais il l'a projette tout de même, il se risque a froisser se papier ... car il n'a de peines que des mots incriable. Le poignet est souple, il s'attarde sur les verbes difficiles, il ne veut surtout pas faire de fautes. Puis il lève sa main, elle est un peu encrée par le dessous. La feuille est tacheté d'empreinte bleu, mais peu importe il continue ; quand le cœur se met a parler, même la chose la plus sale est devenu plus belle. A chaque phrase terminer il relit, il tient a ce tout soit parfait, pas que une tournure de mot, ni qu'un avare usage de vocabulaire viens rendre la chose trop lourde. Puis, il hésite et marque finalement un point a son texte. Il l'a lit dans sa tête pour corriger les fautes, puis a haute voix pour voir si elle convient.

Lettre a Mon fils :

Sais-tu ? Je vais te raconter, regarde,
En ma main tu le vois, j'écris mon cœur qui garde,
Un espoir je l'espère, de te voir face a moi.
Vois-tu ? Je crie en écrivant, je n'écris que pour toi.
Mon fils. Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

Il ferma précieusement cette lettre, l'emprisonna dans une enveloppe qu'il rangea elle-même dans un tiroir a clé. Une larme qui roule jusqu'au long de sa joue, s'échoue finalement sur cette clé, qui détient un secret dont l'espoir est connu, envisager par de nombreux parents sans enfant. Un espoir garder de tous, et connu mais dont la parole n'est jamais débattu.

FIN FLASHBACK

En cette pensée il trouva une dernière force, toujours sur ses genoux, tenu par le fin fil de la vie qu'il s'apprêtait a voir se coupait . Il leva le bras au ciel. Le poing fermè, un tissus de son habit tenu par ses doigts resserrés. Il saignait un peu, mais ce dernier élan fit la chose se multiplier. Il se stoppa puis en trouvant une dernière fois la force de ne pas se taire. Le courageux Kage aux larmes intrépides, au lieu de se battre, parla pour terminer.

"Tout les kages sont morts ... avec ... pour leur peuple une pensée ... qui est montait au ciel ... Shodaime était le cœur ... Nidaime la tête .... je serais la force érigé du peuple ... ceux qui garderont toujours en eux ... la force de n'être pas celui soumis ..."

Puis il s'écroula a terre, sa mémoire le perdis et lui fit vivre un dernier regard sur son enfance. Elle lui fit vernir a sa plus tendre connaissance. La ou l'on peut dire alors : Que deux adultes ne valent pas une enfant ; Par la preuve que deux vies ne valent pas un éden. Il existait dans une vallée non loin d'ici, un lieu ou demeurait la paix. Bercée par la brise douce et légère. En ce lieu la des colosses millénaires étaient dressés vers le ciel. Leurs troncs étaient gigantesques et imposant. Des mélodies gaies glissaient sur l'air, venant du lointain. Le temps semblait malgré tout s'être arrêté dans cette onde végétale.

On aurait pu croire qu'ici étais un autre monde. La vie semblait calme et paisible. Nullement troublée par les chaos régnant a l'extérieur. Soudain, un craquement raisonna. Un garçon était à la frontière. Hésitant, ne savant pas s'il devait avancer ou rebrousser chemin. Ses cheveux étaient aussi blanc que le jour, Il regardait droit devant lui, écoutant les murmures du vent. Les oiseaux l'observaient, intrigué par cette présence étrange.

Cet être qui leur étais inconnu. Au bout d'un petit moment d'attente le garçon s'avança. Ses pieds nus foulant le par-terre humide et nombreux de feuille mortes. Il pris regard sur un des troncs, celui dont l'écaille était un peu trop lisse, le caressant d'une main timide. Il entendit alors une mélodie, un chant qu'il reconnaissait depuis qu'il l’avait entendu plusieurs fois. L'oiseau était perché près de lui, sur une branche basse. Il semblait lui dire des paroles réconfortantes et regardais l'enfant de ses petits yeux noirs . L'enfant sécha ses larmes en entendant ce chant joyeux puis s'assis au pied de l'arbre. Il caressa une dernière fois le tronc. Non... Il n’était pas abandonné... Il n'étais pas seul. Il écouta calmement la mélodie puis il s'endormis apaisé, porté par ses rêve dans un monde connu de lui seul sous la chaleur du soleil.

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