Un retour aux sources. {Ato;Kakuzo..

Gaara s'ennuyait fermement dans la douceur lugubre de Kiri, il avait l'impression que tout ce qui se faisait à Kiri restait dans l'anonymat le plus total, que l'action s'opérait en silence, tel le décrivit la légende de Momochi Zabuza. Des légendes de la sorte le village caché de la brume en était bondé, néanmoins tout cela semblait bien loin, l’inactivité de cet endroit exaspérait le nouvel arrivant. Mais que faisaient donc les autres ninjas ? Etaient-ils tous en mission ? Inutile de dire que c’était peu plausible. Malheureusement pour ce jeune homme, las de cette monotonie harassante, les choses en étaient ainsi et il n’y pouvait rien.

C’est dans une belle soirée d’été que Gaara se sentait mélancolique, il avait grandi depuis sa fuite de Suna mais beaucoup de questions restèrent inchangées, en revanche il se posait de nouvelles questions disons plus existentielles, la force de l’âge il fallait croire. En effet le Genin semblait tellement insouciant d’apparence, du haut de son visage inexpressif qu’il était rare que quelqu’un perçoive que le rouquin ne se pose autant de questions. Les apparences étaient souvent trompeuses.

Perché sur une toile de tuile à contempler une lune parfaitement ronde, l’habitant de Kiri marchait de tuiles en tuiles, d’un pas léger et souple afin d’éviter tout dérangement. Ou allait-il ? Qu’importe, il laissait son esprit, bercer par les étoiles, l’emmener à sa guise. Celui-ci décida de le replonger dans son enfance qu’il qualifia de douloureuse. Le pariât du village du sable repensait à son village natal, un véritable comble. En effet le natif du pays du vent se demandait ce qu’était devenu Suna no Sato et il n’en avait aucune idée car il s’était coupé du monde en venant à Kiri. Nostalgique ? Pas un brin. Gaara détestait chaque moment passé là-bas, chaque villageois, chaque structure. Comment les habitants de ce village avaient pu montrer autant de rancœur juste parce qu’il abritait Shukaku à l’intérieur de son corps ? L’ancien jinchuuriki n’avait pas choisi d’être le réceptacle de cette maudite bête, donc l’éternel question revenait dans l’esprit du Genin, le destin existait-il ? Si oui, pourquoi avoir créé quelque chose d’aussi cruel ? Ce solitaire de la nuit quitta son regard d’un ciel magnifiquement étoilé et cette fois semblait savoir la direction qu’il prenait.

Après une téléportation rapide, il arriva devant le mur d’enceinte du village non loin des grandes portes, il voulait s’en aller en toute discrétion -inutile de préciser qu’il fut d’une naïveté sans pareil. Effectivement, il avait le droit de sortir du village, mais le jeune homme préféra ne pas trop se faire remarquer. C’est alors qu’il prit la direction de Kaze no Kuni ! Le garçon effectua un signe de la main et se fit porter par un nuage de sable, malgré la quantité de chakra utilisée durant le trajet, il était plus court et le rouquin n’utilisait pas d’énergie physique dans une folle course euphorique. Avec un peu de chance il arrivait à l’aube en évitant la folle chaleur du désert aride de midi.

A l’aurore, la chaleur refaisait déjà surface, Gaara s’était pris d’affection pour la douceur du climat de Mizu, alors il lui fallait surement un peu de temps pour de nouveau s’acclimater à tant de chaleur. Mais il semblait que le natif de ces terres était enfin arrivé, et dans un soupir étouffant, il stoppa sa technique et atterri dans le sable dans une posture de sprinteur au départ. D’un regard avisé qu’il lança autour de lui, le garçon gardait un faciès morose, lui qui semblait mélancolique il y avait quelques heures. Ce fut dans un autre geste qu’il entama une seconde technique, celle du troisième œil qu’il envoya dans le village de son enfance. Peut-être verra-t-il certains ninjas de son enfance qui l’ont froidement ignorés. A ceux là Gaara avait juré de vouer une vengeance particulière.

