Lumina marchait à pas lents, elle venait tout juste de finir son combat contre suigetsu qu'elle emprunta milles et un corridores sans trop se soucier d'où ils menaient, tant qu'ils menaient hors de cet arène ça allait. Et du coup, pourquoi ne restait-elle pas un peu ? Erf, et c'est partit pour un tour.... Elle fit volte-face dans un long et penible soupir, vrilla et emprunta une seconde fois milles et un couloires. Elle dût se perdre une quinzaine de fois, mais ça, c'était une détail. D'un naturel orgueilleuse elle n'osait pas demander aux garde le chemin pour les estrades. Et ceux-ci lui adrèssèrent souvent des regards plein de sous-entendus. Et à chaques fois, elle leur renvoyait un air glacial mais impassible, cela n'aidait encore moin. Ils auraient presque pu la trouver louche, à courir comme ça partout comme une poule dénudée de tête, a zigzaguer et a emprunter 100 fois le même chemin. Et finalement, elle vu une porte ou il était écrit en énorme lettres rouges "sortit". Bon, ce n'était pas le chemin vers les estrades, ni les loges des kages, mais on s'en fichait, à ce point, c'était mieu que rien. Elle roula les yeux, puis fière d'elle-même, poussa les portes de toute ses forces et vit enfin la lumière naturel du jour. Il devait être environ midi, Lumi étant arrivé a l'arène tôt le matin. il était temp de se détendre, de faire les touristes, ou simplement de retourner au village. La première solution fut celle qui s'imposa. Mais comment se détendre dans un village aussi bordé de villageois ? (sans blague)

Son ventre fit un bruit, décidement, il faudrait faire un tour chez ichiraku, tot ou tard. Ça tombait bien, après environ une heure de marche, elle serait arrivé (y). Et Lumina fit son heure de sport. Enfin, elle pris place sur un siège, commenda un Ramen, et l'avala avec appétit. Certes, elle n'aimait pas trop les pâtes, mais celles de ce petit restaurant, étaient les meilleures aux mondes, il fallait se le donner. Après avoir bourrer sa petite pense ( pas patte. ) d'oiseau, elle laissa retomber quelque ryos sur la table se permettant d'offrire un bonni pour l'excellent service. Alors qu'elle s'étira calmement se relevant péniblement, les cri d'une foule, enfin, quelques personnes, attirèrent son attention. Elle se retourna rapidement, s'élança hors du petit stand. L'arène était loin, ça ne pouvait donc pas provenir de là. Elle décida de se mêler au petit groupe de personne. L'inauguration d'une source chaude, étai la cause de tout ce brouhara. Aussi vite que les gens étaient arrivés, ils étaient repartit. Laissant la une Lumi face à un batiment qui, par je ne sais quel pouvoir, semblait la forcer a y entrer. Haussement d'épaule, elle y entra. Une demoiselle l'accueillit, elle lui désigna les vestiaires et la poussa litéralement dans ceux-ci. Elle était seule, dans cette grande pièce fermée. Eh bah, elle s'y changea, posa ses vêtement dans une petite case qu'Elle referma a clé a l'aid d'un cadenas. La voilà a poile, enroulée dans une servièttes, les cheveux détacher. Le sol était mouillé et ce n'était pas une très bonne chose franchement.


Après une ou deux courbettes, elle réussit à se retenir sur un cadre de porte. Les yeux équarquillés, elle s'arrangeait tant bien que mal pour ne pas trébucher, une main empêchant la serviette de tomber. Le coup ultime, quelqu'un passa près d'elle, une femme qui travaillait ici la bouscula, le sol voilé sous une couche d'eau était très glissant, elle trébucha, et fut emporter plus loins dans un corridore qu'elle n'eût pas choisis. Bientôt elle arriva au bout de celui-ci, menait vers l'extérieur. ET VLAN elle échapa sa serviette a l'entré du bassin, continua sa glissa et plongea tête première dans le bassin d'eau chaude. Sortant sa tête de l'eau pour prendre une bouffé d'air, ses cheveux mouillé retombèrent à moitié sur son visage, puis elle réalisa bientôt qu'elle n'était pas seule, mais bien agenouiller sur un parfait inconu aux cheveux blanc ( Jiraiya ).

- Oula .... o_ô.

Ses joues prirent une teinte rougeâtre, voir rosé, gênée par la situation. La position était assez explicite, mais la jeune Sunéenne se détacha aussitôt de l'homme, et coula a pic dans l'eau. L'hôte de Gobi s'assied donc sur le banc, se tourna, dos a Jiwa et se leva, sortit à demi de la source pour brandir la serviette blanche. Pas un once de pudeur enfin, elle ne se souciait pas des regards pervers qui la surveillait.

- Désoler ! Pour l'entrée (sa voix fut étouffer par la position étirer pour attraper la serviette) assez fracassante, urf.

Après nul moment, elle pris sa serviette et la plia près du bassin.