Invité

Konoha, Suna, Kiri,... Tous ses villages étaient pour moi pareil. Je n’ai pas choisi Suna pour son climat chaleureux. Ou parce qu’à Kiri, le temps n’est jamais ou presque jamais au beau fix. J’ai décidé de devenir une Kunoichi de Suna pour la simple et bonne raison que c’était à mon gout le village qui avait le plus besoin d’aide. Évidemment, il y avait d’autre village beaucoup plus faible que Suna, mais je devais aussi avoir les moyens techniques et financiers pour tester mes expériences médicales. D’ailleurs c’est en partie pour cela que je me retrouve dans le désert de Suna, la chaleur torride et pesante et le sable qui rentre dans les sandales. Je n’aimais pas spécialement ça. Mais, certaine fleurs rares se trouve dans le désert et certains pouvait m’être utile pour mes expériences. Le médicale était ma grande passion et sans vouloir me vanter peu de gens sont aussi passionné et douée que moi dans ce domaine... Tout du moins dans le village de Suna. Mais il y a une chose que je n’ai pas encore dites, durant mon petit voyage qui ne devais durée que quelques heures normalement je n’étais pas seule. Il y avait une autre personne avec moi, une personne déjà d’un âge adulte, mais toujours au rang de Genin, c’était assez surprend de voir qu’un ninja de son âge soit toujours au rang de Genin, il avait sans doute plusieurs raison, mais je les ignorais et surtout je ne voulais pas le savoir.

Quoi qu’il en soit, ce jeune homme s’appelait Kakuzo, récemment, on avait fait de lui mon élève, me documentant légèrement sur lui, j’appris qu’il était un maitre marionnettiste... Dommage, je ne maitrisais absolument pas cet art qui était un pouvoir des plus complexes à maitriser. Par contre, si dans l’avenir, il voulait se perfectionner dans le médicale, je pouvais facilement l’aider... Je pouvais aussi donc lui fournir diverse poisons pour ses pantins car je sais que les marionnettistes raffolent du poison, surtout pour en mettre sur les armes de leurs pantins. Je profitais donc pour le prendre et lui donné un petit cours en herboristerie. L’herboristerie pouvait lui être utile car apprendre quel fleure est vénéneuse et comment en confectionner du poison pouvait grandement lui servir, mais aussi utilise ce talent pour crée des remèdes, car si on crée un poison, il est des plus vital de crée un remède. Imaginé si on lui retourne son poison à lui ou à un de ses alliées, il faudrait qu’il puisse le soigner rapidement lui on son allié. C’est donc aussi dans se carde que je l’avais pris avec moi. Maintenant allez savoir si cela allait lui faire plaisir. Les hommes sont parfois un peu simple d’esprit je vais dire. Il pense que pour apprendre il faut seulement s’entrainer au combat, mais bien souvent c’est la réflexion et l’intelligence qui font la différence. Affaiblir l’adversaire est souvent plus efficace de que le blesser... Enfin c’est évidemment mon avis.

Enfin bref, j’étais à la porte du village alors que je soleil venait seulement de se lever et j’attendais Kakuzo qui ne devait pas tarder. Une fois présent, je lui fis un signe de la tête avant de lui dire :

Bonjour Kakuzo, je crois que nous allons pouvoir y aller, j’espère que tu aimes la marche car je pense que nous allons beaucoup mar...

Une impression... Étrange, mais j’avais l’impression d’être observé, après un bref moment d’observation, je vis un œil assez étrange nous scruter... Ce n’était pas un œil tout à fait naturel... S’il venait véritablement de quelqu’un... s’il avait été arraché ou même coupe de façon chirurgical, il n’y aurait pas que le globe... Alors, essayant de faire mine de rien, sans vraiment savoir si Kakuzo l’avait vu, je repris la parole et je dis :

Viens, plutôt que de parler ici, avançons... Je sens que la journée va être plus longue que prévu.

Partant en espérant que mon jeune élève me suive, je fini par rapidement voir un jeune homme tout seul... A pleine vitesse je me dirigeais vers lui pour lui faire face. Je l’observai un bref moment en me disant que Kakuzo n’allait plus tarder en suivant ma trace et d’un regard relativement amical, je dis au jeune inconnu :

Bonjour jeune homme... Je ne crois pas que tu sois du village... Peux-tu me dire ce que tu fais ici ?

Bien qu'il devait se lever tôt pour aller retrouvait son sensei devant la porte du village Kakuzo resta longtemps dans son lit à regarder le plafond. Il était là déjà prêt à partir mais il préférait resté allongé sur le dos à pensée . Pensé à quoi vous me diraient et bien à tout. Avait-il bien choisi ça voit ou encore était-il près pour une vie de ninja. Cela faisait que quelques semaines qu il avait reçu son diplôme de Genin et il se posait déjà tent de question sur le monde et ça voit de ninja.
Après plusieurs heurs il prit son courage à deux mains et se leva de son lit. Il prit sa marionnette qui était enroulée dans des bandages noirs puis il sortit de chez lui. Le jeune maitre marionnettiste fut en quelques pas écrasé par la chaleur étouffante de Suna. Chaque pas était un supplice pour lui car il était vêtu de couleur sombre ce qui gardé très bien la chaleur.
Quand il arriva à la porte de Suna il fut accueilli par son sensei. C'était une jeune femme qui avait le même âge que Kakuzo ce qui ne déranger pas du tout le jeune marionnettiste. car bien qu'ils aient le même âge il avait beaucoup à apprendre d'elle surtout sur la façon de faire quelque poison mortel.

-Bonjour Kakuzo, je crois que nous allons pouvoir y aller, j’espère que tu aimes la marche car je pense que nous allons beaucoup mar.....

marcher, Kakuzo ne savait pas trop ou elle allait le conduire mais ce qui était sur c'est qu'il n'avait pas vraiment prévue de marché . Il s'arrêta tout deux sur un étrange œil qui volait dans le ciel non loin d'eux. Un sentiment étrange de déjà vue traversa aussi tôt le jeune marionnettiste mais étrangement il ne se rappela pas du tout où il aurait pu voir ça. Il suivit son sensei jusqu'à arrivée devant un jeune homme mystérieux. Son sensei prit aussi tôt la parole.

-Ce garçon me dit quelque chose mais je n'arrive pas à savoir qui c'est étrange.Se dit-il tout en s’allume une cigarette

[HRP: voila désolé encore pour l'attente =)]

Suna no Sato était un village relativement paisible, il fallut quand même assez de temps pour que l’œil soit découvert, autrement dit le village caché du sable était trop calme. Il semblait identique que dans les souvenirs du garçon et la symbolique de cet œil n’était pas laissé au hasard. Toute sa jeunesse il avait eu l’impression d’être un œil, à observer mais tout en étant complètement ignoré. Parfois il avait l’honneur d’être humilié par des gamins de son âge. Un d’eux l’embêtait beaucoup plus que tous les autres, il était brun et assez mate, il n’avait pas souvent l’air de ressentir quelques choses de temps en temps un petit rire de ses moqueries cruelles. Son visage, Gaara, l’avait gardé en mémoire et ne l’oublierait jamais, il revoyait encore cet air narquois, en balayant ses fines mèches brunes qui venaient s’échouer sur ses paupières. Mais son nom.. Restait un mystère, celui-ci il l’oublia..

Les souvenirs inquiétants de l’intrus furent perturbés par l’apparition d’une femme, elle n’avait rien d’une kunoichi mais pourtant elle paraissait si confiante. Elle semblait appartenir à la communauté de Suna, néanmoins elle avait un air délicat, à première vue elle était polie et courtoise. « Mmffh » brailla le roux, pas tellement l’idée qu’il avait en tête. Il s’attendait à revoir la marmaille qui l’avait tant fait souffert. Alors une nouvelle fois, il ressorti sa photo de classe d’académie, mis à part les visages de Kosuke et Haosha tous étaient gribouillés. Pas pratique pour retrouver ses agresseurs d’en temps. Soit, que voulait cette femme ? Allait-elle lui mettre une raclée pour avoir eu l’indélicatesse de jouer aux espions avec un niveau aussi bas ? La tranquillité de la nouvelle arrivante laissait présagé au Genin de Kiri qu’elle était plus coriace qu’elle en avait l’air. Il n’allait pas tenter le diable.

« Je suis un ancien membre du village.. Et je suis à la recherche de.. Comment dire ? Vieilles conn… »

La stupeur gagna le visage de Gaara, un nouvel homme s’était joint à la femme. Il avait tout l’air d’un jeune homme ayant à peine terminé l’adolescence tout comme le petit naïf. Le garçon qui semblait avoir suivi Ato, répondait au nom de Kakuzo Koori. Ce dernier arriva et s’alluma une cigarette, chose très peu courante dans le monde shinobi en plus de cette attitude rebelle, il possédait deux choses qui irritait déjà le garçon à la jarre, un visage familier et surtout un regard identique à celui qui était la cause de tant de misères auparavant. Était-ce possible que ces deux personnes n’étaient en fait qu’un seul et unique apprenti ninja ? Peu à peu le visage de Gaara changeait, l’étonnement n’était plus lisible sur son faciès, l’on décryptait aisément une haine rejaillir, la personnalité du schizophrène changea alors une autre fois. La rage qu’il gardait en lui pendant tant d’années ressortait au point d’en oublier la femme qui était aussi présente, au point même de mourir en ce jour maudit qui lui rappelait tant de mauvais souvenirs. Une bonne quantité de sable se mouvait autour du roux, sa trajectoire était plutôt aléatoire, mais à chaque mouvement un peu plus de sable venait s’ajouter à la quantité sous contrôle de l’esprit du démon du sable. Il était en ces terres, le sable était son allié le plus fidèle. Les dents du Kirijin se resserraient, il était tellement en colère qu’il avait du mal à se contrôler, d’une voix involontairement rauque il demanda froidement.. « Quel est ton nom ? »

Invité

Qui était-il un vrai mystère, la température étouffante dont j’avais encore par moment du mal à m’habituer ne semblait pas le déranger tout le moins du monde.... Mais ce qui me préoccupait le plus c’était son visage qui semblait cacher quelques choses à mon gout... Mais impossible de savoir ce que c’était. Je remarquais par contre une photo dans les mains, mais il m’était impossible de savoir ce que cachait cette photo et je n’étais pas grossière au point de prendre la photo de force... Tout du moins pour le moment. Je ne voulais pas supposer trop vite, je devais me montrer calme, polie et curieuse bien entendu. J’étais actuellement un ninja de Suna, je ne pouvais pas laisse passe une intrusion aussi facilement. Mais il était pour moi hors de question de l’attaquer. Tout cela pouvait être un quiproquo ... Même si cela restait illégal et que techniquement je pouvais l’arrêter pour espionnage... Sans ajouté tous les autres règles qui enfreignait en fessant cela. Pour moi le conflit devait être limité autant que possible. En tout cas j’étais légèrement surprise quand il me dit qu’il venait de Suna, ou plutôt qu’il était un ancien de Suna. C’était donc un déserteur ? Si jeune ? Je ne pouvais le croire, mais alors que je pensais lui poser une question à mon tour quand il aurait fini de parler, son visage prit une expression des plus inquiétantes.

De la stupeur à la haine, je pouvais sentir le sable bouger de sous mes pieds... Le visage de Kakuzo semblait lui être familier. Impossible de se tromper, son visage était des plus expressifs. Notre corps ne peut pas exprimer une telle colère à un inconnu. Donc à moins qu’il ne soit totalement fou, il connaissait Kakuzo et cela semblait être lié à des souvenirs peu agréables... Je sentais les choses mal tourner, je n’avais pas beaucoup de solution, pour calmer le jeune inconnu je dis une chose qui allait sans doute en surprendre plus d’un... Je frappai Kakuzo sur la tête de façon assez forte pour que celui-ci baisse la tête et aussi j’en profitais pour prendre sa cigarette en disant :

Il s’appelle Kakuzo Koori, actuellement il est mon élevé et il semble ne pas connaitre les bonnes manières. On demande pour fumer à son maitre... Même si de toute façon, je te l’interdit devant ma présence.

*La réaction du sable ne semble pas ordinaire et se garçon encore moins... Je ne sais pas pourquoi, mais je devrais vérifier quelques choses.*

Moi je suis Ato, ninja de Suna et sache mon cher ami que la plus grande de politesse quand on s’invite chez quelqu’un, c’est de se présenter en premier.

Je lui lançais en même temps la cigarette de kakuzo, il ne risquait pas de bruler car j’avais lance de façon à ce que ce soit le mégot qui soit à son contacte... Mais voyant la réaction du sable, je me disais que s’il maitrisait bien celui-ci, il ne l’évitera pas ou le bloquerait avec ses mains, mais utiliserait le sable pour s’aider. Toujours est-il que j’espérais que mes actions réussi à le calmer un peu. C’était un acte assez impromptu de frapper Kakuzo, mais cela devait avoir deux effet positif. La premier est comme je le disais, apprendre la politesse à Kakuzo qui ne demandais même pas si cela gênait quelqu’un la fumé... Ce qui était mon cas et pour plusieurs raison. L’un des principales est que c’est mauvais pour la santé. La seconde raison était que cet acte perturbe un peu l’état d’esprit du jeune homme qui perdrait un peu de sa haine... Mais bon rien n’était gagné... En tout cas grâce à ses quelques mouvements j’étais certains ou presque de découvrir certains points sur Kakuzo et surtout sur cet inconnu.

[Hrp: vu que tu utilisé le blanc aussi Kakuzo, je change en Cyan pour évité les erreurs (surtout pour Gaara... Sinon, mon personnage à plus de 26 ans et si je me trompe pas le tiens 20 ou 21... Donc l'age n'est pas vraiment pareil... même si l’écart n'est pas grand]

Quand il fut soudainement frappé par son maître, Kakuzo se demanda ce qu'il avait encore fait de mal. Il n'était pour-temps pas tombé dans un profond sommeil comme la dernière fois que son maitre lui avait parlé de fleur et de médecine. Il comprit aussi tôt que ce qu'il avait faits c'était tout simplement de s'allumer une cigarette sens demandé la permission à son maître. Mais était-il vraiment obligeait de lui le demandé ? Ça lui rappela la fois où elle lui avait faits courir plus de 300 tours du terrain de combat au centre de l’arène car il avait allumé une cigarette avec un de ses becs benzène. Le jeune marionnettiste fut tellement préoccupé par l'avenir tragique de sa cigarette qu'il n'avait même pas fais attention au changement surprennent du jeune homme qui était en face de lui et qui réagissait étrangement à l'écoute de son nom.

Quand le jeune marionnettiste vu que son maître lança en direction du garçon de Kiri ça malheureuse petite cigarette qui n'était consumé que de moitié. Kakuzo eut le réflexe de lancé de sa main gauche un fils de chakra qu'il attacha à ça cigarette. Puis un jette ferme et rapide de la main il la renvoya directement dans sur ses lèvres et la finit d'une seule et même aspiration. Il prit quelques secondes pour bien sentier dans ses poumons la fumée puis il la recracha lentement en direction de l’intrus et c'est à ce moment-là qu'il remarqua enfin la haine que ce jeune homme avait pour lui.

dit moi le roux. On se connaît ? Lui dit -il. Je dis ça par ce que j'ai une impressions de déjà vue quand je te voix. Pourtant avec un tatouage aussi moche que celui que tu à sur le fond je devrais pas t'avoir oublier

sentent le conflit arrivait sous peu, le jeune marionnettiste accrocha discrètement des fils de chakra un peu partout sur son pantin. Et puis l'action de son maître l'avait un peu énervait alors il devait se calmer et puis cela rien de mieux que de frappé sur un parfaite inconnue...

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